Invité

Lun 10 Oct 2016 - 18:24

L'aube pointait sous son manteau rose et sa fraicheur ,
les doux rayons du soleil me réveillerent paisiblement
me sortant d'u rêve de compte de fée .
Je sortis tranquillement de la tanière des guerriers et
m'étiras les premiere lueures de la journée rechauffant
mon pelage et mes muscles encore engourdie par le
sommeil , je fit mes griffes sur des os près du tas de
gibier .
Maintenant que j'avais mangé je désirais chasser du
lapin , ce serait un exploit d'en trouver un sur le clan de
l'ombre , peut etre y avait il dans la foret longé par les
marécages au pire je pourrait toujours trouver des
grenouilles ou des souris .

La grande chatte albinos se rendit au ruisseau longeant
les marécages et but l'eau qui était si pure a cet endroit
avant de se rendre dans la terre poisseuse vers environs
10 heures de la matinée .
Une musaraigne dodue passat juste sou mon nez grignotant
une graine de chêne tombée non loin de la , d'un bond
puissant je lui retomba dessus et l'acheva d'un rapide coup
de croc ainsi qu'une grenouille sautant non loin .
J'enterras les proies avant d'entendre un bruit sourd ,
une odeur de clan du tonnerre monta dans mes narines ,
le clan du tonnerre était en plein milieu de notre territoire !
Je me retoura le fourrure plus gonflé que jamais me
donnant un ere encore plus immense que je ne
l'était deja , mes crocs de la taille de celle d'un
blaireau se decouvrirent ainsi que mes griffes monstrueuses ,
si l'ennemi ne mourrais pas il passerait un sale quart d'heure

Jeune aventurier

Puf/Surnom : Ray

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Souffle de Braise

Mer 2 Nov 2016 - 0:44

• Toi ? Mais n’ais-je donc pas tué ta mère ?•

Ray ft. Yuki

Je chantonnais. Oh, que c’était agréable de laisser passer entre mes babines un son doux à mes oreilles : celui de ma propre voix. Sentir vibrer mes cordes vocales au travers de ma bouche tout en humant l’air humide de la saison des feuilles mortes, me baladant tout simplement avec un sourire narquois sur les lèvres. Les yeux fermés, j'avançais aveuglement parmi les arbres, parmi les prairies, je traversais les plaines des territoires sans même prendre la peine de faire attention où je mettais les pattes. Je transgressais les lois en violant tout simplement les frontières. Les règles ridicules du Code du guerrier étaient si facilement transgressables que je ne pouvais m’empêcher de sourire à cette pauvre pensée. Ils n’étaient rien. Aucun chat, rien. Personne ne serait un jour à ma hauteur, à la hauteur du grand Souffle de Braise. J’étais au-dessus, comme je l’avais toujours été. Leurs stupides lois étaient à mes yeux tout aussi inexistantes. Un jour, ils sauraient, ils sauraient tous, ils apprendraient tous que je suis le plus grand, le plus fort, et ils seront obligés de se mettre à genou devant moi. La forêt serait mienne, mais il fallait le temps, et je m’obligeais donc à patienter; pour l’instant, il n’y avait pas d’autres solutions. La prochaine Assemblée serait tellement révélatrice qu’un grand nombre de chats assumeraient ma domination …

Sans le voir, j’avais donc gentiment traversé la frontière. Cela faisait quelques minutes déjà que je traînais des pattes sur le territoire du Clan de l’Ombre. Étoile de Lave était, à mon goût, un chef respectable et intriguant. Nombreuses rumeurs circulaient sur le grand mâle noir, et je m’en nourrissais avidement. Des petites histoires sombres, obscures et mystérieuses, qui procuraient à certains des frissons dans le dos. Moi, je les trouvais croustillantes; des assassinats par ci, des coups de traitre par là, on racontait partout dans la Forêt qu’il n’était pas totalement pour rien dans la disparition de leur chef précédente, Étoile de la Mélopée. Oh, un parfait personnage. Je me refusais d’admettre que je l’admirais, c'était totalement faux. Je n’avais d’admiration pour personne, surtout pas pour un chat tel qu’Étoile de Lave. J’étais bien plus élevé que lui, même si les chats osaient encore en douter. Bientôt, bientôt ils sauraient tous la vérité. La vérité sur le sang bâtard qui coulait dans les veines de beaucoup trop de chats du Clan du Tonnerre. J’apporterai la Justice sur la Forêt comme je me l’étais toujours promis. Obnubilé par toutes ces pensées de conquérant, je ne faisais pas attention à mon environnement, bien que je fusse en territoire ennemi, je continuais même de chanter, à l’aise.

La terre sur laquelle je marchais devenait petit à petit de plus en plus meuble, de plus en plus humide, si bien qu’elle commença à coller à mes coussinets à force. Je ne m’en inquiétais guère, ce n’était pas aujourd'hui que j’allais me remettre à faire ma toilette proprement; c’était une perte de temps monstrueuse pour pas grand chose au final. Les grands guerriers n’étaient pas les plus beaux, n’étaient pas les plus propres; j’étais un grand guerrier. Un guerrier reconnaissable par ses actes, par sa voix, par sa manière de marcher. Je ralentissais tout de même le pas, un guerrier coincé dans la boue des marécages n’était pas un guerrier très sérieux. Me dépêtrant dans cette amas de terre, je ne remarquais que très tard la guerrière aux yeux particuliers qui semblait m'attendre, griffes et crocs dehors. Quels idiots ces chats du Clan de l’Ombre, quelle idée de venir s’installer sur un territoire aussi humide ? Une vraie galère que leurs marécages ! Sagement, je finissais par me défaire des liens de terre qui me retenaient prisonnier, et relevais la tête pour avoir enfin dans mon champ de vision la femelle blanche. Indirectement, elle me rappelait quelqu'un, mais je n'arrivais décidément pas à me souvenir de qui. Prêt à faire de l’humour, elle ne semblait pas rigoler. Je décidais donc de réagir comme n’importe quel autre chat aurait fait.

“Et bien, que me veux-tu, jeune guerrière ? Cesse donc de feuler, ce n’est pas ainsi que tu m'impressionnera”, je lui indiquais, toujours sagement, sur la limite de l’ironie. Qu’est-ce qu’une faible femelle pourrait donc pouvoir me faire ? Pathétique. Une sourire mauvais s’empara de mes babines, tandis que je toisais de mes yeux ambrés la femelle aux yeux rouges rubis. Je fronçais les sourcils, essayant désespérément de me rappeler à qui la femelle pouvait donc me faire penser, sans résultat. J’abandonnais momentanément ma recherche pour me concentrer sur le moment présent, c’était à dire moi, empêtré dans cette mélasse kaki qu’étaient les eaux du marécage, et cette guerrière apparement pas très joyeuse de me trouver en pleine journée sur son territoire. Oh, j’aurai très probablement réagi de la même manière si j’avais trouvé un inconnu sur mon territoire, elle n’était pas à blâmer. Allions-nous nous battre ? C’était probablement ce que la guerrière du Clan de l’Ombre prévoyait. Je n’avais aucun doute, aucune peur. Gagner un combat contre une femelle était quelque chose de facile, elles ne seraient jamais à la même hauteur que moi physiquement parlant. J’étais plus musclé, plus rapide, plus massif, plus compétent, en bref, j’étais meilleur. Meilleur qu’elle, et si elle pensait m'impressionner en gonflant son poil ainsi, c’était raté; on ne faisait pas peur au grand Souffle de Braise.

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Neyo

Sam 10 Déc 2016 - 13:12

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Vieille branche

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Cœur de Pierre

Jeu 16 Mar 2017 - 19:25

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