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Dim 25 Mar 2018 - 18:55
If only it was you
Les Escogriffes... Oui, ce sont eux qui m'ont sauvés. Il est de mon devoir de les remercier, et pour cela j'ai accepté de faire partie de leur tribu. Dans tous les cas j'étais obligé de rester avec le groupe parce que mon sens de l'orientation me fait défaut je me retrouve donc coincé ici. Je ne reconnaissais pas la terre et l'eau de mon territoire. Les odeurs me sont toutes inconnues et je n'entendais plus. Je ne pouvais plus écouter le son mélodieux des cascades frappant la roche. En l'espace de quelques minutes, j'avais perdu tous mes repères. Cette troupe était ma dernière chance de survivre. Sans eux, cet ours m'aurait bouffé tout entier ou simplement tué par plaisir. Le plaisir de tuer. Une maladie infâme. Se salir les pattes uniquement pour combler des pulsions démoniaques. Ces démons existent. Je n'y croyais pas, je pensais que la soif de sang était une maladie nerveuse. Mais non, ils sont cachés. Cachés au plus profond de nous tous, sans exception. Et ces diables s'étaient réveillé chez moi. J'avais ce besoin de vengeance, de voler la vie à ceux qui m'ont pourri la mienne. Depuis mon arrivée, un goût de sang frais résidait la bouche, comme si je me devais de satisfaire ce besoin. J'avais beau me racler la gorge ou manger des herbes aromatiques, je ne pouvais plus rien faire. Ils étaient là, vous les avez réveillés et ils ne sont pas prêts de se rendormir oh que non. Ils dansent dans mes yeux bleus, noircissant mon regard de haine pour toujours.
Courir. Courir plus vite. Encore et toujours, sans jamais se retourner. Sauter au dessus des rochers, slalomer entre les arbres. Plus vite. Il faut que j'aille plus vite. Je dois lui dire. Lui montrer que je suis en vie. Mes bébés. Mes chatons. Ils sont en elle. Elle les porte, elle les protège mais il faut que je les vois. Il vont bientôt arriver. Je le sais, je le sens. Je ne doit pas rater leur naissance. Toujours tout droit. Il faut que je rentre. Et vite.
Mais mon souffle m'en empêche. De l'air. Vite. Je m'allonge, j'étends mon corps tigré de long en large. Il faut que l'oxygène remplisse mes poumons. Je dois repartir. Mais je ne peux pas. Mes blessures m'empêchent d'aller plus loin. Je tente de me relever. Je suis trop lourd. Je ne sens plus mes pattes. Ou suis-je ? Ou dois-je aller ? Les sens en alerte, je tente de trouver des repères, des indices. Mais rien. Des arbres partout. Rien d'autre. Je n'arriverais jamais à la joindre à temps. Il est trop tard et le soleil va bientôt disparaître. Il faut faire demi-tour. Retourner avec le Escogriffes. Personne ne doit savoir que j'ai une compagne et bientôt des petits. « Oh Eïssa ou es-tu »....
Une ombre. Quelqu'un. Je ne suis pas seul. Elle venait de filer dans un buisson. Mon nez. Oui ! C'est une femelle ! Ou est-elle ? Je balaye la clairière des yeux. Il fait noir. Trop noir. Je me redresse. Mon cœur battait vite. Très vite. À mille à l'heure. Je plissais les yeux. Un ombre. Encore. Elle était tricolore, je crois. C'est elle ! C'est Eïssa ! J'en suis sur !
Un sourire. Oui sur mon visage regardez ! Mes démons ont-disparus, c'est grâce à toi Eïssa ! L'amour est le remède, il endort les diables. Viens ! Viens me voir !
Les Escogriffes... Oui, ce sont eux qui m'ont sauvés. Il est de mon devoir de les remercier, et pour cela j'ai accepté de faire partie de leur tribu. Dans tous les cas j'étais obligé de rester avec le groupe parce que mon sens de l'orientation me fait défaut je me retrouve donc coincé ici. Je ne reconnaissais pas la terre et l'eau de mon territoire. Les odeurs me sont toutes inconnues et je n'entendais plus. Je ne pouvais plus écouter le son mélodieux des cascades frappant la roche. En l'espace de quelques minutes, j'avais perdu tous mes repères. Cette troupe était ma dernière chance de survivre. Sans eux, cet ours m'aurait bouffé tout entier ou simplement tué par plaisir. Le plaisir de tuer. Une maladie infâme. Se salir les pattes uniquement pour combler des pulsions démoniaques. Ces démons existent. Je n'y croyais pas, je pensais que la soif de sang était une maladie nerveuse. Mais non, ils sont cachés. Cachés au plus profond de nous tous, sans exception. Et ces diables s'étaient réveillé chez moi. J'avais ce besoin de vengeance, de voler la vie à ceux qui m'ont pourri la mienne. Depuis mon arrivée, un goût de sang frais résidait la bouche, comme si je me devais de satisfaire ce besoin. J'avais beau me racler la gorge ou manger des herbes aromatiques, je ne pouvais plus rien faire. Ils étaient là, vous les avez réveillés et ils ne sont pas prêts de se rendormir oh que non. Ils dansent dans mes yeux bleus, noircissant mon regard de haine pour toujours.
Courir. Courir plus vite. Encore et toujours, sans jamais se retourner. Sauter au dessus des rochers, slalomer entre les arbres. Plus vite. Il faut que j'aille plus vite. Je dois lui dire. Lui montrer que je suis en vie. Mes bébés. Mes chatons. Ils sont en elle. Elle les porte, elle les protège mais il faut que je les vois. Il vont bientôt arriver. Je le sais, je le sens. Je ne doit pas rater leur naissance. Toujours tout droit. Il faut que je rentre. Et vite.
Mais mon souffle m'en empêche. De l'air. Vite. Je m'allonge, j'étends mon corps tigré de long en large. Il faut que l'oxygène remplisse mes poumons. Je dois repartir. Mais je ne peux pas. Mes blessures m'empêchent d'aller plus loin. Je tente de me relever. Je suis trop lourd. Je ne sens plus mes pattes. Ou suis-je ? Ou dois-je aller ? Les sens en alerte, je tente de trouver des repères, des indices. Mais rien. Des arbres partout. Rien d'autre. Je n'arriverais jamais à la joindre à temps. Il est trop tard et le soleil va bientôt disparaître. Il faut faire demi-tour. Retourner avec le Escogriffes. Personne ne doit savoir que j'ai une compagne et bientôt des petits. « Oh Eïssa ou es-tu »....
Une ombre. Quelqu'un. Je ne suis pas seul. Elle venait de filer dans un buisson. Mon nez. Oui ! C'est une femelle ! Ou est-elle ? Je balaye la clairière des yeux. Il fait noir. Trop noir. Je me redresse. Mon cœur battait vite. Très vite. À mille à l'heure. Je plissais les yeux. Un ombre. Encore. Elle était tricolore, je crois. C'est elle ! C'est Eïssa ! J'en suis sur !
« Eïssa ! C'est moi ! »
Un sourire. Oui sur mon visage regardez ! Mes démons ont-disparus, c'est grâce à toi Eïssa ! L'amour est le remède, il endort les diables. Viens ! Viens me voir !
Codage by Ella'
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Lun 26 Mar 2018 - 19:30
Avec Asgaïn
Yet it's not. I'm not her. I'm just a virus and I'm here to make you ill
Je suis une ombre. Invisible, au milieu des arbres. Je suis une ombre qui dort et bientôt je me réveillerai. Je suis sombre, incarnation de ténèbres. Mes yeux sont fermés, seul passage vers mon âme. On ne fait pas la différence entre le brun et le noir de mon pelage car la lumière ne filtre pas à travers ces arbres immenses. Je ne suis qu'une ombre, une vague silhouette. On ne pourrait pas me reconnaître et je ne pourrais reconnaître personne. Mais alors qu'est-ce que je fais ici ? C'est une question. Une bonne question, peut-être. Difficile de dire si une question est bonne ou non. Pourtant on dit toujours ça, "bonne question". Peut-être qu'il n'y a pas de mauvaise question. Pourtant je suis sûre qu'il y en a. Demander où sont Bacille et Koch n'en fait pas partie. Ça c'est une bonne question. La réponse souvent, n'est pas bonne.
J'ouvre les yeux subitement lorsque j'entends un bruit. Quelqu'un qui marche, derrière moi. Je n'ai pas été assez vigilante, apparemment. Je n'aurais peut-être pas dû m'assoupir. Mais dormir est nécessaire et je ne trouverai jamais d'endroit parfait, sans danger. Parfois, il faut prendre des risques. Je prends des risques en expérimentant sur les autres et en en tuant certains. Ce sont des risques qu'il faut prendre. Enfin, dans un sens, non, ce ne sont pas des risques utiles. Mais ce sont des risques que j'ai besoin de prendre. Pour rendre ma vie exaltante, peut-être. Ce doit être ça. Je ne sais pas trop. Je sais seulement que les autres ne font pas ça.
« Eïssa ! C'est moi ! »
Je dresse les oreilles. Personne autour, à part quelqu'un, derrière moi, d'où vient la voix. Cela doit s'adresser à moi. J'hume l'air. Un mâle. Eïssa... un nom de femelle. Si on prend en compte le ton de sa voix, elle doit être proche de lui. Ce peut être un enfant, ou sa compagne. Je suis grande. S'il m'a prise pour elle, c'est qu'elle est adulte. Probablement pas un enfant, à moins qu'il soit vraiment vieux. Je me tourne vers lui. Il est trop loin de moi. Il ne peut pas savoir que ce n'est pas moi. Je n'en suis pas bien sûre, mais il n'a pas l'air si vieux. Je penche plutôt pour une compagne. Ce mâle cherche sa compagne. Oh, parfait. On va pouvoir s'amuser.
Je m'approche de lui, un demi-sourire sur les lèvres. Sa compagne n'a sûrement pas mes yeux. Rares sont ceux qui ont des yeux tels que les miens, couleur de l'ombre. Indissociables du reste de mon corps, on pourrait à peine deviner que je suis un être vivant, et pas une ombre venue d'un monde lointain et cauchemardesque.
« Alors comme ça, tu cherches... Eïssa ? »
Je m'arrête, me plante devant lui. Le regarde, droit dans les yeux, d'un regard froid, qui n'exprime rien. Le masque couvre mon visage. Masque de quelqu'un d'attentionné. Comme si je m'intéressait à son cas.
Mais ce n'est qu'un masque. Je me fiche de sa Eïssa.
Je me fiche de lui.
« Je sais où elle est, peut-être... Dis-moi, l'aimes-tu vraiment ? »
Et encore un sourire, innocent, enjôleur. Un sourire aimable, qui donne envie de continuer à parler. Il ne devrait pas avoir envie de me parler. Ce n'est pas prudent.
J'ouvre les yeux subitement lorsque j'entends un bruit. Quelqu'un qui marche, derrière moi. Je n'ai pas été assez vigilante, apparemment. Je n'aurais peut-être pas dû m'assoupir. Mais dormir est nécessaire et je ne trouverai jamais d'endroit parfait, sans danger. Parfois, il faut prendre des risques. Je prends des risques en expérimentant sur les autres et en en tuant certains. Ce sont des risques qu'il faut prendre. Enfin, dans un sens, non, ce ne sont pas des risques utiles. Mais ce sont des risques que j'ai besoin de prendre. Pour rendre ma vie exaltante, peut-être. Ce doit être ça. Je ne sais pas trop. Je sais seulement que les autres ne font pas ça.
« Eïssa ! C'est moi ! »
Je dresse les oreilles. Personne autour, à part quelqu'un, derrière moi, d'où vient la voix. Cela doit s'adresser à moi. J'hume l'air. Un mâle. Eïssa... un nom de femelle. Si on prend en compte le ton de sa voix, elle doit être proche de lui. Ce peut être un enfant, ou sa compagne. Je suis grande. S'il m'a prise pour elle, c'est qu'elle est adulte. Probablement pas un enfant, à moins qu'il soit vraiment vieux. Je me tourne vers lui. Il est trop loin de moi. Il ne peut pas savoir que ce n'est pas moi. Je n'en suis pas bien sûre, mais il n'a pas l'air si vieux. Je penche plutôt pour une compagne. Ce mâle cherche sa compagne. Oh, parfait. On va pouvoir s'amuser.
Je m'approche de lui, un demi-sourire sur les lèvres. Sa compagne n'a sûrement pas mes yeux. Rares sont ceux qui ont des yeux tels que les miens, couleur de l'ombre. Indissociables du reste de mon corps, on pourrait à peine deviner que je suis un être vivant, et pas une ombre venue d'un monde lointain et cauchemardesque.
« Alors comme ça, tu cherches... Eïssa ? »
Je m'arrête, me plante devant lui. Le regarde, droit dans les yeux, d'un regard froid, qui n'exprime rien. Le masque couvre mon visage. Masque de quelqu'un d'attentionné. Comme si je m'intéressait à son cas.
Mais ce n'est qu'un masque. Je me fiche de sa Eïssa.
Je me fiche de lui.
« Je sais où elle est, peut-être... Dis-moi, l'aimes-tu vraiment ? »
Et encore un sourire, innocent, enjôleur. Un sourire aimable, qui donne envie de continuer à parler. Il ne devrait pas avoir envie de me parler. Ce n'est pas prudent.
Code de Sun pour Neph seulement
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Mer 4 Avr 2018 - 18:35
If only it was you
Comme sortie des ténèbres, une féline aux allures de Satan apparue devant moi. Ses yeux si obscures me fixaient avec une intensité inégalable. C'était comme s'ils m'envoyaient dans les profondeurs des Enfers. Un frisson parcouru mon échine tandis que le diable incarné s'approchait avec un sourire en coin dessiné sur le visage.
Un grognement rauque s'enfuit de ma gorge mais s'estompa aussi tôt. Derrière ces airs illusionnistes, la chatte s'intéressait. Elle restait planté là, comme médusée. Une statue de pierre qui n'exprimait rien. Ne sentait rien. Ne faisait rien. La négation tournait autour d'elle, mais elle ne devait m’empoisonner. Il fallait que je quitte cette marcheuse noire si superficielle qui me faisait perdre un temps considérable.
Mon regard s'endurcit, comme empoisonné. Le bleu qui dormait profondément au fond de mes yeux se faisait plus noir désormais. Elle venait de planter son venin, qui dansait dans mes yeux. Cette toxine se promenait dans tous mon corps à une vitesse hallucinante. Mes muscles du visage se bombèrent : j'étais métamorphosé. Un autre moi venait de prendre possession de mon être. Il ne fallait pas toucher à Eïssa, pas elle. Sujet bien trop sensible, bien trop blessant pour pouvoir être abordé. Le poison s'amusait à imbiber mon cœur petit à petit, l'anéantissant au fur et à mesure qu'il continuait son chemin. Mon rythme cardiaque s’accélérait, ma respiration se fit haletante. Un étrange liquide se formait dans ma bouche me nouant la gorge. Je feula en direction de mon assaillante. Bientôt le venin imprégnait mes membres. Mes pattes s'affolaient et mes griffes s'enfonçaient dans le sol humide de la forêt. Je ne contrôlais rien. J'étais telle une marionnette. Satan jouait avec mon corps, il était mon maître et j'étais son esclave.
Je montrais mes crocs. C'était paradoxal. La clarté de mes dents face à la noirceur de mes yeux. Je me battais avec moi même, lutant contre ces démons. Mon passé que je regrettait tant remontait à la surface, et j'étais incapable de l'oublier. Je ne cherchais non pas à le refouler, mais plutôt de le protéger. Je voulais cacher cette faiblesse, ce talon d'Achille qui n'est autre que ma dulcinée. Je devais me calmer. Je pas montrer cette maladie qui me rongeait jusqu'au os. Il avait déjà tué mon cœurs, mais mon esprit lui était encore là, mais pour combien de temps. La folie m'arrachait un peu plus chaque jour de la raison, mais je luttais avec hargne.
Les yeux clos, je sentais le venin s'estomper peu à peu, oubliant presque la présence de la féline tricolore.
Comme sortie des ténèbres, une féline aux allures de Satan apparue devant moi. Ses yeux si obscures me fixaient avec une intensité inégalable. C'était comme s'ils m'envoyaient dans les profondeurs des Enfers. Un frisson parcouru mon échine tandis que le diable incarné s'approchait avec un sourire en coin dessiné sur le visage.
« Alors comme ça tu cherches... Eissa »
Un grognement rauque s'enfuit de ma gorge mais s'estompa aussi tôt. Derrière ces airs illusionnistes, la chatte s'intéressait. Elle restait planté là, comme médusée. Une statue de pierre qui n'exprimait rien. Ne sentait rien. Ne faisait rien. La négation tournait autour d'elle, mais elle ne devait m’empoisonner. Il fallait que je quitte cette marcheuse noire si superficielle qui me faisait perdre un temps considérable.
« Je sais ou elle est, peut-être... Dis moi, l'aimes-tu vraiment »
Mon regard s'endurcit, comme empoisonné. Le bleu qui dormait profondément au fond de mes yeux se faisait plus noir désormais. Elle venait de planter son venin, qui dansait dans mes yeux. Cette toxine se promenait dans tous mon corps à une vitesse hallucinante. Mes muscles du visage se bombèrent : j'étais métamorphosé. Un autre moi venait de prendre possession de mon être. Il ne fallait pas toucher à Eïssa, pas elle. Sujet bien trop sensible, bien trop blessant pour pouvoir être abordé. Le poison s'amusait à imbiber mon cœur petit à petit, l'anéantissant au fur et à mesure qu'il continuait son chemin. Mon rythme cardiaque s’accélérait, ma respiration se fit haletante. Un étrange liquide se formait dans ma bouche me nouant la gorge. Je feula en direction de mon assaillante. Bientôt le venin imprégnait mes membres. Mes pattes s'affolaient et mes griffes s'enfonçaient dans le sol humide de la forêt. Je ne contrôlais rien. J'étais telle une marionnette. Satan jouait avec mon corps, il était mon maître et j'étais son esclave.
« Mêles toi de tes affaires, tu ne sais rien d'elle »
Je montrais mes crocs. C'était paradoxal. La clarté de mes dents face à la noirceur de mes yeux. Je me battais avec moi même, lutant contre ces démons. Mon passé que je regrettait tant remontait à la surface, et j'étais incapable de l'oublier. Je ne cherchais non pas à le refouler, mais plutôt de le protéger. Je voulais cacher cette faiblesse, ce talon d'Achille qui n'est autre que ma dulcinée. Je devais me calmer. Je pas montrer cette maladie qui me rongeait jusqu'au os. Il avait déjà tué mon cœurs, mais mon esprit lui était encore là, mais pour combien de temps. La folie m'arrachait un peu plus chaque jour de la raison, mais je luttais avec hargne.
Les yeux clos, je sentais le venin s'estomper peu à peu, oubliant presque la présence de la féline tricolore.
Codage by Ella'
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Jeu 24 Mai 2018 - 17:58
Avec Asgaïn
Yet it's not. I'm not her. I'm just a virus and I'm here to make you ill
Mon sourire demeure. Un peu figé, mais ce serait difficile à percevoir, vu de l'extérieur. Un sourire est un sourire et celui là semble naturel. Je m'intéresse. C'est sans doute ça qu'il croit. Je suis une chatte gentille et je veux seulement l'aider à retrouver sa dulcinée. Je me demande s'il a l'habitude d'en voir, des chattes comme ça. Mais quelle importance ? Il vient d'en rencontrer une, du moins c'est ce qu'il croit. Il n'a pas de raison d'en douter. Pourquoi serais-je autre chose que ce que je cherche à montrer ? Pourquoi s'inquiéterait-il de ma sincérité ? Il porte l'odeur des escogriffes. Voilà pourquoi. Les escogriffes ne sont pas des êtres sincères, gentils ou même compatissants. Il a dû apprendre à se méfier. Il va falloir que je fasse mieux que ça.
« Mêle-toi de tes affaires, tu ne sais rien d'elle. »
Oooh, le petit chaton se méfie ? Pauvre chéri, je ressens la détresse dans ta voix, tu sais ? Depuis combien de temps l'as-tu perdue ? Longtemps, je dirais, à première vue. Ton désespoir apparent indique plus de 6 lunes, semblerait-il. Quant à ce que je sais d'elle... Oh, il n'y a pas besoin d'en savoir beaucoup. Tu l'as perdue, contre ton gré. Tu la cherches et tu es tellement désespéré que tu prends la première inconnue pour elle. C'est ce qui indique que ça fait un bout de temps. Et apparemment, elle me ressemble. Mais on se fiche bien de notre ressemblance physique. Tu la veux. Et tu ne l'auras pas aujourd'hui. Tu sais pourquoi ?
Parce que je vais ôter tout espoir de ton coeur meurtri.
« Oh mais... Bien sûr que si, voyons. Je l'ai rencontrée. On a parlé un moment et ensuite... mh... que s'est-il passé ensuite ? »
Je fais mine de réfléchir. Je me souviens l'avoir vue. Où est-elle partie ensuite ? Elle n'est pas repartie. Du moins, c'est ce que je vais lui faire croire.
« Ah, ça y est, je me souviens ! Je l'ai tuée. »
Le mensonge est assez grossier mais ce n'est pas difficile d'y croire, et après tout, ce serait possible. J'ai tué... je ne sais plus combien de félins j'ai tué, mais le nombre est important. Si j'avais croisé son chemin, j'aurais pu faire ce que je voulais d'elle. J'aurais pu la détruire, et puis la tuer. Je suis sûre que ce mâle y croit. Je me demande comment il va réagir ? Peut-être qu'il va s'effondrer, ou bien se jeter sur moi. Les chances sont égales. Mais sinon, ce ne serait pas drôle. Les gens sont imprévisibles, c'est là tout l'intérêt de la chose. S'il me saute dessus, je risque d'être en danger. Mais, c'est bien plus amusant lorsqu'on prend des risques.
« Mêle-toi de tes affaires, tu ne sais rien d'elle. »
Oooh, le petit chaton se méfie ? Pauvre chéri, je ressens la détresse dans ta voix, tu sais ? Depuis combien de temps l'as-tu perdue ? Longtemps, je dirais, à première vue. Ton désespoir apparent indique plus de 6 lunes, semblerait-il. Quant à ce que je sais d'elle... Oh, il n'y a pas besoin d'en savoir beaucoup. Tu l'as perdue, contre ton gré. Tu la cherches et tu es tellement désespéré que tu prends la première inconnue pour elle. C'est ce qui indique que ça fait un bout de temps. Et apparemment, elle me ressemble. Mais on se fiche bien de notre ressemblance physique. Tu la veux. Et tu ne l'auras pas aujourd'hui. Tu sais pourquoi ?
Parce que je vais ôter tout espoir de ton coeur meurtri.
« Oh mais... Bien sûr que si, voyons. Je l'ai rencontrée. On a parlé un moment et ensuite... mh... que s'est-il passé ensuite ? »
Je fais mine de réfléchir. Je me souviens l'avoir vue. Où est-elle partie ensuite ? Elle n'est pas repartie. Du moins, c'est ce que je vais lui faire croire.
« Ah, ça y est, je me souviens ! Je l'ai tuée. »
Le mensonge est assez grossier mais ce n'est pas difficile d'y croire, et après tout, ce serait possible. J'ai tué... je ne sais plus combien de félins j'ai tué, mais le nombre est important. Si j'avais croisé son chemin, j'aurais pu faire ce que je voulais d'elle. J'aurais pu la détruire, et puis la tuer. Je suis sûre que ce mâle y croit. Je me demande comment il va réagir ? Peut-être qu'il va s'effondrer, ou bien se jeter sur moi. Les chances sont égales. Mais sinon, ce ne serait pas drôle. Les gens sont imprévisibles, c'est là tout l'intérêt de la chose. S'il me saute dessus, je risque d'être en danger. Mais, c'est bien plus amusant lorsqu'on prend des risques.
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Lun 17 Sep 2018 - 13:10
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