La grotte

Moi et ma soeur Petit Lac , coincées dans une grotte , affamées . On essaye de sortir, mais il y a que de la roche partout. Il y a qu'un petit trou, mais trop petit pour nous . Moi j'essaye de sortir en agrandissant le petit trous dans la roche .  J'ai trouver de la nouriture je la donne à ma soeur . Je suis arrivée dans cette grotte car des voleurs on kidnappée ma mère et je suis née avec ma soeur et mon frère . Moi je suis très effrayée des foleur . J'ai mal à la patte sa fait très mal ses difficile a supporter .  Il fait très froid et je me blottie contre ma mère . Je ne sais pas quant ont vas sortir de là . Les voleurs  nous donne de temps en temps de la nouriture . Cette nouriture est suffisante pour notres survie . Pourquoi nous a t'il kidnappées  ? Je me demande souvent cette question . Il  ne sont pas gentil je suis enragée .

Il fait froid. Il fait toujours froid dans ce lieu où les murs dégagent un air glacé. L'air est presque irrespirables, mais Petit Lac ne s'en plaint pas. Ici, on ne la traite pas en chaton, ici on ne se demande pas ce qu'elle sait, on ne lui parle pas, elle aimait bien cet endroit finalement même si courir dans la forêt, sentir le vent sur son pelage, lui manquaient. Petit Lac s'ébroua, les yeux ouverts. Son regard vert était profond et on pouvait y voir l'irritation qu'elle éprouvait de se retrouver enfermer et donc limiter dans ses faits et gestes. Ce n'était rien qui pouvait la rendre de bonne humeur, et tout pour la rendre violente et lui faire avoir de brusques sauts d'humeur. Elle se leva alors, son pelage crème faisant tâche dans le pelage noir et blanc de tous les membres de sa famille. Elle posa sa patte dans les côtés de Petit Mirage, ne supportant pas le silence qui s'éternisait, mais surtout ne supportant pas l'immobilité de la prison. Elle voulait que ça bouge ! Et pas n'importe quand : maintenant !

« Mirage ! Je veux jouer !  » ordonna la petite.

Je regardai mes deux filles, les une après les autres. Petit Lac, et Petit Mirage. Grande chatonne crème, et petite chatonne noire et blanche. Je les aimais, plus que tout. C'était indescriptible. Mes enfants. J'en avais toujours voulu. J'avais toujours voulu m'occuper de chatons. J'avais toujours regardé les autres, envieuse en quelque sorte, tout en appréciant le moment présent, bien entendu.  Maintenant, c'était à mon tour. Je survivais pour la survis de mes chatons. Je souris. J'étais heureuse de l'avoir, cette chance. Même si pour cela, j'avais dû être emprisonnée dans une prison ou il faisait très froid par moment. Malgré tout, j'étais heureuse. Je savais que je sortirais, d'une quelconque manière, un moment. Je n'avais pas peur de cela. J'en étais certaine. Sans trop savoir pourquoi, j'en étais sûre. Je m'approchai de mes filles et leur donnai une léchouille sur la tête en leur soufflant de ne pas prendre trop de place, avant de retournai à la mienne. Nous étions serrés, ici, il fallait respecter les autres.