Poussière d'Etoile ~: And the stars are shining inside my heart, and the stars are dancing inside my soul, and the stars are laughing inside my cries~
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Fiche d'identité
• Sexe : Femelle
• Âge : 19 lunes
• Groupe : Tonnerre
• Rang : guerrière
• Si apprenti, quel est ton mentor : x
• Famille : Mère : Douce Lueur
Véritable Père : Saturnis
Père Adoptif : Rive Désertique
Frère-Coyote de Marbre
Soeur-Elegance Florale
• Trait distinctif/principal : Philosophe
Poussière d'Etoile
« :
And I dream for a best future. ‘Cause I can’t do anything else.»
But :
Je veux, nous formulons toujours nos souhait en débutant par cette phrase. Pourquoi, pourquoi au fond nous entêtons nous à nous ressembler ? Je n’ai jamais vraiment compris. Moi, je ne veux rien. Mon souhait le plus cher commence par un “je ne veux pas” ou un “je refuse”. Je ne veux pas m’éloigner de mon frère, je ne veux pas que se soit diffèrent d’avant, je ne veux pas que ma mère me regarde comme une inconnue, je ne veux pas que mon père soit déçu. Je ne veux pas de la haine. Je n’en veux plus.
Physique
Ses yeux sonde le lieu. Elle cherche une flaque, une étendue d’eau. Elle veut se voir, elle veut voir son visage. Alors elle cherche. Et puis elle trouve et lentement, s’approche puis se penche. Et elle se voit. Elle recule, presque déçue. Elle n’a pas changé, elle se sentait différente mais rien n’a bougé. Alors, malgré elle, elle s’approche une deuxième fois et se force à se voir.
Poussière d’Etoile ne se trouve pas belle. Elle n’est pas imposante, sa chair est molle et son peu de muscle ressort trop vivement. Laide. Le mot s’impose en elle mais elle se fait violence pour passer outre. D’elle s’échappe une extrême impression fragilité, elle paraît sur le point de s’écrouler. Ses pattes sont maigre, ses côtes saillantes et sa fourrure colle à sa peau, comme pour dénoncer la maigreur. Elle est maigre oui, si maigre.
Son pelage se trouve négligé, comme si elle ne s’en occupait que rarement. Sec et dépourvu de toute lueur, comme applati sur elle. Elle veut détourner le regard, ne plus voir ce gris pâle affreux, ce gris roche avec ce dos raturé d’un gris plus sombre. Elle le déteste ce pelage grisâtre et terne. Pourtant malgré elle, elle observe son ventre d’un gris plus effacé et continue à se dévisager. Et tout au bout de sa queue, le gris prend des nuances davantage sombre, un sorte de noir-gris.
Il y a ses yeux qu’elle aime autant qu’elle déteste. Ses yeux d’un bleu azur, d’un bleu si fulgurant. Ses yeux, cela qui ne soutienne pas le regard de sa mère. Qu’elle n’appelle mère que dans sa tête.
Et puis s’en est trop. Elle ne supporte plus la vision du petit corps frêle et fragile et elle se recule. Elle en déjà trop vu.
Caractère
Philosophe-Rêveuse-Très discrète à son propos- peu confiante en elle- pessimiste - réfléchie- Perd très vite le contrôle d’elle en cas de problèmes -Anxieuse - Peur de blesser - Esprit du sacrifice - digne de confiance -Pacifique - Effacée- Perseverante- Reprend petit à petit goût à la vie
La petite créature prend sur elle, elle se dit qu’elle doit insister, que abandonner ne la mènera nulle part. Et elle se dresse et essaie, à nouveau. Se voir, elle doit se voir. Elle se résout à tenter jusqu’à ne plus le supporter. Elle doit avancer. Alors, les deux regards bleu glace s'emboîtent pour parler. Ce langage qu’elle seule connaît.
Elle se connaît, oui et elle peut dire qu’elle est philosophe. Le fragile être qu’elle est apprécie réfléchir à des questions sans réponses, à s’interroger sur des choses qui la dépassent. Quand on fuit dans notre tête à chaque problème, on apprend à réfléchir et à se concentrer davantage sur les pensées que sur les paroles ou les actes.
Poussière d'Étoile cligne doucement des yeux, comme pour effacer le monde quelques secondes. Elle a juste besoin de l’oublier, son monde à elle; Alors elle s’échappe, elle va là où elle peut aller. Dans ses rêves. Depuis toute petite, sa vie elle se passe dans sa tête. Alors, elle est rêveuse, oui mais elle n’a pas choisi de l’être. Elle s'est juste adaptée parce qu’il n’y avait que cette ultime solution. Se mettre à l’abri dans ses rêves, là où elle sera toujours en sécurité.
Les yeux de la chatte au pelage de marbre ouvre ses yeux à nouveau et les plonge encore dans son reflet, dans cette flaque qui lui sert de miroir. En elle monte l’envie de partir, d’arrêter ça parce que ça ne changera rien ! Mais elle reste. Elle doit avancer peu importe ce que ça lui coûte.
Ceux qui la connaissent bien affirme qu’elle est très discrète à son propos. Qu'elle ne parle jamais d’elle, encore moins de ce qu’elle ressent. Qu’elle n’explique jamais ce qui lui fait mal et pourquoi elle est comme ça, enfermée dans des pensées et des rêves qui n’iront jamais plus loin. Elle n’aime pas parler d’elle et ne le fait jamais. Elle ne se met pas en avant, jamais, contrairement aux autres.
Elle se dit que des fois, elle en a marre d’être elle. La fragile créature envie ces autres avec leur sourire si franc, avec leur yeux pétillants, leur optimisme et leur confiance. Elle aimerait leur ressembler, ne plus être si peu confiante en elle. Mais elle n’y arrive pas. Elle ne supporte pas les regards des autres et dès qu’elle attire l’attention, elle se sent au plus mal. Comme si elle avait fait une faute, une gaffe, une action interdite. Et elle n’aime pas. Ce frisson quand tous les autres se tournent vers elle pour la regarder, entendre ce qu’elle a à dire. Pour elle, elle n’a rien d’intéressant à dire. Elle n’est pas les autres, elle n’est pas charismatique et à l’aise à l’orale. Elle se sent comme rien, juste une poussière et c’est pour ça que son nom lui va à merveille.
La petite féline s’assoit. Elle ne sait pas ce que l’avenir lui réserve, elle a toujours l’impression de toucher le fond avant de tomber, encore plus bas. Avant elle imaginait le meilleur, maintenant elle imagine le pire. On la dit pessimiste. Et c’est vrai, mais comment faire autrement ? Qui peut franchement lui reprocher ? Elle se souvient d’avant quand elle croyait au miracle, quand elle se disait que sa vie allait s’arranger, que si sa mère n’était pas sympa, elle allait le devenir parce que Poussière d’Etoile allait lui montrer sa valeur ! Et rien de tout ça ne s’est passé. Puisqu’elle n’est pas dans une histoire romancée raconter par les anciens. Elle n’est l'héroïne de rien et sans doute qu’il vaut mieux. Si on racontait son histoire, se serait une tragédie. Alors elle se prépare à un futur qui ne lui fera que du mal, au moins, elle ne sera pas surprise par la tournure que prennent les événements, comme c’était le cas avant, quand elle croyait que tout pouvait s’arranger.
A force de s’effacer, la délicate silhouette a fini par développer un côté très réfléchie. Elle se protège à sa façon et sa façon, c’est de s’enfuir dans son mental. Comme elle le fait toujours et comme elle l’a toujours fait.
Et pourtant, elle n’a pas tellement changé, au fond d’elle, elle n’a jamais su se contrôler en cas de problème et elle est restée comme ça. A croire que c’est gravé, gravé dans le temps, qu’elle doit rester comme ça pour l’éternité. A croire que c’est normal qu’elle perde facilement le contrôle d’elle en cas de problème.
Et depuis sa naissance, la femelle est toujours aussi anxieuse, toujours si angoissée pour tout et pour rien.
Et il y en elle cette peur, cette peur qui ne s’en va pas, ne s’en ira jamais parce que c’est ainsi qu’elle est. Cette angoisse permanente, cette hantise, qui la poursuit, toujours. Elle a toujours peur de blesser. Peur de dire la parole de trop, peur d’enfoncer le couteau dans la plaie comme on dit, peur de toucher un point sensible de l’autre. Cette peur de faire mal parce qu’elle connaît la douleur, elle sait ce que c’est.
Et sans surprise, Poussière d’Etoile a un esprit du sacrifice. elle n’a pas peur de prendre elle, encore moins de mourir pour un autre. C’est ainsi qu’elle est, toujours a penser aux autres, à les rendre heureux, ou tenter, à son dépit.
Digne de confiance, elle ne trahira jamais un autre, jamais ses paroles, jamais ses promesses. Elle est de ce genre de chat qui reste un tombeau sur tout ce qu’on lui dit. Jamais elle ne sera capable de faire un coup “fourbe”, parce qu’elle ne peut pas, n’est pas comme ça.
Plutôt pacifique, elle fait partie de ceux qui favorisent les solutions sans violence, bien qu’en dernier recours elle sache en faire preuve. Toujours à réfléchir à une façon de résoudre un conflit d’une manière pacifique, toujours à essayer d’éviter les blessures, la violence.
Et persévérante, malgré tout. Poussière d’Etoile n’abandonne pas, jamais. Elle s’acharne, continue jusqu’à parvenir à ses fins.
Enfin, avant tout, on peut dire qu’elle reprend petit à petit goût à la vie. Tout doucement, elle essaie, de vivre, vivre pour de vrai. C’est ce genre de battante qui veut se relever. Elle a chuté, de haut mais cela ne veut pas dire qu’elle puisse reprendre de la hauteur. Alors, elle redonnera un sens à sa vie.
Histoire
Et elle ferme les yeux pour se rappeller car même si elle déteste les souvenirs, elle ne peut pas les oublier. Ils sont en elle et ressurgisse toujours, d’une façon ou d’une autre.
Vous pensez pouvoir me comprendre, vous pensez que j’ai surréagi. Ma mère ne m’aime pas. Ma mère me déteste, me renie. Je n’existe pas, je ne suis pas sa fille. Et alors quoi ? Quoi, je vais mal à cause de ça ? A cause du rejet de ma mère ? Oui. Oui, ça me fait mal, si mal de voir dans son regard cette indifférence. Je rêve, j’ai toujours rêvé, qu’elle me désigne comme sa fille. J’ai toujours souhaité l’appelé maman et qu’elle me réponde. Mais à ses yeux je n’existe pas. d’aussi loin que je me souvienne, ça a toujours été comme ça. Sinon, c’était juste de la haine à mon égard. Et j’aurais voulu, j’aurais voulu qu’un jour, elle m’aime pour de vrai. Qu’elle me voie, pas comme un fardeau, pas comme une honte mais comme sa fierté. Elle n’a de yeux que pour ma soeur, Elegance Florale. Cette soeur, cette soeur qui lui accapare toute l’attention. Cette soeur qu’elle aime comme sa fille et plus d’ailleurs. Ce n’est pas juste. Pas juste que se soit elle, qui est toute la considération. Moi aussi, je la veux, cet amour ! Et je n’ai jamais compris pourquoi. Pourquoi elle me déteste, pourquoi elle ne me voit pas vraiment. qu’est ce que j’ai fais ? Qu’est ce que j’ai fais de si mal ? Toute mon enfance, j’ai cherché à comprendre. La raison. Je n’ai jamais trouvé, jamais su pourquoi. Pourquoi selon elle, je n’étais pas sa fille.
Et quand tout a commencé, quand je suis née, avais je déjà disparu dans sa tête ? M’a t’elle regardé avec amour ou haine ? Est ce qu’avant, avant que j’ouvre mes yeux, mes maudits yeux, m’aimait elle ? Je le sais, je le sais que mes yeux lui déplaisent. Ces yeux là qui n’ont jamais su soutenir son regard. Je le sais qu’elle les déteste, qu’il y a quelque chose qu’elle voit dedans qui lui déplait. Mais quoi ? Je sais que mon frère a les même, les même yeux bleus glacés. Et que lui aussi, elle le renie. Mais pourquoi, à la fin ? J’aimerais tellement savoir. Et jamais j’aurais le courage de lui demander.
Ma vie commence là dessus, sur ma naissance, avec ma mère qui m’a regardé, ou peut être pas. Peut être m’aimait elle vraiment au début. Peut être. Je ne sais pas si s'accrocher à cet espoir là me fait du bien, ou au contraire du mal.
Nous étions trois, trois enfants de Douce Lueur. Petite Boule Fleurie, Petit Coyote et moi Petite Poussière. Je n’ai jamais compris pourquoi mon nom était si triste. Poussière. Comme si je n’étais rien. Comme si un coup de vent pouvait m’effacer. Peut être que d’une certaine façon c’est vrai.
Et très tôt, ma mère m’a détesté, jusqu’à me renier. Me renier. Et jamais son regard ne m’a témoigné d’affection. Pourtant, dès qu’elle regardait Petite Boule Fleurie, une affection sans limite s’échappait. J’étais jalouse. Tellement jalouse. En moi, ça enflait, ça débordait et ça sifflait de rage. Je ne comprenais pas pourquoi ma soeur méritait toute l’affection. Je voulais existe. Je voulais exister à ses yeux.
Et il y avait Petit Coyote. Lui aussi rejeté à cause de son regard. Mon repère, mon point d’appui. Il était là. Là pour combler l’amour qui me manquait. Il savait ce que ça faisait d’être rejeté par maman, il comprenait. Il me protégeait. Comme un vrai frère. Je ne sais pas ce que j’aurais fais sans lui. Ou du moins ce que j’aurais été. Ce qui serait resté de moi. Nous avons toujours été proches. Sans doute parce que nous partagions le même fardeau.
Puis j’ai grandis. Ma “mère” ne s'occupait plus de moi de toute façon, elle m’avait allaité puis m’avait laissé me débrouiller. Pourquoi s'encombrer de quelqu’un qui n’était pas vraiment sa fille ? Plus rien ne nous liait.
J’ai grandis, donc, je suis devenue apprentie. Alors, je sais pas ce qui s’est passé mais c’est comme si j’avais décidé de tout abandonner. Ma vie ne valait rien. Je n’avais qu’un ami, mon frère. Je jalousais ma soeur, ma mère me reniait et mon père restait sympa, sans plus. Quelle vie palpitante ! C’était inutile de tenter de lui redonner un sens. Je me suis donc enfuis dans une bulle, je me suis effacée du monde. Parce que ça ne servait à rien. Ma mère ne m’aimerait jamais. Je suis devenue un fantôme, une ombre parce que la vie n’en valait plus la peine.
Bien sûr, à cause de ça, je me suis éloignée de mon frère, un de mes seuls amis. Je regrette mais le mal a été fait. Je ne voulais plus aimer. Plus ressentir. Parce que la déception était un sentiment affreux, comme la jalousie et la tristesse.
Et puis un jour, je ne sais pas pourquoi je me suis réveillée. J’ai décidé que c’était pas ça la vie que je voulais avoir. Que c’était pas ce que je voulais devenir. Que je valais mieux que ça. Que c’était pas une vrai vie.
Et j’ai décidé que je me battrais pour que ma vie est une valeur.
Derrière l'écran
Ton petit puf/surnom (si tu en as un) :
Qu'est-ce qui t'a mené ici ? :
As-tu déjà rp ou est-ce la première fois ? :
Codes du règlement :Et c'est une validation ! (t'as un problème avec le code Moony ? e.e) -vous allez les chercher loin -
Autre chose à dire ? : J'aime Pousette ?
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
[Il va bien aussi avec nyan cat /PAN/]
J'espère bien qu'elle va reprendre goût à la vie son histoire est touchante, chapeau, c'est que tu as une sacrée plume toi aussi elle me fait penser à moi avec sa petite bulle :)
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Je suis d'accord pour le nom xDD
Et bien sûr qu'elle av reprendre gout à la vie, je l'aime trop pour qu'elle souffre plus
ça me fait super plaisir ce que tu dis
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Je valide les codes ET JE VALIDE LE FAITE QUE MU' ET POUSSETTE SERONT LES MEILLEURS /paf/
EDIT: Et au passage, je te mets ta couleur (que je suis fière /paf/)
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Omg, elle est tellement mignonne en vrai, j'ai hâte de mettre en place les liens prévus et surtout de la voir en action
Le personnage
Sexe du perso: Mâle
Âge du perso: 31 lunes
Mentor / apprenti : Nuage de Nuit
cette demoiselle est géniale, dommage que je n'ai pas de personnages au Tonnerre !
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Je suis d'ac' Orenji et merci
Moi aussi j'ai hâte, Ocy
Power au pire fais un dc au toto ? /Paf/