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Jeune recrue
Puf/Surnom : Milady Pearl
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Le personnage
Sexe du perso: Mâle
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Eddie
Mar 19 Mar 2019 - 20:01
∞ Sunset
Eddie & Croc Blanc
Le soleil tapait à l'horizon. Malgré que la lune allait bientôt prendre sa place dans quelques heures à peine, l'astre semblait toujours déterminé à réchauffer le félin, allongé au bord de l'eau. La journée semblait être passée vite, trop vite même, malgré qu'elle ne soit pas terminée. Après avoir voyagé toute la journée, il avait finalement trouvé un calme mérité auprès d'un géant lac. La légère brise faisait chanter l'eau qui se mettait à faire de doux sons. Le solitaire avait effectivement passé sa journée à jouer les escaladeurs dans la ville des Bipèdes. Grimpant leurs barrières, ou encore leurs monstres, il s'était fait à chaque fois chassé par les deux pattes sans poils, ou par leurs immondes cabots. Ed' avait finalement abandonné la ville après quelques heures, après qu'un de ces êtres dominants la ville l'avait finalement atteint et frappé sur la queue avec une étrange chose, une sorte de baton avec un bout tout plat. Même si il avait vécu chaton avec ces animaux sans poils, il n'avait jamais vu cet objet auparavant. Ou il ne s'en souvenait peut être plus. Quelques secondes après l'accident, il s'était rendu compte que sa queue saignait, mais la blessure n'était pas profonde, juste douloureuse au départ. L'hémorragie finis par s'arrêter après quelques coups de langues. Après cette joyeuse balade, il avait décidé de trouver refuge ailleurs pour aujourd'hui. Et c'est comme ça qu'il trouva ce magnifique lac. Il se contenta de se rouler sur le flanc, profitant de l'air frais, malgré qu'il aurait préféré être au chaud dans un nid douillé. Tout était calme. Trop calme peut être? Il ne semblait y avoir personne, pourtant le matou pouvait sentir une autre odeur dans les alentours. Non pas de gibier, mais de félin. Quoi que cela n'a pas vraiment de différence...
made by great thief.
Jeune aventurier
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Croc Blanc
Mer 20 Mar 2019 - 9:24
Sunset
eddie x croc blanc
Lorsque Croc Blanc ouvrit les yeux dans la grotte qu’elle avait pris comme habitat pour quelques lunes, la demoiselle sentit que la température avait baissé depuis cet après-midi et que les rayons du soleil n’était plus aussi éclairant, indiquant que la tombée de la nuit arriverait sous peu, peut-être d’ici quelques heures ; si elle préférait sortir de nuit pour protéger sa peau, elle avait aussi un cruel besoin de se dégourdir les pattes et de se désaltérer. La faim faisait grogner son estomac, mais elle ne se sentait pas prête pour une partie de chasse, elle n’arrivait à rien lorsque l’astre flamboyant traînait encore dans les parages ; elle préférait l’attaque surprise sur ses proies nocturnes et imprudentes qui se sentaient en sécurité dans l’obscurité de la nuit.
C’était les rayons ensoleillé qui avait dû la réveiller, elle n’en était néanmoins pas certaines mais elle ne voyait pas d’autres explications, car elle manquait encore de sommeil. Elle roula sur le dos et battit doucement des pattes comme un chaton jouant à se battre contre des ennemis imaginaires. Elle se renvoyait toute seule des lunes auparavant, où elle jouait à la bagarre avec son frère dans la clairière. Ils étaient déjà nommé apprentis et sa mère avait quitté la pouponnière depuis une lune ou deux mais elle continuait de veiller sur eux car ils resteraient à jamais ses chatons, ses petits.
Sa mère lui manquait parfois, lorsque ses pensées divaguaient. Mais elle la chassa de son esprit en s’ébrouant et quitta la grotte. Il était inutile de ressasser le passé, il fallait avancer. Il fallait aussi qu’elle trouve son père ; mais le soleil était trop bas pour qu’un domestique lui accorde une virée entre les nids de bipède. Et puis, elle avait besoin de boire, de toute façon. L’endroit le plus proche était bien sûr le grand lac ; parfois, lorsque le soleil se couchait, elle venait à ses abords, pour admirer un instant le paysage avant de fuir, de s’en aller.
Aujourd’hui, alors qu’elle souhaitait s’en approcher de nouveau, elle remarqua la présence incongru d’un solitaire, se prélassant au soleil. Il n’avait donc rien de mieux à faire lui ?
De là, elle pouvait voir sa carrure imposante et son long poil noir et blanc mais elle ne pouvait apercevoir son visage. Il avait, autour du cou, une étrange chose bleue. Si il avait les côtes saillantes et des cicatrices parsemant son pelage, Croc Blanc ne saurait dire s’il s’agissait d’un domestique battu par ses bipèdes ou un solitaire qui avait encore une appartenance à son passé. Décidant de ne pas prêter attention à cet animal qui possédait autant de cicatrices qu’elle — voir même plus — elle s’approcha de l’eau, à l’opposé de lui. Il était certain néanmoins qu’il apercevait la silhouette de la vagabonde. Ce serait naïf de penser qu’il ne l’avait même pas sentie. Elle le regardait parfois en lapant l’eau, inquiète de la voir approcher, de le voir l’aborder. Elle n’avait pas besoin de compagnie.
C’était les rayons ensoleillé qui avait dû la réveiller, elle n’en était néanmoins pas certaines mais elle ne voyait pas d’autres explications, car elle manquait encore de sommeil. Elle roula sur le dos et battit doucement des pattes comme un chaton jouant à se battre contre des ennemis imaginaires. Elle se renvoyait toute seule des lunes auparavant, où elle jouait à la bagarre avec son frère dans la clairière. Ils étaient déjà nommé apprentis et sa mère avait quitté la pouponnière depuis une lune ou deux mais elle continuait de veiller sur eux car ils resteraient à jamais ses chatons, ses petits.
Sa mère lui manquait parfois, lorsque ses pensées divaguaient. Mais elle la chassa de son esprit en s’ébrouant et quitta la grotte. Il était inutile de ressasser le passé, il fallait avancer. Il fallait aussi qu’elle trouve son père ; mais le soleil était trop bas pour qu’un domestique lui accorde une virée entre les nids de bipède. Et puis, elle avait besoin de boire, de toute façon. L’endroit le plus proche était bien sûr le grand lac ; parfois, lorsque le soleil se couchait, elle venait à ses abords, pour admirer un instant le paysage avant de fuir, de s’en aller.
Aujourd’hui, alors qu’elle souhaitait s’en approcher de nouveau, elle remarqua la présence incongru d’un solitaire, se prélassant au soleil. Il n’avait donc rien de mieux à faire lui ?
De là, elle pouvait voir sa carrure imposante et son long poil noir et blanc mais elle ne pouvait apercevoir son visage. Il avait, autour du cou, une étrange chose bleue. Si il avait les côtes saillantes et des cicatrices parsemant son pelage, Croc Blanc ne saurait dire s’il s’agissait d’un domestique battu par ses bipèdes ou un solitaire qui avait encore une appartenance à son passé. Décidant de ne pas prêter attention à cet animal qui possédait autant de cicatrices qu’elle — voir même plus — elle s’approcha de l’eau, à l’opposé de lui. Il était certain néanmoins qu’il apercevait la silhouette de la vagabonde. Ce serait naïf de penser qu’il ne l’avait même pas sentie. Elle le regardait parfois en lapant l’eau, inquiète de la voir approcher, de le voir l’aborder. Elle n’avait pas besoin de compagnie.
(C) CANTARELLA.
Jeune recrue
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Le personnage
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Eddie
Sam 23 Mar 2019 - 18:44
∞ Sunset
Eddie & Croc Blanc
Le solitaire commençait déjà à somnoler. La petite sieste réparatrice (mais pas pour sa queue) commençait déjà à lui faire du bien. Le soleil le réchauffait, comme pour le préparer à la prochaine nuit glacial. Heureusement que le pelage du félin était à poil long. Imaginez vous avoir un pelage court lors des périodes de froid quand on est solitaire? L'horreur absolue. Bon après, forcément, l'été vous avez trop chaud, mais on ne peut pas non plus tout avoir et être parfait.
Eddie resta à somnoler pendant un petit moment, la queue battante, sans pour autant dormir. L'odeur qu'il avait repéré quelques instants plutôt commençait à être un peu plus présente. Il ne bougea pas, il n'avait pas peur, juste méfiant et aux aguets. Si quelqu'un voulait lui voler sa place actuelle, la meilleure place pour profiter d'un peu de chaleur, le solitaire allait se battre sans la moindre hésitation. Personne ne lui disait quoi faire. Personne ne lui disait où se mettre. Bien sûr, on le commandait quant il était encore une pauvre petite boule de poils accroché à sa maman. Il obéissait même aux Bipèdes. Mais plus maintenant. Pas de confiance, pas d'empathie. Et surtout pas si on l'attaque en premier.
Il finit quand même par ouvrir un oeil. Sans bouger il découvrit au loin du lac une forme qui semblait laper le lac tout en l'observant de tant à autre. Ne voyant pas bien à cause de sa mauvaise vue et de ses blessures, le matou tenta de plisser les yeux pour essayer de mettre un nom ou du moins un mot sur la silhouette qui le fixait, au direct opposé du lac. Ed' remua une oreille. La forme semblait être un peu plus petite que lui, mais pas assez petite pour être un petit lapin des landes. Ca semblait être dépourvu de poils. Un gros rat peut être? Eh bien ce rat à du trop manger vu sa taille. Curieux, et détestant ne pas avoir de réponses, le félin se releva, laissant traîner un petit nuage de poussière qui se détacha de sa fourrure. Le solitaire s'étira, sentant ses os se craquer légèrement sous ses petites courbatures après sa course poursuite ce matin même. ll fit mine de disparaître dans les taillis. Son plan? Contourner le lac, caché dans la verdure qui l'entourait lui, l'immense flaque, et le "gibier inconnu". Le matou s'exécuta donc. Prenant soin de ne pas faire de bruit. Enfin il essayait de ne pas faire de bruit plutôt. Mais il n'était ni un chat des clans, ni un chat à la furtivité fulgurante. Surtout avec sa carrure. Le félin était plutôt associé au mot "achever" que "agilité" voyez vous. Après quelques minutes, et quelques bruits qui trahissaient sa présence malgré lui, le solitaire arriva derrière la chose qui le fixait de l'autre côté du lac. Il regretta un peu sa place au soleil, qu'il pouvait apercevoir de l'autre côté grâce aux rayons qui éclairaient l place, mais reprit sa traque. Ed' s'approcha, s'apprêtant à bondir et à écraser le gros rat, puis il se releva aussitôt. Raté. C'était un chat. Il aurait largement préféré que sa vision lointaine médiocre ne lui joue pas des tours pour une fois. Le bicolore aurait bien voulu manger un petit morceau. Il oublia l'idée de gibier mangeable, en grommelant, les griffes ressorties.
"Super. Je pensais que j'allais manger un bon repas moi ce soir."
Il resta grognons pour le moment. Ne vivant pas énormément près des clans, il ne pouvait pas savoir d'où provenait le félin inconnu. Le matou ne voyait toujours pas le visage de son interlocuteur surprise.
Eddie resta à somnoler pendant un petit moment, la queue battante, sans pour autant dormir. L'odeur qu'il avait repéré quelques instants plutôt commençait à être un peu plus présente. Il ne bougea pas, il n'avait pas peur, juste méfiant et aux aguets. Si quelqu'un voulait lui voler sa place actuelle, la meilleure place pour profiter d'un peu de chaleur, le solitaire allait se battre sans la moindre hésitation. Personne ne lui disait quoi faire. Personne ne lui disait où se mettre. Bien sûr, on le commandait quant il était encore une pauvre petite boule de poils accroché à sa maman. Il obéissait même aux Bipèdes. Mais plus maintenant. Pas de confiance, pas d'empathie. Et surtout pas si on l'attaque en premier.
Il finit quand même par ouvrir un oeil. Sans bouger il découvrit au loin du lac une forme qui semblait laper le lac tout en l'observant de tant à autre. Ne voyant pas bien à cause de sa mauvaise vue et de ses blessures, le matou tenta de plisser les yeux pour essayer de mettre un nom ou du moins un mot sur la silhouette qui le fixait, au direct opposé du lac. Ed' remua une oreille. La forme semblait être un peu plus petite que lui, mais pas assez petite pour être un petit lapin des landes. Ca semblait être dépourvu de poils. Un gros rat peut être? Eh bien ce rat à du trop manger vu sa taille. Curieux, et détestant ne pas avoir de réponses, le félin se releva, laissant traîner un petit nuage de poussière qui se détacha de sa fourrure. Le solitaire s'étira, sentant ses os se craquer légèrement sous ses petites courbatures après sa course poursuite ce matin même. ll fit mine de disparaître dans les taillis. Son plan? Contourner le lac, caché dans la verdure qui l'entourait lui, l'immense flaque, et le "gibier inconnu". Le matou s'exécuta donc. Prenant soin de ne pas faire de bruit. Enfin il essayait de ne pas faire de bruit plutôt. Mais il n'était ni un chat des clans, ni un chat à la furtivité fulgurante. Surtout avec sa carrure. Le félin était plutôt associé au mot "achever" que "agilité" voyez vous. Après quelques minutes, et quelques bruits qui trahissaient sa présence malgré lui, le solitaire arriva derrière la chose qui le fixait de l'autre côté du lac. Il regretta un peu sa place au soleil, qu'il pouvait apercevoir de l'autre côté grâce aux rayons qui éclairaient l place, mais reprit sa traque. Ed' s'approcha, s'apprêtant à bondir et à écraser le gros rat, puis il se releva aussitôt. Raté. C'était un chat. Il aurait largement préféré que sa vision lointaine médiocre ne lui joue pas des tours pour une fois. Le bicolore aurait bien voulu manger un petit morceau. Il oublia l'idée de gibier mangeable, en grommelant, les griffes ressorties.
"Super. Je pensais que j'allais manger un bon repas moi ce soir."
Il resta grognons pour le moment. Ne vivant pas énormément près des clans, il ne pouvait pas savoir d'où provenait le félin inconnu. Le matou ne voyait toujours pas le visage de son interlocuteur surprise.
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Jeune aventurier
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Croc Blanc
Ven 26 Avr 2019 - 22:55
Sunset
eddie x croc blanc
L’eau qui coulait le long de sa gorge lui faisait l’effet d’une glace qu’elle était en train d’avaler, tant l’eau du lac était froide en cette période. Malgré tout, cela lui faisait du bien. Jetant encore quelques coups d’oeils en face d’elle, Croc Blanc finit par remarquer l’absence du mâle noir et blanc. D’abord, elle continua de faire ce qu’elle était en train de faire, c’est-à-dire boire innocemment de l’eau. Pourtant, dans sa tête, un milliard de scénarios se mettait en marche, elle cherchait une explication à cette absence, elle avait d’ores-et-déjà bandé ses muscles, ses oreilles remuaient à la recherche du moindre bruit, ses griffes étaient de sorties. Si elle feignait l’indifférence, Croc Blanc était en réalité bien sur ses gardes, prête à faire volte-face si le matou décidait de s’attaquer à elle.
Elle sentait encore sa présence près du lac. Une sensation de soulagement la traversa lorsqu’elle l’entendit dans les buissons à sa gauche. Une mine amusée et un petit rictus se dessina sur son visage, se rendant compte que le solitaire ou le domestique manquait cruellement de discrétion. Elle avait décidé de rentrer ses griffes, ne sentant pas le danger. Néanmoins, elle avait tout de même pris la précaution de rester aux aguets, au cas où il déciderait de l’attaquer quand même.
Pendant un instant, son regard se perdit sur la place à laquelle il était, quelques instants plus tôt. Elle voyait là-bas le soleil, son pire ennemi, qui emplissait le lieu d’une aura admirable. Une aura qu’elle devait éviter à tout prix, elle était bien trop fragile pour cela.
Puis ses yeux bleues se perdirent dans son reflet dans le lac. Une onde déformait encore son visage sans poil, jusqu’à ce qu’elle découvre pleinement sa silhouette. Un nouveau sourire prit place sur son visage, elle savait qu’elle n’était pas forcément la plus attirante des félines, mais elle avait un charme et un regard qui mettrait n’importe quel mâle à ses pattes. Et pourtant, aucun n’était parvenu à traverser la barrière qu’elle avait établi, aucun n’avait encore pénétré en elle depuis toute son existence. Ses oreilles frémirent lorsqu’elle l’entendit à nouveau, tout proche d’elle.
« — Super. Je pensais que j'allais manger un bon repas moi ce soir. »
C’est à cet instant qu’elle lui lança un regard interloqué, à croire qu’il venait de la confondre avec une proie. Ne ressemblait-elle donc pas assez à un chat pour être confondue avec de quoi se mettre sous la dent ? Ce que le mâle noir et blanc ne savait pas, c’était qu’il avait affaire avec une femelle de caractère qui était aussi susceptible, et elle venait de prendre — malheureusement pour lui — son commentaire comme une insulte. Elle s’approcha de lui, dangereusement, ses yeux lançant des éclairs.
« — Tu ferais mieux d’ouvrir les yeux, cervelle de souris, si tu veux pas te faire bouffer par ce que tu prenais pour une proie. »
Elle sentait encore sa présence près du lac. Une sensation de soulagement la traversa lorsqu’elle l’entendit dans les buissons à sa gauche. Une mine amusée et un petit rictus se dessina sur son visage, se rendant compte que le solitaire ou le domestique manquait cruellement de discrétion. Elle avait décidé de rentrer ses griffes, ne sentant pas le danger. Néanmoins, elle avait tout de même pris la précaution de rester aux aguets, au cas où il déciderait de l’attaquer quand même.
Pendant un instant, son regard se perdit sur la place à laquelle il était, quelques instants plus tôt. Elle voyait là-bas le soleil, son pire ennemi, qui emplissait le lieu d’une aura admirable. Une aura qu’elle devait éviter à tout prix, elle était bien trop fragile pour cela.
Puis ses yeux bleues se perdirent dans son reflet dans le lac. Une onde déformait encore son visage sans poil, jusqu’à ce qu’elle découvre pleinement sa silhouette. Un nouveau sourire prit place sur son visage, elle savait qu’elle n’était pas forcément la plus attirante des félines, mais elle avait un charme et un regard qui mettrait n’importe quel mâle à ses pattes. Et pourtant, aucun n’était parvenu à traverser la barrière qu’elle avait établi, aucun n’avait encore pénétré en elle depuis toute son existence. Ses oreilles frémirent lorsqu’elle l’entendit à nouveau, tout proche d’elle.
« — Super. Je pensais que j'allais manger un bon repas moi ce soir. »
C’est à cet instant qu’elle lui lança un regard interloqué, à croire qu’il venait de la confondre avec une proie. Ne ressemblait-elle donc pas assez à un chat pour être confondue avec de quoi se mettre sous la dent ? Ce que le mâle noir et blanc ne savait pas, c’était qu’il avait affaire avec une femelle de caractère qui était aussi susceptible, et elle venait de prendre — malheureusement pour lui — son commentaire comme une insulte. Elle s’approcha de lui, dangereusement, ses yeux lançant des éclairs.
« — Tu ferais mieux d’ouvrir les yeux, cervelle de souris, si tu veux pas te faire bouffer par ce que tu prenais pour une proie. »
(C) CANTARELLA.
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Puf/Surnom : Milady Pearl
Messages : 17
Le personnage
Sexe du perso: Mâle
Âge du perso: 90 lunes
Mentor / apprenti :
Eddie
Mer 5 Juin 2019 - 15:47
∞ Sunset
Eddie & Croc Blanc
Avec son commentaire peu agréable et peu charmeur, le solitaire provoqua la colère de l'autre félin inconnu sans poils. Ile ne bougea pas d'un coussinet, restant droit et glacial quand il pu sentir et entendre le mécontentement du chat rat face à lui. Ce dernier vient feuler à quelques centimètres du visage corrompu de notre mâle bicolore. L'étranger possédait des yeux de glaces aussi puissants et pétillants que ceux de Ed'. Il resta neutre, malgré l'hostilité qu'il avait provoqué, il n'allait sûrement pas avoir peur d'un autre félin plus petit et plus fin que lui.
« — Tu ferais mieux d’ouvrir les yeux, cervelle de souris, si tu veux pas te faire bouffer par ce que tu prenais pour une proie. »
Le matou écarquilla légèrement les yeux. Une femelle. Non mais quel idiot il venait d'être face à une douce demoiselle. Il secoua légèrement la tête cachant sa surprise et commença à sourire légèrement d'un air charmeur et doux.
- Veuillez m'excuser ma belle. De loin je n'avais pas vu vos jolis yeux. Il faut dire que je ne suis pas très doué avec ma vue.
Eddie s'assit en face de la demoiselle. Il ne bougea pas pour le moment pour la mettre en confiance, lui montrant qu'il n'y avait plus aucune agressivité et que tout cela n'était qu'un vulgaire malentendu. Le bicolore remua légèrement l'oreille, sentant la brise fraîche tout autour d'eux.
- Je ne vous ai jamais croisé dans le coin...
Il tâcha de ne pas parler du faux pelage de la chatte. Cette dernière pourrait à nouveau très mal le prendre si le matou commença à s'interroger sur sa.. perte de poil? Il préféra donc ignorer ce contexte. Après tout, une femelle est une femelle, en plus elle a de jolis yeux. Et un certain charme, on peut dire qu'elle est différente oui... mais tout a son avantage et ça, le félin l'avait compris depuis bien des années.
« — Tu ferais mieux d’ouvrir les yeux, cervelle de souris, si tu veux pas te faire bouffer par ce que tu prenais pour une proie. »
Le matou écarquilla légèrement les yeux. Une femelle. Non mais quel idiot il venait d'être face à une douce demoiselle. Il secoua légèrement la tête cachant sa surprise et commença à sourire légèrement d'un air charmeur et doux.
- Veuillez m'excuser ma belle. De loin je n'avais pas vu vos jolis yeux. Il faut dire que je ne suis pas très doué avec ma vue.
Eddie s'assit en face de la demoiselle. Il ne bougea pas pour le moment pour la mettre en confiance, lui montrant qu'il n'y avait plus aucune agressivité et que tout cela n'était qu'un vulgaire malentendu. Le bicolore remua légèrement l'oreille, sentant la brise fraîche tout autour d'eux.
- Je ne vous ai jamais croisé dans le coin...
Il tâcha de ne pas parler du faux pelage de la chatte. Cette dernière pourrait à nouveau très mal le prendre si le matou commença à s'interroger sur sa.. perte de poil? Il préféra donc ignorer ce contexte. Après tout, une femelle est une femelle, en plus elle a de jolis yeux. Et un certain charme, on peut dire qu'elle est différente oui... mais tout a son avantage et ça, le félin l'avait compris depuis bien des années.
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