À la chasse au blaireau! (Nuage de Luciole, Nuage de Rubis, Pelage de Lune et Feuille Brillante)

Ah là là là là ! Que faire, que faire, que faire ? Aujourd'hui est une journée de libre mais aie aie aie !  Il y a un blaireau dans le coin, je le sais, je le sens et pleins d'autres gens aussi le sentent ! Que faire, que faire, que faire ? En plus, j'ai promis que j'aiderais à chasser le prochain blaireau ! Bon sang ! Quel idiot ! Je sais pas quoi faire ! Mais bon, j'ai promis, prenant une grande bouffée d'air, je me proposa pour chasser le blaireau avec ceux s'étant déjà proposés : un autre apprenti, Nuage de Rubis  et deux guerrier, Pelage de Lune et Feuille Brillante.

Nous devions chasser le blaireau dans le chemin de bruyère ce qui me stressait un car il aura tellement de cachette ! Mais bon, nous ne sommes pas tout de suite arrivés, hein ? Bien que je pense que le trajet ne se fera pas en silence, ce qui je dois avouer ne me déplaît pas. Un peu stressé, je trottinais au rythme du petit groupe que nous formions.

À plusieurs reprises, je faillis m'arrêter pour chasser une proie ou deux, mais je me retins à temps ne souhaitant pas me faire gronder. Et peut-être que je voulais m'arrêter pour ralentir l'inévitable. Peut-être, seulement. Mais bon, de toute façon, ça arrivera tout de même alors, autant le faire le plus vite possible pour s'en débarrasser!

[désolé, y a pas grand chose, mais sinon, j'utilisais vos persos alors :/]

Le matin, l'aube, la rosée fraiche et humide... Rien de mieux que la bonne ambiance douce et agréable du matin. Aujourd'hui, encore, il fait un temps magnifique. Bien que la saison des neiges soit proche, un peu de soleil de fait pas de mal, surtout quand on sais que ça va être une période dure. Mais malgré ça, j'ai toujours aimé cette saison, et le froid glacial qui y est répandu. Car c'est à ce moment qu'ont est né, ma sœur, mon frère et moi. Mais je profite tout de même, de cette éclaircie enjôleuse.
Je bailla avec faim, puis me leva tant bien que mal, la douleur me fracassant le dos. Je dormais mal en ce moment et bougeais beaucoup durant mon sommeil. Dû à des cauchemars, certainement prémonitoires. Mais je ne préférais pas y penser. Pour l'instant, je dois me concentrer sur une et unique chose. Chasser le blaireau de notre territoire. Une aube plus tôt à peine, une assemblée du camp avait été faite, et le chef nous avais parlé de ce dernier. Il fallait quatre postulants pour participer à cette expédition. J'ai levé la patte, pensant que mes idées pourraient s’éclaircirent. Mais nombres de guerriers étaient partants, du coup le chef a dû faire un choix. Et j'ai été sélectionné, avec deux autres guerriers et un apprenti. J'étais un peu déçu que mon frère et la sœur ne le soit pas. Mais il fallait bien que j’apprenne à me débrouiller sans eux. J'ai ma vie tout de même.
Le stresse commençait à monter en moi. C'était la première fois que j’allais avoir un véritable combat. Je redoutais mon échec. Et si je prenais fuite ? Ou si je me faisais tuer ? J'en avais parlé au lieutenant mais il m'avais répondu que tout se passerais bien, mais ça ne me rassurais guère. Au contraire, j'étais perdue dans mes pensées, et dans mes craintes de me rendre ridicule.
Je devais partir le lendemain, quand l'aube pointerait le bout de son nez.
Ce matin là, je m'étais réveillé un peu endolorie, mais déterminée. La nuit m'avais sans doute porté conseil, malgré ses horribles cauchemars. Les autres m'attendaient déjà devant la sortit du camp. Ils discutaient, plutôt à l'aise je présume. Je les rejoignis en trombe, sans même jeter en coup d’œil à la pile de gibier. Ce n'était pas le priorité, puis avec tout ça, mon estomac était noué je n'avais pas du tout faim. Je ne sais pas si les autres avaient eu le temps ou la volonté de manger, mais ils devaient penser comme moi. Surtout l'apprenti, Nuage de Luciole, qui avait l'air très angoissé. Je lança à la troupe :

- << Alors vous êtes prêts pour l'expédition ? Ont vas le chasser ce blaireau et il ne sera pas prêt de revenir, croyez moi ! >>

Ils me regardèrent avec le sourire, puis nous nous engageâmes dans le creux sous le buisson puis, à la queue leu-leu, nos pattes avancèrent, une à une, dans la boue. Personne ne parlaient. Puis nous débouchâmes dans la colline, à l'air libre. Je commença à courir et à rouler le long de la pente, comme j'aimais le faire depuis toujours.  


[Désolé du texte cours, j'ai jamais d'inspiration le premier poste. c:)

[Mhhh... Du nouveau ?]