Petit Cachalot ▬ alone getting high on a Saturday night, I'm on the edge of a knife ; nobody cares if I'm dead or alive, oh what a wonderful life
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Fiche d'identité
• Sexe : ♀
• Âge : 0 lune
• Groupe : Tonnerre
• Rang : Chatonne
• Famille : Espoir Flamboyant et Audace des Cieux : parents
Petite Foudre et Petite Pierre : frère et soeur
• Trait distinctif/principal : Paradoxale
Petit Cachalot
« what a wonderful life »
But :
Vous savez, j'ai de la chance, quand même. Je vis dans un monde où tu n'as que deux choix : guerrier ou guérisseur. Tout simplement. Je veux dire, vous imaginez, s'il fallait se décider entre trente-six mille voies ? Genre, si t'avais 12 lunes pour déterminer ce que tu serais tout le restant de tes jours ? Ben ça serait horrible, voilà. Alors moi, je suis bien contente, finalement, de ne pas avoir le choix. Enfin, déjà, en avoir deux, c'est compliqué et certains jour, je me tâte à devenir guérisseuse. Et puis après, je me dis que non, c'est plus simple de choisir la voie toute tracée pour moi, et je n'aime pas ce qui est compliqué, en général. Même si je sais pas si ça me plairait. Du coup, ouais, je pense que mon but, c'est d'être une bonne guerrière, et puis c'est tout. Je dis ça, mais je déteste la routine. Si ça se trouve, une fois que je serai guerrière, je ferai une dépression nerveuse. J'en sais rien, moi. De toute façon, penser à l'avenir, ça a tendance à me stresser. Et puis, après tout, j'ai encore le temps, non ?
Physique
Mon physique, je ne m'y intéresse pas beaucoup. Je ne fais pas partie de ces gens pour qui ça importe tant, je prends à peine le temps de faire une rapide toilette le matin et puis voilà, c'est parti. J'ai au moins le mérite de gagner du temps comme ça, c'est pas le cas de tout le monde. Je suis assez haute sur pattes, et j'ai le corps très mince. Mon pelage est assez particulier, il est gris foncé, mais légèrement bleuté, et mes poils sont très courts, cela ressemble même plus à une seconde peau qu'à un pelage. J'ai une tête assez grosse, plutôt ronde, le museau allongé, la truffe gris sombre. Quant à mes yeux, ils sont bleus mais en réalité ils se rapprochent plutôt du gris, un gris foncé.
Caractère
Je ne sais pas du tout par où commencer. Peut-être par le fait que je suis... cupide ? Jalouse, envieuse, en tout cas. Je voudrais me contenter de ce que j'ai, mais c'est impossible, je n'y arrive pas. Je ne peux pas m'empêcher de jalouser les autres, tout ce qu'ils peuvent bien avoir. Leurs relations, leurs capacités, même leurs qualités... Tout, absolument tout. J'ai souvent l'impression que je n'ai rien, rien qui vaille le coup. J'en veux toujours plus, c'est tout, c'est comme ça. Parfois j'en parais même aigrie, il y a une part de moi qui n'aime pas voir les gens heureux, comme si ça me faisait mal, un peu. C'est un peu étrange, non ? J'ai toujours tendance à me comparer aux autres, d'ailleurs. Je sais que je ne devrais pas ; tout le monde le sait, pas vrai ? C'est ce qu'on répète sans cesse, ne te compare pas aux autres. Mais en même temps, c'est un peu comme ça que la société fonctionne, pas trop quand on est chaton, mais je vois bien les apprentis, parfois les mentors leur font des compétitions « amicales » où par exemple, il faut être celui qui attrape le plus de proies. Ce n'est pas se comparer, ça ? Moi, je n'arrive pas à m'en empêcher, en tout cas. Par exemple, prenez mon frère et ma soeur, on est tout le temps on compétition, parce qu'on est tous les trois super intelligents, on est trois génies. Sauf que je crois qu'ils le sont plus que moi, enfin en soi, je ne sais pas, je veux dire, ce n'est pas comme si c'était prouvé ou quoi que ce soit, mais vous voyez, j'ai l'impression d'être plus bête qu'eux. Et ça m'énerve, du coup, puisque j'ai parfois du mal à me mettre à leur niveau. Il faut savoir que je suis très compétitrice. Alors les petits jeux genre celui dont je vous parlais tout-à-l'heure, eh bien avec moi ce n'est pas une très bonne idée, même si c'est un bon moyen de me faire me surpasser, ça peut aussi me rendre folle.
Encore que ce qui est le plus susceptible de me faire enrager, c'est que quelqu'un ne respecte pas les règles, que ce soit injuste. Parce que... comment expliquer ? Déjà, je suis très attachée aux règles en général, et au Code du Guerrier, aussi, forcément. C'est d'ailleurs pour cette raison que je n'aime pas beaucoup la guérisseuse, Agate Étoilée. Elle a brisé le Code du Guérisseur, elle a eu des chatons, et personne ne l'a punie pour cela. C'est ça qui m'agace le plus. Si on est pas puni pour ses fautes, à quoi sert la loi ? Et puis, moi-même, je ne trouve pas que cette règle soit très juste. Enfin, si j'ai bien compris, l'amour, ce n'est pas quelque chose auquel on peut résister, pas lorsqu'il est très fort. Donc oui, quand on y pense, cette règle est stupide. Mais dans ce cas, il faut la remettre en question, pour tout le monde. Pourquoi Agate Étoilée aurait le droit à des chatons, à l'amour, et pas Spectre de Lumière, Masque de Jais ou Paon du Jour ? Ce n'est pas juste, et je n'aime pas l'injustice, la vraie. Celle qui n'a pas lieu d'être. Il y aura toujours des différences entre les gens, et je ne dirais pas que le fait que les solitaires, par exemple, aient plus de mal à survivre que nous, soit injuste, parce que ce n'est pas de notre fait. C'est la nature qui a fait qu'ils sont nés solitaires et nous pas, c'est comme ça. En fait, c'est surtout l'injustice que l'on crée, contre laquelle on peut lutter alors qu'on ne le fait pas, qui me dégoûte. Parce que pour moi, quand c'est de notre faute, la moindre des chose est de réparer ses erreurs. Pourtant, moi même, je ne sais pas si je suis tellement juste. J'essaye de l'être mais vous savez, c'est dans notre nature, de se privilégier et tout ça. Tout ce que je sais, c'est que j'essaye, ça me tient à cœur.
A part ça, il y a quelque chose de bizarre avec mon estime de soi. Parfois, je suis super vantarde, limite narcissique, je me trouve géniale ou du moins, bien meilleure que les autres. Oui, toujours ce délire de comparaison, quand je vous dis que je n'arrête jamais. A ces moments là, j'ai l'impression de faire partie de ces gens qui sont bien mieux, vous savez sans doute ce que je veux dire, je pense que tout le monde a déjà expérimenté ce sentiment, cette sensation de valoir mieux que tous les autres. Je ne trouve pas ça forcément négatif, du moment qu'on ne commence pas à rabaisser ses pairs sous ce prétexte. Moi, je ne le fais jamais, je ne suis pas quelqu'un de méchant, au contraire, mais j'y reviendrai. Et puis il y a des moments où j'ai l'impression que ma vie est super nulle, que je ne vaux rien, où je me déteste, que je déteste tout en fait, tout ce qui fait partie de mon univers. Il y a ces moments où je me dégoûte, où je me sens tellement... tellement nulle, tellement moins bien que les autres. D'autant que je ne suis pas le genre de personne à, vous savez, croquer la vie à pleins crocs sans y réfléchir. Moi je me pose plein de questions, je me fais stresser pour rien, je suis de nature anxieuse en même temps. Je m'inquiète de tout un tas de choses, de qui je serai plus tard, de ce que je suis à l'heure actuelle, est-ce que je mérite la vie qui m'est offerte, est-ce que je mérite seulement d'être heureuse et est-ce que je le suis ? Je crois que ce n'est pas sain de se poser ce genre de questions mais c'est comme ça, il faut que je me les pose.
J'ai une nature anxieuse mais malgré tout, je parais le plus souvent sereine. En fait, je suis très secrète et en général, je cache mes sentiments, tout ça. Parce que j'ai une peur bleue de dévoiler ce qu'il y a au fond de moi, vous savez, sans filtre ni rien, sans aucun masque d'hypocrisie. Je ne suis pas tellement hypocrite mais c'est juste qu'en général, je me tais. Je ne suis pas spécialement franche non plus, c'est le moins qu'on puisse dire mais c'est aussi parce que je crois que je ne sais pas être franche sans vexer. Peut-être parce que les gens sont habitués à ce que je sois gentille alors quand je commence à leur reprocher des choses, dire que je vais mal ou quoi que ce soit comme ça, j'ai l'impression qu'ils se braquent. Je ne sais pas, ce n'est peut-être qu'une impression mais ça me bloque, je préfère ne rien, me taire. Résultat lorsqu'on commence à me lancer là dessus je déballe tout d'un coup, comme une cascade. Ça a le don de me mettre dans des états pas possibles, pourtant habituellement je suis assez calme, enfin, j'essaye de ne pas m'énerver, de ne pas crier, parce que je n'aime pas les gens qui font ça. Mais quand je le suis ce ne sont pas forcément les autres qui le sentent parce que même là, je reste assez mesurée dans mes propos, parce que j'ai toujours peur de l'impact des mots, mais quand je suis en colère il y a des effets sur mon corps, que je n'ai pas l'impression de voir chez les autres parce que moi, je suis malgré tout très sensible, dans le sens où je peux être très affectée par certaines choses, les chocs et tout ça. Et aussi, du coup, je suis susceptible, d'une certaine manière, même si je déteste ça, parce que c'est idiot de se vexer surtout lorsque l'on sait que c'est la vérité mais c'est comme ça, je ne suis pas le genre de personne auquel on peut dire n'importe quoi sans que ça ne lui fasse rien, même si j'aimerais bien.
Je peux apparaître comme égoïste mais en réalité, je ne le suis pas du tout. J'adore rendre service, j'adore rendre les gens heureux, simplement il y a quelques conditions. Déjà, ça m'énerve lorsqu'on me fait faire quelque chose que je ne sais pas faire comme euh, je ne sais pas, je n'ai pas d'exemple là maintenant mais si je ne sais pas le faire, à quoi ça sert de me demander ? En plus après je sais très bien qu'on va critiquer ensuite ce que j'ai fait et ça je ne supporte pas, je ne supporte pas l'ingratitude, vous savez. Et puis, j'ai plus de facilité à rendre des services à ceux que j'aime, quand même, donc je ne sais pas si je peux réellement dire que je suis généreuse ? En tout cas, ce qui est sûr, c'est que ça ne me dérange pas de faire quelque chose, même d'ennuyeux, si ça me permet de voir un sourire sur le visage de quelqu'un auquel je tiens. Et vous savez, j'ai quand même une capacité à mettre mes problèmes de côté quand je m'aperçois que quelqu'un a plus besoin d'aide que moi même si bien sûr, je ne peux pas faire ça à l'infini, parfois je craque, mais ça, je pense que c'est comme tout le monde, pas vrai ? On arrive toujours à un stade où on ne peut simplement plus prétendre que tout va bien et la seule chose qui diffère en fonction des personnes, à mon avis, c'est la fréquence à laquelle ça arrive. Moi, je pense que je ne suis pas la personne la plus malheureuse qui soit, j'ai quand même de la chance, mais pour autant, je ne pourrais pas dire que je vais bien, c'est impossible. Même si je suis incapable d'identifier la cause du problème, c'est peut-être simplement ma nature, je ne sais pas, c'est possible. Toujours est-il que je ne crois pas que je pourrais me définir comme « heureuse ».
Fondamentalement, je suis gentille. Je ne supporte pas de faire du mal aux autres, enfin à ce que je n'aime pas, oui, mais pas à ceux auxquels je tiens ni même à ceux qui sont gentils avec moi. Pourtant je peux me défendre férocement, et on dit que j'ai la langue acérée — parfois je peux être un peu méchante, mais c'est gentil, ce n'est pas fait pour blesser et si on me le demandait, j'arrêterais aussitôt. Parce que je suis ce genre de personne qui ne veut pas blesser, tout simplement. Pas faire de mal, pour ne pas m'en vouloir ensuite. Ouais, c'est un peu égoïste, quand on y pense. Je ne sais pas si seulement pour ça, en réalité, je ne m'étais pas tellement posé la question. En partie, je crois. Je regrette tellement facilement. Vous savez, le dicton, « ce qui est fait est fait » ? Je le déteste. Je n'arrive pas à me dire que c'est trop tard, que ce n'est pas utile de regretter. Enfin, si, je me le dis, mais à quoi bon ? A la limite, le seul moyen, c'est de se faire pardonner, mais problème, je suis trop fière pour m'excuser, en général. Oh ça oui, je déteste ça, j'ai un mal fou à mettre tout ça de côté. Et puis je suis compatissante, surtout lorsque je sais ce que ça fait. Et même quand je ne sais pas, je compatis facilement, j'essaye d'aider. D'ailleurs, j'ai une espèce de philosophie, enfin vous savez, les gens qui se vengent parce qu'ils ont subi quelque chose d'horrible ? Eh bien moi, je me dis plutôt que si j'ai vécu la chose, que je sais à quel point ça fait mal, je compatis et je ne veux pas l'infliger aux autres. Je crois que c'est une bonne philosophie. Je ne sais pas trop.
D'ailleurs, je suis extraordinairement bornée et campée sur mes positions, c'est quasiment impossible de me faire changer d'avis. J'ai même le don de m'engager dans des débats stériles avec des personnes aussi têtues que moi alors autant vous dire que très vite, ça tourne en rond. Ça aussi, ça a tendance à me mettre dans des états pas possibles, surtout qu'à chaque fois, je me dis que ça ne sert à rien, mais vous savez, j'aime tellement qu'on soit de mon avis, entendre des « tu as raison », sincères, qui prouvent que j'ai réussi à convaincre. Surtout que je suis incapable de ne pas me soucier du regard des autres, j'ai besoin de leur attention, et de leur approbation, besoin qu'ils me voient comme quelqu'un de bien. Je ne suis pas non plus superficielle, je ne parle pas de mon apparence, ça je m'en fiche pas mal, du moment que je ressemble pas à un renard tout juste sorti de sa tanière, mais c'est surtout par rapport à... je sais pas, l'aura que je dégage, l'impression que j'inspire. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que j'aime avoir l'attention sur moi, j'aime qu'on me félicite, même si en même temps, ça me gêne. Quand je vous dis que je suis contradictoire ?
En plus, ce qui n'aide pas, c'est que je suis super timide. J'ai un mal fou à communiquer, à discuter, à me faire des amis. Résultat, je suis solitaire mais ce n'est pas par choix. Enfin, disons que j'attends les bonnes personnes ; ce n'est pas que ça m'amuse d'être seule, mais je préfère ça plutôt qu'être entourée d'idiots. Je préfère que les idiots, ils me regardent de loin, qu'ils m'admirent un peu, mais qu'ils ne viennent pas se mêler de moi, bien que certains jours, j'aimerais quand même qu'ils viennent me voir, qu'ils s'intéressent à moi, quoi. En plus, je ne suis pas très bavarde, en règle générale, je suis plutôt le genre qui préfère écouter. Surtout que souvent, je ne suis pas très à l'aise, ou il faut vraiment que je connaisse bien les gens, parce que je mets longtemps pour faire confiance, vous savez, pour oser discuter, m'imposer un peu. Au début, du coup, j'apparais comme super renfermée mais en réalité, je ne le suis pas tant que ça, enfin en tout cas, je peux être très joyeuse quand je suis avec mes amis même si je peux aussi l'être beaucoup moins.
Je suis un peu paresseuse, je dois dire. Pourtant, je suis quand même exigeante, envers moi même — envers les autres aussi. Mais une fois le moment venu, je n'arrive à rien faire, je suis une flemmarde professionnelle. Par contre, je suis hyper joueuse, et je déteste m'ennuyer, jusqu'à en devenir parfois un peu fatigante. Et puis aussi, je suis impatiente, je vous assure, c'est extraordinaire. Genre, quand je sais que quelque chose va arriver, il faut toujours que ce soit maintenant, dans l'instant. Je n'arrive pas à attendre et à me dire que c'est bon, j'ai le temps. Mais je crois que c'est bon aussi, pour moi, ça me permet de me recentrer sur quelque chose et comme j'ai super hâte que ça arrive — ça a tendance à devenir des obsessions — eh bien... Non, je ne sais pas si c'est très sain en fait, enfin, pas le fait que ça devienne obsessif. Mais au moins, ça me fait des projets qui me tiennent à coeur et du coup, ça m'évite de me concentrer sur autre chose et d'avoir ces sensations de vide, d'ennui chronique, de... tout ça quoi.
Je suis assez logique aussi, même si parfois ce n'est pas forcément une logique très conventionnelle que j'applique et que du coup, j'ai un mal fou à comprendre celle des autres. Je peux être très maniaque, aussi, m'attarder sur des petits détails et de l'autre côté, être bordélique au possible. C'est un peu contradictoire, mais bon. Je suis assez ouverte d'esprit, aussi, surtout que je ne me soucie pas trop des autres lorsqu'il s'agit de tout ce qui est choix de vie, enfin à part si c'est dangereux pour eux mais sinon, je laisse faire, donc ouais, j'apparais comme assez ouverte d'esprit, peut-être même plus que ceux qui pourraient s'en vanter. Et puis je suis assez réaliste, pragmatique mais en même temps je suis terrifiée par la réalité et je préfère m'enfermer dans des rêveries tout en ayant parfaitement conscience que ce n'est pas ça, la réalité, mais c'est tant mieux, je préfère ça. Encore un paradoxe, parfois j'ai l'impression de n'être que ça. D'ailleurs la routine me fait peur aussi, même si d'un côté j'aime la stabilité mais je ne veux pas m'enfermer dans un cercle comme ça, trop de réalité, trop de routine, je ne peux pas, ça me fait trop peur.
Comme je vous l'ai dit, j'ai très peur de l'avenir — enfin, je crois que je vous l'ai dit ou du moins, vous l'aurez compris — et je peux être pessimiste de ce point de vue là mais pour ce qui est des petites choses, genre les petits accomplissements de tous les gens, je suis très optimiste, je prends les choses du bon côté et je me dis toujours qu'il y a un espoir, que ça peut s'arranger, sauf, bien sûr, s'il n'y en a aucun, je ne suis pas non plus complètement irréaliste, d'ailleurs je l'ai déjà dit. C'est simplement que s'il y a encore quelque chose auquel s'accrocher, un tout petit quelque chose, même si c'est minuscule, je vais m'y accrocher.
On me dit souvent que je suis mature, et sérieuse. Par contre, en partie à cause de ma fichue fierté, j'ai du mal à accepter de l'aide, sauf si c'est moi qui la demande. Je ne supporte pas d'avoir l'impression qu'on marche sur mes plates bandes. Oh et puis, il faut aussi savoir que je pardonne très facilement, je ne suis pas rancunière du tout, je suis plutôt de l'avis qu'il faut donner une seconde chance. J'ai même tendance à oublier, parfois, et parfois je retiens et je me méfie toujours mais ce qui est certain c'est que j'essaierai de faire un effort. Disons simplement qu'au début, je retiendrai mais si vous me le faites oublier alors je peux très facilement tomber dans le panneau — dans ce cas là, il faut espérer que vous soyez sincères. Par contre, s'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est les fausses promesses. Pour moi, si on dit qu'on va faire quelque chose, on le fait, sinon à quoi ça sert ? Et je sais que j'ai tendance à ne pas appliquer ce que je dis aux autres, mais en l'occurrence, je ne fais très peu de promesses et surtout lorsque je sais que je ne vais pas les tenir. Si j'en fais une, vous pouvez être sûrs à, disons, 85% que je vais la tenir. Et par la même occasion, je peux aussi vous assurer que je ne suis pas du genre à divulguer les secrets. Pour finir, je suis quelqu'un d'indécis. Genre, vous me donnez le choix entre deux trucs, je vais avoir un mal fou à me décider, me poser plein de questions, regretter, changer d'avis. Même si le choix n'est pas important je peux avoir énormément de mal.
Histoire
Mon histoire, elle n'a pas vraiment commencé. J'ai encore bien plus de choses à vivre que de choses déjà vécues. Mais je ne sors pas de nulle part, évidemment. Mon histoire est courte mais puisqu'il faut que je la présente, autant dire qu'elle vaut le coup d'être racontée, bien que j'aie des doutes sur ce point.
Je vais vous épargner l'histoire de la rencontre de mes parents parce qu'en réalité, vous la connaissez déjà, alors à quoi bon ? Si ça vous intéresse tant que ça vous n'avez qu'à faire quelques recherches, si bien sûr vous savez où chercher, et vous trouverez le récit en entier, bien plus complet que le résumé que je pourrais vous faire. La seule chose que je vous dirai, c'est que mes parents sont Audace des Cieux et Espoir Flamboyant.
Alors voilà, je suis née. J'ai un frère, une sœur. Donc si vous savez compter, vous comprendrez qu'on est trois, mais on est loin d'être les seuls dans la Pouponnière. En tout, nous sommes dix, et tous amis. Il y avait très peu d'écart de temps entre nos naissances respectives alors je pense qu'on peut dire qu'on va grandir ensemble et personnellement, ça me va bien. Mes parents sont de bons parents, je crois que je suis heureuse ou du moins, pas malheureuse. Mais on verra ensuite, ce qu'il en est, comment ma vie va évoluer. Parce qu'encore une fois, elle est loin d'être déjà définie et j'ai encore beaucoup d'aventures à vivre. Alors voilà, c'est tout ce que j'ai à dire pour le moment. Le reste de mon histoire est encore à écrire.
Au fait, ça veut dire quoi, écrire ?
Derrière l'écran
Ton petit puf/surnom (si tu en as un) : Cachalot
Qu'est-ce qui t'a mené ici ? : Un cachalot
As-tu déjà rp ou est-ce la première fois ? : Cachalot
Codes du règlement : Cachalot
Autre chose à dire ? : Cachalot
Le personnage
Sexe du perso: Femelle
Âge du perso: 46 lunes
Mentor / apprenti : anciennement Hélios
Le personnage
Sexe du perso: Mâle
Âge du perso: 44 lunes
Mentor / apprenti :
Cachalot
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso: 13
Mentor / apprenti :
Bref je valide, re-bienvenue