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EVENT : Because the truth will come out (Pierre, Liwa, Ancre, Lyrielle)

Kayl
Vieille branche
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Kayl
 Lun 21 Mar 2016 - 23:10

The truth will come out

Ft Luny, Equi et moi


Pierre Ébréchée est belle. Son pelage bleu est étincelant, avec le reflet de la lune. La poussière d’étoile recouvre ses longs poils. Mais aujourd’hui elle n’est pas sur les terres du Clan des Étoiles où elle chasse habituellement. Elle aurait préféré revenir à sa forêt natale, revoir ses anciens amis, même ses anciens ennemis. Mais elle n’est pas non plus dans sa forêt natale. Plus loin, il y a une forêt. Dans cette forêt, une femelle nommée d’abord Petit Lys, puis Liwa. Petit Lys, chaton du Clan du Tonnerre. Fille de Pierre Ébréchée. Et l’ancienne lieutenante avait décidé de ne pas élever ce chaton. Maintenant, la petite chatte avait onze lunes.

Et Pierre Ébréchée n’avait pas pu la revoir. Liwa ne grandissait pas sous le même ciel, et le Clan des Étoiles n’avait pas de pouvoir sur les Troupes. Pas de pouvoir ? La chatte avance. Le soleil se lève peu à peu, et bientôt elle devra retourner sur les terres des morts. Avant, elle a juste quelque chose à accomplir. Elle doit voir sa fille. Elle se glisse dans le camp. Personne ne la voit, et elle sent les regards sur elle. Ils la transpercent. Ils ne la remarquent pas. Elle reste invisible pour la plupart, mais si Rêve d’Ébène sortait de la tanière improvisée, elle pourrait voir la défunte. Il n’y a qu’une personne qui peut la voir.

— Liwa ?

Si Pierre Ébréchée connaît le nom de sa fille, c’est peut-être parce qu’elle l’a entendu. Quelque part. Ou peut-être qu’elle le sait depuis toujours. Mais peu importe. Car voilà que la petite l’a sans doute remarqué. Pierre n’a pas peur qu’elle la reconnaisse. Elle n’a qu’une mère, la petite. Et ce n’est pas elle. Ancre s’en occupe. C’est sans doute mieux qu’avoir une mère morte. Sans doute…
Coeur de Pierre est morte elle aussi.
Il ne reste plus que Pierre Ébréchée, une autre chatte. Celle qui a remplacé Coeur de Pierre dans le Clan des Étoiles. Mais elle est toujours une chatte aimante qui veut le meilleur. Et elle doit montrer quelque chose à Liwa.

Elle doit juste se dépêcher. Car le temps presse. Alors la chatte au beau pelage bleu observe autour d’elle ; elle connaît tout par ici, car elle l’a vu. Elle marche pas trop vite, car Liwa et sa mère doivent pouvoir la suivre. Pourtant le coeur de Pierre Ébréchée bat trop vite et ses pattes lui démangent de courir. La neige a désormais fondu et cela fait des lunes qu’elle est morte, et elle ne s’est pas sentie aussi vivante depuis autant de temps. Quoiqu’elle a retrouvé sa fille, Envol de l’Hirondelle, dans le Clan des Étoiles et ces retrouvailles lui avaient réchauffé le coeur, maintenant le monde des vivants lui manquait beaucoup.

Silencieusement, elle avançait. Derrière elle, elle entendait le souffle des deux chattes. Pierre s’arrête, ralentit le pas. Elle sait à présent, où elles se trouvent. Elle sait combien c’est dangereux mais il n’y avait pas d’autre choix que de les emmener ici. Pourquoi Liwa, une gamine ? C’est sa fille après tout. Et si c’est dangereux, pourquoi l’emmener ici ? L’ancienne lieutenante savait que lorsque Liwa rentrerait avec sa mère, les Troupes pourront les croire. Et elles les croiront. Tout ne sera pas terminé, mais ce sera une avancée suffisante pour que tout finisse par s’enrayer.
Un chat au pelage ébène ne bouge pas. Il est assit, juste devant un trou dans le sol. Peut-être un ancien terrier. Et Pierre se tourne vers Liwa, et se demande toujours si Ancre peut ou non la voir. Sa voix est calme et posée malgré les dangers. Toujours aussi douce, rassurante.

— C’est ici qu’ils sont retenus. Maintenant, il faut que tu leur dises. Je te fais confiance.

Peu à peu, la guerrière étoile prend le chemin du retour ; elle n’a rien à ajouter. Tout est dit, et tandis qu’elle marche, pour reconduire Liwa et sa mère chez elles, après autant de marche, elle commence à disparaître. Les femelles sont loin des Escogriffes. Personne ne risque plus rien.
Pierre remonte vers les autres félins défunts. Elle a seulement accompli ce qu’elle devait faire. Bientôt, elle le sait, tout prendra fin. Peut-être grâce à Liwa et Ancre.


Codage by Kayl

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 Mar 22 Mar 2016 - 0:54

Feat someone


Begin the end

Je dormais. Enfin, j’essayais, les cauchemars manquant de m’arracher de petits gémissements de peur. La peur m’accablait. La peur me terrassait. Le monde n’était pas beau, il n’était pas blanc, il n’était pas pur, le monde. Il y avait eu une guerre. Mamâ Ancre nous avait protégé, mais.. la douleur enflait dans mon âme, dans mon cœur, et tous les chats blessés me tourmentaient terriblement. Ils ne le voulaient pas. Je les ressentais. Les petits cris résonnaient dans ma tête. J’aurais pu perdre mamâ Ancre. Je me tournais, et me retournais, je ne supportais pas ça. La douleur qui s’infiltrait dans mon corps, dans mes pattes, un élancement aigu dans les flancs. Ma tête faisait mal. Ma tête menaçait même d’exploser, ramenant le voile noir par moment, mais par d’autres moments, ma vue semblait encore plus claire qu’auparavant. Ça oscillait. Je me sentais faible, étourdie, je ne parvenais pas à me remettre de cette bataille, par pour le moment, c’était la plus violente bataille que j’ai eu à connaître, ce ne serait sûrement pas la dernière. Je me levai, hésitante et tremblante sur mes pattes. Je vacillai, prise d’un vertige soudain, puis secouai ma tête, me remettant doucement de cet étourdissement. Tous les chasseurs semblaient mal en point, mais celle m’inquiétant le plus était dans l’autre Troupe. Ils avaient un malade, je le sentais, enfin, une blessée qui les inquiétait. Je ne savais pas qui, mais je parvenais, en me projetant et en me concentrant amplement, à ressentir sa douleur et sa détresse intérieure.

Je m’étirai longuement, détendant mes muscles. Tentant de chasser la douleur des autres chats qui m’entouraient, qui m’assaillaient et me rendaient encore plus faible que possible, quand une voix me fit sursauter. Mon nom. J’avais sursauté brusquement, mes yeux cherchant, en vain, une éclaircie dans cette vision obscure. Un éclair de fourrure grise apparut brièvement dans mon champ de vision et je sursautai de nouveau, mais quelque chose de rassurant émanait de cette présence. Cette présence à l’odeur éventée, une odeur impossible à déterminer. Douce et agressive à la fois. Présente et absente, un peu piquante, comme… comme de la poussière d’étoiles. C’était la première image qui me venait quand je pensais à cette odeur. Je me retournai et m’approchai de mamâ Ancre qui n’était pas du tout loin de moi et je soupirai. J’allais devoir la réveiller, mais je sentais terriblement que la situation était urgente, alors j’allais en faire fi et faire fi de mes courbatures horribles. Je posai ma patte sur le dos de mampa Ancre et la poussai, en l’appelant doucement. Je la sentis se réveiller et sans plus attendre, je filais, sentant la présence de l’étrangère toujours présente, toujours là, toujours rassurante, comme si elle me disait que tout irait bien, et pourtant je sentais le danger autour de moi, comme si elle tentait de me faire comprendre que, même si le danger était présent, elle était là et me protégerai.

J’entendais mamâ Ancre en arrière de moi, je sentais son souffle, je comprenais qu’elle était là, et pourtant je ne savais même pas si elle avait tenté de me parler, parce que j’étais concentrée sur la trace d’une féline qui me semblait étrangement familière… Cœur de Pierre. Voilà à qui l’odeur me faisait penser. L’odeur de la lieutenante du Tonnerre mélangée à une poussière d’étoile. Elle était morte ? Oh non ! Elle était si gentille ! C’était si triste ! Mais que me voulait-elle ? Je ne faisais plus partie du Clan du Tonnerre maintenant… j’étais une embrumée, avec mamâ Ancre que je ne voulais pas abandonner, alors pourquoi me menait-elle si loin ? Je sentis la défunte, parce que j’étais certaine qu’elle était morte, ralentir, alors j’en fis de même, sentant mamâ Ancre ralentir à son tour derrière moi et quelque chose m’assaillit. Nous étions loin de l’odeur. Je le savais. Je ne savais donc pas si mamâ Ancre la sentait, peut-être pas, mais moi, je la sentais. Elle puait. Elle empestait l’air et me comprimait encore plus la poitrine que le camp après la guerre. Il y avait là des malades. Des âgés et des moins âgés, et une odeur plus pestilentielle, celle de la joie de voir les chats souffrir. Les kidnappés ! C’étaient eux ! Je pouvais sentir leur détresse, leur besoin ardent de retrouver l’air frais. Je pouvais sentir leur désespoir, je pouvais entendre leur gémissement même, je pouvais reconnaître leur odeur quelque peu, et je me retournai, mais je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit que j’entendis la voix de la lieutenante qui me dit qu’ils étaient retenus ici, confirmant mes impressions. J’étais rassurée auprès d’elle, tellement rassurée. Je la sentis alors partir, prenant le chemin du retour, et je la suivis, toujours en silence, quand finalement je compris qu’elle n’était plus là. Je fis halte, m’arrêtant brusquement, et je compris que mamâ Ancre avait failli me rentrer dedans. Je pris une grande inspiration et ce que je dis fut totalement compréhensible, dénouant ma gorge par l’urgence de la situation.

« Les prisonniers ! C’étaient eux ! Il faut… dire à Lyrielle. Mamâ, dire à Lyrielle. Toi dire ? »
© Codage by Ella' for Luny <3
Ancre
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom Puf/Surnom : Equi, Cica, Cicoune pour Sauvagou et Chou pour ma Chou
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Ancre
 Dim 27 Mar 2016 - 16:27
Je dormais, dans ce nouvel endroit, en compagnie du Clan de l’Ombre. Je dormais, aussi paisiblement que cet endroit me le permettais, car je savais que Liwa, ma petite chérie, ressentais mes émotions, même si elle avait une déficience de la vue. Alors je faisais de mon mieux pour la rassurer. Pour lui montrer qu’ici, même si ce n’était pas chez nous, c’était mieux que rien, et que nous aurions pu mourir. Et pour rassurer mes autres chatons également, car ils avaient tous peur, je n’en doutais pas. Ces derniers temps, je rêvais beaucoup de mon frère, Eléa. Cela me rassurait. De voir qu’il était tout de même dans mon coeur. J’avais besoin de le croire. De le voir. C’était le moment où  c’était à mon tour de me faire rassurer. Cela ne durait jamais bien longtemps, mais pour moi, c’était mieux que rien. Cette fois ne fit pas exception. Liwa me réveilla, en me poussant le dos de ses petites pattes. Je me levai en m’étirant longuement. Je regardai ensuite autour de moi. Ma petite était déjà partie ? Oui, je la voyais encore, au loin. Je me dépêchai de confier mes chatons à une reine. Parce apparemment, la demande de Liwa ne devait pas attendre. Une fois ceci fait, et que je pus avoir la conscience plus ou moins tranquille, je me lançai après elle.

Je n’avais pas découvert vraiment les horizons. Je connaissais que le Grand Lac, et puis c’était tout, parce qu’en tant que mère, je ne pouvais pas explorer. Je devais rester. Pour la chair de ma chair. Pour mes enfants. Mais ma petite chatonne noir comme le jais voulait que je l’accompagne. Et je ne voulais pas risquer qu’elle tente d’y aller seule par la suite si je la retenais. Alors je l’avais suivi comme elle l’avait demandé. Mais j’étais totalement dépaysée. Les alentours n’étaient pas comme ce à quoi j’étais habituée. Mais je m’enfonçais tout de même, dans la forêt, tentant de ne pas trop paniquer. Je prenais garde de toujours avoir un oeil attentif à la boule de poils noire, qui avait bien grandi, je devais l’admettre, même si je ne le souhaitais pas. Je voulais la garder pour toujours auprès de moi. En tant que mamâ Ancre. Au bout d’un moment, je sentis une odeur. Puis, plusieurs. Elles étaient pestilentielles. Vraiment affreuses. Je voulais bien savoir ce qui sentait aussi nauséabond. Et puis, ma fille adoptive, mais que je considérais comme ma propre fille, s’arrêta net, et je failli foncer dedans, tellement j’étais concentrée par cette indescriptible odeur ignoble. Puis, elle ouvrit la gueule.

« Les prisonniers ! C’étaient eux ! Il faut… dire à Lyrielle. Mamâ, dire à Lyrielle. Toi dire ? »

Elle parla avec une telle aise que cela me surprit, je devais l’admettre. Comme si l’urgence de la situation lui avait permit de parler ainsi, même si habituellement, c’était le contraire. Les chats se retrouvaient pressé par les diverses situations, et le stress les empêchait de parler. Mais pas elle. Pas ma petite Liwa, qui semblait grandir d’un coup, avec cette simple phrase, à mon plus grand désarroi. Je ne pus m’empêcher de verser une petite larme, vraiment toute petite, à cette pensée. Je ne pouvais garder, hélas, le temps éternellement. J’aurais bien voulu. Mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas, parce que le temps était quelque chose de fort incontrôlable. De toute façon, chaque fois qu’un chat avait tenté d’avoir ce qui était inaccessible, cela avait mal tourné. Je me retournai, après avoir séché mes larmes, et me retournai.

« Oui Liwa, mamâ Ancre va dire à Lyrielle. Tu as été exceptionnelle, tu peux être fière de toi. Allez, viens, on rentre. »

Je n’attendis guère plus longtemps, et filai en direction contraire. Je tentais de garder mon calme le plus possible, dans la limite du possible, bien entendu. Je voulu courir, question d’aller plus vite, mais je devais penser aux plus petites pattes de ma chatonne. Je devais rester à son rythme. Et courir ne ferait qu’augmenter les doutes et les craintes dans son esprit. Alors, à ne pas faire. À ne surtout pas faire. Dans ma tête, j’essayais de prévoir le discours. Parce que j’allais parler à notre chef. Il faudrait que j’essaie de parler en tant que la guerrière que j’étais autrefois, et non en tant que la mère que j’étais présentement. Nous marchâmes encore un petit peu, puis, nous fûmes rendus. Super. Je me dépêchai d’aller voir Lyrielle. J’attendis qu’il me donne la permission d’avancer, et j’ouvris la bouche.

« C’est important, Lyrielle, Liwa et moi avons vu où ils retenaient les prisonniers. Nous pouvons t’y conduire. »
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 Dim 27 Mar 2016 - 17:26
EVENT



Lyrielle se tourne dans son nid. Les Clans sont partis. Il ne reste que le silence, le sang et les larmes. Alors il se sent plus seul. Il l’est. Il soupire, finit par s’asseoir. Il regarde le camp endormi, et reste ainsi plusieurs heures, seul dans la nuit. Mais bientôt le sommeil l’emporte et Lyrielle, meneur de la Troupe Embrumée, s’endort en repensant à la bataille injuste. Personne n’est donc l’auteur de ces crimes ? La faute est toujours rejetée sur les innocents et il commence à saturer. Il n’a rien fait. Eux aussi ont des kidnappés… Pourtant ils n’ont pas attaqué les Clans pour ça. Lyrielle est loyal, il se défend, mais jamais il n’attaquerait sans raison.

Son sommeil est agité. Il pense, il rêve. Il y a beaucoup de blessés et sans doute des morts. Et cela tord les tripes du grand mâle. Comment autant d’atrocités peuvent arriver d’un seul coup ? Chassés, attaqués par tous les côtés, ils n’ont plus de défenses. Il n’ont rien qu’un stupide espoir. Et ils attendent. D’un côté, les Bipèdes sont peut-être partis depuis tout ce temps. Leur territoire est peut-être à nouveau à peu près sain. Sauf que le seul problème, c’est les kidnappés. Lyrielle ne peut pas se résoudre à les abandonner, même sans savoir où ils sont. Tant qu’il n’a pas de preuve de leur mort, il n’abandonnera personne.

Finalement il finit par se relever, à l’aube. Il tournait en rond, et sortit chasser. L’air était encore frais, mais le soleil réchaufferait les terres. Lyrielle se sentait las. L’absence de son ex-compagne au quotidien lui pesait de plus en plus. Il n’avait plus le goût de chasser, de faire tout ce qu’il aimait faire avant. Replié sur lui-même, il ne s’occupait plus que de son Clan. Et maintenant il s’en occupe pour tenter d’oublier tout ça. D’oublier la haine parfois, qui prend le contrôle. Quartz s’est suicidée. Il se demande encore si cela n’était pas un accident, mais au fond il le sait. Elle n’était pas heureuse. Pas comme ça.

Il attrape une souris, puis rentre. Cela nourrira une reine. Il repense encore à Quartz qui aurait pu être reine, si elle l’avait voulu. Puis il pense qu’ils ne vont pas rester ici, d’une manière si précaire, pendant encore des lunes. Il se cesse de penser aux kidnappés et soucieux, il dépose sa proie sur le tas de gibier. Il reste fermé aux chasseurs et guerriers qui discutent ensemble, et préfère s’isoler en attendant une autre journée.
Alors il se met à attendre. Jusqu’à ce que deux chattes fassent irruption près de lui. Il reconnait sans mal la Mère Ancre et Liwa sa fille.

— C’est important, Lyrielle, Liwa et moi avons vu où ils retenaient les prisonniers. Nous pouvons t’y conduire.

Aussitôt, il relève la tête. Et il se met à les écouter. Enfin, il écoute Ancre parler, puisque Liwa ne dit rien. Il apprend l’endroit où sont retenus les Prisonniers, et il sait maintenant que ce sont les Escogriffes qui les retiennent. Alors il écoute jusqu’au bout, et son regard ambré a retrouvé de sa vigueur. Une fureur sans nom brille maintenant. Il est prêt à lancer l’offensive, mais les Escogriffes sont apparemment trop nombreux. Il reste une chose à faire.

— Nous rendrons hommage à Liwa et toi pour votre aide, dit-il simplement avec reconnaissance.

Et puis il se lève, les salut, et va voir Volcan. Ils doivent parler.

Codage By Saphy
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 Ven 1 Avr 2016 - 5:30
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