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Jeune aventurier
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Sam 7 Oct 2017 - 15:52
Marcher, Marcher et encore marcher, c'est bien mais la j'ai beau marcher je ne me souvient plus du chemin pour rentrer.
C'est bien ma veine, en plus d'être perdu je me suis perdu sur le pire territoire à en croire tout les chats solitaires et claniques que j'ai rencontrés. Tout ce qu'on me disais sur eux se bousculaient dans ma tête, "ce sont des coeur de renard."
"si ils te voient sur leurs territoire je ne donne pas chère de ton pelage" ou encore pire "Il sème la mort sans remord". En plus de cela il y avait un autre gros problème, je ne me suis toujours pas apprit a me battre, ça va sans doute me jouer des tours un jours ou l'autre. C'est avec tout ses doutes et toutes ses craintes que je m'aventure de plus en plus sur leurs territoire, il me semble bien que c'est par la pour revenir a ma planque, cette si belle planque, protéger de tout, du vent, des grandes chaleurs...ah non pas de tout, la fraîcheur de la mauvaise saison ce faisait quand même bien ressentir.
Mais le reverrais-je au moins, si je croise un de ses chats du clan de l'ombre j'ai pas trente six-milles choix, soit je fuis et encore si j'arrive a courir assez vite pour le distancer, soit je suis finis, je ne sais pas me battre et cette pensée n'est pas prête de me quitter, elle me quittera peut-être le jours ou j'aurais apprit l'art du combat, je demanderais a ce solitaire, il me semble assez sympas de plus c'est lui qui m'as offert ma nourriture la dernière fois.
C'est bien ma veine, en plus d'être perdu je me suis perdu sur le pire territoire à en croire tout les chats solitaires et claniques que j'ai rencontrés. Tout ce qu'on me disais sur eux se bousculaient dans ma tête, "ce sont des coeur de renard."
"si ils te voient sur leurs territoire je ne donne pas chère de ton pelage" ou encore pire "Il sème la mort sans remord". En plus de cela il y avait un autre gros problème, je ne me suis toujours pas apprit a me battre, ça va sans doute me jouer des tours un jours ou l'autre. C'est avec tout ses doutes et toutes ses craintes que je m'aventure de plus en plus sur leurs territoire, il me semble bien que c'est par la pour revenir a ma planque, cette si belle planque, protéger de tout, du vent, des grandes chaleurs...ah non pas de tout, la fraîcheur de la mauvaise saison ce faisait quand même bien ressentir.
Mais le reverrais-je au moins, si je croise un de ses chats du clan de l'ombre j'ai pas trente six-milles choix, soit je fuis et encore si j'arrive a courir assez vite pour le distancer, soit je suis finis, je ne sais pas me battre et cette pensée n'est pas prête de me quitter, elle me quittera peut-être le jours ou j'aurais apprit l'art du combat, je demanderais a ce solitaire, il me semble assez sympas de plus c'est lui qui m'as offert ma nourriture la dernière fois.
C'est vraiment sinistre ici, je ne sais pas ce que c'est mais quelque chose rend l'atmosphère qui règne ici sinistre, comme si a la seconde d'après quelque chose était prêt a me sauter a la gorge. Aller,
il ne faut pas que je traîne ici, je n'aime pas cet endroit vivement que je rentre chez moi
il ne faut pas que je traîne ici, je n'aime pas cet endroit vivement que je rentre chez moi
J'accélère donc le pas, trottinant presque,
mais je ne peut pas m'empêcher de regarder de droite a gauche sans raison et des fois je regarde aussi derrière moi, pour voir si personne ne me suis, ce cas de figure me fait vraiment peur. Mais alors que je pense être tranquille, en regardant de nouveau droit devant moi, je rentre dans un chat qui était devant moi, je secouais ma tête pour me remettre les idées en place mais je viens quand même de rentrer dans un chat de clan, que va t-il me faire ? Et puis peut-être ais-je de la chance, peut-être que ce chat ne fais pas partie du clan de l'ombre ?
mais je ne peut pas m'empêcher de regarder de droite a gauche sans raison et des fois je regarde aussi derrière moi, pour voir si personne ne me suis, ce cas de figure me fait vraiment peur. Mais alors que je pense être tranquille, en regardant de nouveau droit devant moi, je rentre dans un chat qui était devant moi, je secouais ma tête pour me remettre les idées en place mais je viens quand même de rentrer dans un chat de clan, que va t-il me faire ? Et puis peut-être ais-je de la chance, peut-être que ce chat ne fais pas partie du clan de l'ombre ?
Désolé, désolé, mille fois, je suis désolé je ne vous avait pas vu, je suis vraiment désolé.
Dans ma voix la peur était bien présente mais pas seulement dans ma voix, mon corps entier tremblait, mes oreilles étaient rabaissé sur ma tête, ma queue battait avec peu d'énergie l'air, et ma respiration se fit plus forte et plus rapide. Serais-je perdu ?
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Invité
Mer 25 Oct 2017 - 15:18
Il ne se sentait pas bien du tout, autant physiquement que psychologiquement, mentalement. Rien n’allait et tout se perdait dans son esprit alors que le soleil se levait à peine, qu’il ouvrait les yeux sur un monde en éveil lent. Il avait l’impression que son estomac grondait et se révolte comme le ferait celui d’un chaton souffrant d’hypolactasie. Ce chaton se retrouverait totalement mal en point après avoir bu le lait de sa mère, malade, intolérant. Et c’était exactement comment se sentait le guerrier blanc et roux en ce début de matinée. Un soupir s’échappa rapidement de sa gorge alors qu’il s’étira, l’épuisement le guettant déjà alors que la journée débutait à peine. Il ne voulait tout de même pas rester enfermé au camp alors que les temps froids approchaient et que la chasse devait être faite. Il ne pouvait pas rester au camp alors qu’il devait inévitablement aider à faire des réserves pour les premières chutes de neige. Avant de sortir du camp, il prit le temps de passer plusieurs coups de langue sur son pelage assez court. Il détestait, après tout, ne pas se sentir propre. Ça lui tenait bien à court bien qu’il ne se pensait pas mieux que les autres, ni plus beau, bien au contraire. Cicatrice de Ronce était magnifique. Pas lui. Non, pas lui du tout. Il était simple, il était banal, il n’avait pas la valeur qu’elle possédait.
Elle était parfaite. Elle était tout ce que lui n’était pas, tout ce qu’il savait qu’il n’était pas et que son père passait son temps à lui dire. Elle était magnifique et personne ne pouvait le nier, personne n’en avait le droit parce qu’elle faisait partie des plus belles félines du coup et il le clamerait haut et fort à quiconque désirerait l’entendre. Encore une fois, ce n’était pas du tout son cas puisqu’il n’avait qu’un banal physique. Un physique qui n’avait absolument rien à avoir et il en avait parfaitement conscience, il ne prétendait pas le contraire. Elle était aimable et méritait toutes les beautés du monde, toute la joie que l’on pourrait recueillir, elle le méritait sans doute plus que n’importe qui dans la Forêt, et lui, c’était encore une fois l’exact opposé. Il ne méritait que ce qu’il obtenait : la froideur d’autrui, leur indifférence, la totale absence de réaction des autres face à sa présence parce que contrairement à Cicatrice de Ronce, il n’était pas important et il en avait bien conscience. Il ne penserait jamais être important. Elle, elle était importante, elle était évidemment importante. Pour lui, surtout, mais aussi pour ses chatons, même si l’une était guerrière, les autres apprentis. Pour Fragment de Neige aussi qui était son meilleur ami, et pour tous les autres qui tenaient à elle. Lui, il n’avait personne et l’amour de sa vie était amoureuse d’un fantôme qui ne pourrait jamais la rendre totalement heureuse puisqu’il était absent, inexistant, poussière étoilée.
Il secoua la tête en lâchant un nouveau soupir. Il n’était pas le temps de factoraliser puisqu’il fallait rapporter des proies au camp et le guerrier le savait parfaitement bien, et se laisser entraîner dans ses pensées lui donnaient le sentiment de ne pas mériter encore sa place au camp. Il craignait, par ailleurs, de tomber sur son père et que celui-ci lui reproche sa présence persistante au camp, Cri de l’Agonie devait se rendre utile et ce n’était pas en réfléchissant qu’il allait l’être. Malgré le fait qu’il ait, encore une fois, une douleur au dos, ce qui était expliqué par le traitement offert par son père la nuit précédente, une bataille qui lui avait laissé des multiples blessures, il sortit du camp en s’étirant longuement, prêt à se mettre à courir pour chasser. La saison froide était toujours celle que ce guerrier craignait le plus. C’était celle qui attirait le plus les maladies, c’était celle qui entraînait le plus la famine. Il s’étira longuement avant de sortir du camp et de soupirer, une dernière fois peut-être, ou peut-être pas. Il était maintenant temps de chasser et non pas de laisser les pensées prendre le contrôle de la journée, parce qu’en faisant ça, il risquerait de se retrouver avec des plaies encore plus importantes la journée suivante. Remarque, son père n’avait pas réellement besoin de raisons pour se décider de le blesser. Seulement d’un prétexte stupide et futile qui lui suffit à lui, mais pas à son fils.
Après avoir attrapé trois petits souris magrichonnes - mais c’était mieux que rien après tout, en presque saison froide - Cri de l’Agonie décida de se promener tranquillement sur les terres du Clan de l’Ombre, s’y autorisa tout du moins pendant un certain intervalle de temps tout en sachant qu’il continuerait d’essayer de débusquer des proies un peu plus tard pour que sa journée ait été productive. Mais pour le moment, il pouvait bien seulement profiter de l’air froid jouant dans son pelage court et profiter tout simplement de l’accalmie qu’il y a dans ses devoirs. Tout en s’enfonçant doucement dans ses pensées dans lesquels se trouvait Cicatrice de Ronce, le guerrier roux et blanc ne remarqua absolument pas la présence du solitaire devant lui et l’impact ne fut pas évité. Cri de l’Agonie recula et se secoua, sentant immédiatement l’odeur de peur que ce solitaire dégageait. Il pouvait voir le solitaire qui semblait plus jeune que lui trembler comme un chaton devant un blaireau et il trouvait ça assez ridicule. Lui était calme et las.
« Déjà, calme-toi. Ta peur empeste dans l’air et va alarmer tous ceux qui peuvent se trouver autour. Je suis pas un renard, je bouffe pas les autres chats. Alors ta peur est totalement injustifiée, à ce niveau. »
et plus bas.
« Je ne suis pas non plus la meneuse qui t'aurait tailladé sûrement. Parce que tout le monde sait qu'elle a déjà tué, enfin, ça se voit dans son regard quoi, mais ça faut pas le dire, si on veut vivre, hein. C'est préférable de se taire. M'enfin, j'compte sur toi pour ne pas en parler aux autres parce que sinon, j'ai plus de tête. »
Parfois, il se demandait comment il pouvait rester aussi calme.
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Mar 31 Oct 2017 - 15:15
J'avais mon regard fixé sur le chat qui était devant moi. Je n'arrive pas a savoir si c'est un chat du clan le plus redouté. En tout cas, le plus redouté de tout les solitaires. Bon nombre de fois ont m'as dit de ne pas m'aventurer dans leurs contrées. Mais moi je fais quoi ? Je m'y aventure. J'espère que j'en sortirais sans problème, sans égratignure ou autre blessure. Enfin si je me blesse je doute que j'arriverais a trouver le chat guérisseur. Je ne sais même pas où est sa tanière. Mes différents tuteurs me l'ont jamais montré. Et c'est fort dommage, j'en aurais peut-être besoin après cette rencontre pour le moins imprévue et insolite. Je peut sentir mon corps tout entier trembler de peur. Je rencontre un guerrier que je n'avais jamais vu. Et je crois que c'est la première fois que je tremble autant. Que j'ai une telle frayeur, une telle peur. Mais j'essai de me calmer, en soufflant doucement. Mais comment le pourrais-je ? Je ne sais même pas si ce chat veut m'attaquer ou pas. J'ai plus a attendre qu'il me dise un truc. Mais c'est bizarre, je lui suit rentré dedans. Moi je ne l'ai pas vu, j'étais trop occupé a courir pour sortir de cette partie de la forêt. Mais lui, normalement, il aurait du me sentir. Enfin...aurait du. Mais bon tant pis c'est fait. Le mal est fait. Maintenant je remet mon destin aux chats de jadis. Protéger moi s'il vous plait.
« Déjà, calme-toi. Ta peur empeste dans l’air et va alarmer tous ceux qui peuvent se trouver autour. Je suis pas un renard, je bouffe pas les autres chats. Alors ta peur est totalement injustifiée, à ce niveau. »
Injustifiée ? Il a bien dit le mot "Injustifiée" Pour ma peur ? En même temps il a raison. Mais je me suis laissé apeuré par les histoires des autres chats qui disais tout un tas d'horreur sur le clan de l'ombre. Mais je ne sais même pas si il est dans ce clan. Si ça se trouve c'est un guerrier d'un autre clan. Qui fait une patrouille ici. Même si la raison m'échappe, il vérifierait les limites du territoire. Mais bon, moi je ne pourrais jamais comprendre. Je n'ai que mon terrier à vérifier de temps en temps et c'est tout. Je ne prétend pas avoir quelconque territoire a défendre. Alors que eux doivent le faire sans arrêt, constamment en train de regarder leurs limites territoriales. Aller il faut que je me calme. C'est vrai que ma peur peu être sentie partout dans la forêt vu comment je suis terrifié. Donc souffle, respire profondément. Pendant ce temps j'entend que le chat devant moi reprend la parole.
« Je ne suis pas non plus la meneuse qui t'aurait tailladé sûrement. Parce que tout le monde sait qu'elle a déjà tué, enfin, ça se voit dans son regard quoi, mais ça faut pas le dire, si on veut vivre, hein. C'est préférable de se taire. M'enfin, j'compte sur toi pour ne pas en parler aux autres parce que sinon, j'ai plus de tête. »
La meneuse qui m'aurait tailladé ? La meneuse ? Donc j'en conclu que celui en face de moi n'est pas le chef d'un clan. Mais vu comment il parle de cette dernière je suppose que ce chat fait belle et bien parti du clan de l'ombre. Bon au moins je suis fixé. Mais il ne m'attaque pas. Il me confie même une parole qui, si son chef entend, pourrait lui coûter la vie. Donc j'en conclu aussi que le chat devant moi ne veut pas me tuer. D'ailleurs il me la confirmé. Alors on va lui faire confiance. De toute façon je n'ai pas trop le choix. Vu la situation. Je ne pourrait être vraiment serein que lorsque je serait parti. Mais il m'as piqué au vif avec sa parole. Pourquoi me dire une telle chose ? Pour me rassuré ? Ou alors pour se libérer un peu de ce qu'il pense. Si c'est ça c'est qu'il doit vraiment avoir des soucis dans son clan. Où alors j'imagine complètement et ce propos lui a échapper. Ce qui totalement envisageable aussi. Mais bon. Je me dois de lui répondre maintenant. Il me demande de rien dire. Mais de rien dire a qui ? A un autre chat de son clan ? Si c'est le cas il n'y a pas de problème. J'ai déjà du mal a lui parler a lui alors qu'il me fait rien et qu'il me dit qu'il ne m'attaquera pas. Alors un autre de son clan. Même pas en rêve. Enfin si je continu a me montrer aussi imprudent lors de mes balade je risque d'en croisé de plus en plus. Il faut que je fasse attention a présent. Après avoir bien cherché mes mots pour lui répondre. Je lui répondis avec un ton légèrement tremblant mais calme. Pas serein. Mais calme.
D-D-D'accord je...je tiendrais ma langue. Mais tu a peur que je le dise a qui ? Tu m'as bien regardé ?
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Lun 19 Fév 2018 - 19:45
Un intrus. Il n’avait jamais vraiment chassé les intrus, il s’en fichait pas mal. En fait, il les chassait quand il y avait d’autres félins ou quand il était avec un apprenti dont il avait la charge pour le jour, pour ne pas que ceux-ci apprennent à ne pas respecter le code du guerrier, parce qu’il devait absolument apprendre aux apprentis à respecter le code du guerrier, c’était l’essentiel. Il ne leur permettrait jamais d’être de grands apprentis qui méritaient le respect, mais il pouvait leur apprendre à ne pas transgresser les lois du code du guerrier. C’était déjà ça. Ça ne faisait pas de lui un guerrier à la hauteur, mais ça lui permettait d’être un peu moins pathétique qu’il ne pouvait l’être de base, n’est-ce pas ? C’était mieux que rien, il fallait qu’il s’en contente.
Il était épuisé. Totalement épuisé et las et son esprit tournait toujours autant autour de Cicatrice de Ronce qui était la perfection, qui était dans ses veines, son amour et son obsession. Il ferait tout pour elle et il aurait aimé qu’elle en fasse de même pour lui, qu’elle oublie ce fantôme qui se posait entre eux, qu’elle oublie ce mort qui ne pouvait pas la tenir au chaud pendant les grands moments de froid de la saison des neiges. Il aurait tant aimé être bien plus important que Nuage de Poussière dans son coeur, éclipser ce félin qui n’existait même plus à présent sur cette terre, qui était dans le Clan des Étoiles. Il était bien mieux, non ? Non. Mais lui au moins pouvait réellement la rassurer et la réconforter, se presser contre elle, il était chaud, il n’était pas froid. Il était fait de chair et d’os, pas de poussières d’étoiles, et tout serait toujours plus facile avec un félin vivant qu’un mort. Sauf que le fantôme de son ancien compagnon s’imposait toujours entre eux deux, il n’arrivait pas à l’effacer. Cicatrice de Ronce était amoureuse de Nuage de Poussière. Pas de lui. Ça le tuait.
Ça le tuait parce que lui, il l’aimait de tout son coeur. Ça le tuait parce que lui n’avait toujours aimé qu’elle. Toujours et encore elle depuis qu’il était né, depuis qu’il l’avait vu et observé de lui construire une idylle amoureuse avec ce félin au pelage de poussière, qui semblait toujours ça. Il l’avait depuis toujours regardé et admiré, depuis toujours trouvé si forte, si merveilleuse qu’il n’avait pas osé l’approcher et quand il l’avait fait, il était déjà trop tard, le coeur de sa douce avait été conquis par un autre. Ça le tuait tellement de se le dire encore et encore, ça le tuait de s’en rappeler et il se le reprochait toujours. Il n’avait pas osé et il avait perdu son amour avant même que celui-ci existe. Enfin, Cicatrice de Ronce existe, c’est ce lien amoureux qui n’a jamais existé et qu’il a malheureusement perdu. Il l’aimait tellement. Il aurait tant aimé que ce soit réciproque.
Il secoua très légèrement sa tête pour se sortir de ces pensées. Il pensait toujours à cette féline. Cri de l’Agonie reporta alors son attention sur ce félin, ce solitaire, qui était dans les terres du Clan de l’Ombre. Il savait avoir réussi à respirer et se calmer. Tant mieux. Ça aurait attiré n’importe qui. Chats ou prédateurs. Ce n’était pas du tout une bonne idée ni même une bonne nouvelle. Alors c’était bien mieux qu’il se calme. Ils n’étaient ainsi pas en danger de mort imminente. L’odeur de la peur s’était tout doucement évaporée dans l’atmosphère. Ce solitaire apprendrait peut-être doucement à gérer cette odeur et ne pas se laisser gagner par cette frayeur. Peut-être. Ou peut-être pas. Ce n’était pas un chat de Clan, alors il ne recevrait pas d’entraînements pour se contrôler, pour que les autres ne sentent pas ses émotions. Et il en aurait pas de besoin, pas comme eux. Il le regarda. Froid. Sans sentiments. C’était ce qu’il donnait comme impression en tout cas.
“T’as bien raison. T’es juste un solitaire. C’est p’t’ête mieux ainsi d’ailleurs. Je vais devoir quand même te reconduire jusqu’à la frontière, tu n’as pas le droit de rester sur nos terres. Sois prudent. Ne risques pas ta peau, t’as peut-être de la famille quelque part, des amis, quelqu’un qui ne voudrait pas te perdre. Quelqu’un qui t’aime.”
Et dans sa voix, une souffrance. Parce que son père s’en foutrait s’il mourrait, il serait même capable de le tuer, son fils, sans remords.
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Mar 20 Fév 2018 - 12:36
Décidément la vie en forêt c'est vraiment pas pour moi. Rien qu'à voir la tête de ce chat, il semble épuisé. Je ne sais pas pourquoi et je crois que je n'ai pas vraiment envie de savoir. Si ce n'est que prendre le risque de savoir quelque chose que je ne suis guère censé savoir et m'attirer des ennuis par la suite. Oui mais non je ne suis pas très friand de ce genre d'envie. Plutôt l'inverse. De simple pensées pour vivre sans pression, sans problème. Pourquoi s'en attirer ? Si ce n'est que pour dire qu'on existe parce que on se fait remarqué. L'inutilité de l'action ne fait pas le moindre doute. Mais je pense que dans les clans il doit y en avoir des idiots comme ça qui pensent qu'en faisant les intéressants ils seront mieux vu, remarqués, des autres...dois-je encore songer à ce genre de chose alors que je ne sais littéralement rien des camps à par les avertissement et les conseil que l'on m'a donnés pour chaque clan ? Mais si je les suivaient il y aurait des petits problèmes. Comme la par exemple, les chats du clan de l'ombre, on ne m'as pas cessé de me dire qu'ils étaient cruels et de ne pas rester si j'en vient à tomber en face à face avec l'un d'entre eux. Pourtant celui la me parait plutôt sympathique, fatigué, blasé, mais sympathique. Et puis au moins il est plus ou moins honnête. Il a quand même dit que sa chef était une tueuse...je suis pas sûr que se soit bénéfique pour sa vie de dire ça à tout venant...
Mais le chat me fit sourire grandement en entendant ce qu'il me dit ensuite. Il va me raccompagner à la frontière, génial, j'étais perdu et ne savais pas où je me trouvais, c'est super. Décidément il est vraiment sympathique celui là. Je ne regarderais plus les chats du clan de l'ombre de la même manière.
Tout ceux qui disent qu'ils sont cruels vont s'en mordre les doigts. Enfin, les pattes, les griffes ou les coussinets...qu'est-ce qui serait le moins douloureux à mordre en ce cas ?...Je me pose des questions bizarre quand même...mais bon, il m'a redonné de la bonne humeur. J'étais totalement en panique devant lui et maintenant qu'il m'a dit ça je suis complètement à l'aise. Pourquoi me dire qu'il va me raccompagner si il voudrait me tuer. Au moins je suis fixé, il ne veux pas me tuer. Il est gentil. C'est rare de rencontrer des chats comme ça, même dans les solitaires c'est de plus en plus rare d'avoir de la solidarité. Le monde remonte dans mon estime. Et puis je ne serait peut-être pas en retard à ma séance d'entraînement d'aujourd'hui...quoi que...je sais pas. Je verrais bien si mon maître d'aujourd'hui est là ou pas. Et puis si il est pas là je pourrais profité de la journée pour me reposer, ou pour me balader, hors des territoires des clan cette fois, sans pensées parasites. Et puis, en même temps, maintenant que j'y pense, c'est surtout dans son devoir de chat de clan de virer les intrus de son territoire. C'est totalement normal.
Mais ses dernières paroles me laissèrent perplexes. Pourquoi me demande t-il cela ? Oui j'ai de la famille mais j'ai coupé les ponts avec elle, ma mère et mon père...ils ne m'ont jamais aimé de toute façon alors...des amis aussi j'en ai mais de la à ce qu'il me regrette si je meurs...ou quelqu'un qui m'aime...non...pas vraiment...je suis un solitaire et qui voudrait d'un solitaire aussi faible que moi ?
Mais le chat me fit sourire grandement en entendant ce qu'il me dit ensuite. Il va me raccompagner à la frontière, génial, j'étais perdu et ne savais pas où je me trouvais, c'est super. Décidément il est vraiment sympathique celui là. Je ne regarderais plus les chats du clan de l'ombre de la même manière.
Tout ceux qui disent qu'ils sont cruels vont s'en mordre les doigts. Enfin, les pattes, les griffes ou les coussinets...qu'est-ce qui serait le moins douloureux à mordre en ce cas ?...Je me pose des questions bizarre quand même...mais bon, il m'a redonné de la bonne humeur. J'étais totalement en panique devant lui et maintenant qu'il m'a dit ça je suis complètement à l'aise. Pourquoi me dire qu'il va me raccompagner si il voudrait me tuer. Au moins je suis fixé, il ne veux pas me tuer. Il est gentil. C'est rare de rencontrer des chats comme ça, même dans les solitaires c'est de plus en plus rare d'avoir de la solidarité. Le monde remonte dans mon estime. Et puis je ne serait peut-être pas en retard à ma séance d'entraînement d'aujourd'hui...quoi que...je sais pas. Je verrais bien si mon maître d'aujourd'hui est là ou pas. Et puis si il est pas là je pourrais profité de la journée pour me reposer, ou pour me balader, hors des territoires des clan cette fois, sans pensées parasites. Et puis, en même temps, maintenant que j'y pense, c'est surtout dans son devoir de chat de clan de virer les intrus de son territoire. C'est totalement normal.
Mais ses dernières paroles me laissèrent perplexes. Pourquoi me demande t-il cela ? Oui j'ai de la famille mais j'ai coupé les ponts avec elle, ma mère et mon père...ils ne m'ont jamais aimé de toute façon alors...des amis aussi j'en ai mais de la à ce qu'il me regrette si je meurs...ou quelqu'un qui m'aime...non...pas vraiment...je suis un solitaire et qui voudrait d'un solitaire aussi faible que moi ?
Merci infiniment ! Je m'étais perdu...le fait que vous me raccompagnez me rassure grandement ! Et...je...ne vous en faîtes pas pour le reste...je ne manquerais à personne...
Et oui...mais bon, pour le moment c'est plus lui qui semble infecté...alors je vais pas trop me plaindre non plus. C'est pour ça que je garde le sourire, devant lui, j'ose sourire...en espérant qu'il ne le prendra pas mal...
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Dim 25 Fév 2018 - 4:57
i'll be your guide, don't be afraid, we will get out alive, we'll go trought everything and I promise you that hope could be find in the light of the stars of the night
Cri de l'Agonie ¬ Argentin
Rien à faire. Cri de l’Agonie en avait strictement rien à faire de ce solitaire. C’était un être qui ne pouvait pas du tout être un problème pour le Clan et peut-être que même si ça avait été une menace, il ne l’aurait pas chassé. Il n’était pas toujours violent, même très rarement. Il ne voulait pas ressembler à son père après tout, alors la plupart du temps, il était calme, sans doute un peu trop calme. Et froid. Une froideur qui l’enveloppait, le gardait éloigné de la colère et de la violence. Parce qu’il ne voulait pas être comme son père. Son père aurait sûrement chassé automatiquement le solitaire en ignorant totalement la peur qui imprégnait ce corps. Son père aurait sans doute tué ce félin qui s’était trouvé sur leurs terres par mégarde sans jamais prendre le temps de l’écouter, de lui donner une chance. Et Cri de l’Agonie se refusait de lui ressembler. Il voulait mériter Cicatrice de Ronce. Et elle était encore dans ses pensées. Jamais elle ne s’en irait, il l’avait très vite compris.
Parce que depuis 36, elle était dans son esprit. Depuis le tout début. Il l’avait vu si rapidement et elle s’était imposée dans son coeur, dans son âme, et jamais il ne pourrait l’oublier. Obsession malsaine. Obsession éternelle. Il ne considérait pas ça comme quelque chose de malsain, non, il n’était pas d’accord avec ceux qui disaient ça, mais une partie de son être savait que ce n’était pas réellement sain. Il le savait, il refusait seulement de l’admettre. Parce qu’il l’aimait et qu’il ne pouvait pas faire autrement que de l’aimer. Alors à quoi bon se dire que c’était malsain ? Ça ne changerait jamais. Il ne pourrait pas l’oublier et il ne pourrait jamais la remplacer. Il ne tomberait jamais amoureux d’une autre qu’elle et il ne le désirait pas non plus, parce qu’elle était absolument tout pour lui, absolument tout ce dont il avait de besoin. Le seul petit problème était Nuage de Poussière. Elle l’aimait toujours et il ne pourrait jamais effacer cette présence entre eux. Malheureusement.
Son attention revint vers le solitaire. Il ne comprit pas pourquoi celui-ci se décidait de sourire. Il ne comprenait pas qu’est-ce qui pouvait lui donner ne serait-ce qu’une toute petite envie de sourire, mais il ne cherchait pas non plus à comprendre, ça ne l’intéressait pas plus que ça. Ce n’était qu’un solitaire, un félin qu’il ne reverrait plus jamais après l’avoir raccompagné à la frontière. Ce n’était personne, mais c’était sans doute déjà bien plus que lui, carcasse solitaire qui pourrait disparaître, cendres qui n’avaient aucune appartenance. Il pouvait sourire autant que ça lui chantait, Cri de l’Agonie, lui, ne sourirait pas en retour. Il était si épuisé et transi d’amour. Sauf que le guerrier avait l’impression que le sourire sonnait faux. Comme quand lui souriait devant Cicatrice de Ronce alors qu’il crevait intérieurement. Un sourire qui disait tout ce qui n’était pas vrai. Un sourire pour cacher la misère du coeur. Ça le rendit triste. Il ne connaissait pas ce solitaire, mais il n’aimait pas pour autant savoir les autres en douleur. Il savait que trop bien ce que ça donnait comme ressentiment.
Il se mit à marcher en sachant que le solitaire allait suivre, parce que le solitaire n’avait pas d’autres choix que de le suivre s’il voulait pouvoir revenir de là où il venait. Ses oreilles frémirent et il remua les moustaches. Ce félin roux et blanc avait le sentiment qu’un relent de douleur étincelait dans la voix de cet intrus lorsqu’il prononça ses dernières paroles. Il n’aimait pas ça. Il n’avait jamais aimé savoir les autres dans une situation qui ressemblait à la sienne.
« Je ne vais pas te laisser seul dans les terres du Clan de l’Ombre. Non seulement parce que ce serait pas sérieux de ma part, mais aussi parce qu’elles sont dangereuses quand on ne les connaît pas. Et si tu tombais sur une patrouille, tu manquerais peut-être de chances, tu pourrais rencontrer des membres du Clan que tu ne voudrais rencontrer qu’en terrain neutre, quand tu n’es pas en tort. Je ne suis pas forcément d’accord avec toutes les façons d’être des guerriers et je préfère m’assurer que tu ne finisses pas taillé en petites pièces pour une simple petite erreur de parcours.»
Il pensait notamment à la meneuse, à Esprit Fugitif et Brume Argentée qui étaient si imprévisibles. Aussi à d’autres félins comme Rire Dévastateur ou autre. Ce solitaire ne méritait pas de finir sous terre pour s’être perdu, absolument pas. Alors autant s’assurer de sa sécurité en l’accompagnant jusqu’à la frontière.
« J’espère qu’un jour, tu rencontreras quelqu’un. Quelqu’un qui aura peur de te perdre. Quelqu’un qui t’aimera de tout son coeur, qui donnerait sa vie pour toi, quelqu’un qui aurait besoin de toi au-delà du possible et de l’imaginable, quelqu’un que tu aimeras en retour. Quelqu’un qui fera que tu ne pourras jamais mourir parce que tu ne voudras pas l’abandonner. J’espère. Vraiment. J’espère qu’un jour tu rencontras ce quelqu’un. Parce que ne plus avoir d’attaches n’est pas une situation enviable et je suis désolé que tu aies à la vivre. Saches qu’à partir de maintenant, tu as quelqu’un qui ne veut pas te voir mourir. Moi. Parce que la vie est trop précieuse. Fais attention à toi. Quel est ton nom ? »
Il ne parlait pas souvent autant. En lui disant ça, il avait pensé à Cicatrice de Ronce. Il aurait tant aimé qu’elle soit ce quelq’un.
Parce que depuis 36, elle était dans son esprit. Depuis le tout début. Il l’avait vu si rapidement et elle s’était imposée dans son coeur, dans son âme, et jamais il ne pourrait l’oublier. Obsession malsaine. Obsession éternelle. Il ne considérait pas ça comme quelque chose de malsain, non, il n’était pas d’accord avec ceux qui disaient ça, mais une partie de son être savait que ce n’était pas réellement sain. Il le savait, il refusait seulement de l’admettre. Parce qu’il l’aimait et qu’il ne pouvait pas faire autrement que de l’aimer. Alors à quoi bon se dire que c’était malsain ? Ça ne changerait jamais. Il ne pourrait pas l’oublier et il ne pourrait jamais la remplacer. Il ne tomberait jamais amoureux d’une autre qu’elle et il ne le désirait pas non plus, parce qu’elle était absolument tout pour lui, absolument tout ce dont il avait de besoin. Le seul petit problème était Nuage de Poussière. Elle l’aimait toujours et il ne pourrait jamais effacer cette présence entre eux. Malheureusement.
Son attention revint vers le solitaire. Il ne comprit pas pourquoi celui-ci se décidait de sourire. Il ne comprenait pas qu’est-ce qui pouvait lui donner ne serait-ce qu’une toute petite envie de sourire, mais il ne cherchait pas non plus à comprendre, ça ne l’intéressait pas plus que ça. Ce n’était qu’un solitaire, un félin qu’il ne reverrait plus jamais après l’avoir raccompagné à la frontière. Ce n’était personne, mais c’était sans doute déjà bien plus que lui, carcasse solitaire qui pourrait disparaître, cendres qui n’avaient aucune appartenance. Il pouvait sourire autant que ça lui chantait, Cri de l’Agonie, lui, ne sourirait pas en retour. Il était si épuisé et transi d’amour. Sauf que le guerrier avait l’impression que le sourire sonnait faux. Comme quand lui souriait devant Cicatrice de Ronce alors qu’il crevait intérieurement. Un sourire qui disait tout ce qui n’était pas vrai. Un sourire pour cacher la misère du coeur. Ça le rendit triste. Il ne connaissait pas ce solitaire, mais il n’aimait pas pour autant savoir les autres en douleur. Il savait que trop bien ce que ça donnait comme ressentiment.
Il se mit à marcher en sachant que le solitaire allait suivre, parce que le solitaire n’avait pas d’autres choix que de le suivre s’il voulait pouvoir revenir de là où il venait. Ses oreilles frémirent et il remua les moustaches. Ce félin roux et blanc avait le sentiment qu’un relent de douleur étincelait dans la voix de cet intrus lorsqu’il prononça ses dernières paroles. Il n’aimait pas ça. Il n’avait jamais aimé savoir les autres dans une situation qui ressemblait à la sienne.
« Je ne vais pas te laisser seul dans les terres du Clan de l’Ombre. Non seulement parce que ce serait pas sérieux de ma part, mais aussi parce qu’elles sont dangereuses quand on ne les connaît pas. Et si tu tombais sur une patrouille, tu manquerais peut-être de chances, tu pourrais rencontrer des membres du Clan que tu ne voudrais rencontrer qu’en terrain neutre, quand tu n’es pas en tort. Je ne suis pas forcément d’accord avec toutes les façons d’être des guerriers et je préfère m’assurer que tu ne finisses pas taillé en petites pièces pour une simple petite erreur de parcours.»
Il pensait notamment à la meneuse, à Esprit Fugitif et Brume Argentée qui étaient si imprévisibles. Aussi à d’autres félins comme Rire Dévastateur ou autre. Ce solitaire ne méritait pas de finir sous terre pour s’être perdu, absolument pas. Alors autant s’assurer de sa sécurité en l’accompagnant jusqu’à la frontière.
« J’espère qu’un jour, tu rencontreras quelqu’un. Quelqu’un qui aura peur de te perdre. Quelqu’un qui t’aimera de tout son coeur, qui donnerait sa vie pour toi, quelqu’un qui aurait besoin de toi au-delà du possible et de l’imaginable, quelqu’un que tu aimeras en retour. Quelqu’un qui fera que tu ne pourras jamais mourir parce que tu ne voudras pas l’abandonner. J’espère. Vraiment. J’espère qu’un jour tu rencontras ce quelqu’un. Parce que ne plus avoir d’attaches n’est pas une situation enviable et je suis désolé que tu aies à la vivre. Saches qu’à partir de maintenant, tu as quelqu’un qui ne veut pas te voir mourir. Moi. Parce que la vie est trop précieuse. Fais attention à toi. Quel est ton nom ? »
Il ne parlait pas souvent autant. En lui disant ça, il avait pensé à Cicatrice de Ronce. Il aurait tant aimé qu’elle soit ce quelq’un.
Codage par Foudry pour Luny
Jeune aventurier
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Le personnage
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Mentor / apprenti :
Argentin
Ven 2 Mar 2018 - 23:57
Ce félin m'intrigue beaucoup pour un jeune solitaire. Ce félin m'aide à sortir de ce pétrain dans le quelle je ME suis mit tout seul sans rien demander à personne et pourtant, il m'aide à sortir pour ne pas mourir. Pourquoi ? Ce guerrier en à t-il vraiment quelque chose à faire de moi ? Ou est-ce pour soulager sa conscience d'un acte ou alors de sa vie en générale ? Il doit avoir beaucoup de problème. Parce que j'ai beau le regarder il ne m'inspire aucune joie, aucun sentiment tout cours en vérité, je ne droit pas être suffisamment "préparé" pour voir dans le visage des gens le sentiment caché, ou autre...je ne sais pas mais cela me perturbe énormément. M'enfin, e ne peux pas lui demander comme ça si quelque chose le tracasse, cela serait mal-polie et il en profiterait sûrement pour me le faire payer en me faisant manger mes propres yeux, ou mes propres tripes avant que je ne lâche le dernier soupir. Rien que d'y penser j'en ai des frissons partout, et sans le vouloir j'ai involontairement fermé les yeux. Et quand je les aient rouverts...je ne le voyait plus, où est-il ? Paniqué soudainement je regarde partout autour de moi en respirant fortement. Mais ce fut cours, en voyant qu'il avait commencé à marcher. Je soupire de soulagement et décide de le rattraper au plus vite, je ne veux pas le perdre de vue. C'est ma seule clé pour sortir vivant de cet endroit. Alors je ne veux pas la rater. Mais il semble que j'arrive pile au moment ou il parle. Mais me parles t-il ? Ou alors parle t'il tout haut ce qu'il devrait penser tout bas. Alors je ne dit rien, et en le regardant avec un regard remplit d’incompréhension, avec la bouche légèrement ouvert aussi, où sont visible ma langue et la pointe de mes dents, je l'écoute.
Décidément, ce félin m'étonne de plus en plus. Il est tellement éloigné des rumeurs que j'ai entendu de la gueule de certains félin. Que j'en vient à me demander...suis-je dans un rêve ? Cela n'est sûrement que le fruit de mon imagination. Un être si gentil dans la forêt, à la nature sauvage, cela existe vraiment ? Je m'arrête un peu pour me poser le bout de mon museau sur ma poitrine et, avec des dent, je me mort la chaire. Je couina légèrement, mais au moins je me pourrais me réveiller de ce rêve...et ce n'est pas un rêve. Mais...si je ne suis pas dans un rêve...alors...je ne préfère ne pas y penser. Décidément les paroles de certains ne devraient pas quitter leur gueule et ne pas faire peur aux autre. Après cette petite pause, je rattrape rapidement le guerrier. Il avance tellement vite, j'ai l'impression d'avoir vraiment des petites pattes contrairement à lui. Mais je suis quand même la cadence. Même si cela me fait faire des efforts supplémentaire. Mais alors que je comptais lui répondre. Il reprit la parole. Alors je ne interrompit pas et l'écouta de nouveau.
Pourquoi espère t-il tant pour moi ? Je ne comprend pas ce félin. C'est une grosse énigme psychologique qui prendrait sûrement des années à comprendre et à résoudre. M'enfin. Je suis quand même touché par ses paroles. Qui aurait crû qu'une personne comme ce guerrier me confirait quelque chose d'aussi concret, d'aussi sympathique, d'aussi...sérieux. En y repensant vraiment il est vrai que je n'ai plus grand monde maintenant. Alors entendre un tel message fait chaud au cœur. Même si il vient d'un chat rencontré il y peu...
Décidément, ce félin m'étonne de plus en plus. Il est tellement éloigné des rumeurs que j'ai entendu de la gueule de certains félin. Que j'en vient à me demander...suis-je dans un rêve ? Cela n'est sûrement que le fruit de mon imagination. Un être si gentil dans la forêt, à la nature sauvage, cela existe vraiment ? Je m'arrête un peu pour me poser le bout de mon museau sur ma poitrine et, avec des dent, je me mort la chaire. Je couina légèrement, mais au moins je me pourrais me réveiller de ce rêve...et ce n'est pas un rêve. Mais...si je ne suis pas dans un rêve...alors...je ne préfère ne pas y penser. Décidément les paroles de certains ne devraient pas quitter leur gueule et ne pas faire peur aux autre. Après cette petite pause, je rattrape rapidement le guerrier. Il avance tellement vite, j'ai l'impression d'avoir vraiment des petites pattes contrairement à lui. Mais je suis quand même la cadence. Même si cela me fait faire des efforts supplémentaire. Mais alors que je comptais lui répondre. Il reprit la parole. Alors je ne interrompit pas et l'écouta de nouveau.
Pourquoi espère t-il tant pour moi ? Je ne comprend pas ce félin. C'est une grosse énigme psychologique qui prendrait sûrement des années à comprendre et à résoudre. M'enfin. Je suis quand même touché par ses paroles. Qui aurait crû qu'une personne comme ce guerrier me confirait quelque chose d'aussi concret, d'aussi sympathique, d'aussi...sérieux. En y repensant vraiment il est vrai que je n'ai plus grand monde maintenant. Alors entendre un tel message fait chaud au cœur. Même si il vient d'un chat rencontré il y peu...
Je...Je...je ne sais pas quoi dire. C'est la première fois que quelqu'un pense ce genre de chose envers ma personne. Je...suis un peu troublé, excuse moi...mais je suppose que merci sera bienvenue pour toi ? Ou alors tu n'en voit pas l'importance ? Voir même tu t'en moque ? Je ne sais pas ce que tu pense, je ne sais pas ce que tu peux ressentir. Mais...Merci beaucoup ! Et je m'appelle Argentin...et...t-....v-...vous ?
Je coupe cours à cette parole. Je suis tellement surpris que je m'embrouille dans mes mots et dit des stupidités idiotes. Un simple merci aurait suffit...pourquoi as-t-il fallut que je dise encore plus. J'espère que je n'ai rien dit qui pourrait le troubler, quoi que j'en doute fortement, ou quelque chose qui l'a blessé...Mais dans ma voix seul un profond sentiment de reconnaissance était présent. Alors...je n'ai plus qu'à attendre sa réponse, seul lui pourra réduire ses doutes, voir même les supprimer directement.
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Dim 4 Mar 2018 - 1:45
i'll be your guide, don't be afraid, we will get out alive, we'll go trought everything and I promise you that hope could be find in the light of the stars of the night
Cri de l'Agonie ¬ Argentin
Ce n’était qu’un solitaire. Peut-être qu’il n’aurait jamais dû lui parler comme ça, se montrer lui-même, peut-être que le froid aurait dû rester, la façade n’aurait peut-être jamais dû s’envoler, s’en aller, peut-être. Mais est-ce que c’était si important ? Ce n’était qu’un solitaire, justement, et un solitaire que personne n’attendait, que personne n’espérait, un solitaire qui pourrait mourir sans manquer à personne, un solitaire qui, contre toutes attentes, lui ressemblait bien plus qu’il aurait pu se le dire, s’imaginer. Un solitaire qui n’avait pas d’attache, tout comme lui, et c’était sans doute pour ça que Cri de l’Agonie avait laissé tomber le froid, la glace, que tout s’était effacé pour révéler le guerrier doux et agréable qu’il était qu’avec Cicatrice de Ronce, parce que quelque part dans tout ça, il se sentait ne serait-ce qu’un minimum proche de celui qui essayait de ne pas le perdre de vue, puisqu’il allait vite. Le guerrier roux et blanc avait toujours tendance à aller vite, mais il ralentit pour permettre à ce solitaire dont il ne connaissait rien de le rattraper et de ne pas trop s’épuiser à tenter de le suivre.
Cri de l’Agonie n’avait personne. Il n’était même pas sûr que Cicatrice de Ronce souffrirait longtemps, vraiment, de son absence, de sa disparition. Elle aurait Nuage de Poussière pour tout combler, pour l’aider, pour tout effacer. Elle aurait ce fantôme qu’elle aime toujours autant pour apaiser la tristesse ne serait-ce que légère. Et elle aurait son meilleur ami, le lieutenant du Clan, elle aura ses enfants, sa famille, elle l’oublierait bien rapidement, que trop rapidement. Et avec efficacité. Parce qu’il n’était pas quelqu’un qui manquerait. Non, pas du tout. Il ne manquerait à personne. Certainement pas à son père qui pourrait le tuer sans problème, sans remords, il le blessait déjà. Il n’était strictement rien de plus qu’un objet pour passer ses nerfs pour son père et il le savait très bien, il l’avait accepté. Et sa mère… sa tendre mère. Elle l’avait déjà perdu. Elle était déjà dévastée. S’il venait à disparaître, elle ne pourrait pas le remarquer tant il l’évitait déjà, elle ne le voyait déjà point. Alors non, personne ne serait affecté par sa mort. Et ainsi, il se sentait si proche du solitaire, le comprenait tellement. Et c’était toujours douloureux de prendre conscience de son inutilité quelconque auprès des autres. Léger soupir.
Il tourna sa tête vers le solitaire quand celui-ci lui répondit, quand la voix de cet étranger retentit dans les airs, cet étranger qu’il n’aurait jamais dû rencontrer parce qu’il n’aurait jamais dû se trouver sur les terres du Clan de l’Ombre. Un concours de circonstance les avait amené à se voir, à se rencontrer et ce concours de circonstance lui allait parfaitement bien, lui plaisait même, parce que pour une fois, il ne se sentait plus seul. Un peu moins seul, en tout cas. Quelque chose avait changé. Il comprenait ce solitaire mieux que les autres et il aurait tant aimé pouvoir l’aider, pouvoir modifier sa vie pour que ce solitaire ne souffre pas autant que lui peut se retrouver à ressentir la douleur dans son coeur, dans ses veines, cette souffrance psychique qu’il voulait effacer si souvent de sa mémoire, mais qu’il ne pouvait pas. Qui restait. Le pourchassait, ne le laissait point seul. Il ne pourrait jamais arrêter d’avoir mal. Ce n’était pas grave. Il pouvait au moins faire comprendre à ce solitaire qu’il n’était pas seul.
Argentin. Il se nommait Argentin. Cri de l’Agonie le trouvait, quelque part, bien adorable et mignon dans sa façon incertaine de lui répondre et cette façon de s’emmêler dans ses mots comme si le guerrier pourrait lui reprocher quoi que ce soit. Le solitaire semblait tant avoir peur de mal faire, de dire ce qu’il ne fallait pas. Certains chatons étaient pareils. « Enchanté Argentin. Je suis Cri de l’Agonie. Je pense que tu sais que les coutumes des Clans font que nos noms sont différents. Enfin, peut-être que tu ne le sais pas. Ça doit te faire étrange. » Une petite pause. Peut-être que le guerrier parlait trop, mais son coeur se sentait un peu moins seul actuellement. « Ne me remercies pas, Argentin. Évidemment qu’on ne sait pas ce que les autres ressentent, ce serait tellement plus pratique ainsi… Enfin, parfois on peut le savoir. Je ne m’en moque pas, je comprends juste ce que c’est de ne pas avoir d’attache, que personne ne remarquerait notre disparition. Je sais ce que c’est de ne plus rien avoir et je trouve ça vraiment triste que quelqu’un ressente ça aussi. J’aimerais pouvoir t’aider, t’offrir la chance que je n’ai pas. Mais seul le temps peut faire ça, pas vrai ? J’espère que tu rencontreras quelqu’un. Vraiment. » C’était si rare qu’il soit autant sincère, qu’il se livre et Cicatrice de Ronce ne le quittait point.
Cri de l’Agonie n’avait personne. Il n’était même pas sûr que Cicatrice de Ronce souffrirait longtemps, vraiment, de son absence, de sa disparition. Elle aurait Nuage de Poussière pour tout combler, pour l’aider, pour tout effacer. Elle aurait ce fantôme qu’elle aime toujours autant pour apaiser la tristesse ne serait-ce que légère. Et elle aurait son meilleur ami, le lieutenant du Clan, elle aura ses enfants, sa famille, elle l’oublierait bien rapidement, que trop rapidement. Et avec efficacité. Parce qu’il n’était pas quelqu’un qui manquerait. Non, pas du tout. Il ne manquerait à personne. Certainement pas à son père qui pourrait le tuer sans problème, sans remords, il le blessait déjà. Il n’était strictement rien de plus qu’un objet pour passer ses nerfs pour son père et il le savait très bien, il l’avait accepté. Et sa mère… sa tendre mère. Elle l’avait déjà perdu. Elle était déjà dévastée. S’il venait à disparaître, elle ne pourrait pas le remarquer tant il l’évitait déjà, elle ne le voyait déjà point. Alors non, personne ne serait affecté par sa mort. Et ainsi, il se sentait si proche du solitaire, le comprenait tellement. Et c’était toujours douloureux de prendre conscience de son inutilité quelconque auprès des autres. Léger soupir.
Il tourna sa tête vers le solitaire quand celui-ci lui répondit, quand la voix de cet étranger retentit dans les airs, cet étranger qu’il n’aurait jamais dû rencontrer parce qu’il n’aurait jamais dû se trouver sur les terres du Clan de l’Ombre. Un concours de circonstance les avait amené à se voir, à se rencontrer et ce concours de circonstance lui allait parfaitement bien, lui plaisait même, parce que pour une fois, il ne se sentait plus seul. Un peu moins seul, en tout cas. Quelque chose avait changé. Il comprenait ce solitaire mieux que les autres et il aurait tant aimé pouvoir l’aider, pouvoir modifier sa vie pour que ce solitaire ne souffre pas autant que lui peut se retrouver à ressentir la douleur dans son coeur, dans ses veines, cette souffrance psychique qu’il voulait effacer si souvent de sa mémoire, mais qu’il ne pouvait pas. Qui restait. Le pourchassait, ne le laissait point seul. Il ne pourrait jamais arrêter d’avoir mal. Ce n’était pas grave. Il pouvait au moins faire comprendre à ce solitaire qu’il n’était pas seul.
Argentin. Il se nommait Argentin. Cri de l’Agonie le trouvait, quelque part, bien adorable et mignon dans sa façon incertaine de lui répondre et cette façon de s’emmêler dans ses mots comme si le guerrier pourrait lui reprocher quoi que ce soit. Le solitaire semblait tant avoir peur de mal faire, de dire ce qu’il ne fallait pas. Certains chatons étaient pareils. « Enchanté Argentin. Je suis Cri de l’Agonie. Je pense que tu sais que les coutumes des Clans font que nos noms sont différents. Enfin, peut-être que tu ne le sais pas. Ça doit te faire étrange. » Une petite pause. Peut-être que le guerrier parlait trop, mais son coeur se sentait un peu moins seul actuellement. « Ne me remercies pas, Argentin. Évidemment qu’on ne sait pas ce que les autres ressentent, ce serait tellement plus pratique ainsi… Enfin, parfois on peut le savoir. Je ne m’en moque pas, je comprends juste ce que c’est de ne pas avoir d’attache, que personne ne remarquerait notre disparition. Je sais ce que c’est de ne plus rien avoir et je trouve ça vraiment triste que quelqu’un ressente ça aussi. J’aimerais pouvoir t’aider, t’offrir la chance que je n’ai pas. Mais seul le temps peut faire ça, pas vrai ? J’espère que tu rencontreras quelqu’un. Vraiment. » C’était si rare qu’il soit autant sincère, qu’il se livre et Cicatrice de Ronce ne le quittait point.
Codage par Foudry pour Luny
Jeune aventurier
Puf/Surnom : Nestor
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Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Argentin
Dim 4 Mar 2018 - 22:32
Ce chat est vraiment aimable. Finalement, j'en serais presque tenté de lui demander de m'en dire plus sur lui. Mais non. Je ne dois pas, ça ne serait pas correct envers lui. A la base je ne suis même pas sensé lui parler. Mais c'est vrai qu'il est très aimable, très sympathique.
Quelque chose, un sentiment, que je n'aurais crû possible dans ces terres qui respire la peur des âmes malheureuses qui sont déjà passées par là mais qui ne sont pas rentré chez elles saines et sauves. Rien que d'y penser j'en ai un pincement au cœur. Mais cela n'est pas vraiment important. Après tout, moi je n'en fait pas partie. Et grâce à Crie de l'agonie, c'est vrais que c'est un drôle de nom mais...pourquoi me dire que c'est étrange ? Chacun ses coutumes et ses traditions. Si les clans font comme ça c'est qu'il doit y avoir une raison. Et elle m'est inconnue mais je ne suis pas non plus curieux au point de vouloir remonter à la signification de cette histoire de nom composé. Qui doit remonter à il y des lunes et des lunes. Tellement de lunes que même le nombre de griffes qui sont à mes pattes y seraient très insuffisant. M'enfin. C'est quelque chose qui est dans un mystère très grand et qui doit rester dans ce fameux mystère. Et c'est un peu excitant de ne pas savoir ça. Comme ça mon imagination peut faire un grand travail de suppositions. Comme par exemple, peut-être que les noms sont composés parce que le premier chat en avait un et ils ont décidés de garder ce système pour lui rendre hommage...c'est un peu ridicule mais cela peut-être une idée. Bien qu'elle soit bien évidemment fausse mais après tout, ne sait-on jamais. La vérité est souvent très spéciale, c'est peut-être le cas encore pour ce petit mystère. Enfin je dit mystère mais il n'en est rien pour Crie de l'agonie, lui qui vit dans les clans il doit bien savoir, ses parents ont dû lui apprendre, lui dire tout les petits secrets que les solitaires ne connaissent même pas, qu'ils n'osent à peine imaginer. C'est vraiment passionnant que nous cache donc ses clans, avec ses guerriers, comme il sont appelés, que tout le monde extérieur ne soupçonne même pas.
Et Crie est vraiment quelqu'un de bien. Je ne sais pas s'il m'as vu trottiner pour le rejoindre mais il semble ralentir son allure. C'est incroyable de quelqu'un de si attentionné envers ma personne. Hors des amis j'entend bien. Mes tuteurs, journaliers, me font faire des taches très dur pour mon petit corps mais ils n'ont pas l'air de s'en préoccuper plus que ça. C'est...ouais...c'est pas très sympathique. Mais je ne me plains pas, ils m'apprennent des choses alors je ne pense pas avoir le droit de me plaindre. Mais Crie et les siens ont forcément pareil ! JE veux dire que eux aussi doivent des tuteurs. Mais avoir quelqu'un comme ce guerrier à côté de lui, lui parler, me procure un bon sentiment, je le trompe peut-être mais je crois, et je pense bien, que c'est la joie. Oui c'est ça, la joie de voir que des chats sont tout aussi gentil que des amis alors que l'on vient à peine de se rencontrer. C'est si plaisant comme sensation.
Quand Crie me répond j'en aurait presque des frissons. Je sens qu'il est sincère. C'est incroyable, pourquoi est-il si sincère envers moi, si sympathique ? La réponse la plus simple serait de dire qu'il est comme ça de nature et donc qu'il est comme ça avec tout le monde. Mais je doute fort que cette réponse soit la vérité, parce que je me souvient de son visage quand l'on sait lancés mutuellement le premier regard, le premier contact visuel qui nous à mener à cette petite ballade dans ses terres pour que j'en sorte indemne. Ses yeux, sa gueule, ses oreilles tout sur son visage étaient, pas fermés, mais très incompréhensible de mon point de vue. Impossible de voir ce qu'il pensait réellement lors de ses paroles avec ses visage si fermé, si vide...mais là...je ne sais pas, c'est peut-être mon imagination mais je crois que son visage se détend. Maintenant j'arrive à décerner un petit sentiment de sincérité sur ce dernier. C'est presque comme si il appréciait ma présence. Mais je pense, et je suis même persuadé, que ce n'est pas le cas. Du moins seul lui peut apporter la réponse. Mais oserais-je lui poser cette question qui est quand même très, très TRÈS gênante envers moi et surtout envers lui, cela le forcerait à se confier encore plus sur ses sentiments intérieurs. Maintenant qu'il à finit de parler je peut dire que, oui, il à quelque chose qui c'est débloqué en lui. Ou alors mon imagination travail trop et il faut que je lui dise d'arrêter de me faire faire des idées fausses comme ça sur un guerrier du clan de l'ombre qui m'aide à sortir d'ici. Mais, comme j’ignore ce qu'il se passe dans sa vie je ne pourrais jamais vraiment apporter de réponse. J'espère que mes questionnements ne se voient pas sur mon visage. J'ai tendance à plisser les yeux sans contrôle en fixant intensément droit devant moi. Mais comme si ça suffisait pas, mes griffes sortent toute seules sans raison. Et je ne m'en rend pas compte. Et c'est ce qui peu être plutôt perturbant pour les personnes qui sont à mes côtés lors de ces moments de réflexion que je me fait à moi même.
Quelque chose, un sentiment, que je n'aurais crû possible dans ces terres qui respire la peur des âmes malheureuses qui sont déjà passées par là mais qui ne sont pas rentré chez elles saines et sauves. Rien que d'y penser j'en ai un pincement au cœur. Mais cela n'est pas vraiment important. Après tout, moi je n'en fait pas partie. Et grâce à Crie de l'agonie, c'est vrais que c'est un drôle de nom mais...pourquoi me dire que c'est étrange ? Chacun ses coutumes et ses traditions. Si les clans font comme ça c'est qu'il doit y avoir une raison. Et elle m'est inconnue mais je ne suis pas non plus curieux au point de vouloir remonter à la signification de cette histoire de nom composé. Qui doit remonter à il y des lunes et des lunes. Tellement de lunes que même le nombre de griffes qui sont à mes pattes y seraient très insuffisant. M'enfin. C'est quelque chose qui est dans un mystère très grand et qui doit rester dans ce fameux mystère. Et c'est un peu excitant de ne pas savoir ça. Comme ça mon imagination peut faire un grand travail de suppositions. Comme par exemple, peut-être que les noms sont composés parce que le premier chat en avait un et ils ont décidés de garder ce système pour lui rendre hommage...c'est un peu ridicule mais cela peut-être une idée. Bien qu'elle soit bien évidemment fausse mais après tout, ne sait-on jamais. La vérité est souvent très spéciale, c'est peut-être le cas encore pour ce petit mystère. Enfin je dit mystère mais il n'en est rien pour Crie de l'agonie, lui qui vit dans les clans il doit bien savoir, ses parents ont dû lui apprendre, lui dire tout les petits secrets que les solitaires ne connaissent même pas, qu'ils n'osent à peine imaginer. C'est vraiment passionnant que nous cache donc ses clans, avec ses guerriers, comme il sont appelés, que tout le monde extérieur ne soupçonne même pas.
Et Crie est vraiment quelqu'un de bien. Je ne sais pas s'il m'as vu trottiner pour le rejoindre mais il semble ralentir son allure. C'est incroyable de quelqu'un de si attentionné envers ma personne. Hors des amis j'entend bien. Mes tuteurs, journaliers, me font faire des taches très dur pour mon petit corps mais ils n'ont pas l'air de s'en préoccuper plus que ça. C'est...ouais...c'est pas très sympathique. Mais je ne me plains pas, ils m'apprennent des choses alors je ne pense pas avoir le droit de me plaindre. Mais Crie et les siens ont forcément pareil ! JE veux dire que eux aussi doivent des tuteurs. Mais avoir quelqu'un comme ce guerrier à côté de lui, lui parler, me procure un bon sentiment, je le trompe peut-être mais je crois, et je pense bien, que c'est la joie. Oui c'est ça, la joie de voir que des chats sont tout aussi gentil que des amis alors que l'on vient à peine de se rencontrer. C'est si plaisant comme sensation.
Quand Crie me répond j'en aurait presque des frissons. Je sens qu'il est sincère. C'est incroyable, pourquoi est-il si sincère envers moi, si sympathique ? La réponse la plus simple serait de dire qu'il est comme ça de nature et donc qu'il est comme ça avec tout le monde. Mais je doute fort que cette réponse soit la vérité, parce que je me souvient de son visage quand l'on sait lancés mutuellement le premier regard, le premier contact visuel qui nous à mener à cette petite ballade dans ses terres pour que j'en sorte indemne. Ses yeux, sa gueule, ses oreilles tout sur son visage étaient, pas fermés, mais très incompréhensible de mon point de vue. Impossible de voir ce qu'il pensait réellement lors de ses paroles avec ses visage si fermé, si vide...mais là...je ne sais pas, c'est peut-être mon imagination mais je crois que son visage se détend. Maintenant j'arrive à décerner un petit sentiment de sincérité sur ce dernier. C'est presque comme si il appréciait ma présence. Mais je pense, et je suis même persuadé, que ce n'est pas le cas. Du moins seul lui peut apporter la réponse. Mais oserais-je lui poser cette question qui est quand même très, très TRÈS gênante envers moi et surtout envers lui, cela le forcerait à se confier encore plus sur ses sentiments intérieurs. Maintenant qu'il à finit de parler je peut dire que, oui, il à quelque chose qui c'est débloqué en lui. Ou alors mon imagination travail trop et il faut que je lui dise d'arrêter de me faire faire des idées fausses comme ça sur un guerrier du clan de l'ombre qui m'aide à sortir d'ici. Mais, comme j’ignore ce qu'il se passe dans sa vie je ne pourrais jamais vraiment apporter de réponse. J'espère que mes questionnements ne se voient pas sur mon visage. J'ai tendance à plisser les yeux sans contrôle en fixant intensément droit devant moi. Mais comme si ça suffisait pas, mes griffes sortent toute seules sans raison. Et je ne m'en rend pas compte. Et c'est ce qui peu être plutôt perturbant pour les personnes qui sont à mes côtés lors de ces moments de réflexion que je me fait à moi même.
Tu sais ce que ça fait ? Es-tu comme moi ? Un solitaire piégé dans ton clan ? Mais avec l'amour du clan avec ? JE suis désolé de mes idées qui sont un peu stupides...mais c'est si nouveau pour moi...de sentir que quelqu'un est, pas vraiment non plus, comme moi. Dans une boucle sans fin de solitude non voulue ! Mais...tu me souhaite de rencontrer quelqu'un..mais toi ? As-tu cette personne ?
Invité
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Mar 29 Mai 2018 - 18:51
i'll be your guide, don't be afraid, we will get out alive, we'll go trought everything and I promise you that hope could be find in the light of the stars of the night
Cri de l'Agonie ¬ Argentin
Il voulait tellement qu’elle l’aime. Il aurait aimé qu’elle soit à lui, qu’elle lui soit destinée, qu’elle l’aime autant que lui l’aimait, mais il savait que ce n’était pas possible, qu’elle ne l’aimerait pas. Qu’elle ne serait jamais sa compagne et ça le tuait, ça le détruisait. Il pouvait tout donner, il pouvait tout faire, il pouvait tellement plus lui apporter que son fameux copain des étoiles, mais elle ne pouvait pas l’oublier et ça le rendait tellement malade de jalousie de le savoir, d’en avoir parfaitement conscience. La jalousie qui prenait place dans tout son coeur, dans tout son âme. Elle ne s’effaçait pas, cette jalousie, elle restait bien ancrée en lui parce qu’il savait que jamais elle n’aimerait quelqu’un d’autre que ce défunt félin qui ne pourrait jamais lui donner autant que lui. Elle ne voulait pas le comprendre. Elle ne voulait pas le réaliser. Ça le rendait malade. Malade. Tellement malade de jalousie. Et ça ne quittait pas son esprit. Même maintenant alors qu’il devait reconduire un solitaire en dehors de leurs terres, elle demeurait présente et sa présence était si puissante, déroutante.
Cicatrice de Ronce lui avait jeté un sort ou alors n’étaient-ce que ses beaux yeux qui le soulevaient ainsi et son esprit vif qui l’envoûtait de la sorte. Quoi qu’il en soit, il était fou d’elle et ne pouvait dégager la douceur de sa voix de ses pensées, la forme de son corps et la façon dont ses vibrisses tendent à remuer lorsque les choses se passent étrangement ou lorsqu’elle réfléchissait bien attentivement à ce qui se produisait. Ou la teinte rêveuse de ses billes lumineuses lorsqu’elle pensait sous la lueur de la lune. Mais elle ne pensait pas à lui. Non. Elle pensait à ce défunt félin qui ne pouvait même pas lui offrir la chaleur d’un corps en pleine saison froide. Il était froid. Son corps était glacé. Décomposé sous terre. Il ne restait que son âme dans les cieux les surplombant. Mais elle ne faisait pas son deuil et persistait à le désirer à ses côtés, persistait à se donner corps et âme à ce mort. Persistait à l’aimer comme l’on aime un vivant. Sauf que son cher et tendre était tout sauf vivant et que Cri de l’Agonie était révolté d’une telle situation.
Alors que lui… lui, il était là. Au détour d’un lac, au chemin, dans le camp, tout partout. Il était là. Bien vivant. Le corps dégageant une certaine chaleur caractéristique de ceux respirant. Il avait l’odeur humide du Clan de l’Ombre et sa voix avait un timbre n’ayant rien de céleste. Il était là. Le coeur battant et le sang circulant dans ses veines, dans tout son corps. Ce corps fort. Blanc et roux. Ce corps qui attendait elle. Il était là et si elle prenait la peine de réellement le regarder, elle verrait tout cet amour fou dans ses prunelles, ce besoin de la savoir à lui, ce besoin d’être remarqué et aimé par elle. Tout ne tenait qu’à elle. Il vivrait pour elle. Il tuerait pour elle. Il mourrait pour elle. Son souffle était le sien. Ses peurs étaient les siennes. Sa douleur, il la vivait aussi intensément que si ça avait été la sienne. Pourquoi ne le voyait-elle donc pas ? Il crevait dans son ombre. Il crevait à l’attendre. Il crevait sans son attention pour le faire vivre, pour lui insuffler la vie et la jalousie mordante le tuait seulement encore plus. Il ne pouvait rien y faire. Non. Rien. Il ne contrôlait pas. Il n’avait jamais contrôlé, seulement aimé cette femelle.
C’est la voix du solitaire qui sortit le guerrier de ses pensées, qui coupa ce fil de questions sans réponses et de déclarations torturées d’un amour à sens unique. Il n’était pas seul. Un autre chat se trouvait avec lui et il devait rester assez attentif pour entretenir une conversation, mais il ne pouvait pas chasser Cicatrice de Ronce de son esprit. Oh non. Et ce solitaire lui ressemblait, ce qui le rendait bien triste. Il ne voulait pas qu’on lui ressemble. Personne ne devait vivre sa solitude. “Je suis un chasseur apportant de la nourriture. Mon importance ne réside qu’en cette action. Le Clan ne m’apporte pas d’amour, qu’un respect lointain.” Il ne pouvait être que sincère. Sans personne autour d’eux deux. “Tes idées ne sont pas stupides. Ne t’en fais pas. Tu essaies de comprendre. De savoir. Une soif de connaissance et de compréhension ne peut être que respectable. Cette personne… Je suis cette personne pour une autre. Mais elle n’est pas la même pour moi. Connais-tu ce que c’est de se dévouer et se donner corps et âme, le coeur sur un plateau d’or, à quelqu’un qui aime de toutes les fibres de son corps un défunt ? Je pourrais disparaître sans que sa vie n’en soit profondément chamboulée, mais la perdre me tuerait moi.”
Cicatrice de Ronce lui avait jeté un sort ou alors n’étaient-ce que ses beaux yeux qui le soulevaient ainsi et son esprit vif qui l’envoûtait de la sorte. Quoi qu’il en soit, il était fou d’elle et ne pouvait dégager la douceur de sa voix de ses pensées, la forme de son corps et la façon dont ses vibrisses tendent à remuer lorsque les choses se passent étrangement ou lorsqu’elle réfléchissait bien attentivement à ce qui se produisait. Ou la teinte rêveuse de ses billes lumineuses lorsqu’elle pensait sous la lueur de la lune. Mais elle ne pensait pas à lui. Non. Elle pensait à ce défunt félin qui ne pouvait même pas lui offrir la chaleur d’un corps en pleine saison froide. Il était froid. Son corps était glacé. Décomposé sous terre. Il ne restait que son âme dans les cieux les surplombant. Mais elle ne faisait pas son deuil et persistait à le désirer à ses côtés, persistait à se donner corps et âme à ce mort. Persistait à l’aimer comme l’on aime un vivant. Sauf que son cher et tendre était tout sauf vivant et que Cri de l’Agonie était révolté d’une telle situation.
Alors que lui… lui, il était là. Au détour d’un lac, au chemin, dans le camp, tout partout. Il était là. Bien vivant. Le corps dégageant une certaine chaleur caractéristique de ceux respirant. Il avait l’odeur humide du Clan de l’Ombre et sa voix avait un timbre n’ayant rien de céleste. Il était là. Le coeur battant et le sang circulant dans ses veines, dans tout son corps. Ce corps fort. Blanc et roux. Ce corps qui attendait elle. Il était là et si elle prenait la peine de réellement le regarder, elle verrait tout cet amour fou dans ses prunelles, ce besoin de la savoir à lui, ce besoin d’être remarqué et aimé par elle. Tout ne tenait qu’à elle. Il vivrait pour elle. Il tuerait pour elle. Il mourrait pour elle. Son souffle était le sien. Ses peurs étaient les siennes. Sa douleur, il la vivait aussi intensément que si ça avait été la sienne. Pourquoi ne le voyait-elle donc pas ? Il crevait dans son ombre. Il crevait à l’attendre. Il crevait sans son attention pour le faire vivre, pour lui insuffler la vie et la jalousie mordante le tuait seulement encore plus. Il ne pouvait rien y faire. Non. Rien. Il ne contrôlait pas. Il n’avait jamais contrôlé, seulement aimé cette femelle.
C’est la voix du solitaire qui sortit le guerrier de ses pensées, qui coupa ce fil de questions sans réponses et de déclarations torturées d’un amour à sens unique. Il n’était pas seul. Un autre chat se trouvait avec lui et il devait rester assez attentif pour entretenir une conversation, mais il ne pouvait pas chasser Cicatrice de Ronce de son esprit. Oh non. Et ce solitaire lui ressemblait, ce qui le rendait bien triste. Il ne voulait pas qu’on lui ressemble. Personne ne devait vivre sa solitude. “Je suis un chasseur apportant de la nourriture. Mon importance ne réside qu’en cette action. Le Clan ne m’apporte pas d’amour, qu’un respect lointain.” Il ne pouvait être que sincère. Sans personne autour d’eux deux. “Tes idées ne sont pas stupides. Ne t’en fais pas. Tu essaies de comprendre. De savoir. Une soif de connaissance et de compréhension ne peut être que respectable. Cette personne… Je suis cette personne pour une autre. Mais elle n’est pas la même pour moi. Connais-tu ce que c’est de se dévouer et se donner corps et âme, le coeur sur un plateau d’or, à quelqu’un qui aime de toutes les fibres de son corps un défunt ? Je pourrais disparaître sans que sa vie n’en soit profondément chamboulée, mais la perdre me tuerait moi.”
Codage par Foudry pour Luny
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