Invité

Mer 22 Fév 2017 - 17:15

Bouge un peu de là toi ! [Pv. Alice]

Aile Ensanglantée, se leva, une proie dans la gueule, il venait de la prendre du tas de gibier et il avait choisit minutieusement son repas, comme tout les jours, il prenait toujours soin de prendre une des proies posés peu de tant avant, un chat comme lui avec un caractère aussi égoïste se devait de se servir dans les premiers. Il regarda autour de lui, ne voyant personne, il s'installa dans un petit coin à l'ombre pour pouvoir dévorer l'écureuil tranquillement. En quelques bouchées il finit son repas et commença alors une toilette, il se lécha la patte droite et la passant soigneusement derrière chacune de ses oreilles. Il continua sa toilette en léchant son pelage pour retirer les quelques brindilles qui s'étaient accroché pendant son sommeil. Soudain, il se leva et décida d'allez se dégourdir un peu les pattes et d'allez s'installer dans la Plaine de Roches.

Une fois hors du camps, il pris la direction de la Plaine, il voulait s'installer là-bas pour pouvoir profiter du soleil et réchauffer un peu sa fourrure, il espérait ne pas y trouver des chats car il n'aimait pas être entouré par ses camarades quand il se reposait, il n'aimait pas être entourés par eux tout court d'ailleurs. Il n'a jamais été très proche de l'un deux, voila également pourquoi Etoile de Lave ne lui attribuerais jamais d'apprentis, de toute façon, le mâle gris tachetés ne supporterait pas plus d'une journée un de ses jeunes sautillant, tout joyeux d'être enfin apprentis. Certes, lui avait été très heureux mais il avait rapidement compris que toutes ces heures passés à s'entrainer ne lui servirait jamais à rien, a par à pouvoir se nourrir mais pourtant il avait tout de même apprécier les entrainements au combat. Depuis qu'il avait fait son baptême de guerrier, il était déterminer a s'entrainer encore, pendant plusieurs, mais il ne voulait plus des entrainements simples d'apprentis, il s'entrainait seul, voulait être toujours plus fort, il était depuis ce jour, prêt à tuer en cas de besoin, prêt à tuer ceux qui s'opposeraient à ses opinions.

Il arriva dans la Plain de Roches, observant quelques instants l'endroit, il repéra rapidement Ange Brisé, il ne s'approcha pas tout de suite de la femelle mais remarqua qu'elle était allongé à son endroit habituel, ce qui déplu fortement à Aile Ensanglantée, la plupart des chats du clan savait qu'il n'hésiterait pas à se battre pour cette place, bien que cela semble absurde. Il s'approcha, sur de lui, une fois à côté de la guerrière, il pencha la tête vers la sienne et dis en lui donnant un coup sans sortir les griffes :

<< Bon, je suppose que tu le sais mais que tu veux jouer sur mes nerfs, je ne suis déjà pas d'humeur, alors je vais te le dire très simplement et je ne vais pas y allez par 4 chemins. Bouge de là Ange Brisé. >>

Le regard du mâle gris lançait des éclairs, il s'était déjà lever de mauvaise, ses camarades eux, l'avaient directement remarqué à cause de son regard froid et ses mouvements brusques. Maintenant, il allait sûrement se battre avec la vétérante Ange Brisé, pour une simple place dans la Plaine de Roches. De plus, ils avaient tout deux un fort caractère et ils seraient déterminer à avoir la place, un combat aurait sûrement lieu, et les deux chats n'y laisseraient pas que quelques petites touffes de poils.

Invité

Sam 8 Avr 2017 - 23:16

Casse toi.

La Plaine de Roches.
Un bel endroit pour finir cramé au soleil.
C'est actuellement là où je me trouve, couchée sur l'une des nombreuses pierres plates et brûlantes, me laissant aller avec délice sous les rayons du soleil loin au dessus de moi. Cela fait du bien. La saison des neiges n'est pas encore tout à fait terminée mais l'on sent déjà que la saison des nouvelles feuilles approche à grands pas et a même l'air d'être désireuse d'être en avance pour une fois.
Je suis seule, il n'y a personne d'autre que le soleil, les rochers et moi. La chaleur écrasant de ma fourrure sur ma peau, la liberté de mes pensées et de mes rêves, mon sourire inconscient sur les lèvres, mon bien-être.
Un bien être que je n'ai plus ressenti de manière aussi intensive et présente depuis maintenant bien plus de temps que je ne pourrais compter de jours.
Je soupire, je me sens bien, je me prélasse.
Et c'est à ce moment-là qu'une horrible odeur m'agresse.
Celle de l'un de mes trop nombreux camarades de Clan.
Et une ombre brise le contact déjà établi depuis un bon bout de temps entre le soleil et moi.
Et une voix brise la sérénité et le silence du lieu.
Je vais défoncer ce petit impertinent qui se permet de me défoncer mon moment de bonheur.

"Bon, je suppose que tu le sais mais que tu veux jouer sur mes nerfs, je ne suis déjà pas d'humeur, alors je vais te le dire très simplement et je ne vais pas y allez par 4 chemins. Bouge de là Ange Brisé."

J'ai envie de rire tant il est misérable.
J'ai envie de pleurer tant il me fait pitié.
J'ai envie de le défoncer tant il m'importune.

"Casse toi de là gamin tu m'fais de l'ombre. Pas que ça à foutre que de m'encombrer d'un abruti dans ton genre."

Les mots sont des armes et je les manie à la perfection.
Les mots sont des armes, mes armes à mois que je maîtrise depuis toujours.
Il ne peut me vaincre.
Ni même l'espérer.
Et s'il décide de se battre avec ses griffes de chaton, il va seulement se ridiculiser.
Parce que le combat a toujours été l'un de mes nombreux points forts, que des imbéciles comme lu j'en ai déjà vu passer un paquet et qu'aucun n'a jamais été à la hauteur.
Non, il n'y a eu que Rire Dévastateur. Elle me manque d'ailleurs. Cela fait un certain temps que nous n'avons pas échangé quelques mots et même si nous n'étions pas très très proches, nous nous entendions et nous nous entendons toujours très bien. Après tout, elle n'est pas une imbécile et moi non plus, elle me comprend comme je la comprends, du peu que je connais d'elle.
Lui, ce matou qui le fait face, dont je connais sans doute le nom mais dont je me fiche plus que tout, il ne sait rien, ne comprend rien et ne mérite rien venant de ma personne.
Il n'a pas le droit de me déranger, pas le droit de venir m'emmerder comme ça. Il y a un bon millier de rochers dans cette foutue plaine, qu'il aille s'allonger ailleurs cet abruti.
Non mais et puis quoi encore.