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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumSo I've got some mischief in my blood. Can you blame me ? I never got no love. So I'm a misfit. So I'm a flirt. I broke your heart ? I made you hurt ?
Jeune recrue
Puf/Surnom : Equi
Messages : 63
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Evie
Dim 8 Nov 2015 - 0:22
Evie
Ton chat Ton âge: 12 lunes Ton sexe: Femelle Ton clan: Domestique Ton rang: Noble reine Ton but dans la vie: Ton but ? Te jouer de tous les mâles qui oseront croiser ton chemin. Apprendre aux autres qui tu es, et leur apprendre de ne pas te sous-estimer. Car tu es Evie, et on ne t'approches pas. Et après t'être joué des mâles et semé la discorde dans les couples déjà existants, et bien tu recommenceras, jusqu'à ne plus être, jusqu'à disparaître de ce monde. | |
Ce que voient les yeux Autrefois, j’étais belle. D’un joli pelage noir. D’un noir ébène, profond, sans aucune tache blanches. Un pelage qui faisait bien ma fierté, que j’abordais avec honneur. Ma queue était longue, mais large. Et mes poils étaient très longs, quoi qu’un peu fourchus par moment. Un peu en pique. Mais cela ne m’empêchait pas d’être magnifique. Mais maintenant, je ne suis plus ainsi. Maintenant, ma beauté s’est évaporée dans l’espace temps de la vie. Je ne suis plus comme j’étais. Plus cette chatte au pelage de la nuit. À cause de ces bipèdes, qui m’ont complètement, complètement changé. Maintenant, quand on me regarde, on voit avant tout une touffe bleue. Bleue foncée. Bleue à cause de toute cette teinture qu’ils m’ont foutu sur le corps. Mes poils ont été légèrement coupés, et ne me gênent plus autant qu’avant dans mes mouvements. Mes oreilles, qui autrefois entendaient tout, sont maintenant moins fonctionnelles. Usées. Mais je n’en ai pas besoin, car je ne chasse pas. Ce n’est pas pour une féline si digne de chasser, après tout. Ma tête fine se rend partout, même où je ne dois pas aller. Je suis assez maigre, même si j’en ai pas l’air à cause de mon poil qui demeure épais. Et mes yeux. Eux, je les aime tellement. Ils sont un peu comme ma petite fierté. En même temps, vous seriez fiers aussi, à avoir mes yeux, mes joyaux. D’un beau bleu magnifique, qui s’accorde à la couleur de mon pelage que j’ai finis par apprécier. Si vous avez la chance de me croiser, vous verrez que j’ai l’air noble, et que je garde toujours la tête haute et ferme. Je reste droite, dans une position digne de la place que j’occupe. Mes pattes possèdent toutes à leur extrémité des griffes toutes aussi bleues que le reste de mon corps, mais je ne les use jamais. Elles sont trop précieuses pour cela. Alors, je suis belle, n’est-ce pas ? | |
Ce que voit le cœur Moi, je suis qui ? Et bien, première chose, je suis parfaite. Comment une noble comme moi pourrait ne pas être parfaite ? Vous apprendrez, mes chers, qu’on ne me néglige pas, à moins de vouloir subir mes foudres royales. Certains braves se risquent parfois à dire que je suis ce qu’ils appellent une harpie. Ils sont biens courageux de dire ça devant moi. Mais ça ne me déplaît pas pour autant, ça ne fait que me rendre encore plus heureuse. Je suis méchante, oui, alors navrée si cela ne vous fait pas, mais je n’ai rien à faire de l’avis de pauvres comme vous. Après tout, je suis unique, comme disent mes serviteurs. Ils disent que je leur donne du trouble, que je suis mauvaise. Mais je ne les écoute pas. Le seul qui a raison ici, à par moi, c’est le miroir royal de mon château. Celui en or, placé juste devant mon nid. Ahah, arrêtez, vous provoquez en moi un violent fou rire, si vous croyez pouvoir concurrencer avec moi. Le mal est tellement plus amusant à faire que le bien. Avec moi, il n’y a pas de deuxième chance, alors réfléchissez bien et utilisez une fois dans vie cet organe que vous possédez tous, le cerveau. Auprès des personnes qui me nourrissent, je suis la meilleure, la plus parfaite des parfaites. Car je me sers de mon jolis minois pour avoir tout ce que je veux, et leur faire oublier mes précédentes bêtises. Et puis, on ne peut pas contrarier une reine, n’est-ce pas. Comme je suis intelligente. Malheureusement, il n’y a personne sur possédant ma très chère personnalité. Personne pouvant m’égaler dans le domaine de l’hypocrisie et de la supercherie. L’amour ? L’amitié ? J’ai le regret de vous annoncer que ce sont des foutaises, puisque nous pouvons très bien vivre sans. Même si je devais avouer que certains me faisaient rêver, ce n’est pas ce qu’on appelle l’amour. L’amour est un sentiment de faible. Et il n’y avait aucun chat arrivant à la hauteur de mes attentes, de toute façon. Aucun chat n’étant assez beau, assez intelligent, assez parfait. Et prenez garde à vos mimiques, et vos détails, mes très chers, car ils me sont visibles et je saurais en faire bon usage. Je saurai les utiliser plus tard, lorsque vous ne vous en attendrez pas. Et vous, vous les mâles, prêtez attention à mon arrivée dans votre vie qui ne sera pas non sans désagréments si vous êtes avec une compagne. Parce que je suis la meilleure charmeuse de tous les temps et que semer la discorde m’amuse. Alors, miroir, miroir, dis-moi qui est la plus parfaite. Moi ? Je t’en remercie fortement ! | |
Ces souvenirs qui m'ont forgé History of the queen Tu es née, il y a de cela 12 lunes. À l’époque, tu n’étais qu’une toute petite boule noire. Tellement mignonne. Dans ton charmant palais, tous t’adoraient et te chérissaient. Tu étais la préférée. Tu avais tout ce dont tu pouvais rêver : de la nourriture à ne jamais en manquer, de l’affection comme pas possible et le plus grand terrain de jeux qui soit. Tu étais issue d’une portée de 4 chatons, et en étais la seule survivante. Ta mère ne l’ayant point supporté s’en était allée et jamais plus tu n’eus l’espoir de la revoir. « Elle s’appellera Evie » Evie. Déjà toute jeune et tu adorais ton nom. Tu le trouvais magnifique. Tu te trouvais magnifique. Petite, tes “maîtres” s’occupaient bien de toi. Ils te brossaient à chaque fin de lune, et tu aimais ça, car ton poil était excessivement long. Alors dès qu’ils approchaient le drôle d’objet qu’ils nommaient un peigne, tu commençais à ronronner fortement. Mais bientôt, vers tes 2 lunes, tu ne fus plus seule, hélas. Les bipèdes, qui avaient envie d’une compagnie canine, allèrent s’acheter un joli husky au magasin du coin. Aussitôt, tu commença à être jalouse. Jalouse parce que tes maîtres s’occupaient moins de toi, et que tes poils si beaux commençaient à perdre de leur éclat et à se mêler. Tu ressemblais presque à un hérisson, tellement ils étaient en pique. Les bipèdes, ne pouvant plus s’occuper autant de toi, décidèrent de couper légèrement tes longs poils, nécessitant désormais moins d'entretien. Tu commença dès lors à te rebeller. Tu griffais toujours les portes, de sorte qu’ils durent installer pour toi une chatière que tu empruntais toujours, n’étant jamais à la maison. La situation dégénéra bien rapidement, tu devins méchante, horrible, et aussi prétentieuse. 6 lunes, et tu te considérais carrément comme la plus parfaite des parfaites. Ceux qui avaient le cran de te parler te traitaient de petite peste. Insolente. Sans savoir que cela te faisait plus plaisir qu’autre chose, toi, petite méchante que tu étais. À chaque fois que tu rentrais pour te mettre à l’abri, tu filais dans ta pièce, pour éviter de rencontrer le cher toutou que tu détestais tant. Un jour, vers tes 7 lunes, tu n’en pouvais plus, tu griffas fortement le museau du chien jusqu’au sang. Les bipèdes furent excessivement furieux et, pour te punir, t’enduirent d’une épaisse couche de peinture bleu sur ton beau pelage noir et sur tes griffes. Toi qui aimais tant chasser, tu ne pouvais plus maintenant. Tu faisais fuir toutes les proies. Pourquoi ont-ils été si méchants avec toi ? Toi qui cherchais juste de l’attention, toi qui n’étais plus le centre de leurs pensées. Mais pouvaient-ils te blâmer ? Certains te considéraient maintenant comme la risée, avec ton pelage bien trop voyant, et tu leur en voulais. Tu t’enfuis plusieurs fois du palais, mais tu revenais toujours, n’arrivant à rien attraper avec ton pelage beaucoup trop.. bleu. Trop visible, il alerte les proies de loin. Musaraignes, campagnols, oiseaux, rats, tout. De ce fait,il te fallait inévitablement compter sur tes Bipèdes pour te nourrir et survivre. Ce que tu n’aimais pas faire. Ce que tu détestais, même. Tu n’aimais pas dépendre des autres. Plus maintenant. Plus maintenant qu’on t’avait si mal traité. Mais, au fil du temps, tu finis par l’apprécier. Ton pelage bleu. C’était ton bleu, maintenant. Tu étais unique. Tu le trouvais beau. Et visiblement, tu charmais les autres, même avec le pelage bleu, ce qui t’amusait. Comme tu es cruelle. Comme ils sont naïfs et faciles à mener en bateau. Et très vite, tu développas une profonde affection pour le miroir placé juste devant ta pièce. Tu pouvais passer des heures, couchée, juste devant lui. Une réelle obsession, presque. Bientôt, tu te mis même à lui adresser la parole. Oh, il ne te répondait pas, mais les réponses, tu les connaissais déjà, n’est-ce pas ? Tu n’avais donc pas besoin de les faire confirmer par la seule chose qui comptait pour toi sur terre, excepté toi-même. Tout changea lorsque tu rencontras ce matou. Ce matou qui, pour une raison inexpliquée, avait réussi à avoir ton coeur, à le faire battre. Il était d’une telle beauté, et juste entendre son nom te mettait dans tous tes états. Ton ventre s’affolait, s’emportait, ton cœur s’emballait et tes yeux brillaient. Pour la première fois, tu eus envie de te poser, cesser d’être volage pour demeurer avec lui. Tu lui fis confiance. Un peu trop sans doute, une confiance aveugle. Et tu le regretta amèrement. Ce chat, celui que tu avais rencontré par hasard et à qui tu avais accordé ta confiance, t’avait trompé. Comme ça, sans précaution, comme pour te punir de tout ce que tu avais fait. Comme tu en avais eu, de la peine. Pour la première fois de ta vie, tu avais également connu ce sentiment. Celui qui te lacère le cœur, te compresse la poitrine et éteint ton regard. Tu n’étais plus celle que tu étais. Bien que tu changeais à chaque jour, ce changement fut radicale. Tu devins hautaine comme tout, et égoïste. Tu ne pensais plus aux autres, et tu t’amusais encore plus à détruire les coeurs, imaginant à chaque fois ce solitaire à la place des pauvres matous. La manipulation devint ton arme suprême. Tu ne pensais qu’à toi. Plus personne n’importait. Tu étais était passée de gentille princesse à méchante reine. Et ton obsession pour ton miroir devint encore plus importante. Toi et lui, vous irez loin dans la vie. Plus personne ne se mettra en travers de votre chemin, ni même les beaux mâles ayant tendance à te faire craquer, toi, la reine. Tu te l’étais promis. Le chien te causait bien des désagréments. Pour tout dire, tu en venais à détester plus que tout ce cabot qui t’avait retiré l’affection des Bipèdes de ta chère maison, où tu étais la reine. Il avait cherché à te déloger de ton trône royal, y arrivant au niveau du cœur de ceux errant dans le château que tu chérissais. Mais pis encore que cela, le chien aboyant inlassablement irritait tes tympans, les effritant. Tu ne parvenais même pas à mettre la patte sur le mobile de sa présence. Ils auraient dû le laisser s’envoler depuis des lustres. Ne ressentaient-ils pas les effets de ces cris perçants te propulsant dans une certaine agonie douloureuse ? Il fallait sans doute en déduire que non. Même si ton pelage te seyait à merveille maintenant que tu t’en étais accommodé, tu lui en avais toujours voulu et lui en voudrais toujours voulu. À présent, tes oreilles n’avaient plus la même capacité d’écoute qu’auparavant. Parce que cette cervelle dégénérée ne cessait d’hurler, usant ton ouïe et t’empêchant désormais de te fier complètement sur elle. Tu grandi vite. Mais tu trouves ta vie un peu ennuyante. Toujours le même refrain, jour après jour. Était-ce trop demandé, un peu de changement ? Les chats qui te connaissaient ne t’approchaient même plus. Et ceux qui s’osaient quelque fois se faisaient berner beaucoup trop facilement. Ça te mettait en colère, toi qui souhaitais simplement te jouer d’un mâle, alors il ne fallait pas qu’ils fuient tous. Alors il te fallut t’éloigner. Tu t’étais un peu informée des territoires près de toi. Tu savais qu’ils y avaient certaines terres que des chats sauvages partageaient, et d’autres qui demeuraient libres. C’était l’endroit idéal. Tu étais sûre d’y rencontrer pleins de mâles naïfs à souhait. Mais telle fut ta surprise lorsque tu rencontra non pas un mâle, mais une femelle. Aussitôt, tu t’avança et la regardas comme tu regardes tous les autres. D’une façon que toi seule savais faire. Et son regard à elle se rapprochait du tien, méprisant et dégradant. Si bien que si elle avait eut le pelage bleu, tu aurais presque pu te voir dans un miroir.. Oh, ton miroir chéri te manquait. Or, ses yeux n’étaient pas les tiens. Deux billes de deux couleurs. Bleu clair et jaune vif. Aussitôt, tu essayas de lui retirer quelques informations, en commençant par son nom. Mais tu découvris bien vite qu’elle n’agissait pas du tout comme les autres, comme tu avais l’habitude de voir les autres agir. Ce fut toi qui te retrouvas en situation de faiblesse, si on peut dire ça, par la surprise que cela avait créé. D’une façon noble, tu te présentas. La chatte en face de toi semblait tenir à ce territoire qui techniquement n’était même pas le sien. Et il semblait facile de la faire enrager. Elle semblait à cran, pour une situation que tu ignorais, toi ayant toujours - ou presque toujours - vécu dans l’abondance et la richesse. Et son regard brillait étrangement, elle demeurait méprisante. Elle te dit finalement son nom. Mélodie Macabre. Tu te retins pour ne pas rigoler. Quel était ce nom ? Mais bon, ce n’était pas important, car bien vite tu te rendis compte que cette chatte ne te serait d’aucune utilité. Seulement, lorsqu’elle parla de son Clan, tu sus qu’il y avait d’autres chats ici, et donc des mâles, et cela te réjouissait au plus au point. Sauf que la féline fut claire, tu n'étais pas la bienvenue. Et si elle te trouvait sur leur territoire, elle t’attaquerait. Elle devait être bien courageuse pour parler ainsi à une reine, tu pensas. Surtout quand la reine, c’était toi. Mais elle, elle te méprisait hautement. À un point que tu trouvais ça drôle. Ayant compris que celle-ci, tu ne pourrais la convaincre, tu fis comme si le message était passé, et tu retournas chez toi sans attendre. Quelque temps après, tes poils noirs ayant repoussés, les bipèdes ont décidé de te repeinturer une seconde fois le poil, lors de tes 12 lunes. Tu te rappellerais de cette rencontre bien longtemps, te dis-tu. Tu avais encore l’espoir de faire souffrir les mâles autant que lui t’avait blessée. Humiliée. Jetée comme de la vulgaire chaire à corbeaux. Avec le temps, tu as fini par apprécier ton pelage bleu. Tu en es même fière. Et tu es reconnaissante envers les bipèdes de t’avoir donné ce noble cadeau. Tu commenças très vite à les considérer comme tes humbles serviteurs. Maintenant, tu ne changeras plus. La façon dont tu te comportes, ô toi chère reine, te convient parfaitement. Tu es Evie, la reine, et tu jures de le faire savoir à tous osant se mettre au travers de ta route. | |
Derrière l'écran Comment as-tu découvert le forum?: En conduisant. As-tu déjà Rp ou est-ce ta première fois?: Z'vois pas d'koi vous voulez parler. As-tu un PUF, un surnom?: Je suis un fantôme. Codes du règlement: Validée par sa chou. |
Expert des lieux
Puf/Surnom : Nounou / Poussy
Messages : 596
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Pétale de Poussière
Dim 8 Nov 2015 - 0:45
Ree bienvenuue Equii
Invité
Invité
Dim 8 Nov 2015 - 3:23
Ree.
Codes validées. %D
Codes validées. %D
Jeune recrue
Puf/Surnom : Equi
Messages : 63
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Evie
Dim 8 Nov 2015 - 3:48
Merci Nounouuu
Merci Chouuuuu
Un jour j'atteindrai mon but ! //SBAFF//
Merci Chouuuuu
Un jour j'atteindrai mon but ! //SBAFF//
Ce fou de Frou est plus rapide que la lumière !
Puf/Surnom : Foudry
Messages : 891
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Étoile Sanglante
Dim 8 Nov 2015 - 10:48
Reee xD
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