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Arrogance - Pv Néant

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 Ven 24 Fév 2017 - 17:37
Le regard de Sultan balaya les environs, tandis qu'il attendait, tapis au sol, le bon moment pour bondir. L'ancien chat domestique avait longé cette stupide et puante bande de bitume depuis l'aube, espérant trouver quelque chose au bout. Et en effet, à force de marcher, il avait fini par apercevoir la forêt, et guettait le bon moment pour y pénétrer. Il avait fait preuve d'une confiance aveugle lorsqu'il avait quitté son foyer, mais à présent qu'il était face à un nouveau monde, il hésitait. Pour survivre dans les bois, il devrait chasser, trouver des endroits où dormir, peut-être se battre contre d'autres prédateurs. Certains racontaient que la forêt était infesté de blaireaux assoiffés de sang, mais ceux qui tenaient ces discours n'avaient probablement jamais quitté leur jardin. Sultan, qui avait toujours vécu avec des humains, nourri, choyé, câliné, seulement préoccupé par le prochain concours félin auquel il allait participer. Et voilà qu'il partait s'engager pour une vie difficile, où il devrait être sur ses gardes à chaque instant, car le danger était partout.

L'hésitation du chat de Bengal ne fut cependant pas bien longue. Il avait décidé qu'il partait, alors il partirait. Il n'était pas question de retourner à la maison, où Keyser l'attendait, avec son insupportable air innocent. Non, hors de question ! Il ne reviendrait pas sur sa décision. C'était trop tard de toute manière. Rejetant tous ses doutes, Sultan bondit, quittant la ville pour entrer dans la forêt, une bonne fois pour toute. Sans doute aurait-il du se montrer plus prudent, plus attentif, mais pour l'heure, il était surtout dégoûté. L'odeur de la route où les machines des humains roulaient était toujours aussi forte, et venait s'ajouter à cela les senteurs corsées de la forêt. Avait-il mis la patte dans un tas d’excrément ? Ses griffes étaient pleines de boue et son pelage commençait déjà à le démanger. Pourquoi personne ne lui avait-il dit que la forêt était si sale ? Le jeune solitaire poussa un soupir et tacha de mettre de l'ordre dans ses priorités. Il était environ midi, il faisait assez frais, et il n'avait rien mangé depuis son départ.

Ignorant les petits grondements de son estomac, Sultan posa soigneusement son postérieur sur un tas de feuilles gelées et commença une toilette rapide, refusant de perdre de son panache. Il passait méticuleusement sa patte sur son visage lorsqu'un bruissement dans les bosquets l'interpella. Il stoppa son mouvement et regarda autour de lui. Il était toujours bien trop proche de la route pour identifier la moindre odeur, et il avait jusqu'à présent eu l'impression d'être seul. Se pouvait-il qu'il soit observé ? Sultan se gratta la gorge et s'exclama, une note d'agacement dans la voix :

- Si vous avez l'intention de me déranger, je vous conseille vivement de reprendre votre route. J'ai eu une longue journée, et je ne suis vraiment pas d'humeur !

Puis, considérant que ses paroles avaient du suffire à éloigner quiconque s'approchait, il retourna à sa toilette, totalement inconscient des dangers qui rôdaient autour de lui.
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 Sam 25 Fév 2017 - 15:44


Arrogance


Tu marchais silencieusement dans un bois qui semblait, mort. Les arbres avaient une écorce aux couleurs ternes, mortes. Nous étions en période froide, mais là, il y avait une limite. Les fougères étaient rares et celles qui subsistaient mourais lentement. Pourquoi donc ? Car la nature qui vivait là, avait eu le malheur de pousser non loin d’un chemin du Tonnerre. Le chemin du Tonnerre, ce long chemin de pierres grises, ce chemin où filaient à toute vitesse d’effroyables monstres synthétiques. Ce chemin qui dégageait une odeur si âcre et détestable. Ce chemin était un véritable poison pour la forêt, mais toi, qu’en avais-tu à faire ? Tu te fichais bien de la santé de la forêt et ses habitants. Rien ne te regardait dans ce monde fictif et sans intérêts. La forêt pouvait crever et mourir sous les piétinements des bipèdes, tu t’en fiches bien. Qu’elle meure ou qu’elle vive, tu feras toujours la même chose, marcher indéfiniment vers un but non précisé. Cela devenait un peu répétitif de raconter ton histoire, tu ne fais que marcher, marcher et encore marcher. On se demande encore comment tu fais pour ne pas être mort d’ennui. Seuls les rencontres avec des chats sortis de buisson et autres endroits imprévisibles donnaient un peu d’activités à ta vie monotone et triste. Et c’est ce qui allait arriver dans quelques instants.
Tout commença par une branche, une simple branche. Une branche qui, comme à ton habitude tu n’avais pas vu. Une branche qui avait craqué sous tes pas maladroits. Une branche qui avait alerté quelqu’un non loin de toi. Une simple branche était la source d’une rencontre. N’était-ce pas magnifique ? Donc tu continuas sans réagir ta marche, mais lui, lui il a réagi. Il a été alerté par ce bruit suspect. Il a sûrement dût regarder dans toutes les directions et guetter ta présence. Et pour confirmer tout ça, il t’avait parlé :

- Si vous avez l'intention de me déranger, je vous conseille vivement de reprendre votre route. J'ai eu une longue journée, et je ne suis vraiment pas d'humeur !»


Qu’espérait ce chat avec ces quelques mots ? Que subitement tu deviennes quelqu’un de normal et que tu réagisses à ça ? Et bien non, tu fis comme d’habitude, tu continuas ton chemin sans t’arrêter, sans réagir. C’est à ce moment que tu es arrivé dans cette petite clairière, légèrement illuminé par le soleil. Il y avait là un chat, que faisait-il ? Tu t’en fiches. Qui est-il ? Tu t’en fiches ? Qu’allait-il te faire ? Tu t’en fiches. Mais tu détournes quand même la tête et le fixe de tes yeux aussi vide qu’un ciel bleu sans nuage.


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 Sam 25 Fév 2017 - 22:02
Quelques instants après que le jeune solitaire eu prononcé ses paroles, un chat fit son apparition. En un sens, c'était plutôt rassurant. Sultan n'avait jamais grandement aimé la compagnie, mais l'idée qu'il puisse être le seul matou vivant dans cette forêt était un peu glauque. Enfin, ce mâle était sa première rencontre depuis qu'il avait quitté son foyer, et ces instants de tranquillité avaient été du pain béni pour lui, qui partait pour fuir un insupportable rival : Keyser. Il n'avait pas l'intention de se trouver des petits camarades de jeu de si tôt, mais s'il pouvait en apprendre plus sur le nouveau monde qu'il découvrait, il ne disait pas non. Il n'admettrait bien sûr son ignorance pour rien au monde, mais avec un peu de subtilité, il arriverait bien à tirer quelques informations de ce félin. Il profita de la distance qui les séparait pour le détailler du regard, et fut frappé par son aspect absolument banal. C'était un simple chat gris, guère massif, plutôt petit et maigre. Il n'avait pas l'air en bien piteux état, mais son regard vide de toute expression ne donnait pas vraiment envie de faire connaissance.

Sultan s'était attendu à se faire interpeller par le chat sauvage, de manière plutôt agressif. Après tout, les matou errants avaient la réputation d'être rude aux yeux des chats domestiques. Pourtant, le nouveau venu le regardait comme s'il était transparent, sans la moindre émotion. Le Bengal sentit son échine se hérisser malgré lui, il détourna les yeux. Le mâle gris avança d'un pas nonchalant, la tête tournée vers Sultan. Un instant, ce dernier se demanda si le nouveau venu ne souffrait pas d'un problème de vision. Il avait connu un vieux matou aveugle lorsqu'il était enfant, qui habitait une maison voisine. Il était souvent grincheux et acariâtre, et l'enfant qu'était Sultan à cette époque aimait se glisser dans son jardin pour se glisser dans son dos et lui faire peur. Il regrettait à présent ce comportement mesquin, mais il était jeune à cette époque, et inconscient de la souffrance du vieillard. Il était mort rapidement, de toute manière. Si Sultan n'avait rencontré aujourd'hui, il se serait sûrement contenté de l'ignorer aimablement.

Mettant de côté ces souvenirs inutiles, l'ancien chat domestique se rendit compte que le nouveau venu ne semblait absolument pas lui prêter attention, et n'avait vraiment pas l'air de vouloir lui répondre. Quelque peu offusqué par cette attitude - Par tous les diables, Sultan était un pur race, un chat de Bengal parfait ! L'ignorer de la sorte était outrageant - il se racla la gorge et s'exclama :

- Ehem. Je vous ai parlé. La moindre des politesse serait de me répondre, ou bien de foutre le camp. On ne vous apprend pas les bonnes manières dans la forêt ? Oh, j'oubliai, vous n'êtes qu'une bande de rustres incapables de faire preuve de courtoisie !

Sultan renifla avec mépris et continua de marmonner des paroles incompréhensibles dans sa barbe. Il n'avait jamais vraiment eu d'ami dans son quartier, mais au moins, lorsqu'un autre chat croisait sa route, il avait l'amabilité d'hocher la tête respectueusement pour le saluer, puis chacun reprenait son chemin, satisfait. N'y avait-il donc pas de règle similaire dans ce bois miteux ? Tout ceci était grotesque, absolument grotesque !
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 Mer 1 Mar 2017 - 14:48


Arrogance


Le mâle que tu avais en face de ton ignoble tête d’inexpressif, n’avait pas apprécié t’as réaction. Qui comme à ton habitude avait été, étrange. Ta façon à toi quoi. Les habitants de ce monde étaient beaucoup trop susceptibles, et ça ce n’est pas du tout compatible avec ton caractère, si tu avais un. Nan mais franchement, le chat qui se tenait devant toi, un Bengal, plus précisément, donnait l’impression que tu lui avais craché dessus. On ne t’imaginait pas craché sur quelqu’un, c’est vraiment contre t’as nature, et si ça arrivais. Et bien ça n’arriverais pas, il n’y avait rien à dire d’autres. Tu te fichais bien trop des autres pour leurs cracher dessus. Et les rares qui t’avaient rencontrés le savaient. Il ne fallait pas s’obstiner avec toi, c’était courir à sa perte. Les autres étaient toujours les premiers à en avoir ras-le-bol de te crier dessus. C’était d’ailleurs une de tes seuls qualités, la patience. Et ta maîtrise de toi était aussi très impressionnante. On t’applaudit ! Tien le rigolo, s’apprête à parler ;

- Ehem. Je vous ai parlé. La moindre des politesses serait de me répondre, ou bien de foutre le camp. On ne vous apprend pas les bonnes manières dans la forêt ? Oh, j'oubliai, vous n'êtes qu'une bande de rustres incapables de faire preuve de courtoisie !

De courtoisie, toi ? Si je pouvais faire autre chose que raconter ton histoire et être un stupide narrateur, je me serais pliée en cinq en rigolant ! Il était vraiment sérieux celui-là ? Il ne te connaissait vraiment pas, bon de toute façon comment aurait-il pu te connaître. Je me mettais à dire n’importe quoi moi ! Bon revenons aux hilarantes paroles de cet hurluberlu. Faire preuve de courtoisie, c’est rayé de la liste déjà. Foutre le camp, et bien après réflexion. Je ne comprenais pas pourquoi tu n’étais pas déjà parti faire mumuse avec le décor, et te prendre encore une branche ou un arbre en pleine tête. J’ai beau être la personne qui te connait le mieux, malgré que je sois tout à fait irréelle, je ne pouvais jamais prévoir tes mouvements et réaction. Tu avais beau être « inexistant » tu restais imprévisible. C’était plutôt surprenant ça. Tu me fascinais de plus en plus chaque jour toi ! Si seulement certaines personnes te connaissaient vraiment, il verrait que tu n’es pas qu’un dégénéré sortis de nulle part. Je reste persuadé que tu as une personnalité. Mais je ne peux t’influencer, c’est un fait. Tu dis être rien, et bien sois rien !

Le matou brun-roux tigré reniflait, méprisant. Il n’avait vraiment pas apprécié. Comment vas-tu réagir ? Surprends-moi et lui avec ! Même si tu ne m’entends pas.
Tu fis la moue, et remua lentement les moustaches. Il n’y avait rien à faire, jamais tu ne seras normale, alors si t’as réponse vient e l’espace, et bah c’est toi. Néant.

« Pourquoi devrais-je te devoir le respect ou je ne sais quelle preuve de courtoisie. Je n’existe pas. »

Ça c’était magnifique, juste parfait. Ses un, deux, trois, dix-sept mots étaient juste incompréhensible. Mais j’étais certain que le chat en face de toi allait avoir une réaction magistrale. Il fallait vraiment être perché pour dire ça. Encore quelqu’un qui allait agrandir ton inexistante réputation d’abruti cinglé. Ce genre de chats comme ce Bengal avait une grande fierté, et quand ils se retrouvent devant toi. Ils sont totalement désarmés. Aucune menace, aucune insultes, rien ne t’atteignais. Et les chats à grande fierté n’avaient que ça comme arme pour défendre leurs « honneurs ».


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 Jeu 2 Mar 2017 - 20:49
Alors que Sultan avait pris de sa patience pour élever la voix et interpeller le malotru, ce dernier continua d'arborer un visage absolument vide de la moindre expression, ce qui déconcerta le solitaire au plus haut point. Ce chat était la première personne qu'il rencontrait, et son étrangeté était frappante. Étaient-ils tous comme ça dans les bois, ou ce matou était-il une exception ? L'ancien chat domestique sentait qu'il allait vite regretter son paisible quartier. Certes, ses voisins, un Maine Coon croisé Chartreux au regard vitreux, une Norvégienne bien trop bavarde, un Scottish fold sans doute bâtard et très trouillard, n'étaient pas les camarades les plus passionnants et intelligents qui soient, mais ils avaient le mérite d'être sensés. Lorsque Sultan avait pris le temps de parler avec eux, ils s'étaient montrés décevant par bien des côtés, ignorants et parfois lents d'esprit - surtout le Scottish fold, c'était un drame ! - mais ils avaient été capable de mener une conversation normale, avec un début, un milieu et une fin. Ce qui semblait mal parti avec ce drôle de phénomène.

Mais tandis que l'ancien chat d'Homme médisait dans son esprit sur ses anciens voisins et sur le chat qu'il venait tout juste de rencontrer, ce dernier sembla se connecter brièvement à la réalité. Il tourna la tête vers Sultan et sembla réaliser que ce dernier lui avait adressé la parole. Et, alors que la scène paraissait complètement surréaliste, il parla :

- Pourquoi devrais-je te devoir le respect ou je ne sais quelle preuve de courtoisie. Je n’existe pas.

Si la première partie de la phrase avait commencé à échauffer les oreilles du Bengal, qui avait déjà préparé un florilège de réponses plus désagréables les unes que les autres, la dernière phrase le déboussola totalement. Comment ça, il n'existait pas ? Oh-oh, je suis tombé sur un grand malade... Songea le solitaire en son fort intérieur. Que pouvait-il répondre à ça ? Le matou se fichait-il de lui ? Il avait l'air très sérieux, avec son visage vide et son regard inexpressif. Se pouvait-il qu'il... N'existe pas ? Qu'il soit une sorte de fantôme ? Non mais enfin, qu'est-ce qui me passe par la tête ?! C'est juste un taré qui perd la boule ! Se rassura-t-il en plissa les paupières. Sultan préféra garder ses distances, et recula un peu lorsque le félin s'approcha. Qui pouvait bien prétendre savoir ce dont ce fou était capable ? L'ancien domestique jugeait peut-être un peu vite de brave vagabond, qui n'avait, après tout, rien demandé, mais telle était sa nature. Ainsi, fidèle à lui-même, lui répondit, cassant :

- Euh, écoute le barjot. Je sais pas qui t'es, je m'en fiche éperdument et visiblement toi aussi. Mais sois gentil, et dis moi où je suis. Je cherche un endroit tranquille pour passer la nuit, aussi loin de cette stupide route que possible. Tu peux m'aider ou t'es trop cinglé pour comprendre ce que je dis ?

Il acheva sa phrase par un sourire mauvais et méprisant, aussi détestable que d'habitude. Ce drôle de chat qui lui faisait face était peut-être dangereux, l'idée l'avait effleuré un peu plus tôt, et pourtant voilà qu'il le prenait de haut. Sultan n'avait toutefois aucune notion du danger, et l'idée même que ce taré représente une menace lui paraissait ahurissant. Il voulait surtout éviter tout contact physique, sa folie était peut-être contagieuse.
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 Mar 7 Mar 2017 - 16:05


Arrogance


Le mâle de scrutait avec désarroi. Il semblait vraiment désemparé, bon après tout c’était normal, ta réponse n’était pas très simple. Pauvre chat, il aurait pu tomber sur quelqu’un d’autres que toi, mon petit Néant. J’attendais la suite avec impatience. J’avais l’habitude de tes phrases sortis de ta folie des plus, folle ? Mais lui, à mon humble avis, il ne devait pas croisé des chats comme toi tous les jours. Je lui souhaitais bon courage.

- Euh, écoute le barjot. Je sais pas qui t'es, je m'en fiche éperdument et visiblement toi aussi. Mais sois gentil, et dis moi où je suis. Je cherche un endroit tranquille pour passer la nuit, aussi loin de cette stupide route que possible. Tu peux m'aider ou t'es trop cinglé pour comprendre ce que je dis ?


Décidément ce gars-là était vraiment con. Il n’avait toujours pas remarqué que tu étais fou ? Bah si, puisqu’il t’a traité de barjot, de cinglé et dans sa petite tête de con il doit se dire que tu viens de la Lune. Donc, il a remarqué que t’étais fou et il s’atteint peut-être à ce que tu lui répondes, le plus normalement du monde : « Oui bien sûr ! Tu es sur le territoire d’un clan, je te conseille d’aller plus haut, ya une ferme de bipèdes très confortable ! » Nan, mais un peu de sérieux ! Tu avais toi-même aucune idée de là ou tu étais. Aux dernières nouvelles, tu avais dit que t’étais dans un monde nul et pathétique à travers une certaine dimension qui cache une infinité de mondes ? C’est ça ? Non je ne crois pas, tu aurais parlé de tes autres mondes, d’une manière différente, mais bon, je ne suis pas toi ! Et j’en suis bien content, je préfère être un abruti qui raconte des histoires, qu’un cinglé de première classe. Donc bon, qu’allais tu répondre ? J’avoue que je m’attends à que tu partes sans demander ton restes avec un pas lent et con. Comme d’hab ! Tu veux pas changer d’habitude pour une fois ? Aller ! Steuplait ! Ça en devient trop prévisible ! Et là tu me réponds ; Mais oui bien sûr ! Je vais lui sauter dessus et manger ses oreilles ! Ça c’était flippant par contre, je devenais cinglé. Bon avec la seule fréquentation que j’avais c’était un peu normal.

« Pourquoi devrais-je savoir ça ? »

Gné ? T’avais dit quoi là ? Pauvre de toi petit matou qui conversait avec Néant, tu étais bien mal tombé. Le mâle doit-être en train d’élaborer un plan pour se barrer en courant d’ici. Halala, c’est beaucoup trop marrant ! T’es un grand humoriste, mon petit chat gris ! La suite !

« Je ne sais rien. »

Bon ça c’était un peu prévisible. Tu te ramollis mon vieux ! Par contre pour ton interlocuteur, ça doit-être le grand cataclysme dans sa tête ! Un superbe feu d’artifice qui ne comprend rien ! Et tu restes planté là ? Je pensais que t’allais te barrer. On verra après la réponse de l’autre crâneur.


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 Lun 17 Avr 2017 - 9:32
J'archive, puisque Surpluche est partie Arrogance - Pv Néant 2049336592
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