Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumSpare the rod and spoil the child · Ray
Jeune recrue
Puf/Surnom : Dako(dak pour les intimes)
Messages : 59
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Dako
Dim 11 Mar 2018 - 14:13
· Spare the rod and spoil the child ·Feat Nuée des Anges
Râ n'en avait fait qu'à sa tête aujourd'hui, par-ci il partageait les doux rayons du soleil, par là il faisait le timide en se cachant derrière une épaisse couche nuageuse. Ainsi, il était difficile de se repérer dans le temps, et le ciel s'assombrissait peu à peu. Cependant le Clan du Vent se portait bien en cette fin de saison des neiges. Les oiseaux chantaient de nouveau le matin, enfin quand ils le souhaitaient mais c'était de bon augure pour les lunes à venir. Le froid, lui, frappait moins violemment aux portes du camp, au grand bonheur des guerriers, mais surtout des reines occupés à élever leurs chatons, ou en pleine période de gestation.
Avec un petit groupe de chatons, nous étions occupés à jouer avec les feuilles mortes, qui, à l'aide de la brise, s'envolaient. Le but était -vous l'avez sans doute compris- de les attraper en plein vol comme s'il s'agissait d'un oiseau, ou à même le sol pour mimer une proie terrestre. C'était amusant, mais vite chiant à vrai dire. Trop répétitif, trop simple pour moi. Je me lassais aussi de ce jeu rapidement parce que je jouais seul, loin de mes compagnons. La solitude, c'est mon domaine mais ce n'est pas désagréable. Jetant un regard dans leur direction, je les voyaient rire aux éclats entre deux sauts, leurs pelages remplis de poussière. En même temps, à force de rater leurs cibles, ils tombent et se salissent, comme venait de faire Patte de Citron. Le jeune félin passa à côté d'une feuille et je pouffa de rire, montrant mes petits crocs blancs si aiguisés. Peut-être m'avaient-ils lancé des regards de travers suite à ma moquerie, enfin je m'en fichait de toutes manières. Passant ma langue sur mon pelage de jais, je fis demi-tour la queue haute en direction de la Pouponnière. La nuit commençait à tomber et le vent se levait. C'était l'heure pour moi de rejoindre Maman dans la tanière... pour manger ! Je trottinais donc vers l'antre sombre, mes pattes embrassant le sol avec souplesse. Je me sentais léger, invincible face aux autres chats. « Oh Clan des Étoiles, faites que je devienne comme mon père ! ». Dans un dernier sourire, je m'engouffra dans la pouponnière, en cherchant Sourire Effacé. L'obscurité de l'antre m'obligea à plisser des yeux, et au bout de quelques minutes je m'adapta à cette sombre luminosité de cette pièce. M'aidant de mes 5 sens, je tentais de trouver ma mère, en vain. Ni mes yeux, ni mon nez, et ni mes oreilles détectèrent la présence de Sourire Effacé. Je décida alors de m'installer dans un coin de l'antre pour l'attendre, tout en faisant ma toilette pour faire briller mon doux pelage ténébreux. Mais mon nez remua quelques secondes plus tard, signe que je venait de repérer une odeur que je connaissais, enfin je crois. Tournant la tête dans cette direction, l'unique chatte présente dans la pouponnière était une jeune féline blanche, comme Maman ! Oh mais c'est ma cousine ! Nuée de Anges ! Je n'avais jamais porté beaucoup d'attention aux les autres chats de la Pouponnière, mais là mes yeux louchèrent sur son ventre et je lâcha un petit cri de stupeur dans sa direction
Je ricanais et observais son estomac qui se gonflait et dégonflait au rythme de sa respiration, qui se faisait haletante. Elle est affreuse, toute déformée à cause des petits monstres qui grandissaient en elle. Heureusement que je ne suis pas une femelle. « Oh Clan des Étoiles je te remercie d'avoir fait de moi un mâle. » Me roulant sur moi, même, je gardais un œil en direction de ma cousine dans l'attendre d'un réponse.
Râ n'en avait fait qu'à sa tête aujourd'hui, par-ci il partageait les doux rayons du soleil, par là il faisait le timide en se cachant derrière une épaisse couche nuageuse. Ainsi, il était difficile de se repérer dans le temps, et le ciel s'assombrissait peu à peu. Cependant le Clan du Vent se portait bien en cette fin de saison des neiges. Les oiseaux chantaient de nouveau le matin, enfin quand ils le souhaitaient mais c'était de bon augure pour les lunes à venir. Le froid, lui, frappait moins violemment aux portes du camp, au grand bonheur des guerriers, mais surtout des reines occupés à élever leurs chatons, ou en pleine période de gestation.
Avec un petit groupe de chatons, nous étions occupés à jouer avec les feuilles mortes, qui, à l'aide de la brise, s'envolaient. Le but était -vous l'avez sans doute compris- de les attraper en plein vol comme s'il s'agissait d'un oiseau, ou à même le sol pour mimer une proie terrestre. C'était amusant, mais vite chiant à vrai dire. Trop répétitif, trop simple pour moi. Je me lassais aussi de ce jeu rapidement parce que je jouais seul, loin de mes compagnons. La solitude, c'est mon domaine mais ce n'est pas désagréable. Jetant un regard dans leur direction, je les voyaient rire aux éclats entre deux sauts, leurs pelages remplis de poussière. En même temps, à force de rater leurs cibles, ils tombent et se salissent, comme venait de faire Patte de Citron. Le jeune félin passa à côté d'une feuille et je pouffa de rire, montrant mes petits crocs blancs si aiguisés. Peut-être m'avaient-ils lancé des regards de travers suite à ma moquerie, enfin je m'en fichait de toutes manières. Passant ma langue sur mon pelage de jais, je fis demi-tour la queue haute en direction de la Pouponnière. La nuit commençait à tomber et le vent se levait. C'était l'heure pour moi de rejoindre Maman dans la tanière... pour manger ! Je trottinais donc vers l'antre sombre, mes pattes embrassant le sol avec souplesse. Je me sentais léger, invincible face aux autres chats. « Oh Clan des Étoiles, faites que je devienne comme mon père ! ». Dans un dernier sourire, je m'engouffra dans la pouponnière, en cherchant Sourire Effacé. L'obscurité de l'antre m'obligea à plisser des yeux, et au bout de quelques minutes je m'adapta à cette sombre luminosité de cette pièce. M'aidant de mes 5 sens, je tentais de trouver ma mère, en vain. Ni mes yeux, ni mon nez, et ni mes oreilles détectèrent la présence de Sourire Effacé. Je décida alors de m'installer dans un coin de l'antre pour l'attendre, tout en faisant ma toilette pour faire briller mon doux pelage ténébreux. Mais mon nez remua quelques secondes plus tard, signe que je venait de repérer une odeur que je connaissais, enfin je crois. Tournant la tête dans cette direction, l'unique chatte présente dans la pouponnière était une jeune féline blanche, comme Maman ! Oh mais c'est ma cousine ! Nuée de Anges ! Je n'avais jamais porté beaucoup d'attention aux les autres chats de la Pouponnière, mais là mes yeux louchèrent sur son ventre et je lâcha un petit cri de stupeur dans sa direction
« Oh ! Mais tu es énorme ! Ahah, plus grosse que les Quatre Chênes chère cousine ! »
Je ricanais et observais son estomac qui se gonflait et dégonflait au rythme de sa respiration, qui se faisait haletante. Elle est affreuse, toute déformée à cause des petits monstres qui grandissaient en elle. Heureusement que je ne suis pas une femelle. « Oh Clan des Étoiles je te remercie d'avoir fait de moi un mâle. » Me roulant sur moi, même, je gardais un œil en direction de ma cousine dans l'attendre d'un réponse.
Codage by Ella'
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Ray
Messages : 151
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
Nuée des Anges
Mar 24 Avr 2018 - 21:48
Et ma patte dans ta gueule ?
Avec Dako
Les voilà. Enfin, ils étaient depuis un bon moment déjà. Quelques semaines. Mais je ne faisais cette constatation que maintenant. Mes enfants. Mes chatons. Mes petits moi. C’était marrant, de se dire ça. Qu’ils étaient fabriqués à partir de moi. Qu’ils étaient à moitié de moi. Une partie de moi. Et une partie de Satani. Ou de Flamme de Glace. Hum. Il ne fallait pas que je revienne trop sur cela. Ce n’était pas nécessaire. Ce n’était que me créer d’autres problèmes. Mes chatons auraient le père que je le choisirai. Même si les deux mâles risquaient tous les deux de se revendiquer comme tel. Oui, c’était probablement ce qui allait arriver. Pff. Bref. Là n’était pas la question. Non. Je devais être là pour eux. Je devais être une bonne mère. Je serais une bonne mère. La meilleure des mères. Pour mes chatons. Mes, oui, mes. Car cela se voyait qu’ils étaient plus qu’un. Paon du Jour me l’avait dit. Il n’y en aurait pas qu’un. Tant mieux. J’en voulais deux. Un petit mâle et une petite femelle. C’était un peu comme faire les courses, de parler ainsi, mais c’était la vérité. La parité, c’était bien. J’aurais un fils grand et fort et une fille douce et charmante. Des enfants parfaits. Pas comme ceux de Lune d’Argent. Cette idiote. Pas comme ceux de ma tante. De toute façon, elle avait donné naissance à deux mâles. À partir de ce moment là, il n’était pas possible que sa portée soit aussi parfaite que la mienne. Il y avait trop de testostérone dans cette portée. Je les aimais bien, ses chatons. Enfin, je ne les connaissais pas vraiment. Comment connaître des chatons à peine âgés d’une lune ? C’était stupide comme réflexion.
Petit Echo et Petit Encre. Ce n’était pas des noms moches, non, mais il existait mieux, disons. Moi, je trouverais mieux. Je ne savais si je laisserai Flamme de Glace choisir avec moi. Satani n’y connaissait rien, aux noms de Clan. Il ne me serait d’aucune aide là-dedans. Je ne voulais pas tellement que le rouquin pense qu’il ait un droit sur les noms. C’était moi qui les portait pendant deux lunes, moi qui subissais l’accouchement, moi qui les allaiterait pendant les quatres prochaines lunes. Avait-il vraiment un droit là-dedans ? Non, probablement que non. Je choisirai les noms moi-même. Nah. J’avais déjà une petite liste en tête. Il leur fallait des noms classes. Des vrais noms qui en jettaient. Des trucs cools, quoi. Pas des noms de fleur ou de cailloux ou je ne savais quoi. Non. Des vrais noms originaux. Ahah. On les envirait. On envirait mes chatons. La prunelle de mes yeux. J’avais hâte. Oh oui, ce que j’avais hâte. Je leur apprendrai tout ce qu’ils avaient besoin de savoir. Pas comme Sourire Effacé avec ses deux rejetons. Quels gamins insupportables ceux-là alors. On ne pouvait rien faire contre eux, ils passaient leur temps à brailler, et ils n’avaient même pas deux lunes. C’était vraiment pitoyable. Mes chatons ne seraient pas comme ça. Ou pire, il y avait les chatons de l’autre, là Divinité de la Chouette, oui. Le frère et la soeur, là, ils étaient vraiment intenables. Presque pire que les deux autres petits mâles. Mais eux, ils n’étaient pas beaux, en prime. Ils n’avaient vraiment rien pour eux. Les pauvres. Ahah.
Qu’est-ce qu’il avait à me dévisager, lui ? Il voulait quoi ? Pff. Vraiment malpoli ce gamin. Comme son père. Quel con alors, son père. Regrets Mortels. Il était encore capable coucher, lui, même ? Ce vieux croûton. Depuis que la vérité avait éclaté, sur l’assassinat de mon père par cet enfoiré, je ne le tolérai plus. Et son fils, alors, il lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Le même genre de débile mental. Pauvre gosse, il n’avait rien demandé, en plus. “Oh ! Mais tu es énorme ! Ahah, plus grosse que les Quatre Chênes chère cousine !” je manquai de m’étrangler. Qu’est-ce que je venais de dire ? “Pauvre gosse” ? N’importe quoi, oui, il méritait totalement ce qui lui arrivait actuellement. Petit insolent, va. Grosse ? Moi, grosse ? Il payait rien pour attendre. Je n’en revenais pas. Grosse ? Et il osait rire, en plus ? Non mais franchement, les chatons aujourd’hui ne savaient plus comment se comporter convenablement. Avec de tels parents, aussi, c’était pas étonnant. Houh, il me cherchait, là, non ? J’avais le droit de répondre, non ? De toute façon, j’allais lui répondre. Il allait voir, le morveux, de quel bois je me chauffais. Garnement. “Pour moi, ce n’est que temporaire, voyons. D’ici deux semaines j’aurai retrouvé mon magnifique corps. Toi par contre, tu vas rester une sorte de rat atrophié pendant douze lunes. Si tu ne meurs pas avant, évidemment” je finissais, un sourire cynique sur les lèvres.
Petit Echo et Petit Encre. Ce n’était pas des noms moches, non, mais il existait mieux, disons. Moi, je trouverais mieux. Je ne savais si je laisserai Flamme de Glace choisir avec moi. Satani n’y connaissait rien, aux noms de Clan. Il ne me serait d’aucune aide là-dedans. Je ne voulais pas tellement que le rouquin pense qu’il ait un droit sur les noms. C’était moi qui les portait pendant deux lunes, moi qui subissais l’accouchement, moi qui les allaiterait pendant les quatres prochaines lunes. Avait-il vraiment un droit là-dedans ? Non, probablement que non. Je choisirai les noms moi-même. Nah. J’avais déjà une petite liste en tête. Il leur fallait des noms classes. Des vrais noms qui en jettaient. Des trucs cools, quoi. Pas des noms de fleur ou de cailloux ou je ne savais quoi. Non. Des vrais noms originaux. Ahah. On les envirait. On envirait mes chatons. La prunelle de mes yeux. J’avais hâte. Oh oui, ce que j’avais hâte. Je leur apprendrai tout ce qu’ils avaient besoin de savoir. Pas comme Sourire Effacé avec ses deux rejetons. Quels gamins insupportables ceux-là alors. On ne pouvait rien faire contre eux, ils passaient leur temps à brailler, et ils n’avaient même pas deux lunes. C’était vraiment pitoyable. Mes chatons ne seraient pas comme ça. Ou pire, il y avait les chatons de l’autre, là Divinité de la Chouette, oui. Le frère et la soeur, là, ils étaient vraiment intenables. Presque pire que les deux autres petits mâles. Mais eux, ils n’étaient pas beaux, en prime. Ils n’avaient vraiment rien pour eux. Les pauvres. Ahah.
Qu’est-ce qu’il avait à me dévisager, lui ? Il voulait quoi ? Pff. Vraiment malpoli ce gamin. Comme son père. Quel con alors, son père. Regrets Mortels. Il était encore capable coucher, lui, même ? Ce vieux croûton. Depuis que la vérité avait éclaté, sur l’assassinat de mon père par cet enfoiré, je ne le tolérai plus. Et son fils, alors, il lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Le même genre de débile mental. Pauvre gosse, il n’avait rien demandé, en plus. “Oh ! Mais tu es énorme ! Ahah, plus grosse que les Quatre Chênes chère cousine !” je manquai de m’étrangler. Qu’est-ce que je venais de dire ? “Pauvre gosse” ? N’importe quoi, oui, il méritait totalement ce qui lui arrivait actuellement. Petit insolent, va. Grosse ? Moi, grosse ? Il payait rien pour attendre. Je n’en revenais pas. Grosse ? Et il osait rire, en plus ? Non mais franchement, les chatons aujourd’hui ne savaient plus comment se comporter convenablement. Avec de tels parents, aussi, c’était pas étonnant. Houh, il me cherchait, là, non ? J’avais le droit de répondre, non ? De toute façon, j’allais lui répondre. Il allait voir, le morveux, de quel bois je me chauffais. Garnement. “Pour moi, ce n’est que temporaire, voyons. D’ici deux semaines j’aurai retrouvé mon magnifique corps. Toi par contre, tu vas rester une sorte de rat atrophié pendant douze lunes. Si tu ne meurs pas avant, évidemment” je finissais, un sourire cynique sur les lèvres.
Code by Sun for Ray only
Vétéran
Puf/Surnom : Cousine de Timmy
Messages : 877
Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso:
Mentor / apprenti :
PNJ
Lun 17 Sep 2018 - 12:17
|| Rp archivé pour cause d'inactivité de Petite Encre. Message au Staff dans les Requêtes si besoin pour le récupérer. ||
Contenu sponsorisé