Un dragueur, un peureux, une Mort (PV Absol)

Ombre Filante louvoyait entre les arbres de son territoire, il courait, le cœur léger. Le félin gris avait hâte de retrouver sa compagne, Beauté Sauvage aux quatre chênes. La nuit était tombée depuis seulement une heure, tous les guerriers de jadis n'étaient pas encore apparu sur la toison argentée.
Alors qu'il pensait à elle, à son long pelage tigré, sans aucune imperfection. Elle portait vraiment bien son nom. Beauté Sauvage. Il avait eu tellement de chance de la rencontrer...
Il ne se rendit même pas compte qu'il était arrivé. La douce senteur de la femelle lui emplit immédiatement les narines, il se préparait à débouler dans la clairière avec un miaulement satisfait lorsqu'une autre odeur emplit l'air. Il ne la reconnut pas immédiatement mais reconnu l'odeur du clan du Vent quelques secondes plus tard. Il se tapit et commença à ramper vers un buisson. Là, à l'abri des regards il regarda la scène qui s'offrait à lui.
Beauté Sauvage, du clan de la rivière se trouvait au centre de la clairière, à ses cotés, se trouvait un mâle à la fourrure écaille. Ils semblaient tous deux absorbés dans une grande discussion que le matou gris ne pouvait entendre. Alors le chat écaille se pencha un peu plus vers la femelle. Fourrure contre fourrure il sembla lui murmurer quelque chose. Elle sourit et resta tout contre lui.
Visiblement elle avait oublié son compagnon qui devait la retrouver là dans quelques instants...
Ombre Filante ne sut que faire, que dire. Il resta là, sont bouger, jusqu'à ce qu'il comprenne subitement le jeu auquel se livraient les deux félins.
Hors de lui il bondit des fourrés. Fusillant sa compagne du regard, le poil hérissé il regarda les deux chats, visiblement étonnés.

Absolution de la Trahison s’apprêtait à rejoindre l'une de ses femelles du Clan de l'Ombre se soir là. Alors que la plupart des femelles de son clan étaient presque toutes enlacé contre lui, il se leva. La veille, il n'avait eu aucun scrupule à abandonné ses chatons et ceux de Folie de la Terreur en la faisant passer pour folle grâce au Cataire qu'il avait intelligemment placé dans un lapin, comme si c'était la proie qui l'avaler manger pour lui faire inhaler juste après.

( PAS FINI A FINIR)