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Une rencontre inattendue

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 Lun 24 Aoû 2015 - 22:01


Je n'irai pas au paradis,
Car y monter c'est un peu mourir,
Si les meilleurs partent en premiers,
Inutile de courir. ▬ Mauss

Je les déteste… Ouai, ces aristocrates aussi laid qu'un poux… Nan… même les poux sont plus beaux que ces étranges créatures. Ils sont là à se pavaner dans les rues jours et nuit. Ils ne savent que courir dans tous les sens à longueur de journée. Il m'arrive de m'asseoir sur un muret et de les observer avec mépris. Les bruits assourdissants des voitures sont devenues avec le temps une chose aussi naturelle que de respirer. Je ne pense pas que je saurais trouver le sommeil sans leurs existences. Je m'y suis habituée après tous. Qu'es-ce que je fous ici moi? Vivre à leurs côtés ne m'a rapporté rien de bon en ce monde. En même temps je ne connais que ce territoire, rien d'autre. Mais j'ai mes petites habitudes ici, cette métropole est malgré tous mon lieu de naissance et je m'y sens bien… Enfin, façon de parler… C'est toujours mieux que de vivre dans les égouts… Là-bas sa pue la charogne et c'est aussi crade que les poubelles. Un jour j'ai entrevue cette immonde endroit quand un bipède a dû y descendre pour faire je ne sais quoi à l'intérieur. L'odeur m'a littéralement brûler le museau. Si j'y suis retournée? Plus jamais… On m'aura pas deux fois! Parfois je m'imagine dans des lieux tout autre qu'ici… Ceux qu'on voit sur les affiches des abris bus, ceux qu'on peut distinguer sur les cartes postales que je vois dans les vitrines. Je me vois allongée sur une étendue d'herbes verdoyantes. On entendrait que le chant des oiseaux, ni plus ni moins….

Le vrombissement d'un camion me fit ramener à la réalité. La triste réalité qu'était ma vie… J'étais allongée sur un morceau de carton jetée aux ordures y a quelques semaines. Je l'avais récupéré afin d'en faire mon lit douillet. Ca et rajouter quelques bouts de tissus et vous aurez de quoi pioncer pour quelques nuits. Je me repose toujours près des murs histoire de ne pas me faire choper par les bipèdes. Nombre d'entre eux se feraient une joie de me battre a coup de pied pour me faire dégager de leurs chemins. Faut dire que ces gens là ne sont pas très amadouer par les chats de gouttières du coin. Baillant aux corneilles, je me suis levée, quittant l'étroite ruelle dans laquelle je me trouvais. Il fallait que je m'évade, que je quitte cet endroit ne serait ce que pour quelques instants. J'avais soif de liberté et d'aventure. Y en a marre des querelle de voisinages avec les autres matous. Faut dire qu'en ville, aucun chat ne trainent ensemble. C'est chacun pour soi. Tu as un problème? Rêve toujours personne ne viendra t'aider à moins que tu ne possèdes quelque chose en échange de son service…

Je rêvassais à un tel point que je ne m'étais pas rendue compte que je quittais peu à peu la ville, m'engouffrant dans des quartiers de plus en plus éloignés du centre. Sans compter qu'un chien errant m'avait repéré et n'avait pas hésité à me prendre pour cible. Feulant et rageant contre cet agresseur que je connaissais que trop bien, je finis ma course en haut d'un muret à moitié effondrée. J'étais assez haute que pour le faire rebrousser chemin. Gémissant de colère et haletant, le molosse quitta l'allée urbaine…Ou étais-je? Je ne reconnaissais pas les lieux… Je levais le museau et vit l'étendue de la ville, les immeubles, les maisons, tout étaient minuscules à présent. La fin me rongeais, je partis donc dans le bois qui se trouvait non loin de moi. La nature qui s'offrait à moi m'ébahis durant un premier temps. Je m'émerveillais de voir toute cette splendeur, je n'avais pas l'habitude d'un lieu aussi magique que celui-ci. Le bonheur fit place à l'aigreur . J'avais la dalle, je devais à tout pris trouver de quoi me remplir le bide. Une musaraigne plus tard, je poursuivis mon chemin vers ce qui semblait être une grande route. Celle que les bipèdes avaient pour l'habitude de construire en ville. Sauf que là, elle séparait les deux "forêts". Un peu comme une délimitation de deux territoires m'étais-je dis intérieurement. Hésitante, je m'assis sur le rebord de la route, observant de l'autre côté un peu comme si je m'attendais à y voir quelqu'un en sortir… Ce qui se produisit quelques instants plus tard...

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 Mar 25 Aoû 2015 - 19:48

Toucher quelques étoiles de la pattes. Voler dans le ciel de la nuit. La sensation était agréable. Soudain, la lune, si jolie, devient rouge, puis, après quelques instants, devient une déflagration puissante qui envoie Pelage de Terre on ne sait ou. Ses poumons la brûlaient, elle ne pouvait plus respirer. La poussière recouvrit ses yeux, tout devint noir. Sa gorge était toute sèche, elle était obstruée par les cendres. Elle avait l'impression de partir en pièces, mourir pour remplacer l'astre de la nuit. Soudain, elle se réveilla en sursaut. Haletante, elle respira à plein poumons. Elle fut prise ensuite de toussotement et cracha une boule de poils. Après cela, épuisée de son cauchemar et de ses toussotements, elle entreprit une toilette minutieuse. Trop tard. On l'appelait déjà pour une patrouille. Elle soupira. Elle ne pouvait pas être tranquille cinq minutes ?

Elle se retrouva avec Ange Brisé et Nuage de l'Aube. A vrai dire, elle s'en fichait. Elle voulait finir au plus vite pour aller chasser, son activité préférée. Plus vite ils auraient fini, plus vite elle aurait le temps pour cette activité. Elle avait l'impression d'enchaîner patrouille sur patrouille, en ce moment. Elle en avait marre, d'ailleurs. Toujours faire la même chose ! Ennuyant. Totalement ennuyant. Elle voudrait se débarrasser de cette corvée pour toujours. Se serait tellemeeeeent mieux. Au lieu de ça, elle devait toujours se coltiner ces patrouilles. Il ne se passait jamais rien d'intéressant. Mais, ce jour-là, c'était plutôt le contraire qu'il se passa ...

Un chat. Enfin, une chatte. Une chatte qui puait la ville, une femelle avec des cicatrices horribles à voir. Même Pelage de Terre n'en avait pas autant. La seule chose jolie, c'était son pelage blanc et roux, mais il ne compensait pas le reste. Elle ne savait que dire. Feuler , Attendre qu'elle parte d'elle-même ? Qu'une de ses compagnons intervienne ?Finalement, elle resta indécise. Ou alors elle choisit la dernière option. A vous de voir. En tout cas, elle ne bougea pas d'un poil de souris. Finalement, vu ce qui allait se passer, elle aurait dû choisir la 1 ère option.
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 Mer 26 Aoû 2015 - 8:18

Ses pattes avançaient seules, sans que son cerveau n'ait besoin de les commander. Elle se mouvaient sur le sol dans une direction connue d'elles seules, sans qu'il les dirige, sans même qu'il sache où elles se rendaient, ni même ce qu'elles comptaient y faire. Alors pourquoi avançait-il? Où est-ce que cette silhouette nimbé de brume et de la clarté de la Lune allait elle? Personne ne le sait, à part peut être l'inconscient du jeune félin. Soudain, comme si son corps obéissait à un ordre muet qui n'était pas passé par son cerveau comme toutes choses devaient le faire, il s'arrêta. Levant ses magnifiques yeux oranges vers le paysage qui s'étendait devant lui, un frisson le parcourut. Ses pattes l'avaient mené aux Quatre Chênes. Cet endroit, constitué d'une vaste clairière au milieu de laquelle se dressait quatre chêne imposants qui étaient là depuis le début des temps était important pour touts les chats des Clans. C'était le seul endroit neutre, qui n'appartenait à personne, au milieu de la forêt. C'était l'endroit où les quatre Clans se réunissaient à chaque fois que la pleine lune illuminait le firmament, pour une seule soirée où ils ne formaient plus qu'une seule tribut et où la paix régnait. Ces Assemblés étaient non seulement un temps pour connaitre les nouvelles, mais pour Nuage de l'Aube, c'était aussi le seul moment où la guerre n'existait plus, selon la volonté de leurs ancêtres. C'était très important pour lui, qui ne voulait qu'une chose: que les Clans s'unissent et cessent de se battre entre eux et de faire couler le sang. Le sang... Il l'avait en horreur. C'était une phobie, un traumatisme, ancré au plus profond de son être. Mais pour le novice, c'était aussi le théâtre de son rêve le plus fréquent, celui où son utopie se réalisait. Il voyait alors un camps où les guerriers des quatre tributs se mélangeaient et faisaient leur toilette ensemble, comme de bon amis. Ce n'était qu'un rêve, un rêve fou et idiot... Cependant, c'était son souhait le plus chère. Il y avait sûrement mieux et plus réalisable, comme devenir chef de Clan, mais c'était le sien, et il n'en déviait pas. Il se remémora un de ces fameux songes, celui qui était bien particulier, où une femelle du Clan des Étoiles lui était apparut. Il s'agissait de Nuage de Jade, une ancienne novice de son Clan, plutôt du genre timide et réservée et qui ne se mêlait pas aux autres. Son premier mentor était mort dans un éboulement, et elle avait été confié à Plume d'Ombre, qui s'occupait actuellement de Nuage de l'Aube. A l’époque, elle était encore guerrière... Mais l'apprentie était morte dans des circonstances assez mystérieuses, sur le Chemin du Tonnerre. Le Clan avait conclu qu'elle avait été renversée par un monstre, car son corps avaient été retrouvé en sang, les os brisés, au milieu de la chaussée. C'était sûrement ça, mais le jeune chat gris avait toujours songé qu'il était étrange qu'elle soit au milieu, et pas au bord. Comme si elle avait voulu traverser... à moins qu'elle se soit planter devant un monstre volontairement. Mais il n'y avait plus repensé depuis le temps, et son rêve lui paraissait tellement étrange qu'il se demandait si il n'avait pas inventer. Le mâle au pelage couleur de cendres soupira, fit demi-tour et regagna le camps.

La douleur irradiait dans chacun de ses muscles. La sensation était atroce, comme si on les brisait un par un à coup de bâtons en partant de l'intérieur de lui, comme si une puissance supérieur avait décidé qu'il était tant pour lui de souffrir. Car ce mal, cette chose qui le faisait souffrir n'avait aucunes raisons physiques d'exister. C'était à l'intérieur qu'il avait mal, comme si c'était son cœur qui hurlait. Souffrait-il d'une maladie rare ? Pourquoi lui et pas un autre ?
Autour de lui, la terre semblait s'écrouler. En faites, non, elle s'écroulait vraiment. Il n'avait plus de repères, plus d'endroits où s'accrocher, et il était tellement affaibli qu'il n'aurait pas pu le faire. Autour de lui, de nombreux chats de son clan tombaient dans le vide en criant. Des mères pleuraient sur le rebord en voyant leurs chatons chuter, et leur tour finissait par venir. Les arbres étaient détruits, et si jamais certains tentaient de fuir, des falaises si hautes qu'elles semblaient toucher les étoiles leur barrait le passage. Tour à tour, touts les guerriers des quatre Clans tombaient, tombaient...
- Nuage de l'Aube !
Le hurlement le sortit de sa langueur. C'était une chatte qu'il connaissait qui l'avait poussé. Plume d'Ombre ? Elle aussi ?


- Nuage de l'Aube ! Réveille toi !
L'apprenti grogna et cligna des paupières pour s'éveiller totalement. Ses pattes lui faisaient encore mal de son escapade de la nuit dernière, et il son cauchemars l'avait encore plus fatiguée...
- Aujourd'hui, tu pars en patrouille avec Ange Brisé et Pelage de Terre. Je suis occupée, je ne peux pas t'accompagner.
Le mâle cendré tenta de reconstituer sa phrase. Une patrouille... Il grogna de plus belle, mais la lieutenante était déjà sortie. Bon, de toute manière, il faudrait bien se lever un jour, et après ça, on le laisserait tranquille jusqu'à la fin de la journée. Il se força à se relever, et gagna l'entrée de la tanière en prenant soin à ne pas réveillée les autres apprentis - même si il faillit trébucher sur un novice qui s'était mis en plein milieu du passage - et sortit dans la clairière principale en plein jour.
Ange Brisé était déjà là, et attendait les deux autres couché sur le sol. Nuage de l'Aube saisit une souris et grignota, les yeux fixés sur la tanière des guerriers, en attendant la troisième membre de la patrouille.
Quand enfin Pelage de Terre sorti à son tour, le novice avait déjà finit depuis longtemps. Il se releva, et les trois félins sortirent du camps.
Ils cheminèrent en silence, sans que chacun ne semble vraiment motivé. Ils devaient aller à la frontière du Clan du Tonnerre, marquer le territoire et revenir au camps. Une routine pénible et fatigante, surtout que le voyage nocturne du novice aux Quatre Chênes se faisait à présent sentir. Si jamais la patrouille durait, il n'aurait pas la force de continuer, il le sentait.
Ils arrivèrent rapidement sur le Chemin du Tonnerre. Un monstre passa à pleine vitesse, et fit frissonner le mâle cendré. Ces Bipèdes étaient-ils donc fous à lié ? Avait il autant besoin de gagner du temps au point de monter dans ces... animaux froids et l'air privés de vie jusqu'au moment où ils s'animaient, où leurs yeux jaunes s'illuminaient et qu'ils rugissaient en fonçant sur le sol noir.
Soudain, un bruit suspect parvint aux oreilles affûtées du chat. Aussitôt, il les bougea dans touts les sens, localisa la provenance de ce bruissements de feuilles et tourna la tête de l'autre côté du buisson qu'il s'apprêtait de marquer. Après une hésitation, il bondit hors de la cachette pour se trouver nez à nez avec... un chat domestique.
Du moins, c'était ce qu'il pensait, mais l’intrus n'avait pas le même air hautain que les félins des Bipèdes. De plus, il était bien plus maigre, et son pelage était si couturé de cicatrices qu'il aurait pu facilement passé pour un vétéran, à l’exception de son odeur horrible, mêlé de Bipèdes, de charognes et de celle des monstres.
A côté de lui, Pelage de Terre fixait le matou en retenant un grognement. Elle semblait hésiter sur la marche à suivre, et décida d'attendre de voir ce qui se passait. Nuage de l'Aube, lui, n'avait pas envie de chasser le chat. Il ne représentait aucun danger, et l'apprenti était curieux de connaitre la vie de ce félin si étrange... un chat des rues. Ça devait être ça. Des solitaires qui vivaient dans la ville ! Il aimerait tellement en savoir plus. Ainsi, il demanda:
- Qui es-tu ? Tu es un félin des rues ? Tu connais des Bipèdes ?
Sa curiosité avait agit avant que son cerveau ne puisse analyser la situation. Pourquoi ne s'était il pas tut ? Si Ange Brisé ou Pelage de Terre rapportait son comportement, il pourrai avoir de gros ennuis...

|| HRP: Désolée du temps de réponse Une rencontre inattendue 3193767302
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 Jeu 8 Oct 2015 - 18:48


C'est comment dehors ?

Partir en patrouille. Voilà bien la dernière chose que je voulais faire à présent. À vrai dire, j’avais passé les sept derniers jours à me donner à fond, à chasser, à patrouiller, à me soumettre. J’avais juré, maudit, insulté. Mais je m’étais tue. Parce que cela ne servait à rien de se plaindre quand on vit dans un monde se sourds dénués de toute personnalité, quand chaque caractère n’est qu’un désert de sentiment sans relief.
Alors ce matin, lorsque Plume d’Ombre était venue me voir et me secouer, j’avais tout simplement refusé de partir. Sauf que la menace du “Si tu n’y va pas, tu iras t’occuper des anciens durant les trois prochaines lunes” était bien pratique. Je m’étais levée en grognant et en lui jetant un regard noir de colère.
J’étais sortie de la tanière, j’avais mangé quelque chose en vitesse et j’avais attendu Nuage de l'Aube et Pelage de Terre, deux de mes nombreux camarades que je ne connaissais pas du tout et qui ne m'intéressaient nullement. Pas que je me fiche d’eux. Enfin si. Si, je n’en avait rien à faire de leur vie, de leur passé, de ce qu’ils étaient et de leur caractère. De toute façon, en ce moment, je me fichais de tout excepté des plans de Pelage de Lave et de notre accord.
Une fois que tout le monde eut fini ses petites affaires, je ne les attendais pas et filais au dehors, les entant me suivre. Le trajet sue fut dans un silence des plus complet. Il était tôt, on ne se connaissait pas et l’envie de parler, de meubler cet instant de compagnie n’était pas présente. Alors chacun attendait sans doute avec impatience de rentrer, de dormir, d’aller n’importe où, de faire n’importe quoi mais tout sauf être là à patrouiller.  

Une fois à la frontière, je sentis une odeur étrange. Un mélange de forêt mais également de la même surface noire du chemin du tonnerre et une autre, plus subtile. Mais je m’en contrefichais, tout ce que je savais, c’était qu’il y avait un étranger sur les terres de mon Clan. Sauf que, ça aussi je m’en fichais royalement. Parce que les frontières, on ne peut pas les garder indéfiniment, il y a forcément d’autres chats qui vont et viennent, je ne compte pas en punir un alors qu’une centaine d’autres le faisait.
Je m’apprêtais à dire à mes compagnons de patrouille de faire ce qu’il voulait lorsque le chat en question apparut devant nous et que Nuage de l’Aube me prit de vitesse, me surprenant qui plus est.

Qui es-tu ? Tu es un félin des rues ? Tu connais des Bipèdes ?


J’en étais bouche bée. Depuis quand mes comparses étaient intéressés par les chats inconnus ? Et dire que je pensais être la seule. J’adressais alors un sourire rayonnant à l’apprenti. Puis, je me tournais vers la chatte que je venais d’identifier comme une domestique. Cela se voyait à son pelage soyeux, signe que sa vie n’était pas forcément des plus difficiles.
De mon point de vue, elle n’était pas très libre mais c’était tout de même une forme de liberté et je ne me priverais certainement pas pour en apprendre un peu plus sur la solitude et la façon de vivre lorsque l’on est libre.

Dis moi, c’est comment la liberté là dehors ? La solitude ? Ici, on ne connaît rien de tout cela...

Je savais bien que c’était risqué de lâcher de telles phrases devant Pelage de Terre qui ne semblait pas partager notre curiosité à Nuage de l’Aube et moi mais je ne pouvais tout simplement pas m’en empêcher.

© Codage de Sun' pour Alice <3

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