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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumAkhlýs dansant sous une pluie de cendres - J'étais perdue, j'étais dans le noir mais le feu brûlait en moi alors j'ai inondé le monde de cendres et j'ai dansé, dansé, dansé jusqu'à l'aurore.
Invité
Akhlýs
Lun 11 Juil 2016 - 18:08
Akhlýs dansant sous une pluie de cendres
Ton chat Ton âge : 15 lunes Ton sexe : Femelle Ta Troupe : Inondée Ton rang : Chasseuse Ton but dans la vie : Je dois le retrouver. Je dois le rejoindre à tout prix. Il ne me fera pas de mal, je le sais. Il n'a jamais pu. Il ne m'appartient pas, c'est moi qui lui appartient. Je dois faire en sorte qu'il ne voie que moi, qu'il me trouve partout où il ira. Je dois le suivre, prendre soin de lui. Il est ma raison de vivre. | |
Ce qui me fait vivre Ce que j'aime avec mon pelage, c'est que je peux facilement disparaître avec. Il est tout blanc. Tout tout blanc. Je peux passer pour un petit rocher blanc, pour un carré de pissenlit ou de fleurs blanches. Mais pas totalement non plus. Ma fourrure est mouchetée de minuscules petites tâches grises, c'est pour ça que la moitié de mon nom est comme ça. Je me plais à penser que j'ai dansé sous les cendres d'un feu brûlant à l'intérieur de moi-même. Je suis un félin de petite taille, disons que la mienne est équivalente à celle d'un chaton en passe d'être apprenti ou un apprenti qui vient tout juste d'être baptisé. Je n'ai pas vraiment la carrure d'une chasseuse mais qu'importe, c'est ce que je suis, malheureusement. Je ne suis pas très douée pour sauter haut ou loin mais, en contrepartie, je suis très forte en endurance, je n'ai aucun mal à courir sur de longues distances et, de plus, je suis assez rapide et aussi agile que petite. J'ai aussi un bon sens de l'équilibre, ça doit être parce que ma queue est assez longue. Pour finir avec ces banalités, je dirais que mon visage est totalement normale, j'ai un museau, une bouche, deux oreilles triangulaires et deux yeux d'un joli bleu turquoise. J'aime bien lef ait qu'ils soient de cette couleur. Le orange, le jaune et le rouge s'y reflètent parfaitement. | |
Ce qui est gravé en moi Goûts - Jouons à un jeu. Le j'aime, je n'aime pas. J'aime beaucoup ma famille. En tout j'ai une mère, deux grandes soeurs et un grand frère. Je ne considère pas mon père comme quelqu'un de ma famille, je ne l'aime pas comme les autres chatons aiment leur figure paternelle qui, pur eux, est présente. J'aime ma Troupe. Ou du moins je l'affectionne. C'est elle qui me nourrit chaque jour qui passe, c'est ele qui m'assure un endroit où dormir et où j'ai une importance bien que mineure. Je n'aime pas les Escogriffes. Autant, je ne me sens pas différente des membres de l'autre Troupe, autant je n'aime pas ces chats sans foi ni loi qui font ce qui leur chante. J'aime être seule. Je trouve ça bien mieux que d'être entourée de beaucoup de gens en qui l'on peut placer toute sa confiance pour ensuite être trahi. J'aimerais limiter le nombre de griffe que l'on m'enfonce dans l'échine Je n'aime pas la foule, les gens. Je peux gérer quand ce sont des assemblées de la Troupe mais, autrement, je déteste la foule, je m'y sens mal à l'aise et j'ai parfois l'impression d'étouffer. Pour conclure cette partie qui me caractérise, je dirais que j'aime le feu. Non. J'adore le feu. Je lui voue une adoration sans limite, je le vénère, je l'admire, je l'aime plus que tout au monde, plus que ma propre vie. Je suis prête à m'immerger entièrement en lui afin de connaître tous ses secrets, de savoir ce que cela fait de se brûler la fourrure, de ressentir ces sensations de chaleur, ce crépitement incessant et la douceur des flammes et des cendres sur mon pelage, je ne cherche qu'à vivre ça quand bien même cela pourrait me tuer. Mais j'ai confiance en lui, je sais que le feu ne me tuera pas. Peurs - Je n'ai pas peur de beaucoup de choses. Ma peur principale est celle de vieillir. Je suis encore jeune, pas tout à fait adulte mentalement parlant ni physiquement d'ailleurs et je ne veux pas l'être. Parce qu'être adulte c'est avoir des problèmes plein la tête, des chagrins insensés, des regrets inavoués, des larmes dissimulées, des responsabilités bien trop lourdes, une vie dont on ne veut pas forcément et j'en passe. Comment je sais tout ça alors que je ne l'ai pas vécu ? Ma tête est pleine des problèmes des autres. Je suis quelqu'un d'assez empathique, j'arrive à me mettre à la place des autres. Toutefois, mon empathie n'est pas aussi puissant que d'autres, je ne ressens pas les sentiments et les émotions des gens, je ressens seulement leurs problèmes. Aussi bien les tourments du quotidien que les problèmes du long terme. C'est pour cela que je préfère être seule. Parfois, j'explose, je n'arrive pas à contenir tout ça. Parce que tout le monde a des problèmes. Ma peur secondaire, est celle de l'eau. Elle me fait peur parce qu'elle éteint le feu. Même si celui-ci peut la faire s'évaporer. L'eau est malfaisante, elle veut empêcher nos retrouvailles à mon amour et moo, l'eau ne veut pas que je le rejoigne, l'eau s'amuse à nous éloigner l'un de l'autre, on ne peut pas faire confiance à l'eau, on ne peut pas faire confiance à quelqu'un qui veut vous empêcher de retrouver votre raison de vivre n'est-ce pas ? Caractère - Je ne fais pas partie de ces chats qui laissent une marque indélébile dans l'esprit des autres. Au contraire. Je suis de ceux que l'on oublie facilement quand bien même l'on a été important. Tout ça parce que je reste en retrait, effacée, je ne me mets jamais en avant, je n'aime pas ça. Je fais toujours tout pour ne pas me faire remarquer. C'est peut-être lié au fait que je n'aime pas la foule ni me mêler aux autres... Il faut dire que je suis assez timide et que je n'ai pas beaucoup d'amis. De toute façon, je ne vois pas pourquoi j'en aurais. Si c'est pour tout se dire non merci, je tiens à ma vie privée, je n'ai aucune envie de tout déballer sans aucune pudeur. Moi, renfermée ? Vous vous faites des idées... Dans tous les cas je suis bien mieux toute seule ! Bien qu'étant invisible mais ce, par mon propre choix, je reste une personne ouverte et réfléchie. Même si je ne suis pas réputée pour mes bavardages mais plutôt par mon silence, j'ai toujours été d'une oreille attentive. Enfin, pas tout le temps. Même si je suis plutôt calme, douce et pleine de tact, il arrive parfois que mon empathie, m'emplissant la tête des problèmes des autres, me fasse exploser de colère ou de douleur psychologique. Et je n'ai encore jamais trouvé personne capable de m'aider dans ces moments-là. Mais ne vous en faites pas, je suis quand même sereine la plupart du temps. | |
Ce pourquoi je me bats Il était une fois une famille vivant dans la Troupe Inondée. Cette famille était dominée par la mère, Thysania soufflant sur les roses qui avait donné naissance à quatre enfants d'après les souvenirs de notre petite protagoniste. Il y avait Asuna galopant sur les ailes du vent, la plus vieilles des descendantes, Ningùn effleurant la Vérité, la cadette, vient ensuite Paint créant les arcs-en-ciel, le troisième et l'unique male. Pour finir, il y a la petite Akhlýs dansant sous une pluie de cendres, benjamine de la famille. Ces quatre chats sont tous issus d'une portée différente mais notre petite protagoniste ne sait pas si son père est celui des autres et vice versa. Je suis née un jour de printemps dans la pouponnière de la Troupe Inondée. J'ai eu froid ce jour-là je crois. Je suis fille unique, je n'avais personne hormis ma mère pour me tenir chaud à ma sortie. J'espère que je ne lui ai pas fait trop de mal à ma maman d'ailleurs en sortant. Mais c'est que j'étais pressée moi ! Ma première lune a été paisible. J'ai appris que je n'étais finalement pas si seule que ça. J'avais deux grandes soeurs, Asuna et Ningùn et un grand frère, Paint. Mais je ne les ai jamais beaucoup vu, ils étaient déjà chasseurs quand je suis venue au monde. Ca avait l'air bien d'être chasseur ! Enfin, Paint, lui, il était novice. Mais il ne m'a jamais montré de positions de chasse comme font les autres frères et soeurs. Mais c'est pas grave, je ne voulais pas vraiment de toute façon. Je n'ai jamais su qui était mon père. Maman ne m'en a jamais parlé et j'évitais consciencieusement le sujet. Parce que mon empathie me venait petit à petit et je devinais que ma mère n'allait pas bien. Ses problèmes émanent d'elle comme les rayons viennent du soleil. Son aura est faite de ses problèmes et moi, je n'ai jamais su pourquoi. Je n'ai jamais voulu lui demander. Les gens n'aiment pas que l'on se mêle de leurs affaires les plus intimes et les plus compliquées. Les lunes suivantes se sont succédées très vite jusqu'au début de la cinquième. C'est à ce moment-là que j'ai compris qu'il allait falloir que, dans ma vie, je m'isole de temps à autre. Les problèmes de maman se répercutait sur moi malgré tout l'amour qu'elle me portait et, ceux des chasseurs que je croisais en me baladant dans le camp, prenaient aussi de l'ampleur ans ma petite tête. Alors un jour, je suis sortie du camp, pas trop loin, je ne voulais pas me perdre. Mis j'ai senti une odeur étrange, que je n'avais encore jamais sentie. Alors j'ai suivi cette odeur et, au bout d'un moment, le ciel est devenu gris puis, plus je me rapprochais de l'odeur, il est devenu noir. Et sous mes yeux émerveillés, il y avait du rouge, du jaune, du orange et du gris. C'était magnifique, tout simplement fantastique. J'ai adoré découvrir cette merveille. Alors j'ai fait comme les plus jeunes, je me suis tapie au sol, les yeux plein de malice, la queue frétillante dans les airs, je sautillais un peu partout autour de cette chose fabuleuse. Je me suis souvenu que les doyens en parlaient quelquefois. Du feu. J'adorais ça, il était si beau, si pur, il dansait, s'élevant dans le ciel, toujours plus haut, toujours plus chaud, sa chaleur me réconfortant, me donnant l'envie de rester ici pour toujours. Cette rencontre incroyable marqua à jamais un tournant dans ma vie, j'en avais conscience. A ce moment-là, j'étais fière deporter le nom que j'avais. Akhlýs dansant sous une pluie de cendres. Les jours suivants, je n'ai parlé de cette rencontre à personne. Cétait mon secret à moi, même maman ne savait pas. De toute façon, je suis sûre qu'elle m'aurait encore plus grondée qu'elle ne l'avait déjà fait. Elle doit sûrement penser que c'est irrationnel d'aimer le feu et pourtant... J'ai atteint l'âge des six lunes très rapidement et j'ai été nommée novice, laissant ainsi ma mère seule dans la pouponnière. Enfin, elle aura vite fait de rejoindre Asuna, Ningùn et Paint dans la tanière des guerriers. Mon apprentissage s'est plutôt bien passé. Il n'y avait qu'une seule chose qui clochait. Mon mentor et ses problèmes. Oh, il était parfait pour m'apprendre ce que je devais savoir mais... il n'était pas bien dans sa vie privée. Cela se voyait. Ce n'était pas aussi présent que pour maman mais quand même, il suintait les tourments. Un jour j'ai voulu l'aider. J'ai voulu lui parler et c'est ce qu'il a fait. Cela nous a surpris tous les deux d'ailleurs. Il m'a parlé, m'a raconté comment sa compagne insistait pour qu'il soit présent auprès de ses enfants, qu'elle voulait pouvoir se reposer de temps en temps et que lui, il devrait se bouger un peu plus et que le seul prétexte qu'il avait c'était d'assurer mon entraînement à moi. J'ai fait ce que j'ai pu, j'ai essayé de lui apporter des solutions mais je n'en menais pas large non plus, tous ces problèmes tombent sur tout le monde et j'ai compris que cela allait m'arriver tôt ou tard. Et j'ai pris peur. Je suis partie ce jour-là, plus incertaine que soulagée. Certes, mon mentor ne me causait plus de soucis, mais maintenant c'est moi-même qui me causait du tort. J'aurais bien aimé en parler à quelqu'un, n'importe qui, un novice, comme moi, mais cela m'était impossible. Parce que les novices, entre ceux qui sont arrogants et ceux qui ont des problèmes, je n'ai personne. Durant tout mon apprentissage, les jours se sont succédés, sans saveur, emplis de la peur de grandir, faits des problèmes des autres. J'étouffais là-dedans. Alors je suis sortie, comme lorsque j'étais jeune, je suis revenue là, où j'avais rencontré mon amour, dans l'espoir de le retrouver. Mais quand je suis arrivée, il n'était plus là. Il m'avait abandonnée. Pourquoi ? Qu'avais-je fait pour mériter ça ? Je me laissais tomber sur le sol, assise. Et je me mis à pleurer. Il m'avait abandonné, mon amour, mon seul véritable rempart, celui qui m'aidait à tenir dans cette vie misérable. J'ai pleuré longtemps ce jour-là et, quand je suis rentrée, je n'ai pas écouté les sermons des chasseurs ni les questions des novices. J'avais passé l'après-midi à essayer de faire revenir celui à qui je vouais un amour inconditionnel. Sans succès, je le crains. Lorsque j'ai atteint la douzaine de lunes, je suis devenue chasseuse à part entière, à mon grand désarroi. Je suis devenue adulte, du point de vue de mes camarades. Cependant, j'ai toujours été petite, aussi bien physiquement que psychologiquement, je ne me considère pas du tout comme étant une adulte. Alors certes, j'ai grandi, j'ai découvert ce que cela signifiait d'être en vie, d'avoir des problèmes solubles et insolubles, d'aimer sans être aimée en retour, d'avoir une famille qui ne fait pas vraiment attention à vous parce qu'elle a d'autres centres d'intérêts, d'être seule constamment mais de le vivre sans mal. Je sais ce que c'est tout ça. Et je jure que je ferai tout pour retrouver le feu, pour retrouver cette chose qui me fait ressentir l'émerveillement le plus total et la tristesse la plus pure. Je ferai tout pour le retrouver, pour rendre ma maman heureuse parce que je vois bien qu'elle ne va pas très bien, je veux vivre une belle vie en somme. Mais sans grandir et avec le feu à mes côtés bien sûr. Il n'y a que ça de vrai. | |
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Invité
Ningún
Ven 22 Juil 2016 - 15:25
Ma 'tite soeuuuuuuuuuuuur
Elle me ressemble en plus
Elle me ressemble en plus