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Jeune aventurier
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Liberté Éphémère
Mer 1 Nov 2017 - 23:33
• Nom : Ton nom, cette chose si anodine et si révélatrice de ta véritable nature en même temps. Révélatrice de ta nature de démon, de démon qui aurait pu devenir ange. Pourras tu prononcer ces mots que tu aimes autant que tu hais ? Cette nomination qui est ta réalité ? Oseras tu seulement ? Toi qui a vu le frisson des autres quand tu le prononçais ? Quand tu disais t’appeller “Liberté Éphémère ?” • Sexe : As tu cette air de princesse supérieur ? Ressemble tu à ces choses qui ne savent que faire des gosses, de tout manière ? Non, tu es un mâle, et tu en ai fier ! • Age : ton âge ? A quoi cela te servirait donc de le dire ?! tout le monde peut voir que tu n’es pas vieux, ni jeune. oui, tu es dans la fleur de l’âge. Mais la vérité, tu la connais au fond de toi. La vérité c’est que tu as 32 lunes. • Groupe :Ton groupe ?! Groupe, ce mot est plus que abstrait à tes yeux… Tu sais que tu es un escogriffe, c’est comme ça qu’on te nomme après tout. Mais pour toi, il n’y a pas de groupe. “Chacun pour soi” te résumes sur beaucoup de point. • Rang : Tu n’as pas de rang. Tu es le plus puissant de tous mais tu n’as aucun rang… De toute manière ils te craignent tous, ça te suffis. • Si apprenti, quel est ton mentor : x • Parents : Myrtille : mère Ramsay : père Argentin, Errance : frère Sirène, Mistyc : demi-soeurs Ruisseau Silencieux :demi-frère Zarroc, Llum, Cyla : fils et filles Nuage Divin, Nuage de Lumière, Nuage Obscur : fille et fils Liefde, Fits, Vrij : filles |
But : Ton but ? A tes yeux c’est bien inutile de prévoir quelque chose à l’avance… Enfin, ça, c’est ton avis. Mais tu ne caches pas que pour autant, tu en as un. L’ironie, que veux-tu… Quoi qu’il en soit, ton but à toi, c’est de le décevoir. Ton père, celui qui t’a renié, pour tout à coup se ramener et sortir que c’était lui qui t’avais engendré. Il t’acceptait, car tu étais parfait. Mais ton frère ? Il le disait trop simple, pas assez doué. A tes yeux c’était le plus parfait de vous deux. Il voulait de la perfection cette saloperie ? Oh, mais avec grande joie, songeais-tu, je deviendrai le plus parfait des imparfaits… Et depuis ce jour tu ne cesses de tout faire pour lui déplaire.
Trait distinctif/principal : Ironique
Trait distinctif/principal : Ironique
Une silhouette [Tâche noir autour de l’oeil gauche, noir et blanc, tacheté partout, poil court, oreille déchirée, yeux ambres rougeoyant] J’aime pas me vanter mais j’suis plutôt beau. Ouais bon, quoi que je dise ça fait narcissique. Bah. J’y peux rien. Je dois quand même pas mentir pour que tu ailles bien ? Rien à foutre de toi, vu ? La vie c’est cruel et la loi du plus fort elle est toujours d’actualité. Donc non, je macherai pas mes mots pour ton bonheur. Maintenant tu la boucles si tu veux entendre ce que je dis. Et si tu y arrives pas tu finis en lambeau. Merci bien. je suppose que comme tu peux pas t’empêcher de te demander ce qui charme en moi ? L’ensemble des choses. mes yeux oranges, mes mouvements sûrs, précis et fluides, mon pelage mélange d’ombre et de lumière. Aucune femelle ne me résiste. Dis, tu me penses aveugle ? Tu penses que j’ai pas remarqué que tu venais de lever les yeux au ciel ? Je crois pas que t’as compris. Soit tu me respectes, soit tu crèves. Tu as fais ton choix ? Vivre, quelle surprise ! Donc je plais. Beaucoup. Mm ? Qu’est ce que tu as dis ? Que je le tiens de mon père ?! Ne répéte plus jamais ça. Je t’assures que si tu oses reprononcer cette phrase tu finis à l’état de cadavre ! Je t’interdis de parler de lui ! Je n’ai aucun héritage de sa part ! Je tiens cela de ma mère. Quoi ? Tu penses que ça vient de mon père ? Allons pas ce regard apeuré avec moi. Donc ? J’attends ta réponse. Ah non ? Tu as bien raison. Jamais je ne tiendrai quelque chose de mon père. Il est destiné à mourir lui. Tu peux te l’accorder, tu es beau. Magnifique même. Un sorte de prince moderne. Dumoins physiquement. Mon pelage. Je vais commencer par là car c’est une des premières choses qu’on voit. De loin, c’est ça que l’on peut détailler. J’suis pas hyper doué pour me décrire physiquement. Donc t’as pas intérêt à ricanner, tu sais très bien ce qui t’attends. Mon poil n’est guère long, voir, il est plutôt court. Comme je te l’ai déjà dit -si tu as bien écouté ce que j’espère pour toi-, mon pelage est un mélange d'ombre et de lumière. En gros, il est noir et blanc. Pas très classique ouais. Ce qui me plait, j’aime pas ressembler aux autres. J’existe pas pour me faire oublier, t’sais ? Bon bon. Pour continuer, je suis plus blanc que noir. Mes tâches prennent une couleur nuit noire. Il y en a une qui est sur mon poitrail et qui monte jusqu’à mon collier. Pas de question, je vais y venir ! L’autre se trouve sur mon arrière-train -je te conseille pas de mater-. Et enfin les trois dernière sont sur mon crâne, la première est la plus petite, la seconde un brin plus grande et la dernière entoure mon oeil. Dans tout ça, j’ai parfois quelque difficultés pour la traque mais doute pas de mes capacités, j’suis un chasseur qui sait y faire. Tu as un pelage qui ne se font pas dans le décor mais qui est assez beau. Ma carrure maintenant.j’impose pas beaucoup. Sans paraître maigrichon et faible, je ne semble pas une menace. Méfie toi petite proie, suffit que je je le veuille pour te tuer. Oh oui, mes coups rapides, précis et redoutables, tu les éviteras pas. Tu fais le fier mais tu gagnera jamais contre moi alors je te conseille de baisser ton museau. Donc, comme dis, je ne possède pas une carrure extrêmement musclé. En fait, il m’arrive souvent d’être comparé à un membre du clan du vent. Mes longues pattes m’entrainent à la vitesse de l’éclair là ou je souhaite. Cependant je suis bien équilibré : tu ne me feras pas facilement tomber, je te le garantis ! En attendant, ne m’imagine pas rachitique. Je mange à ma faim. Oui, tu n’effraye pas comme les chats comme toi, mais pas de doute, tu peu faire des dégâts. Beaucoup de dégâts. Mes yeux. Oranges et perçant, ils marquent. Personne ne les oublie. logique, des yeux oranges, ça court pas les rues. Mais tu sais ce qui rend particulier mes yeux outre leurs couleurs ? Ils semblent s’enfoncer dans ton âme quand je tente de deviner à quoi tu penses, brûler de vigueur quand je tente de t’assasiner, ou devenir Passion. Ils affichent haut et fort mes désirs, mes émotions et quelques peu mes pensées. Si tu sais lire dans les regards, ça va de soit. Sinon, il n’y a rien de notable pour mes yeux. Tes yeux, ils semblent inoubliables. Mais ça, tu ne t’en préoccupes pas. Tu veux avant tout lire le dégoût sur son visage. Le reste n’est que détail. Mes mouvements. Ils sont certains. Oui, ils semblent dotés d’une volonté propres. Comme si mes muscles ne faisaient que leur obéir. Bizarre tu dis ? Merveilleux, ton commentaire a changé ma façon de vivre. Bien, je suppose que tu vas écouter ou il faut que je te fasse terminer en char à corbeau ? Je disais que mes gestes sont très precis. Ils trahissent une sorte de détermination que tu crois que je possède. Laisse moi rire, j’ai aucune foutue détermination. Peu importe. Ma démarche suit mes propos. Sûre comme si je n’avais aucun doute de là où je vais. Fluide aussi, mais ça, c’est dans la continuité. Tu as cette démarche, cette façon de gesticuler. Cette façon d’être toi. Beaucoup de chats s’émerveillent de ça, tu sais ? Non, tu l’ignores. Puisque que tu te moques de tout, pourquoi ce détail t’alarmerait plus que les autres ? Se serait stupide. Mon collier. Comme tu te souviens, j’ai parlé d’un collier. J’en porte un. non, pas un collier de chat domestique ! Pour qui me prends tu, hm ?! Crois tu qu’un tueur à gage porterait un accessoire que les chats sans cervelle possèdent ?! Un conseil, évite de répondre oui. Non, moi, le mien est fait de cuir et de croc. Des proies que j’ai tué. Si tu veux pas faire de cauchemars, poses pas de question. Seulement ce n’est pas tout. Sur mon collier il y a une magnifique plume blanche venant d’une colombe. Elle ne vient pas de mes proies. Son “histoire” est simple mais terriblement belle à qui comprends au delà des mots. | Des pensées Ironique-cruel- Charismatique-Engimatique-Objectif-Méfiant- Autoritaire- Hypocrite-Opportuniste-Insolent- Protecteur- Stratège-Convaincant-Confiant Ironique moi ? Absolument. Pour moi, tout est une sorte de blague que seul la vie peut comprendre. N’est ce pas terriblement amusant de se dire que en voulant me rendre parfait mon père m’a dégoûté de lui et m’a fait devenir le monstre que je suis ? Si ! Moi, tout ces petits détails, j’en raffole ! Oh et je ne te parle même pas de ma façon de dire une chose alors que je pense toujours le contraire ! Je dirai presque que je suis incapable de faire le contraire… Suis je donc le seul à trouver que un chat qui voulait et mort à force de se battre pour la vie est hilarant ? Moi j’adore quand la vie se moque de nous ! Et elle le fait n’en doute pas ! Tu sais, si elle était en vie, je paris qu’elle passerait son temps à se moquer ! Alors quoi, moi je la suis parce que tout les deux, nous sommes destinés à nous entendre ! Tu sembles tout le temps ironique. Comme si tout n’était que blague et à tes yeux, ça l’est. J’suis pas un tendre moi. Pas ce genre de chat qui a pitié des autres non plus. Non moi, je savoure la douleur des autres. Leurs cri, leur plaintes, leurs lamentations et leusr suppliques est un divin parfum, une tentation interdite dont je ne peux me passer. Immonde hein ? Je te le cache pas je suis une véritable pourriture. je dis ça mais normalement je joue le jeu. Bref pas avec toi. Bah oui, j’adore voir cette peur soudaine quand tu te rends compte de qui je suis réellement. Tu peux me haïr pas de problème… Du moment que je m’amuse avec toi ! Je me ferai un plaisir de t’arracher des cris de douleur… Rien que pour m’imaginer que c’est lui ç sa place. Mais quand je parle, tu tombes sous le charme. Je t’envoute et avant que tu y comprenne quelque chose, tu es ma marionnette. Je sais dire ce qu’il faut pour que tout à coup toi qui me détestait, tu sois capable de sacrifier ta vie rien que pour moi. Ne me traite pas de beau parleur, cela ne me correspond pas : je ne parle pas dans le vide moi. Je sais juste ce qu’il faut te dire pour te réconforter, changer l’idée que tu te fais de ce monde… Je te le jure que quand je parle, tu ne t’en lasses pas. Suffis que j’y mette de la volonté pour que tu veuilles de nouveau entendre mes tirades et mes discours. Et oui, bien que je me comporte comme une saleté, je te met facilement à mes pieds. Tu as un don pour parler. Tu t’y prends toujours de la manière qu’il faut et il facile de croire en tes promesses… Je cultive un mystère autour de moi. Tu doutes toujours de mon passé, de mon caractère, de ma nature. Tu ne sais jamais vraiment à quoi te fier avec moi. Au gentil Liberté Éphémère qui te motive et te déclare ce que tu veux entendre,ou au méchant qui tue sans pitié ? Ou une autre version encore, que je garde enfouis profondément dans moi ? Sans que je sois particulièrement lunatique, tu ne sais jamais à quoi t’attendre. et quand j’agis, je ne t’en parle pas ! Tu ne comprends pas mes motivations, mon raisonnement… Mais il y a peu de chose que tu comprends avec moi en fait. C’est normal. Même les êtres les plus proches de moi ne savent pas à quoi se fier. Tu veux que je te dise ? Il m’arrive moi aussi de douter de mes actes prochains. Tu est et demeure une énigme que personne ne comprends. Qui peux tu ? Je vais le dire moi, rien ! Beaucoup se demandent ce qui trotte dans ta tête… Surtout à certain moment. Cependant, je reste très objectif. Je ne regarde jamais que les détails positifs ou négatifs, je regarde l’ensemble. Et jamais, je dis bien jamais, mes valeurs personelles et mon affection pour untel et untel n’intervient quand j’observe ce que j’ai fais. Je vois toujours l’ensemble, je ne me bloque pas sur ses choses futiles. Peu importe que le reste du monde le fasse puisque moi je me moque royalement du reste du monde ! Rien de mon vécu ne réussit à changer mon regard sur la chose. J’observe et en oublie le reste. Quand bien même cela le concerne, je réussis à passer outre et à voir le tout. Ce qui n’est pas donné à tout le monde, tu en conviendras ! Bah, comme je l’ai dit, j’aime pas faire comme tout le monde. Alors je prends un caractère bien à moi, tant pis si ça ne plait pas. Tu ne laisse jamais ton opinion personnel t’affecter, tu vois simplement le tout. Tu sais, cela devient habituel qu’on me traite de “méfiant, parano… “ Disons simplement que je n’accorde pas ma confiance à n’importe qui en un instant. Seulement, je ne pense pas que se soit un signe de stupidité, loin de là ! Tu sais, je parais un véritable ange avant de frapper ! Moi, je suis le roi des faux semblants, des apparences trompeuses, des fausses promesses… Et je me doute que je ne suis pas le seul à agir de cette manière. Si tu veux mon avis, personne ne montre facilement sa vraie nature… Alors avant de porter jugement sur ce chat ou cette chatte, il faut apprendre à le, la connaitre. Faut découvrir cette personnalité. Connaître son histoire, ses défauts, ses qualités… Et reconnaissez le, ça prends du temps tout ce bordel ! Alors oui, parfois je suis un peu parano et j’exagère en préfrant donner un faux nom. Mais personne n’est vraiment blanc dans ce monde. A bon entendeur ! Tu te méfies en permanence. Tu n’es certainement pas ce genre de chat qui donne sa confiance facilement. J’adore donner des ordres. Tout. Le. Temps. Et je ne supporte pas qu’on me désobéisse. Quand je dis quelque chose, tu ne me réponds pas non, tu te la fermes et tu accomplis ce que je t’ai demandé. Rien d’autre n’est envisageable. Ce que je dis fais office de lois. Et tu ne songerai tout de même pas à ignorer un règlement hm ? On est d’accord. Donc que je te dis quelque chose, tu ne réfléchis certainement pas à une façon de contourner le truc. Sinon je peux t’assurer que tu le regrettes amèrement. Enfin, tu sais, ça ne te dérange pas en principe de me servir. Si je suis agaçant à toujours dicter ma conduite, tu le supportes plutôt bien. Voyons, je réfléchis et je sais bien que tu m’ignoreras si nous sommes deux inconnus qui se rencontrent. Mais pas de problème, j’use de mon naturel charisme et les choses sont réglés ! Tu décide toujours à la place des autres. Oui, tu n’arrives pas à ne pas donner d'ordre alors tu ne te prive pas et dicte ce que doivent faire les autres en permanence. Mais tu sais là tout ce que je te dis, les autres l’ignorent. Va savoir pourquoi toi je te révele tout. Probablement parce que je pourrais toujours te tuer après.. Hm… Je plaisante ! Détends toi à la fin. Je disais donc. Je ne révèle jamais ma vrai nature, je prends un rôle qui n’est mien et je le joue à la perfection ! Pareil, je n’avoue jamais mes véritables ressentiments, je ment et dit les mots qu’ils te plaisent pour endormir ta méfiance. Écoute, il est bien plus facile de t’assassiner si tu me donnes ton entière confiance, on est d’accord ? Alors oui, je fais celui qui t’apprécie -ou pas !- mais en vérité je n’en ai juste rien à faire de toi. Et c’est pareil avec presque tout le monde. Je joue l’imbécile heureux dont personne ne penserait à se méfier avant de t’attaquer et de te trancher la gorge. Je m’adapte à chaque chat, dit souvent le contraire de mes pensées pour t’amadouer… Et le plus drôle, c’est que ça marche très souvent. Voir tout le temps. Tu es un hypocitre de première… Et tu l’admettrai… Si tu n’étais pas le roi des faux semblant ! “Tu profites de tout !” Ah combien de fois j’ai entendu cette phrase… Si je ne l’entends pas dans la journée, c’est que je n’ai croisé personne. Je le reconnais haut et fort, j’suis un profiteur. Un oppurtiniste de première. Allons, se serait stupide de ne pas profiter de la situation… Moi, j’attends toujours que les éléments soit réunis pour me lancer. Comme pour un meurtre. J’attendrai que tu me fasses à peu près confiance de sorte que tu es le dos tourné et hop ! Ou alors, je te prends par surprise comme ça tu ne sais pas comment réagir… Quoi qu’il en soit, je ne tente pas ma chance tant que tout n’est pas ma place. Et j’agis toujours comme ça. A profiter des occassions quand elle me passe sous le museau. Chaque situation apporte quelque chose, un avantage, alors j’avance et saute dessus. Pour avoir cet avantage et être le plus fort. Tu adore quand la situation est à ton avantage. Mais il faut dire que tu fais tout pour qu’elle le soit en permanence… Je me moque souvent de tout et de rien; Je n’arrive pas à me retenir que veux tu ! Toujours à faire un geste interdit, à proférer des propos que certains qualifieraient de honteux. Bah ! J’y peut rien moi, j’suis d’une nature insolente. Sans me comporter comme une langue de vipère, j’adore t’énerver et dire des paroles offensantes. Tu me demanderas pourquoi j’agis comme si je n’avais aucune règle ? Vois tu, j’suis pas le chat le plus auto-discipliné qui soit. Ouais, bien au contraire. Mais dit, comment veux tu que je me comporte respectueusement … Alors que je ne respecte personne ou presque hein ? Donc moi je continue à provoquer et à blesser. Je m’en moque je trouve ça terriblement amusant ce petit jeu ! A qui blessera le plus l’autre… Tu vas voir que je peux durer là dessus ! Je ne peux tout simplement pas cesser de te provoquer… Tu provoques dès que tu peux. A croire que c’est une sorte de passion secrète de narguer les autres… Par contre, je suis prêt à tout pour ceux que j’aime. Et quand je dis tout c’est tout. Le sang, les larmes, les trahisons ne me font absolument pas peur si c’est pour que tu les laisses tranquille. Tu n’y touche même pas. Si tu t’approches à deux mètre avec des intentions bien peu pacifiques, je t’assures que tu finis sans la moindre once de vie. Si j’apprends que tu as blessé l’un deux je suis capable de te courser pour te blesser jusqu’à ce que tu me supplies de te tuer. Je peux me montrer terriblement cruel pour me venger. N’imagine même pas une pichenette. Ouais rien que ça. Tu sais, je pourrais me battre nuit et jour pour eux. Ne pas manger, ne pas boire, dormir… Tout les besoin vitaux quoi. Et bien je pourrai parfaitement m’en passer pour eux. Qu’est ce que je ne ferai pas ? Hm. Bonne question. Je pense que très honnêtement je pourrai tout faire; Bref. Donc, je suis un chat très protecteur. Je surveille toujours ceux auquel je tiens d’un oeil discret, prêt à intervenir si tu lèves la patte sur eux. Ne t’avise pas non plus de te moquer d’eux. Je dis ça je dis rien. Tu te battrai pour eux jusqu’à tu ne puisses plus. Tu es prêt à tout et ne cesse de les protéger. Je met toujours au point des stratégie. Et y a pas à dire, j’ai pas ma pareil pour imaginer un plan sans faille. Quand je me met réfléchir, tout doit être parfait jusqu’au détail. Personne n’a jamais réussi à faire échouer une de mes idées. Oui oui, je t’assure. Tu ne me crois pas ? Alors je vais te dire quelque chose. La ferme. c’est ça ou je te bute. Rien à foutre de toi, t’sais ? Alors me chauffe pas. Je peux reprendre ? Non ? Je te posais pas la question ça tombe bien. Ainsi, je suis un fin stratège qui éllabore stratégie sur stratégie. Que se soit pour les combats, les meurtres… Un peu tout le temps et pour tout quoi. Et je peux t’assurer qu’avec mes idées, j’arrive toujours à parvenir à mes fins. Toujours. Tu sais comment faire un plan efficace, c’est une certitude. Oui, et tu en profites en bon opportuniste que tu es. Tu l’as remarqué, je manque pas de confiance en moi. On me dit confiant. Vrai. je sais toujours ce que je veux, que je fais ce qu’il faut. Et je ne doute jamais de mes capacités. En ça, je me différencie vraiment d’Errance. Lui toujours à douter, moi toujours à savoir. Je sais bien ce que je peux faire et ce que je ne peux pas faire. Et je sais que si je me fixe un objectif, j’arriverai toujours à l’accomplir. Je connais mes limites comme personne, et je sais toujours que si je le souhaite vraiment j’arriverai à les dépasser. Tout n’est que question de volonté tu ne crois pas ? Si je veux vraiment me dépasser, suffit que je le veuille. Determiné ? Pas vraiment. Je sais que j’arriverai à passer au dessus si tel est mon désir. Mais je ne le veux pas. Disons que… Je sais jusqu’ou je peux aller. Et honnêtement ? Je peux aller loin, très loin. Méfie toi de moi, je t’assures que je saurai toujours trouver des ressources nécessaire. Car je sais exactement là ou elle se trouve et comment les exploiter. Tu ne cesse d’avoir confiance en toi. Tu es toujours fier et tu connais très bien ce que tu peux, pourras faire ou pas. Bien sûr, je suis convaincant. Cela va de pair avec mon charsime. As t’ont déjà vu un chat doué pour plaire mais incapable de convaincre qui que se soit de ses idées ? De mémoire, il me semble que non. Alors oui, je confirme la règle. j’ai un sorte de don pour te faire croire en mes paroles. Je sais argumenter de sorte que tu doutes toi même de ce que tu dises… Et que finalement tu me crois. Je sais exactement ce qu’il faut dire pour que ton “petit” doute se retrouve en doute absolu. Et que tu te rallies à mes dires avec seulement quelques paroles. Que veux tu, j’ai le pouvoir de te faire gober n’importe quoi. Je pourrai par exemple te sortir que tu peux voler que tu finirai par me croire… et je n’exagère pas. Je t’assures que je saurai ajouter le ton, l’air qu’il te faut pour que tu penses que je dis vrai. Tu as cette façon de parler qui fait qu’on croit toujours en ce que tu dis; Oui, tu es très convaincant |
Des souvenirs
Je n’aime pas parler de mon histoire. Je n’aime pas devoir supporter tes excuses dégoulinantes de pitié. Alors. Par ou commencer. Et bien par l’amour. Quoi d’autre ? Mon histoire débute donc par deux chat qui s’aiment malgré les apparences. L’un habituellement infidel devenait le plus loyal des compagnons, l’autre incertaine en permancence qui savait quoi faire avec lui. Ils semblaient fait pour vivre ensemble; Comme si le destin lui même trouvait le couple trop parfait pour ne pas le faire exister. Quelle ironie de se dire que comme compagnon, il n’avait pas la pareille mais que comme père il était lamentable ! Et de cette union je naquis. Non sans regrets après recul mais… Je rejoins ce monde si morbide soit il devenu pour moi. Pourtant, je n’étais pas désiré par l’un de mes parents. Mon père ne me souhaitait pas, ni moi, ni mon frère. Il aurait préféré que nous existions jamais, que nous ne soyions qu’un pâle fantôme qui s'oubliait avec peu de volonté. Mais nous ne l’étions certainement pas. Quand ma mère lui annonça, il regarda dans le vide l’air pensif puis déclara que jamais il ne serait mon père. Il nous renia purement et simplement. Comme si rien ne nous liait, comme si il nous devait rien… Et on ose appeler ça un père ! Quand il partit il déclara cependant qu’il l’accepterait de nouveau comme compagne si elle nous supprimait.Aussi seule ma mère était là quand je vins au monde. Ne croyait pas qu’elle n’avait pas envisagé de nous abandonner ! Seulement, elle avait la nausée rien que de l’imaginer. Alors, elle nous garda. Et quand nous naquirent, son cœur se gonfla d’amour et elle sut qu’elle avait prise la bonne décision.
Tu es né dans des conditions simples et compliqués en même temps. Ton père ne voulais pas de toi mais ta mère si. Et tu avais un précieux frère.
Avec mon frère nous étions tout de suite très proche. Nous nous comprenions d’un regard, rions pour un oui et un non… Notre relation entraînait le regard des jaloux du coin, c’est dire ! Tous nous enviait. Je savais cependant que nous étions deux contraire; Comme je l’ai déjà dit, lui doutait toujours tandis que moi je savais. Et je ne sais pas pourquoi mais je me débrouillais beaucoup mieux pour… Presque tout. J’arrivais à attraper des proies et lui peinait, je me faisais plein d’amis, lui regardait les autres de loin. Rien qu’en amour les choses se passaient de la sorte… Je me souviens de Myrtille qui nous avait appris les rudiments de la chasse que j’avais très rapidement assimilé et mon frère non. Rapidement, je prouvais que j’étais un chasseur digne d’intérêt car je rapportai proie sur proie. Lui, cela était plus aléatoire : dans les jours où le gibier était de sorti, il prenait une souris ou quelque chose comme ça, sinon rien. Je grimaçait toujours quand ma mère me félicitais et miaulait un “c’est pas grave” apaisant à mon frère alors que ses yeux brillaient d’appréhension pour la suite. Ma mère nous enseigna aussi les techniques de base pour le combat. Sauf que ma soif de connaissance me donnait envie de connaître plus, toujours plus, de technique. J’eus l’idée d’espionner les entraînements au combat des clans. Je grimpai sur un arbre, camoufler mon odeur et écoutait. J’attendais qu’il parte et je m’essayai à faire les enchaînements. Je progressai rapidement. Errance par contre… Il peinait un peu. Bien sûr, il ne cessai de faire des efforts ! Sauf que moi le niveau qu’il arrivait enfin à atteindre, je l’avais dépassé depuis long. je n’aimai pas le sentir si vulnérable. Ni lui ni ma mère. Et au final, je finis par développer l’envie de les protéger du monde. Puis mon frère et moi nous devinrent de vrai adultes.vous vous doutez qu’avec tout ça, j’avais oublié mon père. Je n’en entendais jamais parler alors bon, ça me passait bien au dessus.
Pourtant je le vis. Il me prit moi et mon frère, nous emmena bien loin de ma mère pour faire de nous des êtres dignes de lui. Mais je ne fus pas aveugle et vis bien que tous ses intérêt étaient déjà fixés sur moi. Rapidement ce qui devait se passer se passa. Il m’entraina bien plus que mon frère et je semblait destiner à suivre sa voie. Je ne le souhaitais absolument pas. je me refusais à humilier mon frère. Je ne supportai pas de le voir se faire rabasser à tout bout de champs pour un oui ou un non. Je ne vous parle pas des regard méprisant, du surplus de nourriture de mon côté alors que pour mon frère c’est tout juste s’il mangeait...Alors je prix une décision. Que vous qualifiez d’ignoble probablement. Peu m’importait. Je devais dégoutter mon père. Pour me venger de le traitement qu’il faisait subir à mon frère. Alors je me mis à tuer. Pas tout d’un coup, non ! Je révisai, voyait les point faible des chats, me renseignait sur ma proie... Je pris un chat innocent et fier. J’attendis qu’il soit seul pour arriver derrière lui. Je l’effraya, le menaça, dit des propos absurdes, l’insulta. Je devais le plonger dans un état second, qu’il ne raisonne plus; Qu’il m’attaque sans utiliser de tel enchaînement qui me mettrait en péril. Je réussi facilement. La suite se déroula dans un sorte de voile doux et paisible : j’attendis que sa gorge soit à découvert et d’un coup de griffe bien placer la trancha. L'innocente créature eut un sursaut avant de s’écrouler. Je sentis la nausée monter mais je m’imaginai la tête de mon père. Ensuite, je l’emmenai là où je l’avais tué et fis :”Et bien père, n’est ce pas magnifique ce cadavre ? pas de doute, il a été tué ! Devineras tu par qui ? Oh ne me regarde pas comme ça… Oui, je suis un assassin !”
Suite à ça, j’eus une violente dispute avec Errance qui me reprocha d’avoir tout gâché. Ce dernier était venu me voir pour me reprocher mes erreurs. Il déclarait que si je m’étais tenu, il aurait suffisamment progressé, que Ramsay serait devenu un chat protecteur et doux, que Myrtille nous aurait regardé comme si nous étions devenus les plus grand héros que le monde est porté. Je m’en voulais bien que je croyais peu à cette histoire fantastique. J’espérai que j’avais brisé les rêves de mon père par contre. suite à cet “événement”, je ne cessai de tuer pour qu’il souffre et ait honte de son fils, c’est à dire moi.
Tu devins un sorte de fou au moment ou ton père réapparaît, c’est un fait. Une fois que tu sus comment faire pour le répugner de toi, tu ne cessa d’abuser de cette technique… Elle marchait après tout.
Et puis il y a eu cette histoire. Je n'aime pas parler mais pourtant, je ne peux pas faire comme si. Tout a commencé quand je l'ai rencontré. Elle se nommait Liyu. Elle était timide et triste en permanence. La pauvre, c'est parents et est infernal avec elle. Elle me pennait avec tous ses problèmes. J'étais dans un bon jour alors j'ai engagé la discussion. Elle semblait heureuse. Je m'entendais bien avec elle, et j'aimais sa façon de vivre. Toujours à chercher des questions, parfois sans réponse… j'aurais dû ne pas céder l'oublier puisque la chatte aurait probablement perdu toutes ces belles illusions sur moi. Maiis je ne voulais pas l'oublier. Elle me plaisait et je me sentais bien en sa présence. En elle, je voyais mon frère Errance. Et cela n'a pas de prix de le “revoir” heureux et sans tristesse de ma faute… donc, je lui ai proposé de se revoir… Elle à accepté. Et c'est au moment exact où elle a dit oui que j'ai senti que cette histoire allait mal tourné. C'était trop tard. Nous nous sommes donc revu. Alors, nous avions de nouveau parler. De tout de rien… nous refaisons le monde. Puis, elle dut partir. Pas que ses parents s'inquiètent, vous comprenez. Je me suis levé et avant de partir j'ai dit mon nom. Elle a semblée… hypnotisée. Comme si je lui avais lancé un sort… nous nous sommes mis d'accord pour la prochaine fois qu'on se reverra. Mais dans ma tête, une toute autre idée se mettait en place. Ce que je ressentais vis-à-vis d'elle ? De l'affection. Je l'appréciai d’une force sans lendemain, incomparable… à mes yeux, c'était une amie fidèle et dévoué. Je ne pouvais éprouver plus, j'avais déjà envolé de la colombe.
Vint notre rendez-vous. Tout commenca normalement, elle et moi nous échangions un moment on de paix et de bonheur. Alors que Liyu allez partir, je lui ai expliqué mon idée. Je voulais qu'elle vienne avec moi. Elle me demanda du temps, me promet d'y réfléchir mais dans ses yeux, elle ne cessait de me répondre à l'affirmative. Et la suite… vous la deviner. Nous trouvâmes rapidement un lieu de vie. Nous vivions bien. Je lui fis promettre de ne pas me suivre. Elle ne devait pas savoir, elle ne voulait pas savoir. Elle accepta m'informa que désormais elle ne s’appelait plus Liyu. Son nouveau nom était Phily. J’aimais bien.
Nous vivions un sorte de rêve éveillé. Mais un jour, j’allais mal. Je venais de louper ma victime, d’entendre qu’on s’était moqué d’Errance, que mon père avait réussit à trouver une “compagne” (comprenez par là une jolie chatte qui succombait à son charme pour qu’il puisse l’utiliser comme une simple marionnette) et que ma mère vieillissait avec difficulté. Le tout résultait à une puissante envie de se défouler; Alors quand mon amie s’approcha de moi pour me calmer -pas difficile de deviner mon énervement- mes coups partirent d’eux même. Je la frappai, l’insultait. En outre, je fis preuve d’une cruauté extrême. Je réussis bien sûr à me calmer. Et j’aurai dû m’excuser. Sauf que ma fierté me bloquait. Alors je me tus. Le lendemain semblait oublier le passé : aucun de nous n’en parla comme si nous en avions décidé. mais parfois mes désirs tournaient mal, mes voeux ne s’exaucaient pas contrairement à mes peurs. Alors je recommencai. Qu’est ce que je n’aurai pas donné pour lui dire qu’elle devait partir ? Mais la fierté, la fierté encore et toujours. Dès que me venait l’idée de m’excuser, les mots se bloquaient, restaient piéges dans ma gorge. Alors je ne disais rien. Je la regardai l'air impuissant, incapable de me contrôler. Elle supportait.
Mais un jour, elle décida de me suivre. Ou plutôt je la remarquai. Qui me disais qu’elle ne m’avait jamais suivi avant ? Quoi qu’il en soit, ce soir là, je décidai de lui faire oublier. Je le savais, elle était amoureuse de moi. Alors je me dis… Et bien je décidai de… Je la violai quoi. Mais je la pensais consentante. Si j’aurai su… Si j’aurai su... Elle semblait horrifée. Le lendemain, elle était partie.
Ce n'était pas ma seule aventure cependant. Je vais vous raconter une autre de mes rencontres. Elle, c’était Zoomer riant sous le Soleil. Souriante, optimiste, brillante comme un rayon de soleil. Dès que je m’égarai dans de sombres pensées, elle arrivait et de sa lumière, faisait disparaître les ténèbres. La suite est une évidence. Nous formions un couple très rapidement. Certes, je l’aimais moins que Envolée de la Colombe, mais entre elle et moi, c’était si compliquée… Rapidement, elle porta mes chatons. Je revenais la voir très fréquemment au cas où nos petits venaient au monde. Et ce qui devait arriver arriva. Quand j’allai la voir, elle accouchait déjà. Sous mes yeux, elle perdit trop de sang. Je compris qu’elle ne survivrait pas. Je l’encourageai, bien sûr, mais ni elle ni moi n’étions dûpes. A la fin, elle serait un cadavre… Pourtant les chatons eux étaient en parfaite santé. Avant de rejoindre le monde des morts, elle réussi à me faire promettre de prendre au moins un chaton que l’un de ses rejetons ne vivent pas dans la troupe qu’elle aurait volontier quitté. Je ne refusais pas. Qui aurait le courage de refuser quelque chose à une mourante ? Je laissai les chatons là en entendant une patrouille arrivait. J’en pris une, comme promis, laissant là les autres rescapés. Je l’élevai, lui appris des techniques de combats et de chasse, fit d’elle ma digne descendante. Mais je vois bien que ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle quitte ce groupe beaucoup trop violent pour elle.
Ma dernière histoire maintenant. Envolée de la Colombe. La plus importe, une chainette de ma nouvelle identité. Je l’ai rencontrée par hasard en passant près de la frontière du clan de l’ombre. Elle devait me chasser, mais elle n’en fit rien. Je me moquai et elle répondait. Etait elle comme ça avec les autres ? La question mérite d’être posée. Quoi qu’il en soit, nous fûmes rapidement très proches. je revins la voir, jour après jour. Je ne m’en lassai pas. Quelqu’un l’aimait il déjà ? Me voyait elle autrement que comme un ami ? Etais ce de mon droit de l’espèrer ? Je sentais mon coeur accélérait à chacune de ses paroles. J’en étais fou. Moi le grand Liberté Éphémère, je ne savais pas vivre sans elle ! Je buvais ses paroles, songeait à ses yeux et… Quelqu’un pouvait il ressentir plus pour elle ? Par chance, nos sentiments étaient réciproques. Nous eumes des chatons. Des chatons de ma merveilleuse Envolée de la Colombe, vous vous rendez compte ? Quelle joie ce fut pour moi ! Malheureusement, elle dut rester bloquer au camp. Je ne la revoyais que peu… Dépitée, je constatais qu’elle devenait de plus en plus distante. La fatigue sans doute. Je lui proposai de me rejoindre si l’envie lui en prenait elle refusa. Bien sage fut son choix : elle évitait bien des problèmes liés aux escogriffes. Les chatons vinrent au monde. Je ne pus assister à leur naissance hélas… Je me demandai ce qui advenait de ma tendre compagne et de ses enfants quand je la crosai. Elle m’annonça qu’elle avait quitté le clan de l’ombre et confiés nos enfants à une autre reine, une de ses amis “digne de confiance”. je grimaçai à cette notion car personne n’était vraiment digne de confiance à mes yeux. Piquée au vif, elle s’énerva et nous en vînmes à nous disputer. nous, le couple unis nous disputions ! J’inspirai pour me calmer : je l’aimais beaucoup trop pour la blesser. Je lui conseillai de repartir dans son clan, il suffisait qu’elle trouve une excuse valable pour ces quelques jours d’absence. Je la priai de penser aux chatons. Elle fit la sourde oreille. Elle partie, blessée quand je refusai qu’elle me rejoigne. J’avais réfléchi et compris tous les risques si elle devenait une escogriffe. Au moins, elle était à l’abri. Je la protégeai de certains dangers… J’appris plus tard que c’était devenue une chatte domestique et je décidai de l’éviter. Je ne voulais pas céder, mon amour était trop fort…
Eux qui écrivent à ma place | Ton petit puf/surnom (si tu en as un) : ON L’APPELLE MOONY TOUTOUTOUTOUTOU Qu'est-ce qui t'as mené ici ? : Je sais pas moi ce qui l’a amenée ici As-tu déjà rp ou est-ce la première fois ? : Je crois qu’elle a déjà rp puisqu’on fait les meilleurs rp’s du monde Codes du règlement : #Foudry : Yuup Autre chose à dire ? : J’aime Moony (e.e) |
Sun pour La Guerre des Clans RPG seulement
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Dusk
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Sourire Effacé
Jeu 2 Nov 2017 - 9:09
Tiens, une narcissique sauvage qui parle comme Jules César dans la guerre des Gaules xD
Re
Re
Expert des lieux
Puf/Surnom : Ocy
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Le personnage
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Lune Ambrée
Jeu 2 Nov 2017 - 9:25
Reeeeee Moonyyyyy
Ainsi le voilà le graaaand Lel ! :D
Bonne chance pour finiiir
Ainsi le voilà le graaaand Lel ! :D
Bonne chance pour finiiir
Ce fou de Frou est plus rapide que la lumière !
Puf/Surnom : Foudry
Messages : 185
Le personnage
Sexe du perso: Mâle
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Folie des Nuits
Jeu 2 Nov 2017 - 14:01
Oh, un Lel sauvage apparaît *lance sa Pokéball*
Ree
Expert des lieux
Puf/Surnom : Moony enfin
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Sirène
Jeu 2 Nov 2017 - 14:03
Merci tout le monde
C'est pas vrai il est pas narcissique Lel
Juste sûr de lui
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Juste sûr de lui
Jeune recrue
Puf/Surnom : Mae / Glacie (oui bon)
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Neige Bleue
Dim 5 Nov 2017 - 15:54
J'allais dire "Bienvenue", mais... Mais non .-.
Bonne chance pour finir, du coup *part en courant*
Bonne chance pour finir, du coup *part en courant*
Invité
Invité
Dim 5 Nov 2017 - 16:56
Re Bienvenue Moony :3
Sa promet tout sa *-*
Sa promet tout sa *-*
Invité
Invité
Lun 6 Nov 2017 - 21:15
Re bienvenue Mid' !
Bonne chance pour finir cette prez.
Bonne chance pour finir cette prez.
Jeune aventurier
Puf/Surnom : Moony/Mid'.Kiri for Asuna/Oasis for Lady/Petite Soeur for Espé
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Liberté Éphémère
Sam 11 Nov 2017 - 17:39
Merci tout le monde
Et non je suis une ancienne moi Mae
Bref j'ai enfin terminé ! Tout est à jour même le répertoire de dc !
Et non je suis une ancienne moi Mae
Bref j'ai enfin terminé ! Tout est à jour même le répertoire de dc !
Invité
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Sam 11 Nov 2017 - 17:57
Meuf t'as oublié la portée Fits/Liefde/Vrij dans tes gosses
Jeune aventurier
Puf/Surnom : Moony/Mid'.Kiri for Asuna/Oasis for Lady/Petite Soeur for Espé
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Liberté Éphémère
Dim 12 Nov 2017 - 9:30
Oups
Pour ma défense il n'était pas fait quand j'ai commencé !
Pour ma défense il n'était pas fait quand j'ai commencé !
Vétéran
Puf/Surnom : Ray
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Le personnage
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Étoile Fragmentée
Dim 12 Nov 2017 - 12:21
Je valide mon cher fils
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