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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumLe hasard les a réuni, une amitié est survenue … ~Nuit de Requim & Bourrasque Hivernale~
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Fuyu.
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Bourrasque Hivernale
Lun 13 Juin 2016 - 19:37
Bourrasque Hivernale se réveilla tranquillement puis s’étira longuement dans sa litière. La guerrière bailla à s’en décroché la mâchoire et sortit d’un pas lent de la tanière des guerriers. Elle observa le camp mais ne vit personne alors elle décida d’aller chasser seule.
Enfin tranquille ! Au moins j'aurai toutes les chances de mon coté, se dit-elle.
La guerrière traversa la clairière et rejoignit les marécages. Elle vit une mésange en train de picorer quelque grain près d’un arbre, elle adopta la position du chasseur,et rampa lentement vers sa proie. La guerrière saliva d’avance le goût de l’oiseau :
Une proie appétissante pour le Clan !
Quand elle fut à quelques queues de renard de l’animal, elle banda ses muscles, reposa tout son poids sur son arrière train et bondit. Bourrasque Hivernale tua la mésange d’un coup de crocs à la nuque. Elle fit un trou dans le sol, y mit la proie et la recouvra de terre.
J’irai la rechercher plus tard.
La guerrière s’approcha des cascades et s’assied devant l’eau. Elle pencha la tête pour observer les poissons qui nageaient, elle se demandait comment les membres du Clan de la Rivière pouvaient les manger.
Ça pue, c’est pour ça qu’ils ont une si mauvaise haleine !
Elle se pencha tellement près qu’à un moment donné, elle tomba.
PLOUF
Elle cria aussi fort qu’elle le put tout en battant des pattes, mais elle coulait toujours et le courant des cascades l’empêchait de parler.
À l’aide !, cria-t-elle.
Enfin tranquille ! Au moins j'aurai toutes les chances de mon coté, se dit-elle.
La guerrière traversa la clairière et rejoignit les marécages. Elle vit une mésange en train de picorer quelque grain près d’un arbre, elle adopta la position du chasseur,et rampa lentement vers sa proie. La guerrière saliva d’avance le goût de l’oiseau :
Une proie appétissante pour le Clan !
Quand elle fut à quelques queues de renard de l’animal, elle banda ses muscles, reposa tout son poids sur son arrière train et bondit. Bourrasque Hivernale tua la mésange d’un coup de crocs à la nuque. Elle fit un trou dans le sol, y mit la proie et la recouvra de terre.
J’irai la rechercher plus tard.
La guerrière s’approcha des cascades et s’assied devant l’eau. Elle pencha la tête pour observer les poissons qui nageaient, elle se demandait comment les membres du Clan de la Rivière pouvaient les manger.
Ça pue, c’est pour ça qu’ils ont une si mauvaise haleine !
Elle se pencha tellement près qu’à un moment donné, elle tomba.
PLOUF
Elle cria aussi fort qu’elle le put tout en battant des pattes, mais elle coulait toujours et le courant des cascades l’empêchait de parler.
À l’aide !, cria-t-elle.
Invité
Invité
Mer 15 Juin 2016 - 22:19
J'étais roulée en boule, dans ma nouvelle tanière, la tanière des guerriers, une tanière plus grande, plus fraiche aussi, avec plus de chats. Ici, personne ne grommelait sur la bile de souris accrochant aux pattes, plus personne ne ronchonne car il c'est fait disputé par son mentor.
Maintenant, tout les guerriers te témoignent plus ou moins du respect et te saluent, mais c'est finis les moments de délire, à hurler dans les tanières, tous ensembles à faire un jeu un peut stupide, finies les toilettes collectives le soir, dans cette tanière, les guerriers ne toilettent que leur famille et leurs amis proches.
Quoiqu'il en soit, je me levai, m'étirai et baillai à m'en décrocher la mâchoire et entama un brin de toilette. Bientôt, le clair de lune s'estompa, et la lumière si douce et rassurante du soleil envahit peut à peut l'étendue bleue sombre, quelques reflets roses inondaient les nuages qui jouaient dans le vent. Les oiseaux quant à eux chantaient leur joie quant au retour de la saison des feuilles nouvelles.
Maintenant sur le sol, ce n'était plus un épais manteau blanc et cristallin, maintenant le manteau était d'un vert pâle reflétant de beaux reflets jaunâtres, l'herbe était tendre sous les coussinets abimés par une rude mauvaise saison.
Je regardai avec envie le tas de gibier, mais d'un coup de queue décidé, je détournai le regard et décidai d'aller chasser.
C'était comme un rituel pour moi, chasser, et après me ravitailler.
Je marchais d'un pas souple et assuré à travers les bouleaux de notre territoire humide. Ma fourrure d'un noir profond me permettait de me fondre sans difficultés dans les décors forestiers. L'odeur de la rivière commença à me chatouiller les narines, au même moment que les bruits de mastication.
Je levai la tête, rien, je regardai aux alentours, et me faufilai en toute discrétion vers l'origine de l'animal.
Je repérai enfin ma proie: un campagnol, il était proche, très proche même, je n'avais eu à faire quelques pas pour le distinguer. Je n'était qu'à une ou deux queues de renard de moi, je me rétrécie, répartissant mon poids avec ingéniosité à chacun de mes pas, la queue en balancier derrière moi, n'effleurant même pas le sol. C'est à pas de loup, le cou tendu vers l'avant, les moustaches effleurant presque l'herbe et les branchages que je m'approchai en silence.
Une fois à une bonne distance, je bandai les muscles, n'ayant dans mon champs de vision que le rongeur grignotant goulument, je me préparai à bondir, les oreilles tendues vers l'avant, les moustaches à l'affut, elles vibraient dans le but d'avertir d'un éventuel courant d'air.
En un éclaire, je bondis, attrapai l'animal, me réceptionnai pour ne pas perdre l'équilibre, et l'achevai d'un coup de dent.
Je l'enterrais lorsque mes oreilles se tournèrent instinctivement vers la rivière.
-Au secours!!
cet appel me fis sursauter, mécaniquement, je m'y élançai, ventre à terre, moustaches collées à mes babines.
Le pauvre animal se débattait vainement dans l'eau, il portait l'odeur du clan de l'ombre, mais je ne pouvais décemment pas laisser se noyer le félin.
Sans plus réfléchir, j'hottai de mon visage l'air horrifié qui y figurait et plongeai. Je la prise par la peau du cou, une jolie femelle toute petite à la fourrure grise et blanche. Elle cessa de ce débattre lorsque je la trainai vers la rive.
Nous étions toute deux hors de danger, sur la rive, au sec, la fourrure trempée, le bruit des cascades était derrière nus, mais toujours là bien que le danger ne soit loin. J'avais ramener une guerrière ennemie sur notre territoire, peux importe.
J'avais du mal à respirer, j'étais étendue sur le sol, contemplant avec une expression indéchiffrable le rideau aquatique s'engouffrant près loin s vers le bas. Les rayons bleus et blancs miroitaient dessus, c'était très joli.
Ma cage thoracique se soulevait avec difficulté, je peinais à garder les yeux ouverts et ma respiration était sifflante, tout autour de moi était trouble, le bruit de la cascade s'engouffrait dans mes oreilles dans un vacarme sans nom. Je regrettai durant l'espace d'un instant de l'avoir sauvée, avec tout ça, et une santé si fragile, je risquais à ce moment même une mort par étouffement.
Intérieurement, je me haie, je me détestai d'être aussi faible, de ne même pas pouvoir aider un chat se noyant sans risque ma propre mort. Je tentai de me lever, tout tourna autour de moi, je m'assise tout de même.
Je fixai la forme floue devant moi, et m'adressai à elle d'un miaulement essoufflé et rauque.
-Que faisais-tu sur le territoire du clan de la rivière? Tu aurais pus te tuer!
Je la fixai malgré tout dans les yeux, mon regard mauve rivé sur le ciel, d'un marron clair cerné de gris. Je ne sus déchiffrer aucune émotions. Avait-elle pitié de moi? Allait-elle m'attaquer? Je n'en savais rien et honnêtement m'en fichais royalement.
Maintenant, tout les guerriers te témoignent plus ou moins du respect et te saluent, mais c'est finis les moments de délire, à hurler dans les tanières, tous ensembles à faire un jeu un peut stupide, finies les toilettes collectives le soir, dans cette tanière, les guerriers ne toilettent que leur famille et leurs amis proches.
Quoiqu'il en soit, je me levai, m'étirai et baillai à m'en décrocher la mâchoire et entama un brin de toilette. Bientôt, le clair de lune s'estompa, et la lumière si douce et rassurante du soleil envahit peut à peut l'étendue bleue sombre, quelques reflets roses inondaient les nuages qui jouaient dans le vent. Les oiseaux quant à eux chantaient leur joie quant au retour de la saison des feuilles nouvelles.
Maintenant sur le sol, ce n'était plus un épais manteau blanc et cristallin, maintenant le manteau était d'un vert pâle reflétant de beaux reflets jaunâtres, l'herbe était tendre sous les coussinets abimés par une rude mauvaise saison.
Je regardai avec envie le tas de gibier, mais d'un coup de queue décidé, je détournai le regard et décidai d'aller chasser.
C'était comme un rituel pour moi, chasser, et après me ravitailler.
Je marchais d'un pas souple et assuré à travers les bouleaux de notre territoire humide. Ma fourrure d'un noir profond me permettait de me fondre sans difficultés dans les décors forestiers. L'odeur de la rivière commença à me chatouiller les narines, au même moment que les bruits de mastication.
Je levai la tête, rien, je regardai aux alentours, et me faufilai en toute discrétion vers l'origine de l'animal.
Je repérai enfin ma proie: un campagnol, il était proche, très proche même, je n'avais eu à faire quelques pas pour le distinguer. Je n'était qu'à une ou deux queues de renard de moi, je me rétrécie, répartissant mon poids avec ingéniosité à chacun de mes pas, la queue en balancier derrière moi, n'effleurant même pas le sol. C'est à pas de loup, le cou tendu vers l'avant, les moustaches effleurant presque l'herbe et les branchages que je m'approchai en silence.
Une fois à une bonne distance, je bandai les muscles, n'ayant dans mon champs de vision que le rongeur grignotant goulument, je me préparai à bondir, les oreilles tendues vers l'avant, les moustaches à l'affut, elles vibraient dans le but d'avertir d'un éventuel courant d'air.
En un éclaire, je bondis, attrapai l'animal, me réceptionnai pour ne pas perdre l'équilibre, et l'achevai d'un coup de dent.
Je l'enterrais lorsque mes oreilles se tournèrent instinctivement vers la rivière.
-Au secours!!
cet appel me fis sursauter, mécaniquement, je m'y élançai, ventre à terre, moustaches collées à mes babines.
Le pauvre animal se débattait vainement dans l'eau, il portait l'odeur du clan de l'ombre, mais je ne pouvais décemment pas laisser se noyer le félin.
Sans plus réfléchir, j'hottai de mon visage l'air horrifié qui y figurait et plongeai. Je la prise par la peau du cou, une jolie femelle toute petite à la fourrure grise et blanche. Elle cessa de ce débattre lorsque je la trainai vers la rive.
Nous étions toute deux hors de danger, sur la rive, au sec, la fourrure trempée, le bruit des cascades était derrière nus, mais toujours là bien que le danger ne soit loin. J'avais ramener une guerrière ennemie sur notre territoire, peux importe.
J'avais du mal à respirer, j'étais étendue sur le sol, contemplant avec une expression indéchiffrable le rideau aquatique s'engouffrant près loin s vers le bas. Les rayons bleus et blancs miroitaient dessus, c'était très joli.
Ma cage thoracique se soulevait avec difficulté, je peinais à garder les yeux ouverts et ma respiration était sifflante, tout autour de moi était trouble, le bruit de la cascade s'engouffrait dans mes oreilles dans un vacarme sans nom. Je regrettai durant l'espace d'un instant de l'avoir sauvée, avec tout ça, et une santé si fragile, je risquais à ce moment même une mort par étouffement.
Intérieurement, je me haie, je me détestai d'être aussi faible, de ne même pas pouvoir aider un chat se noyant sans risque ma propre mort. Je tentai de me lever, tout tourna autour de moi, je m'assise tout de même.
Je fixai la forme floue devant moi, et m'adressai à elle d'un miaulement essoufflé et rauque.
-Que faisais-tu sur le territoire du clan de la rivière? Tu aurais pus te tuer!
Je la fixai malgré tout dans les yeux, mon regard mauve rivé sur le ciel, d'un marron clair cerné de gris. Je ne sus déchiffrer aucune émotions. Avait-elle pitié de moi? Allait-elle m'attaquer? Je n'en savais rien et honnêtement m'en fichais royalement.
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Bourrasque Hivernale
Sam 18 Juin 2016 - 10:24
Le hasard les a réuni, une amitié est survenue.
Feat Nuit de Requim
Bourrasque Hivernale perdait peu à peu connaissance quand elle parvint à discerner l'odeur d'un membre du Clan de la Rivière mais ce qui lui piquait la gorge était sans nul doute l'eau qu'elle avait bu. Le membre du Clan Rival l'a souleva jusqu'à la rive c'est ce qu'elle discerna grâce au bruit que faisait les quelques graviers avec l'eau. Quand elle fut à terre, ce "quelqu'un" lui demanda d'un miaulement rauque et essoufflé :
Que faisais- tu sur le territoire du Clan de la Rivière ?! Tu aurais pu te tuer !
Quand la guerrière reprit connaissance, elle ouvrit les yeux, et elle discerna une petite femelle au pelage noir comme la nuit avec le bout de la queue blanche. Avant de lui répondre, Bourrasque Hivernale cracha de l'eau se releva et fixa la guerrière :
Je regardait les poissons et je suis tomber mais j'aurai pu m'en sortir ...
Même si elle aurait du remercier la jeune femelle de son geste, elle ne le fit pas. Bourrasque Hivernale s'ébroua, lécha son pelage avec dégoût à cause de l'odeur de l'eau qui était la même que celle du poisson et elle se dirigea vers sa frontière. Puis la guerriers retourna et demanda avec une expression de dégoût sur le visage :
Comment faites-vous pour manger ses poissons ?! C'est répugnant ! Et en plus ça pue ...
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Le personnage
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Étoile Rayonnante
Sam 18 Juin 2016 - 12:22
|| Fuyu, ton rp ne respecte pas les dix lignes hors-dialogues demandées. Je te demanderai donc d'éditer et d'étoffer un peu ça, merci x)
Invité
Invité
Dim 31 Juil 2016 - 15:11
|| UP ♪
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Puf/Surnom : Equi, Chou pour ma Chou
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Sexe du perso: Mâle
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Equinoxe Passée
Ven 30 Sep 2016 - 18:26
|| Up ||
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Neyo
Sam 10 Déc 2016 - 13:48
|| J'archive, si besoin mp pour récupérer.
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