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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumÀ l'aube d'une nouvelle Vie, d'une nouvelle famille [ft. Petit Noir]
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Le personnage
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Dim 20 Aoû 2017 - 22:05
• À l'aube d'une nouvelle Vie, d'une nouvelle famille •
Ray ft. Blacky
J’avais donc encore fait ce cauchemar cette nuit, et je m’étais réveillé. Pas longtemps, non, j’avais réussi à retrouver le sommeil juste après. Sommeil dont j’avais particulièrement besoin en cette période agitée pour le Clan. Cette période où j’avais beaucoup de responsabilités. Cette période qui, au final, n’était pas une période, étant donné que mes fonctions de lieutenant s’étendraient (et je l’espérais) encore longtemps. Mais tout cet accumulation de chaleur, de chatons, de tâches de lieutenant, d’entraînements avec Nuage du Roncier … ça m’étouffait et ça me crevait. Pire encore qu’une patrouille de l’aube de la saison des neiges. Parce que ce n’était pas une seule fois, mais bel et bien tous les jours. Et toujours le souvenir de ce rêve. Ce rêve si mystérieux où Nuage du Jade avait réussi à me faire douter plus que jamais. Elle avait dit des choses que je n’avais pas saisies et que je ne saisissais toujours pas, à mon plus grand malheur. J’étais tiraillé par son amour et celui de Bourrasque Hivernale. Mais que valait l’amour d’une défunte ? Tellement de choses, si seulement elle savait, si seulement je m’en rendais compte … bref. J’étais fatigué et j’avais tout un tas de raisons, comme à chaque fois. Comme à chaque fois que je me retrouvais dans le doute ou dans le tort et que je trouvais néanmoins de quoi éviter de m’accaparer trop longtemps. Je pouvais et savais me justifier. Pathétique que j’étais.
La journée commençait déjà, et je me devais d’être debout en même temps que la patrouille de l’aube. Quelle torture. Je me levais, et sans prendre le temps de m’étirer comme je l’avais toujours fait jusqu’à ma nomination de lieutenant, je réveillais les guerriers désignés pour la patrouille. Hop, trois guerriers, un apprenti, et c’était dans la poche. Non, en fait, j’allais y ajouter Nuage du Roncier, ça ne lui ferait pas de mal. Il n’aurait plus autant l’occasion de participer à des patrouilles, et il fallait qu'il rejoigne celle de l’aube. Voilà, trois guerriers et deux apprentis, c’était mieux. J’espérais pouvoir trouver quelques minutes dans ma journée pour rendre visite à la Pouponnière, mais tout cela allait s’avérer particulièrement compliqué. Peut-être qu’avec l’absence de Nuage du Roncier … peut-être, oui. J’essayerai, plus tard. Il ne me tardait de savoir comment ma dulcinée et mes futurs enfants se portaient. Bientôt, très bientôt. Je m’en frottais déjà les pattes, j’avais des étoiles dans les yeux. C’était magique, ce sentiment. C’était féerique, irréel. À ce rythme-là, j’allais exploser avant même d’avoir la chance de les voir. Alors que, perché sur mon promontoire - rocher que je m’étais rapidement approprié - je formais une deuxième patrouille, pour plus tard (j’étais prévoyant, n’est-ce pas), j’apercevais dans l’entrebâillement de la Pouponnière le pelage nuit de Petit Noir.
Mon fils. Enfin, mon fils adoptif. Le pauvre gamin qui avait perdu sa mère si tôt … J’avais supplié - car il n’y avait pas d’autre mot - Bourrasque Hivernale de l’accepter comme son propre chaton. Et il continuait de croire dur comme fer que j’étais son père et qu’elle était sa mère. Des parents de sang. Pourquoi s’embêter à lui révéler la vérité ? Pourquoi risquer de le vexer, de l’attrister, de le rendre malheureux, de le faire pleurer alors qu’il pouvait continuer de vivre une vie heureuse en me considérant comme son véritable père ? Je n’aurai probablement jamais le courage de lui dire la vérité. Bourrasque Hivernale, c’était autre chose. Elle n’aimait pas le chaton noir comme je le faisais et ne le comprendrais sûrement jamais. Encore un fait qui nous distançait, qui nous différenciait, qui nous séparait. On ne pouvait pas me dire qu’elle ne me donnait pas du fil à retordre, aussi petite qu’elle fut. J’avais besoin de lui parler. À Bourrasque Hivernale certes, mais à Petit Noir en priorité. Son baptême me semblait encore loin, mais j’avais peur qu’il ne grandisse trop vite. J’avais peur de rater des épisodes importants de sa vie, aussi peu développée fut-elle. Me décidant finalement, je profitais d’un temps mort que j’avais, une pause entre deux tâches, pour descendre du promontoire et me diriger vers la Pouponnière.
Le sourire aux lèvres, la démarche franche, je m’approchais de lui. Il avait dû me voir. J’entrais à peine dans la Pouponnière, et voyant que les reines y dormaient encore, je miaulais doucement au chaton apparement bien éveillé malgré l’heure matinale : “Déjà réveillé ? Viens fiston, on va faire un tour dehors” et j’avais l’impression de parler comme ces pères déjà âgés, traînant derrière une ribambelle de gamins.
Invité
Invité
Sam 7 Oct 2017 - 13:47
Cette nuit a été horrible pour moi, je ne trouvais pas le sommeil, j'avais beau tenter tout pour réussir à m'endormir ça ne servis à rien. J'avais bien réussi à dormir une petite partie de la nuit, mais ce fichu cauchemar m'avait encore et comme toujours réveillé. Toujours le même celui d'une forêt sans âme qui y vive, sans lumière. La nuit commence à se faire fraiche. Je laissé vaguer mon regard autour de moi et observes les reines et les chatons dormir paisiblement. Je me laisserai bien tenté par une escapade en dehors de la pouponnière, mais la dernière fois que j'ai fait ça je me suis fait gronder. Je décide donc de resté là où je me trouve seul dans ma couche, avec le temps la solitude est devenue une habitude, finalement c'est même plus agréable je peux penser tranquillement sans que quelqu'un ne vienne me casser les pattes pour des histoires futiles et dénouées d'intérêt. Ce n'est pas que la compagnie des autres me gène loin de là, j'aime beaucoup jouer avec les autres ou simplement discuter, mais j'ai toujours en moi cette envie d'être seul pour penser et réfléchir aux choses qui m'entour. Je préfère découvrir par moi même Pluton que de l'apprendre d'un autre, quand j'y pense je serai un apprenti bien difficile à supporter.
Je regarde à nouveau autour de moi ça ne sert à rien de se forcer le sommeil ne reviendra pas. Alors que mon regard se promène sur l'ensemble des personnes présent dans la pouponnière, il s'arrête net sur Bourrasque hivernale, ma mère .... Je lui dois beaucoup, mais c'est différent quand je vois les autres reines avec leur petit, rien que le faite que je dorme seul dans ma couche depuis mes premières lunes en dit long. Peut-être qu'elle ne m'aime pas tout simplement, ou alors que je n'étais pas désiré. Tant de question qui me resterons sans réponse, mais je demanderai quand même à papa s’il sait pourquoi. Il a toujours été au petit soin avec moi quand il avait le temps bien sûr, mais lui c'est tout le contraire de maman, on peut voire dans ses yeux qu'il me considère comme son fils et j'espère qu'il sera fier de moi lorsque je monterai sur le promontoire pour mon baptême. Plus j'y pense plus je m'encre dans l'esprit que maman et papa son très différent, ils ne se ressemblent pas du tout comment peuvent'ils vivre ainsi ?
Je cogite pendant de longues heures et je n'avais même pas remarqué que le jour se levait, ce qui me fi tiller c'est le bruit de la patrouille qui partait. Je me demande si papa est avec eux ? J’hésite à sortir pour en avoir le coeur net, mais finalement je me ravise et reste où je suis de toute manière s’il était parti avec la patrouille je ne le verrai pas. Je reste donc là planté tout le monde dort paisiblement autour de moi, c'est très énervent de voir tout le monde dormir alors que je n'y arrive pas moi-même... C'est alors que Fragment de Neige mon père entra à peine dans la pouponnière il est surement venu voir maman. Je fus stupéfait devoir qu'il n'y prêtait même pas attention il me fixais avec grand sourire avant de s'adresser à moi.
" Déjà réveillé ? Viens fiston on va faire un tour dehors"
Ses paroles sont comme de l'or à mes oreilles et c'est avec le plus grand plaisir que je me redresse sur mes quatre pattes pour me diriger doucement vers la sortie. Une foi dehors je fus surpris par la fraicheur matinale il est vrai qu'il faisait pas aussi froid dans la pouponnière. J'avance un peu dans la clairière principale et m'assoient quelques pas devant mon père.
" Alors papa on va où ? "
Cette question était sans intérêt à mes yeux du moment que je peux passer du temps avec mon père je suis aux anges, puis je me dis que je pourrai profiter de l'occasion pour parler de maman.
Je regarde à nouveau autour de moi ça ne sert à rien de se forcer le sommeil ne reviendra pas. Alors que mon regard se promène sur l'ensemble des personnes présent dans la pouponnière, il s'arrête net sur Bourrasque hivernale, ma mère .... Je lui dois beaucoup, mais c'est différent quand je vois les autres reines avec leur petit, rien que le faite que je dorme seul dans ma couche depuis mes premières lunes en dit long. Peut-être qu'elle ne m'aime pas tout simplement, ou alors que je n'étais pas désiré. Tant de question qui me resterons sans réponse, mais je demanderai quand même à papa s’il sait pourquoi. Il a toujours été au petit soin avec moi quand il avait le temps bien sûr, mais lui c'est tout le contraire de maman, on peut voire dans ses yeux qu'il me considère comme son fils et j'espère qu'il sera fier de moi lorsque je monterai sur le promontoire pour mon baptême. Plus j'y pense plus je m'encre dans l'esprit que maman et papa son très différent, ils ne se ressemblent pas du tout comment peuvent'ils vivre ainsi ?
Je cogite pendant de longues heures et je n'avais même pas remarqué que le jour se levait, ce qui me fi tiller c'est le bruit de la patrouille qui partait. Je me demande si papa est avec eux ? J’hésite à sortir pour en avoir le coeur net, mais finalement je me ravise et reste où je suis de toute manière s’il était parti avec la patrouille je ne le verrai pas. Je reste donc là planté tout le monde dort paisiblement autour de moi, c'est très énervent de voir tout le monde dormir alors que je n'y arrive pas moi-même... C'est alors que Fragment de Neige mon père entra à peine dans la pouponnière il est surement venu voir maman. Je fus stupéfait devoir qu'il n'y prêtait même pas attention il me fixais avec grand sourire avant de s'adresser à moi.
" Déjà réveillé ? Viens fiston on va faire un tour dehors"
Ses paroles sont comme de l'or à mes oreilles et c'est avec le plus grand plaisir que je me redresse sur mes quatre pattes pour me diriger doucement vers la sortie. Une foi dehors je fus surpris par la fraicheur matinale il est vrai qu'il faisait pas aussi froid dans la pouponnière. J'avance un peu dans la clairière principale et m'assoient quelques pas devant mon père.
" Alors papa on va où ? "
Cette question était sans intérêt à mes yeux du moment que je peux passer du temps avec mon père je suis aux anges, puis je me dis que je pourrai profiter de l'occasion pour parler de maman.
Vétéran
Puf/Surnom : Ray
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Le personnage
Sexe du perso: Masculin
Âge du perso: 89 lunes
Mentor / apprenti :
Étoile Fragmentée
Ven 27 Oct 2017 - 15:53
[quote="Fragment de Neige"]
• À l'aube d'une nouvelle Vie, d'une nouvelle famille •
J’avais toujours dit que vivre dans le mensonge me rendait fou. Ça me perçait le cœur de mentir ainsi. De mentir tout court. De m’empêcher, où d’être empêché par une force supérieure de dire la vérité. Vivre dans le mensonge était un terrible mode de vie, que pourtant beaucoup de traîtres avaient adopté sans même broncher. Comment faisaient-ils pour se séparer de ce poids mortel qui pesait sur mes épaules quand je me voyais obligé de cacher la réalité, la dure réalité, à Petit Noir ? Le pauvre. Il n’avait jamais mérité cela. Personne ne méritait cela, de se retrouver sans parents, plongé, noyé dans le mensonge jusqu’au cou. Quelle était cette force supérieure qui me forçait à mentir ? Ma conscience. La culpabilité ne prenait pas le dessus sur la compassion, et je m’en voulais. Je ne voulais pas blesser le chaton noir et ça me tuait de l’intérieur. Lui, il n’en savait rien. Il ne devinait rien de toute cette mascarade. Comment l’aurait-il pu ? Il devait rester dans cette insouciance. C’était le mieux que l’on puisse faire pour lui. Je ne comptais pas lui révéler la vérité. C’était une autre affaire pour Bourrasque Hivernale. Je savais qu’il n’était pas facile de prendre sous son aile et d’aimer un chaton qui n’était pas de soi, qui n’était pas le sien. Je devinais la difficulté à l’intégrer comme ses frères et sœurs. Mais je reprochais aussi à ma compagne de ne pas faire les efforts nécessaires pour. Il fallait que nous ayons une discussion sérieuse à ce sujet.
Pourtant, il n’avait pas l’air malheureux. L’enfance qui le berçait le protégeait par la même occasion. Je laissais échapper un sourire en croisant son regard. Ou alors c’était ma présence qui me rendait si enthousiaste, si heureux. Peut-être que le simple fait de me voir lui avait donné le sourire. Si c’était le cas, j’étais heureux. Petit Noir se leva, des paillettes dans les yeux. J’aimais ce sentiment qu’il me procurait, ce sentiment d’être aimé, respecté, admiré par mon fils. Je renonçais à l’appeler autrement que mon fils, peu importe ce qu’en dirait. Bourrasque Hivernale. J’étais un adult, je n’avais pas besoin de me faire dire ce que je devais penser et faire, et sûrement pas avec un chaton. Il me fit cependant de la peine. J’eus un pincement au cœur en le voyant comme cela, seul, au milieu de la Pouponnière, loin de Bourrasque Hivernale. Je ne savais pas lequel des deux avait décidé de cela, mais je soupçonnais très fortement la petite guerrière ; je ne pensais pas Petit Noir capable de s’isoler tout seul, de son plein grès. Il pouvait aimer la solitude, dormir ainsi n’allait pas à un chaton de son âge. Puis il se leva, chassant mes pensées, heureux comme tout de le voir l’appeler, avant de bondir hors de la Pouponnière et de s’arrêter juste à mes pattes, impatient. "Alors papa on va où ?" il me demanda, assis. Son enthousiasme était contagieux pour moi. Je ne pouvais pas me permettre de faire le gamin, et pourtant j’en mourrais d’envie. Mais dorénavant, j’étais lieutenant, il fallait que je prenne des responsabilités dignes de mon poste.
"Nous allons au Vieux Chêne, je vais te faire découvrir un peu le territoire" je lui glissais, accompagnant mes mots d’un clin d’oeil, avant de sortir du camp, laissant derrière moi la clairière principale. Je marchais alors à une allure modérée, ne voulant pas essouffler inutilement Petit Noir qui devrait s’accrocher et utiliser ses petites pattes de chaton. Le Vieux Chêne n’était pas bien loin mais ça risquait de faire une petite trotte pour le chaton au pelage noir. Alors que le vent sifflait doucement dans nos oreilles et que la fraîcheur du matin était progressivement chassée par le soleil, je finis par trouver juste de parler à Petit Noir de ses futurs frères et sœurs. Voir sa réaction m’intriguait. Je tournais légèrement la tête dans sa direction et miaulais, tout en continuant d’avancer : "Tu as hâte d’avoir des frères et sœurs, Petit Noir ?" C’était une question idiote et pourtant, elle avait du sens. La réponse que m’apporterait Petit Noir aurait bien plus de valeur.
• À l'aube d'une nouvelle Vie, d'une nouvelle famille •
Ray ft. Blacky
Pourtant, il n’avait pas l’air malheureux. L’enfance qui le berçait le protégeait par la même occasion. Je laissais échapper un sourire en croisant son regard. Ou alors c’était ma présence qui me rendait si enthousiaste, si heureux. Peut-être que le simple fait de me voir lui avait donné le sourire. Si c’était le cas, j’étais heureux. Petit Noir se leva, des paillettes dans les yeux. J’aimais ce sentiment qu’il me procurait, ce sentiment d’être aimé, respecté, admiré par mon fils. Je renonçais à l’appeler autrement que mon fils, peu importe ce qu’en dirait. Bourrasque Hivernale. J’étais un adult, je n’avais pas besoin de me faire dire ce que je devais penser et faire, et sûrement pas avec un chaton. Il me fit cependant de la peine. J’eus un pincement au cœur en le voyant comme cela, seul, au milieu de la Pouponnière, loin de Bourrasque Hivernale. Je ne savais pas lequel des deux avait décidé de cela, mais je soupçonnais très fortement la petite guerrière ; je ne pensais pas Petit Noir capable de s’isoler tout seul, de son plein grès. Il pouvait aimer la solitude, dormir ainsi n’allait pas à un chaton de son âge. Puis il se leva, chassant mes pensées, heureux comme tout de le voir l’appeler, avant de bondir hors de la Pouponnière et de s’arrêter juste à mes pattes, impatient. "Alors papa on va où ?" il me demanda, assis. Son enthousiasme était contagieux pour moi. Je ne pouvais pas me permettre de faire le gamin, et pourtant j’en mourrais d’envie. Mais dorénavant, j’étais lieutenant, il fallait que je prenne des responsabilités dignes de mon poste.
"Nous allons au Vieux Chêne, je vais te faire découvrir un peu le territoire" je lui glissais, accompagnant mes mots d’un clin d’oeil, avant de sortir du camp, laissant derrière moi la clairière principale. Je marchais alors à une allure modérée, ne voulant pas essouffler inutilement Petit Noir qui devrait s’accrocher et utiliser ses petites pattes de chaton. Le Vieux Chêne n’était pas bien loin mais ça risquait de faire une petite trotte pour le chaton au pelage noir. Alors que le vent sifflait doucement dans nos oreilles et que la fraîcheur du matin était progressivement chassée par le soleil, je finis par trouver juste de parler à Petit Noir de ses futurs frères et sœurs. Voir sa réaction m’intriguait. Je tournais légèrement la tête dans sa direction et miaulais, tout en continuant d’avancer : "Tu as hâte d’avoir des frères et sœurs, Petit Noir ?" C’était une question idiote et pourtant, elle avait du sens. La réponse que m’apporterait Petit Noir aurait bien plus de valeur.
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Sam 16 Déc 2017 - 17:43
|| UP ||
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Lun 15 Jan 2018 - 19:10
// SECOND UP //
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Ven 16 Fév 2018 - 20:45
|| J'archive, mp au besoin pour récupérer ||
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