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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumAbomination de la Vie - Si l’espoir est source de bonheur et mère d’avenir, j’attendrais un passé rayonnant entre les pattes du désespoir.
Invité
Abomination de la Vie
Sam 13 Jan 2018 - 23:13
• Nom : Abomination de la Vie • Sexe : ♀ • Âge : 18 lunes • Groupe : Clan de l'Ombre • Rang : Guerrière • Si apprenti, quel est ton mentor : // • Famille : Prophétie Ensanglantée : Mère Horreur Infinie : Frère |
But : Mon but ? J'en ai sûrement un, mais, comme beaucoup de choses, c'est presque inconscient. C'est au fond de moi. C'est présent, mais je n'en ai pas conscience. Peut-être que mon but est de rester accrochée à cette grande falaise. Une falaise ? Vous ne la voyez donc pas ? Cette grande falaise qui se dresse devant chacun de nous, une falaise sans fin, immense. Infranchissable. Mais il faut la grimper parce que c'est comme ça. Parce qu'on a un but qui nous pousse à grimper. Moi je grimpe pour ne pas le perdre de vue. Pour vivre aussi, sûrement.
Pour mourir... Il me faudrait simplement lâcher cette falaise. C'est si simple la mort en fin de compte. Mais moi je veux vivre, parce qu'il doit-être là quelque par, le bonheur. Je dois rester avec mon frère, avec lui, sur la grande falaise de la vie. Loin d'elle. J'irais le plus haut et le plus loin possible sur cette falaise, avec mon frère. Pour mon frère, pour l'espoir, pour la vie.
Peut-être que j'arriverais un jour tout en haut de la falaise. Mais elle a n'a pas de fin cette falaise. On ne sait jamais, il vaut mieux essayer qu'abandonner. Parce que ce serait bête d'abandonner après tout ça. Après tout ces efforts et toute ces souffrances.
Trait distinctif/principal : Heu, son nom ?
Pour mourir... Il me faudrait simplement lâcher cette falaise. C'est si simple la mort en fin de compte. Mais moi je veux vivre, parce qu'il doit-être là quelque par, le bonheur. Je dois rester avec mon frère, avec lui, sur la grande falaise de la vie. Loin d'elle. J'irais le plus haut et le plus loin possible sur cette falaise, avec mon frère. Pour mon frère, pour l'espoir, pour la vie.
Peut-être que j'arriverais un jour tout en haut de la falaise. Mais elle a n'a pas de fin cette falaise. On ne sait jamais, il vaut mieux essayer qu'abandonner. Parce que ce serait bête d'abandonner après tout ça. Après tout ces efforts et toute ces souffrances.
Trait distinctif/principal : Heu, son nom ?
Une silhouette Chacun est différent, au fond de nous, nous sommes différent, dans notre coeur mais aussi et surtout par notre apparence. C’est souvent ce que l’on remarque en premier. Sur la grande falaise de la vie j’escalade avec un pelage brun, brun comme la roche sableuse et humide. Ce n’est pas un brun sec, c’est un brun humide. Souvent, lorsque l’on regarde la roche avec un peu d’attention, on peut voir des striures de pierres différentes, des filons. Je possède ces même stries, elles sont brunes foncés, un marron profond. Un marron aussi sombre que la noirceur qui hante les dessous de notre monde. Derrière les ombres se trouve la clarté, mon pelage est brun tigré. Un brun tigré qui me suivra éternellement, le physique est la première chose qui nous différencie des autres, la première chose que l’on remarque, la première et dernière chose qu’on regardera. Mon poil est court, court comme la vie, comme le coeur. Mon corps est ainsi fait, fait pour gravir la falaise, fait pour tomber, fait pour souffrir. Fait pour survivre. J’ai la force d’un chat sauvage, qui affronte la pluie, la neige, le vent et le soleil. Un corps résistant qui protège un coeur tremblant. Mais ce corps, n’est pas aveugle, il voit le monde, il voit la grande falaise en passant par deux orifices appelés yeux. deux yeux couleur sable clair, jaune. Jaune qui en a vu des vertes et des pas mûrs, jaune qui a bravé, jaune qui a tremblé, jaune qui a pleuré. Jaune qui a vu, et qui malgré tout n’oublierais pas. Jaune qui regrette. Des yeux avec une longue et triste histoire. Une histoire de tragédies et d’espoir. De chaton insouciant. Seul les yeux témoignent de ce fragile passé. Le corps lui est paisible, immaculé, sans aucune blessures. Un corps encore trop jeune pour le coeur et le regard qu’il protège maladroitement. | Des pensées Oui, la falaise de la vie est dure à grimper. Elle est différente pour chaque être vivant dans ce monde je suppose. La mienne n'a pas beaucoup de prises, très peux et elles sont dures. Les pierres sont coupantes, abîmées par le destin. J'ai mal aux coussinets, mais je ne perds pas espoir. Je m'efforce de garder le moral. Parfois, quand je trouve une petite place stable sur cette ingrate falaise; je trouve le temps d'admirer le ciel et les étoiles. De regarder le soleil se coucher. C'est beau n'est-ce pas ? C'est comme une pause. J'essaye de regarder ces belles choses le plus souvent possible. Parce que c'est important. Pour garder le moral,pour oublier ces longs jours dans le noir. JE me perds dans le vide, pour oublier, pour ne pas me faire avaler. Même si je sais que je n'oublierais pas. Malheureusement il m'arrive de ne pas être assez prudente, et je prends une mauvaise prise. La pierre se brise, la falaise s'effondre. Et mon imprudence m'aura presque coûté la vie. Ça m'est déjà arrivé, et j'ai eu peur. Ça m'arrive souvent. Je me sent lâcher complètement, être en chute libre, paniquer, chercher désespérément une prise. M'écorcher les pattes et me casser des griffe, tout ça parce que j'n'ai pas été assez prudente, parce que je n'avais pas vu que la roche était fissurée à cet endroit. La falaise est dangereuse et sans pitié. C'est la vie. L'idée me vient comme ça, je vois un gros bloc dépasser, je saute dessus. Sans réfléchir, parce que c'est la bonne occasion, et je me dit que ce côté de la falaise à l'air plus facile à escalader. J’entreprends souvent de changer de face, parce que cette face-ci est plus ensoleillé, je me dit qu'elle serait plus adaptée pour une ascension en saison des feuilles mortes. Et en une impulsion me voilà sur cette nouvelle face. Par curiosité je voulais voir ce côté de la falaise. Je me demande comment ce sera, peut-être que les pierres seront moins glaciales et froide. C'est la curiosité. Je dois faire attention, Horreur Infinie est lui aussi sur la falaise, je me dois de faire attention à lui, de le prévenir s'il y a une avalanche. De prendre les mesures nécessaires pour éviter de faire tomber des pierres et des fragments de l'immense falaise sur lui. Je veux le protéger. Je fais ce qu'il faut pour protéger mon frère que j'aime tant. C'est important pour moi. Il faut toujours faire attention à son prochain. Par exemple, les chatons représente notre avenir, il faut être sympathique avec eux. Parce que l'enfance est précieuse, il ne faut pas la gâcher… Se prendre une avalanche sur la tête dès le début n'est pas un cadeau. Nous ne sommes pas seuls à grimper, d'autres peuvent aussi nous trahir, ou-bien nous aider. Cette falaise, la vie ne se résume donc qu'à une falaise ? J'en ai bien l'impression, la vie est simple. La vie est dure, la vie est vaste. Un peux comme le coeur non ? Le coeur est grand, dur, résistant. Mais le coeur peut se briser, comme la montagne. Le mur peut s’effondrer, en un instant il peut disparaître dans les flots bouillonnants. Disparaître dans la noirceur du fond de l'eau. A toujours et à jamais. Le grand mur de pierre peut mourir, en un instant, sans même que l'oeil ne puisse le voir, et que le coeur puisse s'en rendre compte. La mort peut surgir de n'importe où . Un coup de vent, une fissure, une prise instable, un éboulis, une vague. La mort est rapide, partout, elle attend simplement son tour. |
Des souvenirs
Je ne suis pas nostalgique, je ne ris pas aux éclats en pensant à de merveilleux souvenirs passés en bonne compagnie. Je ne souris pas gentiment, en me remémorant des moments d'amours et d'affection.
Chacun débute son ascension avec ces propres atouts et ses propres défauts. L'un va être projeté plusieurs mètres en hauteur tandis que l'autre se fait enterrer quatre queues de renard sous terre. On ne m'a pas pas poussé ni même enterré, on m'a juste ignoré et détesté.
J'ai démarré mon escalade avec deux frère, seulement deux frère. Il y avait bien une mère, il y avait bien un père, il y avait bien une famille, mais elle existait seulement et uniquement par le sang, par la raison et la logique. On ne peut exister en ce monde sans parents, ils peuvent bien disparaître, mais on a forcément des parents.
Certains parents aiment, d'autres adorent, chérissent, ignorent, fuient, abandonnent, maltraitent, détestent, haïssent, tuent ...
Je l'observais, elle qui se trouvait si loin sur cette falaise. Elle était plus élevé que le soleil lui-même, elle me faisait de l'ombre, c'était une ombre. Une ombre que je ne comprenais pas et que je ne comprends toujours pas, mais que je ne cherche plus à comprendre. Elle m'intriguait, elle m'intimidait, mais la curiosité m'habitait. Il m'a fallu du temps pour aller la voir. C'était dur, il a fallu m'armer de courage, grimper toutes ces pierres pour la rejoindre. J’étais monté très haut dans le ciel. Je touchais les nuages et saluais le soleil. C'était si dur de venir jusque là. Mais je voulais savoir, qui elle était. Elle était censé être ma mère. Une ombre peut-elle être une mère ? La reine qui s'occupait de mon frère et moi était si différente, si contraire, si aimante. Alors faire face à cette ombre, cette haine, ce ne fut qu’incompréhension.
La rencontre commença je pus l'observer de près et lui parler, mais ce fut erreur.
Echec.
J'ai bien crue ce jour-là que la falaise elle-même s'effondrait. Une haine sans nom, une peur atroce, une patte levé. Cette patte, une patte de haine, un jugement de colère, d'aversion pure et simple. Une colère que j'observais autrefois de loin, que je voyais brûler dans les yeux d'une chatte, qu'aujourd'hui j'avais osé affronter de face. Tout ce courage, toute cette détermination que j'avais acquis en grimpant.
Tout c'est effondré.
J'ai eu peur, si peur que mes pattes ont glissés, que mon cœur m'a abandonné. Un vide. Une fureur, une répulsion, un dégoût, une aigreur, une répugnance, une antipathie que n'avait comme seule limite l'horizon, je l'avais vue, je l'avais ressenti, ça m'était adressé, par un regard et une patte levé. Je n'avais pourtant rien fait. Je ne l'avais pas mérité, j'étais une innocente chatonne, un rien. Une petite chose qui avait tant fait pour finalement méritdr une horrible frayeur.
J'ai dû hurler, j'ai dû crier, j'ai dû pleurer et je ne m'en suis jamais remise. Je n'ai jamais plus tenté de rattraper l'Ombre. Elle m'avait terrifié, traumatisé, marqué, par un simple regard et une simple patte. Une simple haine, une simple peur, une simple chute.
Une simple déchéance.
Une Abomination.
J'ai regretté mon courage, j'ai regretté mon choix.
J'étais retombé, tombé si bas que même la terre me regardait de haut. Je ne voyais plus le soleil que je côtoyais il y a quelques instants. Je ne voyais plus le ciel qui me guidait, les nuages se moquaient de moi tout là haut.
Sous terre et dans les ténèbres je tremblais.
J'avais grimpé seule, j'étais retombé seule. Je ne l'avais pas mérité.
J'en ai bien mis du temps à sortir de terre. Je ne l'oublierais pas ce regard, je ne l'oublierais jamais. Il me poursuivra, toujours.
Elle avait sûrement voulu me frapper ce jour-là. Si je ne m'étais pas enfuis, elle l'aurait fait.
Je l'ai fuis, je reprenais mon début de vie tranquillement. Simplement.
Sans doute que la vie avait l'intention de me punir indéfiniment de mes actes.
Que je n'avais pas le droit de voir ni même d'agir.
J'aurais peut-être dut naître aveugle et impotente. La vie me punit-elle ? Suis-je réellement une Abomination ? Elle, elle en est persuadée.
Elle l'a finalement fait.
Il avait osé suivre, approcher, l'Ombre. Il n'aurait pas dût, je n'aurais pas dû. Mais elle non plus, elle n'avait pas le droit.
Arracher la vie, détruire une falaise comme ça, provoquer une telle tempête. Une horrible boucle qui se répète. C’est injuste et cruel.
Du sang, de la haine, la mort, je suis tombé, à nouveau. Parce que ce que j'ai vue était horrible, affreux, terrible. Sanglant. Comme elle.
Le trou dans lequel j'étais resté si longtemps m'a sourit, ironiquement, il était heureux de me revoir.
Contrairement à elle je n'ai pas envie de la tuer, je ne veux pas le venger, parce que c'est trop horrible. Je ne veux pas de sang sur mes pattes. Je ne veux pas d'une autre mort dans les souvenirs. Même si elle m'a fait tomber deux fois. Même si elle ne cesse de ruiner mes efforts à grimper cette affreuse falaise. Je grimperais à nouveau.
Sinon elle le tuera lui aussi.
Je suis tombé deux fois. Je me suis relevé trois fois.
Chacun débute son ascension avec ces propres atouts et ses propres défauts. L'un va être projeté plusieurs mètres en hauteur tandis que l'autre se fait enterrer quatre queues de renard sous terre. On ne m'a pas pas poussé ni même enterré, on m'a juste ignoré et détesté.
J'ai démarré mon escalade avec deux frère, seulement deux frère. Il y avait bien une mère, il y avait bien un père, il y avait bien une famille, mais elle existait seulement et uniquement par le sang, par la raison et la logique. On ne peut exister en ce monde sans parents, ils peuvent bien disparaître, mais on a forcément des parents.
Certains parents aiment, d'autres adorent, chérissent, ignorent, fuient, abandonnent, maltraitent, détestent, haïssent, tuent ...
Je l'observais, elle qui se trouvait si loin sur cette falaise. Elle était plus élevé que le soleil lui-même, elle me faisait de l'ombre, c'était une ombre. Une ombre que je ne comprenais pas et que je ne comprends toujours pas, mais que je ne cherche plus à comprendre. Elle m'intriguait, elle m'intimidait, mais la curiosité m'habitait. Il m'a fallu du temps pour aller la voir. C'était dur, il a fallu m'armer de courage, grimper toutes ces pierres pour la rejoindre. J’étais monté très haut dans le ciel. Je touchais les nuages et saluais le soleil. C'était si dur de venir jusque là. Mais je voulais savoir, qui elle était. Elle était censé être ma mère. Une ombre peut-elle être une mère ? La reine qui s'occupait de mon frère et moi était si différente, si contraire, si aimante. Alors faire face à cette ombre, cette haine, ce ne fut qu’incompréhension.
La rencontre commença je pus l'observer de près et lui parler, mais ce fut erreur.
Echec.
J'ai bien crue ce jour-là que la falaise elle-même s'effondrait. Une haine sans nom, une peur atroce, une patte levé. Cette patte, une patte de haine, un jugement de colère, d'aversion pure et simple. Une colère que j'observais autrefois de loin, que je voyais brûler dans les yeux d'une chatte, qu'aujourd'hui j'avais osé affronter de face. Tout ce courage, toute cette détermination que j'avais acquis en grimpant.
Tout c'est effondré.
J'ai eu peur, si peur que mes pattes ont glissés, que mon cœur m'a abandonné. Un vide. Une fureur, une répulsion, un dégoût, une aigreur, une répugnance, une antipathie que n'avait comme seule limite l'horizon, je l'avais vue, je l'avais ressenti, ça m'était adressé, par un regard et une patte levé. Je n'avais pourtant rien fait. Je ne l'avais pas mérité, j'étais une innocente chatonne, un rien. Une petite chose qui avait tant fait pour finalement méritdr une horrible frayeur.
J'ai dû hurler, j'ai dû crier, j'ai dû pleurer et je ne m'en suis jamais remise. Je n'ai jamais plus tenté de rattraper l'Ombre. Elle m'avait terrifié, traumatisé, marqué, par un simple regard et une simple patte. Une simple haine, une simple peur, une simple chute.
Une simple déchéance.
Une Abomination.
J'ai regretté mon courage, j'ai regretté mon choix.
J'étais retombé, tombé si bas que même la terre me regardait de haut. Je ne voyais plus le soleil que je côtoyais il y a quelques instants. Je ne voyais plus le ciel qui me guidait, les nuages se moquaient de moi tout là haut.
Sous terre et dans les ténèbres je tremblais.
J'avais grimpé seule, j'étais retombé seule. Je ne l'avais pas mérité.
J'en ai bien mis du temps à sortir de terre. Je ne l'oublierais pas ce regard, je ne l'oublierais jamais. Il me poursuivra, toujours.
Elle avait sûrement voulu me frapper ce jour-là. Si je ne m'étais pas enfuis, elle l'aurait fait.
Je l'ai fuis, je reprenais mon début de vie tranquillement. Simplement.
Sans doute que la vie avait l'intention de me punir indéfiniment de mes actes.
Que je n'avais pas le droit de voir ni même d'agir.
J'aurais peut-être dut naître aveugle et impotente. La vie me punit-elle ? Suis-je réellement une Abomination ? Elle, elle en est persuadée.
Elle l'a finalement fait.
Il avait osé suivre, approcher, l'Ombre. Il n'aurait pas dût, je n'aurais pas dû. Mais elle non plus, elle n'avait pas le droit.
Arracher la vie, détruire une falaise comme ça, provoquer une telle tempête. Une horrible boucle qui se répète. C’est injuste et cruel.
Du sang, de la haine, la mort, je suis tombé, à nouveau. Parce que ce que j'ai vue était horrible, affreux, terrible. Sanglant. Comme elle.
Le trou dans lequel j'étais resté si longtemps m'a sourit, ironiquement, il était heureux de me revoir.
Contrairement à elle je n'ai pas envie de la tuer, je ne veux pas le venger, parce que c'est trop horrible. Je ne veux pas de sang sur mes pattes. Je ne veux pas d'une autre mort dans les souvenirs. Même si elle m'a fait tomber deux fois. Même si elle ne cesse de ruiner mes efforts à grimper cette affreuse falaise. Je grimperais à nouveau.
Sinon elle le tuera lui aussi.
Je suis tombé deux fois. Je me suis relevé trois fois.
Toi qui tire les ficelles | Ton petit puf/surnom (si tu en as un) : A votre avis qui pourrait faire une prez sur une falaise, sachant que la falaise est souvent comparé à un mur et qu'un mur est fait de Parpaings. He oui tout est lié... Qu'est-ce qui t'as mené ici ? : Le vent du changement As-tu déjà rp ou est-ce la première fois ? : Demandez au Champignon Codes du règlement : Auto-Validation voyons, vous savez pas qui je suis moi Autre chose à dire ? : Alors non je n'avais pas fais exprès de faire 666 mots pour l'histoire. Je rigole beaucoup si t'es allé voir si c'est vrai. |
️Sun pour La Guerre des Clans RPG seulement
Jeune aventurier
Puf/Surnom : Ocyyy
Messages : 143
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Phily
Dim 14 Jan 2018 - 8:30
Oh re Kirby
J'adore ce personnage
J'adore ce personnage
Vieille branche
Puf/Surnom : Sun, Sunny, Nakin, et tout le bazar
Messages : 2333
Le personnage
Sexe du perso: Femelle
Âge du perso: 75 lunes forever (depuis fin 2019)
Mentor / apprenti :
Étoile Rayonnante
Dim 14 Jan 2018 - 10:48
Bienvenue
Non c'est bon je sais que c'est toi Kiby
Reeee
Non c'est bon je sais que c'est toi Kiby
Reeee
Invité
Invité
Dim 14 Jan 2018 - 16:50
Abomination de la Vie va tellement bien s'entendre avec Errance Nocturne god
Reee
Reee
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Moony
Messages : 158
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Ange Déchu
Dim 14 Jan 2018 - 19:23
Rew !
Invité
Abomination de la Vie
Sam 20 Jan 2018 - 12:37
Merki
On peut dire que j'ai terminé
Et j'ai fais mon répertoire de Dc's
On peut dire que j'ai terminé
Et j'ai fais mon répertoire de Dc's
Jeune recrue
Puf/Surnom : Ray
Messages : 28
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Goliath
Dim 21 Jan 2018 - 11:42
Validée jeune fille insolente
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