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Roman by Kinder.

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Invité
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 Sam 18 Oct 2014 - 12:28
Hello les gens ! En ayant regarder le sujet de Petit Sureau, je me suis dit que je devais aussi exposer mon début de roman. Surtout, soyez francs, même si c'est négatif. :'3 Je ne suis pas d'un très haut niveau, hein, alors je comprends les conseils, corrections d'orthographes et autres mais ce que je ne pourrais pas supporter c'est les remarques méchantes, agressives et vulgaires. Même si le roman ne vous plait pas et que vous trouvez ça nul, je vous prie de rentrez votre langue de chat bien râpeuse et de faire appel à votre mémé pour vous coudre la bouche ! Bon, allez, finit le blablatage, je me lance ! :'D

Je sais. Oui je sais. Je suis fan des balades. Mais en même temps ? N’est-ce pas normal ? Tout le monde devrait aimer les balades. C’est un moment de détente et de repos. Et le mieux, c’est quand tu es seul. Ça te permet de respirer un peu et d’avaler tout tes soucis. De tout évacuer. Même si un peu de compagnie ne fait de mal à personne, la solitude est quelque chose que j’aime beaucoup. Ensuite, dans une balade, il faut bien choisir le moment où tu y vas. C’est très important. Que ce soit le matin, le midi ou bien le soir, ce n’est pas pareil. Le matin, par exemple, tu as l’herbe fraiche de la rosée qui vient de chatouiller les pattes. C’est très agréable. Le midi, c’est l’heure la plus chaude, et puis, tu as cette sensation que quand tu vas rentrer au bercail, un bon diner t’attendra. Et cela te réchauffe le cœur. Et puis le soir, c’est encore mieux. Tu es encore plus isolé. Tu as les étoiles pour te tenir compagnie. Et puis, la nuit, c’est beau. Aujourd’hui, j’en entame une nouvelle. J’ai choisi d’y aller le midi, un peu de soleil ne peut me faire que du bien. Moi, Chipie, une chatte au pelage noir nocturne. Aux yeux ambrés comme le zénith. Et au cœur rouge comme la bonté et l’amour. Je sors de la maison de mes maîtres, par le petit trou que mon Sanfou à fait. A peine sortit, il me lance comme à chaque fois :
<< Ne t’éloigne pas trop de la maison surtout ! >>
Mais oui, bien sûr, pourquoi je m’éloignerais quand un magnifique champ d’or s’offre à moi à quelques pattes d’ici ? Soupirant, une fois de plus, je m’élance à travers le champ en courant. Le museau au vent, j’envoie valsé les épis, à travers la vaste étendu d’azur. Que de bonheur, que de bonheur. Il fait beau, il fait bon, tout pour une bonne balade avec le sourire. Heureuse, je continue mon chemin, sans m’apercevoir que je suis presque à la fin du champ. Je le vois enfin, quand je sens mes coussinets entrer en contact avec une autre matière. Ce n’était plus les doux épis, mais autre chose. De la terre, certes, mais sèche, très sèche. Aucunes pousses, aucuns points d’eaux… Où étais-je ? Curieuse, je m’avance de plus en plus loin. Et au bout de quelques minutes, le chemin s’arrête. Plus de terre sèche, mais rien. Le vide. Je m’approche doucement du gouffre, méfiante. Je regarde le trou noir, avec un frisson glacial.
Je n’aimerais pas tomber là-dedans. Pensais-je horrifiée.
Mais malgré ma peur du vertige, la curiosité m’emporta. Je repère un petit rocher, engouffré dans la falaise. Je me dis que marchant dessus, je pourrais voir un peu plus ce qu’il y a en bas. Méfiante, mais déterminée, je descends ma patte délicatement, et la pose sur le rocher. Mais celui-ci, n’est pas assé large. Ma patte glisse. Je m’agrippe de toutes mes forces avec mes griffes pour ne pas tomber, mais je perds mon équilibre, et tombe à la renverse.


<< Qui est-ce… ? Tu penses qu’elle va s’en sortir ? >>
<< Je ne sais pas, mais elle a eu un sacré choc. >>
Mon esprit est trouble, j’entends à peine quelques murmures. Ma tête est lourde, et elle me fait terriblement souffrir. J’ouvre les yeux faiblement. Tout est flou. J’aperçois des silhouettes penchées sur moi. Puis une voix :
<< Elle ouvre les yeux, elle ouvre les yeux ! >>
J’essaye de me lever, mais je titube aussitôt.
<< Doucement, doucement. >>
Une créature au pelage lisse et noir avec des rayures blanches m’aide à me relever. Encore sonnée, je ne m’aperçois pas encore de la masure de la bête. A présent, je vois bien. Je distingue enfin la silhouette… C’est une très grande créature aux grandes oreilles et aux longues pattes. Paniquée, je pousse un cri strident et recule de quelques pas. Mais je gémis de douleur. Ma patte me fait souffrir. La bête s’approche de moi et fait un bruit bizarre :
<< Ne t’inquiète pas, nous ne te voulons aucun mal ! >>
Alors que la bête s’approchait de plus en plus, une autre, semblable apparue ! Mon cœur battait à fond. Qu’était ces… Monstres ? Je n’arrive même plus à crier tellement ma panique augmente. Je préfère m’enfuir. Courant à toutes jambes vers la direction opposée. Qu’est-ce que je fais ici ? Qu’est-ce qui m’arrive ? Que se passe-t-il ?!! Je ne me souvenais de rien. Comment, où, pourquoi, quand, qui ? Je m’arrête. Toujours sous le choc. Je fonds en larmes. Perdue, à travers cette immense étendue d’herbes sèches.

De l’herbe sèches, jaunâtres. Quelques arbres, isolés. Des ondes de chaleurs très fortes. C’est ce que planent autour de moi. Je me sens perdue, seule au monde. Mais au moins, il y a une chose que je sais. Je ne retrouverais pas mes Sanfous. Je pousse un long soupir et m’assoie. Ici, rien n’est à l’abri du danger. Je ferais mieux de me cacher. Mais où ? Le désespoir s’infiltre de plus en plus en moi. Mes yeux floutent à cause mes larmes infinies. Un miracle ? Juste un tout petit ? Impossible. Ça n’existe pas. Il n’y a aucun espoir. Je le sais. J’inspire difficilement commence à faire ma toilette. Il faut que je trouve un endroit à dormir. Mais ce qui me rassure, c’est que je ne risque pas de mourir de froid. Mais plutôt peur. Comment ne pas frissonner dans cet endroit inconnu, vaste et effrayant ? Plus tôt j’aurais trouvé un endroit ou me cacher, plus tôt je serais à l’aise. Je me lève et marche à mon rythme. J’observe les alentours. Un arbre ou un rocher serait le plus approprié. J’aperçois, au loin, un grand rocher un peu tordu collé à une falaise recouverte de lierre.
Ça fera l’affaire.
Je trottine en direction de celui-ci, toujours aussi méfiante. Mon ombre grandie sur le rocher au fur et à mesure que j’avance. Arrivé à ce dernier, je le renifle, regarde tout autour, puis finit par trouver une ouverture. Un creux dans le roche, dissimulé par du lierre. J’y passe ma tête. Tout est noir. J’hésite à m’avancer, mais c’est plus fort que moi. Je m’engouffre encore plus profondément dans cette grotte nocturne. Quand enfin, j’aperçois une lueur au loin, je suis déjà épuisée. Mais je continue. Faire mon nid dans le noir ne sert à rien. J’arrive à la sortie lumineuse. La grotte continue toujours mais ce n’est plus de la pierre, mais du lierre. Il en jonche des deux côtés de la grotte. Mon pelage les frôlent tellement c’est étroit. Je me demande si je trouverais un jour un endroit confortable pour y coucher. Comme si on avait entendu mes pensées, les parois devenirs de plus en plus larges et un cu de sac apparu. Je pensais que j’étais foutue, mais quand je commençai à faire les cents pas, ma patte lâcha prise, et je fis entrainer dans un trou. J’ai beau crié, essayer de m’accrocher de mes griffes, le trou continue, et je tombe, tombe… Puis j’heurte le sol. Je suis sonné, mais pas évanoui. Je me relève, et m’ébroue. J’observe les alentours. Une vaste étendu de sable recouvre le sol. Les parois de lier sont toujours là. Et un petit ruisseau s’écoule dans un creux, vers le fond de la tanière. La lumière y passe, grâce à une petite ouverture sur le mur de terre, en haut.
Et, bien, je crois que j’ai touché le grelot ! Je vais bien m’y plaire ici.
Le sourire aux lèvres, je fais le tour de l’antre paradisiaque et trouve, vers le petit ruisseau, de la mousse. J’entreprends de bien la déterrer avant de la prendre dans la gueule. Je choisie un endroit et y va faire mon nid. Je fis plusieurs voyages jusqu’à ce que j’estime que mon nid soit bien douiller, et fin prêt. Je construis ensuite quelques branches autour, pour que je me sente plus à l’aise. Puis je vais boire au ruisseau, toute joyeuse. Je ne repense même plus à mes Sanfous. Quand j’eu fini de boire, de faire ma toilette, et un petit somme, je sors de mon antre par le trou en haut, en me servant d’un rocher. La lumière du jour me brûle les yeux. Ici, c’est beaucoup plus danse. Je me trouvais sur une colline, entouré d’une rivière.
J’ai dû faire un long chemin pour arriver jusqu’ici.
Mon ventre gargouilla. J’ai tellement faim. Je me dis qu’il est temps de chasse. J’hume l’air. Je sens tout de suite le fumet du gibier. Une souris. Je me tapis au sol et commence à ramper, suivant on instinct de chasseuse. Je commence à sentir les ondes des pas de la souris. Je suis ces dernières. La souris apparait. Je roule sous un buisson. J’observe discrètement ma future proie. Quand je suis fin prête, je bande mes muscles, sors mes griffes, dévoile mes crocs et bondit. La souris pousse un cri paniquée, mais elle n’as pas le temps de s’enfuir. Avant qu’elle comprenne ce qui lui arrive, je l’attrape par la queue et l’assomme à terre. Avant de lui infliger la morsure fatale à la nuque. Queue et tête haute, je marche hardiment, en direction de mon refuge. Je lâche ma proie dans le trou, puis m’engouffre à mon tour……………………………………………..














Voilà. J'ai du mal à continuer, donc j'aimerais votre avis. Roman by Kinder. 2049336592
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 Sam 18 Oct 2014 - 21:31
Mauvais endroit. Je déplace.


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