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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumUn mentor pas comme les autres [ft Embrasement des Flocons]
Jeune recrue
Puf/Surnom : Soka
Messages : 7Le personnage
Sexe du perso: Femelle
Âge du perso: 31 lunes
Mentor / apprenti : Embrasement des Flocons
Nuage de Papillon
Mar 21 Mai 2019 - 14:34
Un mentor pas comme les autres
Nuage de Papillon ft.
Embasement des Flocons
Il faisait un temps à ne pas mettre une patte dehors ce jour la. A croire que les étoiles étaient contre le baptême de la fratrie de Petit Papillon. Comme si elle et son frère devaient payer pour quelque chose. Au fond d’elle la chatonne bicolore savait pourquoi les étoiles la détestait. Quel genre de chat pouvait ne rien ressentir à la mort de sa propre mère ? Mais d’un autre côté était-ce vraiment sa faute ? Sa génitrice n’avait jamais daigné venir la voir ou même s’occuper d’elle. Usurper la mère de quelqu’un d’autre avait été le seul choix qui s’offrait alors à elle. Devait-elle pour autant souffrir à cause de ça ? Les étoiles pouvaient-elles réellement lui reprocher son comportement ? Si oui alors ils ne sont pas juste.
Trop occupée à ruminer la chatonne n’entend pas l’appel de son chef. C’est sa nourrice qui doit la pousser hors de la pouponnière. Il est temps de s’approcher et d’écouter le discours du chef. C’est le même pour tous les apprentis. Le temps n’aide pas, Petit Papillon ne se sent pas vraiment excitée. Peut-être que la mort de Boule de Coton y est aussi pour quelque chose. Elle n’aura jamais son nom d’apprentie, et encore moins celui de guerrière. Comment Petit Papillon pouvait-elle se réjouir alors que sa sœur reposait désormais dans les étoiles ? Y a-t-elle vraiment sa place ? Elle a toujours été honnête et franche, et juste aussi. Pourtant les étoiles ne sont pas juste. Quelque part dans le cœur de la femelle au poil épais, elle espérait que sa sœur n’ai pas rejoins les étoiles. Ils ne la méritent pas.
Le discours de leur chef commence par Petit Guêpe qui deviens Nuage de Guêpe. Son mentor, ou sa mentor d’ailleurs à cause de la pluie c’est assez difficile à dire, semble gentil. Chose étrange pour un guerrier de ce clan. Puis viens alors le tour de Petit Papillon, qui devient Nuage de Papillon. Son mentor est un grand mâle au poil blanc. Il se détache de la foule par son apparence. Ses yeux ont quelque chose de différent des autres. Dès qu’il s’approche d’elle pour créer le contact entre leurs deux museaux elle remarque tout de suite cette folie qui embrase ses prunelles. Un sourire qui mêle peur et excitation se dessine sur les babines de la fraîchement nommée apprentie. Mes années d’apprentie risque d’être plus amusantes que prévu.
La pluie continue de tomber, comme si elle ne semblait jamais vouloir s’arrêter. Nuage de Papillon est agacée. Ce temps lui déplaît fortement, après tout avec sa fourrure épaisse elle ne ressemble vraiment à rien. Ou si elle ressemble presque à un chat sans poil. Elle qui est si fière de sa fourrure volumineuse, elle va mettre des heure à lui redonner un aspect souple et brillant. Non pas qu’elle soit obnubilée par son apparence, mais un jour comme celui ci il faut y faire un minimum attention.
Elle retient un léger rire cristallin en remarquant qu’elle semble presque plus imposante que le chat qui a été désigné pour être son mentor. Il faut dire que même détrempée elle est quand même touffue. Elle entoure sa queue autour de ses pattes, assise sagement à côté d’Embrasement des Flocons. Nuage de Guêpe semble déjà parti faire une promenade avec son propre mentor. Impatiente mais pas impolie l’apprentie bicolore coule un regard interrogateur vers le mâle couleur neige.
« Alors, on fait quoi mentor? »
Trop occupée à ruminer la chatonne n’entend pas l’appel de son chef. C’est sa nourrice qui doit la pousser hors de la pouponnière. Il est temps de s’approcher et d’écouter le discours du chef. C’est le même pour tous les apprentis. Le temps n’aide pas, Petit Papillon ne se sent pas vraiment excitée. Peut-être que la mort de Boule de Coton y est aussi pour quelque chose. Elle n’aura jamais son nom d’apprentie, et encore moins celui de guerrière. Comment Petit Papillon pouvait-elle se réjouir alors que sa sœur reposait désormais dans les étoiles ? Y a-t-elle vraiment sa place ? Elle a toujours été honnête et franche, et juste aussi. Pourtant les étoiles ne sont pas juste. Quelque part dans le cœur de la femelle au poil épais, elle espérait que sa sœur n’ai pas rejoins les étoiles. Ils ne la méritent pas.
Le discours de leur chef commence par Petit Guêpe qui deviens Nuage de Guêpe. Son mentor, ou sa mentor d’ailleurs à cause de la pluie c’est assez difficile à dire, semble gentil. Chose étrange pour un guerrier de ce clan. Puis viens alors le tour de Petit Papillon, qui devient Nuage de Papillon. Son mentor est un grand mâle au poil blanc. Il se détache de la foule par son apparence. Ses yeux ont quelque chose de différent des autres. Dès qu’il s’approche d’elle pour créer le contact entre leurs deux museaux elle remarque tout de suite cette folie qui embrase ses prunelles. Un sourire qui mêle peur et excitation se dessine sur les babines de la fraîchement nommée apprentie. Mes années d’apprentie risque d’être plus amusantes que prévu.
La pluie continue de tomber, comme si elle ne semblait jamais vouloir s’arrêter. Nuage de Papillon est agacée. Ce temps lui déplaît fortement, après tout avec sa fourrure épaisse elle ne ressemble vraiment à rien. Ou si elle ressemble presque à un chat sans poil. Elle qui est si fière de sa fourrure volumineuse, elle va mettre des heure à lui redonner un aspect souple et brillant. Non pas qu’elle soit obnubilée par son apparence, mais un jour comme celui ci il faut y faire un minimum attention.
Elle retient un léger rire cristallin en remarquant qu’elle semble presque plus imposante que le chat qui a été désigné pour être son mentor. Il faut dire que même détrempée elle est quand même touffue. Elle entoure sa queue autour de ses pattes, assise sagement à côté d’Embrasement des Flocons. Nuage de Guêpe semble déjà parti faire une promenade avec son propre mentor. Impatiente mais pas impolie l’apprentie bicolore coule un regard interrogateur vers le mâle couleur neige.
« Alors, on fait quoi mentor? »
Jeune aventurier
Puf/Surnom : Moussy Messages : 142Le personnage
Sexe du perso: ♂
Âge du perso: 63 lunes
Mentor / apprenti : Nuage de Papillon (disparue/morte)
Embrasement des Flocons
Mer 22 Mai 2019 - 10:23
Que raisonne le tonnerre
« Instability software V »
Feat Embrasement des Flocons et Nuage de Papillon
Feat Embrasement des Flocons et Nuage de Papillon
— Embrasement des Flocons. Hein ? Songes-tu en relevant la tête de ta tâche très importante : rester en plein soleil. Ta mission en cours s'appelle Insolation, et elle se mérite. Sauf qu'un important contretemps s'était mis sur ton chemin : le temps. Mais ce n'est pas grave, car tu accomplis toujours tes missions. Ce n'est que parti remise.
Alors c'est tout naturellement que tu traînais loin, très loin, du promontoire. Sous la pluie. Oreilles grande ouverte. Mais une espèce de sangsue gluante décida de cet instant précis pour te pousser.
— On t'appel, tu as une apprentie, félicitation. Ton acerbe, dames hypocrisie et ironie te saluèrent affectueusement. Cette hystérique semble être une jeune chatte, une reine, l'air furieuse, presque à t’attraper par la peau du cou pour t'approcher de cet enfant. Enfant que tu ne regardes même pas, tu regardes ton chef. Etoile Fragmentée. Tu le regardes d'un air de défis.
Instabilité programme /\
Tu penses que ton chef a osé te faire ça. Il a osé faire cette erreur. Te confier une apprentie était le pire choix qu'il pouvait faire. Qu'est-ce qui a bien pu lui passer par la tête ?! A-t-il vu comme tu avais peur, derrière l'asociabilité et la misanthropie ? Ton échine se hérisse et la lueur de folie s'embrase dans tes yeux à cette pensée.
Si c'est vrai, ça veut dire que cet espèce de campagnol à la morgue t'a vu et te sait vulnérable ? Non. Hors de question.
Tu as voulu me confier cette apprentie parce que tu estimes avec ton désespoir de meneur déchu que je peux quand même faire un truc bien ? C'est ça ? Ou alors tu as eu pitié de moi ? Ose me dire que c'est ça connard. Hein, c'est ça connard ?!
Mais tu te ressaisis. Les yeux de cette apprenti. Lorsqu'elle approche son museau du tien. Elle qui est aussi grande que toi. Elle et ses yeux, sa force et son caractère. Hi, I'm Connor, the androïd send by Cyberlife to be you trainer. Do you want to be a machine, or a deviant ? Tu lui laisses le choix de ce que tu vas faire de toi. Cette journée sera décisive pour son avenir.
O La brûler. Jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien
X La rendre unique. Elle a la force, mais elle le sera encore plus. Tu as su le faire avec Brûlure de l'Hiver, non ? Sauf que lui était dissipé et trop discipliné. Elle, elle est puissante. Elle va accomplir de grandes choses. Et c'est moi qui suis en premières loges pour voir ça.
Instabilité programme V
Juste là, sur ce foutu promontoire, tu cherchais l'insolation, tu as eu une apprentie. Une putain d'apprentie. Tu t'éloignes du museau cette tache noire et blanche qui rayonne au soleil. Pardon, sous la pluie battante. Tu souries et jettes ton regard embrasé de malice à Étoile Fragmentée. Tu vas le regretter. Tu vas tellement le regretter.
En bas du promontoire, tu lances ton analyse. Ce petit animal est tout sauf petit. Elle est aussi grande que toi. Même sous la pluie. Son pelage colle à sa peau. Mais elle est musculeuse. Et ses yeux brûlent d'un éclat de détermination et d'amusement farouche.
— Alors, on fait quoi mentor ? Tes oreilles remuent par reflex pour chasser l'eau qui les surplombe. Ça s’annonçait intéressant. Que faire en cette première journée. Elle qui devait s'annoncer décisive quant à l'avenir de cette chatonne duveteuse ? Les autres partent en balade, sur le long du territoire. Bien à l'abris des sapins.
— Suis moi. Et tu t'élances ventres à terre vers la sortie du camps. Tu as de l'endurance et de la force, mais elle aussi, probablement. Et ses pattes sont presque aussi grandes que les tiennes. Vous devez être à forces égales. Certes sa fourrure est lourde sur son dos, mais tu es déjà affaiblis. Tu es toujours affaiblis. Mais tu connais les bois, tu connais ta force, tu connais les techniques. Tu sillonnes ces bois avec dextérité, même la fourrure détrempée. Tu ne restes pas à pleine vitesse, l'objectif n'est pas de la perdre mais de l'essouffler, de la tester, de voir ses limites. Alors perds toi bien, morveuse. On verra tes limites morales après.
Missions :
- Tester les rats
- Avoir une insolation
- Décider quoi faire de la petite
- Tomber malade
Alors c'est tout naturellement que tu traînais loin, très loin, du promontoire. Sous la pluie. Oreilles grande ouverte. Mais une espèce de sangsue gluante décida de cet instant précis pour te pousser.
— On t'appel, tu as une apprentie, félicitation. Ton acerbe, dames hypocrisie et ironie te saluèrent affectueusement. Cette hystérique semble être une jeune chatte, une reine, l'air furieuse, presque à t’attraper par la peau du cou pour t'approcher de cet enfant. Enfant que tu ne regardes même pas, tu regardes ton chef. Etoile Fragmentée. Tu le regardes d'un air de défis.
Instabilité programme /\
Tu penses que ton chef a osé te faire ça. Il a osé faire cette erreur. Te confier une apprentie était le pire choix qu'il pouvait faire. Qu'est-ce qui a bien pu lui passer par la tête ?! A-t-il vu comme tu avais peur, derrière l'asociabilité et la misanthropie ? Ton échine se hérisse et la lueur de folie s'embrase dans tes yeux à cette pensée.
Si c'est vrai, ça veut dire que cet espèce de campagnol à la morgue t'a vu et te sait vulnérable ? Non. Hors de question.
Tu as voulu me confier cette apprentie parce que tu estimes avec ton désespoir de meneur déchu que je peux quand même faire un truc bien ? C'est ça ? Ou alors tu as eu pitié de moi ? Ose me dire que c'est ça connard. Hein, c'est ça connard ?!
Mais tu te ressaisis. Les yeux de cette apprenti. Lorsqu'elle approche son museau du tien. Elle qui est aussi grande que toi. Elle et ses yeux, sa force et son caractère. Hi, I'm Connor, the androïd send by Cyberlife to be you trainer. Do you want to be a machine, or a deviant ? Tu lui laisses le choix de ce que tu vas faire de toi. Cette journée sera décisive pour son avenir.
O La brûler. Jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien
X La rendre unique. Elle a la force, mais elle le sera encore plus. Tu as su le faire avec Brûlure de l'Hiver, non ? Sauf que lui était dissipé et trop discipliné. Elle, elle est puissante. Elle va accomplir de grandes choses. Et c'est moi qui suis en premières loges pour voir ça.
Instabilité programme V
Juste là, sur ce foutu promontoire, tu cherchais l'insolation, tu as eu une apprentie. Une putain d'apprentie. Tu t'éloignes du museau cette tache noire et blanche qui rayonne au soleil. Pardon, sous la pluie battante. Tu souries et jettes ton regard embrasé de malice à Étoile Fragmentée. Tu vas le regretter. Tu vas tellement le regretter.
En bas du promontoire, tu lances ton analyse. Ce petit animal est tout sauf petit. Elle est aussi grande que toi. Même sous la pluie. Son pelage colle à sa peau. Mais elle est musculeuse. Et ses yeux brûlent d'un éclat de détermination et d'amusement farouche.
— Alors, on fait quoi mentor ? Tes oreilles remuent par reflex pour chasser l'eau qui les surplombe. Ça s’annonçait intéressant. Que faire en cette première journée. Elle qui devait s'annoncer décisive quant à l'avenir de cette chatonne duveteuse ? Les autres partent en balade, sur le long du territoire. Bien à l'abris des sapins.
— Suis moi. Et tu t'élances ventres à terre vers la sortie du camps. Tu as de l'endurance et de la force, mais elle aussi, probablement. Et ses pattes sont presque aussi grandes que les tiennes. Vous devez être à forces égales. Certes sa fourrure est lourde sur son dos, mais tu es déjà affaiblis. Tu es toujours affaiblis. Mais tu connais les bois, tu connais ta force, tu connais les techniques. Tu sillonnes ces bois avec dextérité, même la fourrure détrempée. Tu ne restes pas à pleine vitesse, l'objectif n'est pas de la perdre mais de l'essouffler, de la tester, de voir ses limites. Alors perds toi bien, morveuse. On verra tes limites morales après.
Missions :
- Tester les rats
- Avoir une insolation
- Décider quoi faire de la petite
- Tomber malade
(c) by Moussy
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Mentor / apprenti : Embrasement des Flocons
Nuage de Papillon
Mer 22 Mai 2019 - 13:06
Un mentor pas comme les autres
Nuage de Papillon ft.
Embasement des Flocons
Le mâle blanc semble prendre quelques instants pour réfléchir. Doute-t-il des capacités de l’apprentie à le suivre dans la forêt boueuse ? Nuage de Papillon en est presque vexée. Certes elle se sent actuellement très lourde à cause de la pluie, mais elle tout de même capable de soulever son propre poids. Et courir ne sera vraiment pas un problème. Ce genre de fourrure forge la musculature bien malgré sois. Pour pouvoir porter une masse pareil l’apprentie à du développer des muscles adéquates. Les oreilles du matou aux prunelles folles remues, sans doute est-il agacé par toute l’eau qui s’accumule dessus. Puis comme sorti d’un rêve il plonge son regard dans celui de la chatte bicolore.
« ▬ Suis moi. »
Puis sans laisser à la femelle le temps de comprendre il s’élance dans les bois sombres. Ni une ni deux pas question de se faire semer. Nuage de Papillon s’élance de toutes ses forces pour faire décoller son imposante silhouette détrempée et pouvoir se mettre à courir derrière son mentor. Il est assez facile à suivre, sa couleur neige contraste parfaitement avec l’univers sombre que créé ce temps orageux. Même si on odeur est peu présente car cachée par l’humidité, le suivre n’est pas l’instant pas un problème. Les grosse pattes de l’apprentie heurtent le sol tant bien que mal. La pluie rend tout glissant et plus d’une fois Nuage de Papillon doit sortir les griffes pour s’accrocher au sol et ne pas déraper lamentablement. Il me teste. Tant mieux, je vais lui montrer de quoi je suis capable. Du haut de sa taille de guerrière la femelle n’a pas dit son dernier mot.On fait la même taille, je ne vais pas me laisser distancer longtemps! Mauvaise perdante de nature Nuage de Papillon décide d’accélérer pour rattraper le mâle blanc, ce qu’elle ne peine pas à faire. Ses muscles se contractent sous l’effort laissant se dessiner une silhouette athlétique entretenue. Une fois arrivée à sa hauteur la femelle se contente de courir à côté de lui. Elle ne sait que trop bien que si elle venait à faire la fière elle serait instantanément punie, soit par son mentor qui lui ferait un croche patte soit par les étoiles qui la ferait tomber.
La course dure maintenant depuis un bon moment le corps de l’apprentie commence à être douloureux. Mais hors de question de perdre le rythme ! Il ne mérite pas une victoire aussi facile, mais une pause ne serait pas de trop. Toujours concentrée sur sa course, elle hausse la voix pour se faire entendre malgré le martèlement de la pluie contre le sol épineux de la pinède.
« On va courir encore longtemps?! »
Il n’a même pas daigné dire où ils allaient ! C’est frustrant de courir sans but dans la forêt avec pour seul objectif de ne pas se laisser distancer…
« ▬ Suis moi. »
Puis sans laisser à la femelle le temps de comprendre il s’élance dans les bois sombres. Ni une ni deux pas question de se faire semer. Nuage de Papillon s’élance de toutes ses forces pour faire décoller son imposante silhouette détrempée et pouvoir se mettre à courir derrière son mentor. Il est assez facile à suivre, sa couleur neige contraste parfaitement avec l’univers sombre que créé ce temps orageux. Même si on odeur est peu présente car cachée par l’humidité, le suivre n’est pas l’instant pas un problème. Les grosse pattes de l’apprentie heurtent le sol tant bien que mal. La pluie rend tout glissant et plus d’une fois Nuage de Papillon doit sortir les griffes pour s’accrocher au sol et ne pas déraper lamentablement. Il me teste. Tant mieux, je vais lui montrer de quoi je suis capable. Du haut de sa taille de guerrière la femelle n’a pas dit son dernier mot.On fait la même taille, je ne vais pas me laisser distancer longtemps! Mauvaise perdante de nature Nuage de Papillon décide d’accélérer pour rattraper le mâle blanc, ce qu’elle ne peine pas à faire. Ses muscles se contractent sous l’effort laissant se dessiner une silhouette athlétique entretenue. Une fois arrivée à sa hauteur la femelle se contente de courir à côté de lui. Elle ne sait que trop bien que si elle venait à faire la fière elle serait instantanément punie, soit par son mentor qui lui ferait un croche patte soit par les étoiles qui la ferait tomber.
La course dure maintenant depuis un bon moment le corps de l’apprentie commence à être douloureux. Mais hors de question de perdre le rythme ! Il ne mérite pas une victoire aussi facile, mais une pause ne serait pas de trop. Toujours concentrée sur sa course, elle hausse la voix pour se faire entendre malgré le martèlement de la pluie contre le sol épineux de la pinède.
« On va courir encore longtemps?! »
Il n’a même pas daigné dire où ils allaient ! C’est frustrant de courir sans but dans la forêt avec pour seul objectif de ne pas se laisser distancer…
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Embrasement des Flocons
Ven 24 Mai 2019 - 16:26
Que raisonne le tonnerre
« Instability software V »
Feat Embrasement des Flocons et Nuage de Papillon
Feat Embrasement des Flocons et Nuage de Papillon
Courir ainsi exalte tes sens. Tu gagnes vite en vitesse et tes yeux s'habituent à la pluie et des feuillages drues. Tout autour de toi, ceux-ci tournoient dans une harmonie synchrone. C'est toi qui mène la danse, mais c'est la pluie qui exalte tes sens. Le contrôle est apaisant. Le contrôle est brutal. Le contrôle est agréable. Le contrôle est entre tes pattes. Et il y restera. Brisant le cercle harmonieux des anaphores.
La petite te suit bien, elle est courageuse et elle a du cœur au ventre, tu aimes ça. Sa fourrure fouette l'air avec fureur et détermination. La forêt est drue, mais le poil sur son dos l'est plus encore. C'est une jungle éthiopienne qu'elle a sur le dos. Alors tu fonces plus vite encore. Tu es couverts de boue à force de courir le plus ras du sol possible. Ses pattes martèlent le sol et griffent le sol forestier, là où les tiennent ne font qu’effleurer les feuilles détrempées.
— On va courir encore longtemps ?! Mauvaise réponse. Tu grimpes à un arbre, la regarde courir derrière toi comme une dératée, tu descends, elle te suit encore, son souffle se fait haletant. Le tien aussi, mais tu sais le masquer. Il est temps d’accélérer le pas, tu passes dans le ventre d'un arbre creux, griffant le sol pour t'y engouffrer, et tu fonces droit devant toi.
Se salir
Une nouvelle mission s'est de débloquée et a été accomplie dans la foulée. Tu fonces encore tout droit. Les autres missions peuvent attendre, ce qui importe pour aujourd'hui, pour le moment présent, c'est ce qui concerne la morveuse.
Ces missions principales du moment apparaissent :
- Découverte du territoire
- La distancer
- Observer
- Disparaître
Tu réalises une chose, pourtant enfantine. Elle observe, mais elle ne voit pas. Tu t'immobilises, elle n'est plus derrière toi. Mais elle n'est pas loin, tu sens son odeur. Alors tu joues les funambules, et tout en discrétion, tu pénètres le pays des sèves arborisées pour mieux surprendre la novice.
Masquer ton odeur :
Tu la fauches. Son énorme carcasse jonche le sol sous tes pattes, tu es calme, tu rives ce regard calculateur sur ses yeux déterminés. Elle doit avoir plus de force que toi, elle ne tardera pas à se débarrasser de ta musculature de mâle adulte encombrante. Elle a encore du duvet partout sur les oreilles, mais quand elle sera une guerrière adulte, elle fera des ravages lors des batailles.
Mais c'est à toi de lui apprendre ça. Lui apprendre à être ce que tu veux qu'elle soit. Parce que tu le peux. Parce que tu aimes ça. Parce que tu aimes contrôler. Parce que tu aimes quand rien ne se passe comme tu l'avais prévu. Parce que tu aimes l'imprévu et les coups violents, et tu sens qu'elle va t'en donner. Elle. Cette apprentie.
— Oui. Parce que courir c'est ce qui fortifie ta colonne vertébrale, entretient tes muscles, affine la concentration et la précision, et ça empêche les blessures stupides.
Elle est là, avec toi, pour devenir une guerrière. Pas pour devenir une combattante, ni un tank, une guerrière. Clanique. Une guerrière de sang chaud, observatrice et rusée, avec de la force à revendre en plus de sa matière grise. Et elle le deviendra. Ton cerveau analyste en mettrait toute ton âme à brûler.
Oups, c'est déjà fait, en fait, tu es déjà en train de brûler. Il n'y aurait plus grand chose à brûler. Si. Elle. Elle va faire partie intégrante de toi, et de ta mémoire. De toi et de ton oeuvre. Elle sera forte, elle sera majestueuse. Mais elle brûlera. Parce que tout brûler c'est la seule preuve d'affection que tu n'ai jamais pu montrer.
Toi, petit chat pyromane de folie. Toi, petit chat qui ne sait pas faire la différence entre l'amour d'une mère, d'une compagne, d'un mentor et d'une enfant. Pas plus que le respect d'un aîné, ou l'admiration de la force mentale d'un chef, ou la force physique d'une novice.
Le respect commence à venir. Bientôt, le chaton devenu novice deviendra ta novice. Et bientôt elle sera Nuage de Papillon. La considération, ça se gagne.
— Maintenant, libère toi, et dis moi tout ce que tu as pu observer de cette course. Tes sensations, tes impressions, tes observations visuelles et sensorielles. Tout. Vous n'êtes même pas à mis chemin, vous allez courir tout droit ensuite, plus doucement, jusqu'à la mi territoire, jusqu'aux arbres noirs. Puis vous irez jusqu'aux arbres tordus pour rejoindre le chemin tu tonnerre. Puis faire le tour dans le sens inverse, en passant par les marécages, le vieux chêne, passer un peu de temps dans les plaines de roches pour chasser et rentrer par le sentier de conifères et de feuillus, pour rentrer par la charnière. Tester les rats, si possible. en la laissant cherche le chemin du camps. De la charnière, elle devrait sentir l'odeur.
Évidement, hors de question de lui dire le programme avant qu'elle n'ai fait une bonne observation et preuve de ruse. Chaque fois qu'elle ne fera preuve que de ses muscles, tu t'obstineras à la tester encore et encore, physiquement. Tes deux choix se mélangent. She is gonna be not an adroïd, not a human. She will be a deviant. Va-t-elle finir aussi folle que to▬ Je ne suis pas fou !
La petite te suit bien, elle est courageuse et elle a du cœur au ventre, tu aimes ça. Sa fourrure fouette l'air avec fureur et détermination. La forêt est drue, mais le poil sur son dos l'est plus encore. C'est une jungle éthiopienne qu'elle a sur le dos. Alors tu fonces plus vite encore. Tu es couverts de boue à force de courir le plus ras du sol possible. Ses pattes martèlent le sol et griffent le sol forestier, là où les tiennent ne font qu’effleurer les feuilles détrempées.
— On va courir encore longtemps ?! Mauvaise réponse. Tu grimpes à un arbre, la regarde courir derrière toi comme une dératée, tu descends, elle te suit encore, son souffle se fait haletant. Le tien aussi, mais tu sais le masquer. Il est temps d’accélérer le pas, tu passes dans le ventre d'un arbre creux, griffant le sol pour t'y engouffrer, et tu fonces droit devant toi.
Se salirUne nouvelle mission s'est de débloquée et a été accomplie dans la foulée. Tu fonces encore tout droit. Les autres missions peuvent attendre, ce qui importe pour aujourd'hui, pour le moment présent, c'est ce qui concerne la morveuse.
Ces missions principales du moment apparaissent :
- Découverte du territoire
- La distancer
- Observer
- Disparaître
Tu réalises une chose, pourtant enfantine. Elle observe, mais elle ne voit pas. Tu t'immobilises, elle n'est plus derrière toi. Mais elle n'est pas loin, tu sens son odeur. Alors tu joues les funambules, et tout en discrétion, tu pénètres le pays des sèves arborisées pour mieux surprendre la novice.
Masquer ton odeur :
Tu la fauches. Son énorme carcasse jonche le sol sous tes pattes, tu es calme, tu rives ce regard calculateur sur ses yeux déterminés. Elle doit avoir plus de force que toi, elle ne tardera pas à se débarrasser de ta musculature de mâle adulte encombrante. Elle a encore du duvet partout sur les oreilles, mais quand elle sera une guerrière adulte, elle fera des ravages lors des batailles.
Mais c'est à toi de lui apprendre ça. Lui apprendre à être ce que tu veux qu'elle soit. Parce que tu le peux. Parce que tu aimes ça. Parce que tu aimes contrôler. Parce que tu aimes quand rien ne se passe comme tu l'avais prévu. Parce que tu aimes l'imprévu et les coups violents, et tu sens qu'elle va t'en donner. Elle. Cette apprentie.
— Oui. Parce que courir c'est ce qui fortifie ta colonne vertébrale, entretient tes muscles, affine la concentration et la précision, et ça empêche les blessures stupides.
Elle est là, avec toi, pour devenir une guerrière. Pas pour devenir une combattante, ni un tank, une guerrière. Clanique. Une guerrière de sang chaud, observatrice et rusée, avec de la force à revendre en plus de sa matière grise. Et elle le deviendra. Ton cerveau analyste en mettrait toute ton âme à brûler.
Oups, c'est déjà fait, en fait, tu es déjà en train de brûler. Il n'y aurait plus grand chose à brûler. Si. Elle. Elle va faire partie intégrante de toi, et de ta mémoire. De toi et de ton oeuvre. Elle sera forte, elle sera majestueuse. Mais elle brûlera. Parce que tout brûler c'est la seule preuve d'affection que tu n'ai jamais pu montrer.
Toi, petit chat pyromane de folie. Toi, petit chat qui ne sait pas faire la différence entre l'amour d'une mère, d'une compagne, d'un mentor et d'une enfant. Pas plus que le respect d'un aîné, ou l'admiration de la force mentale d'un chef, ou la force physique d'une novice.
Le respect commence à venir. Bientôt, le chaton devenu novice deviendra ta novice. Et bientôt elle sera Nuage de Papillon. La considération, ça se gagne.
— Maintenant, libère toi, et dis moi tout ce que tu as pu observer de cette course. Tes sensations, tes impressions, tes observations visuelles et sensorielles. Tout. Vous n'êtes même pas à mis chemin, vous allez courir tout droit ensuite, plus doucement, jusqu'à la mi territoire, jusqu'aux arbres noirs. Puis vous irez jusqu'aux arbres tordus pour rejoindre le chemin tu tonnerre. Puis faire le tour dans le sens inverse, en passant par les marécages, le vieux chêne, passer un peu de temps dans les plaines de roches pour chasser et rentrer par le sentier de conifères et de feuillus, pour rentrer par la charnière. Tester les rats, si possible. en la laissant cherche le chemin du camps. De la charnière, elle devrait sentir l'odeur.
Évidement, hors de question de lui dire le programme avant qu'elle n'ai fait une bonne observation et preuve de ruse. Chaque fois qu'elle ne fera preuve que de ses muscles, tu t'obstineras à la tester encore et encore, physiquement. Tes deux choix se mélangent. She is gonna be not an adroïd, not a human. She will be a deviant. Va-t-elle finir aussi folle que to▬ Je ne suis pas fou !
(c) by Moussy
Jeune recrue
Puf/Surnom : Soka Messages : 7Le personnage
Sexe du perso: Femelle
Âge du perso: 31 lunes
Mentor / apprenti : Embrasement des Flocons
Nuage de Papillon
Ven 31 Mai 2019 - 14:06
Un mentor pas comme les autres
Nuage de Papillon ft.
Embasement des Flocons
La course continue de plus belle. La respiration de la jeune chatte s’accélère pour lui permettre de garder le rythme. C’est agaçant, celle de son mentor ne semble pas du tout affectée par cette course. Comme s’il avait l’habitude de courir sans but dans la pinède ombreuse. Peut-être est-ce le car ? La jeune femelle a autre chose à faire que de juger les habitudes excentriques de son nouveau mentor. Celui-ci grimpe à un arbre. La femelle grimace mais bande tout de même ses muscles pour s’élancer à la poursuite du chat blanc. Hors de question qu’elle se laisse distancer, c’est sûrement une première épreuve qu’il lui fait subir. Elle ne peut pas échouer. La descente de l’arbre est plus compliquée que la montée. Le poil de Nuage de Papillon est lourd sur ses épaules et ses muscles commencent à tressaillir sous l’effort. Elle tient bon mais la silhouette blanche de son mentor n’est plus devant elle. Tant pis, elle accélère encore un tout petit peu et se repère désormais uniquement à l’odeur. Mais elle doit faire vite, la pluie efface les odeur. Et elle est déjà à l’œuvre pour faire disparaître celle du chat blanc.
La course continue mais soudain la femelle est stoppée net. Elle vient de se faire faucher en pleine course. Par quoi ? Un ennemi ? Elle tombe lourdement au sol en grognant. Son poil est tellement sale maintenant ! Elle va devoir manger de la boue pendant des heures pour réussir à se nettoyer complètement… Nuage de Papillon redresse la tête, le souffle court. Elle espère ne pas avoir fait de mauvaise rencontre, mais la voix familière du félin blanc l’apaise instantanément.
« — Oui. Parce que courir c'est ce qui fortifie ta colonne vertébrale, entretient tes muscles, affine la concentration et la précision, et ça empêche les blessures stupides. »
La novice soupire. La tout de suite sa colonne vertébrale est plus douloureuse qu’autre chose. Mais bon, elle ne met pas en doute la parole du chat, après tout elle est moins âgée que lui et est là pour apprendre. Elle profite des quelques instants de répits qu’elle a, allongé sur le sol. Son mentor n’est pas très lourd, elle a même l’impression de ne pas vraiment être prisonnière de son emprise. Mais elle n’a pas vraiment envie de froisser le chat blanc, alors elle reste captive.
« — Maintenant, libère toi, et dis moi tout ce que tu as pu observer de cette course. Tes sensations, tes impressions, tes observations visuelles et sensorielles. »
Nuage de Papillon se dégage en grognant d’un mouvement d’épaule pas trop rude. Elle s’assoit face à son mentor et réfléchis, elle devait observer autour d’elle ? La queue enroulée autour de ses pattes la novice bombe le torse.
« La pinède sent l’humidité, un peu les proies aussi mais c’est plus diffus… Mes sensations sont humide. J’ai le poil trempé et j’ai été fouetté par de nombreuses branches. J’ai l’impression d’être une boule de mousse qu’on a jeté dans une rivière. Visuellement à part un éclair blanc courant devant moi je n’ai pas vu grand-chose. »
Un léger sourire étire les babines de Nuage de Papillon. Elle a essayé de raconter la vérité mais bon la déformer à son avantage, est-ce vraiment un problème ?
La course continue mais soudain la femelle est stoppée net. Elle vient de se faire faucher en pleine course. Par quoi ? Un ennemi ? Elle tombe lourdement au sol en grognant. Son poil est tellement sale maintenant ! Elle va devoir manger de la boue pendant des heures pour réussir à se nettoyer complètement… Nuage de Papillon redresse la tête, le souffle court. Elle espère ne pas avoir fait de mauvaise rencontre, mais la voix familière du félin blanc l’apaise instantanément.
« — Oui. Parce que courir c'est ce qui fortifie ta colonne vertébrale, entretient tes muscles, affine la concentration et la précision, et ça empêche les blessures stupides. »
La novice soupire. La tout de suite sa colonne vertébrale est plus douloureuse qu’autre chose. Mais bon, elle ne met pas en doute la parole du chat, après tout elle est moins âgée que lui et est là pour apprendre. Elle profite des quelques instants de répits qu’elle a, allongé sur le sol. Son mentor n’est pas très lourd, elle a même l’impression de ne pas vraiment être prisonnière de son emprise. Mais elle n’a pas vraiment envie de froisser le chat blanc, alors elle reste captive.
« — Maintenant, libère toi, et dis moi tout ce que tu as pu observer de cette course. Tes sensations, tes impressions, tes observations visuelles et sensorielles. »
Nuage de Papillon se dégage en grognant d’un mouvement d’épaule pas trop rude. Elle s’assoit face à son mentor et réfléchis, elle devait observer autour d’elle ? La queue enroulée autour de ses pattes la novice bombe le torse.
« La pinède sent l’humidité, un peu les proies aussi mais c’est plus diffus… Mes sensations sont humide. J’ai le poil trempé et j’ai été fouetté par de nombreuses branches. J’ai l’impression d’être une boule de mousse qu’on a jeté dans une rivière. Visuellement à part un éclair blanc courant devant moi je n’ai pas vu grand-chose. »
Un léger sourire étire les babines de Nuage de Papillon. Elle a essayé de raconter la vérité mais bon la déformer à son avantage, est-ce vraiment un problème ?
Jeune aventurier
Puf/Surnom : Moussy Messages : 142Le personnage
Sexe du perso: ♂
Âge du perso: 63 lunes
Mentor / apprenti : Nuage de Papillon (disparue/morte)
Embrasement des Flocons
Lun 3 Juin 2019 - 12:29
Que raisonne le tonnerre
« Instability software V »
Feat Pillon et Moussy
Feat Pillon et Moussy
Tes iris ambrées se fixent sur un point précis pour débuter ton jeu d'analyse : cette novice face à toi. Son analyse est juste et presque vraie. Tu sais qu'elle l'arrange pour ne pas se mettre plus bas que terre. Sa fourrure hirsute te le prouve. Que faire, de cette réponse ? Tu clignes des yeux, et enclenche dans ton esprit disloqué en pôles et missions le mécanisme ravageur de ton jeu préféré : The game is on.
Instabilité logiciel V
L'animal noir et blanc fixe sur toi ses iris d'un doré pareil au tien. La même lieur de folie déviante y scintille avec acharnement. Son corps est musculeux, tendu, sa respiration reprend peu à peu un rythme stable. Tu clignes des yeux pour réactualiser la lentille d'analyse. Le logiciel reprend son analyse. Un mince sourire étire ses babines. Une bombe volcanique semble avoir implosé dans sa poitrine et formé un dôme de basalte.
Le blanc de sa robe est donc la lave en fusion qui brûle dans son corps déjà si grand. Le noir serait le basalte. Quelle coquille solide. Petite déviante. Sa queue est enroulée autour de ses pattes avec soin et magnétisme. Son champs magnétique doit l'avoir attirée à elle comme une lune en pleine marée. Car de fines secousses tendres la font bouger sur son orbite désastreuse.
Alors que la tienne traîne dans la terre derrière toi, parfaitement immobile. Ta queue n'est pas une lune, ton pelage n'est pas un champs magnétique ni une gravitation. C'est un ensemble de matériel géologique d'analyses. La terre tremble sous tes organes du touché. Ça tremble sous tes coussinets. Ta queue les localise. Ou presque. Tes moustaches et tes oreilles amovibles le localisent, et la queue aide. Surtout à calculer l'humidité et la distance. Simple outil.
L'orage se rapproche. Et les vents se font en rafales. Si fort que le muscle de ta queue et son squelette se font souffler comme de la paille. Ils se rabattent sous tes pattes comme des lapins dans un terrier. Et le jeu reprend son activité. Alors que le tonnerre raisonne dans tes iris et dans le ciel devenu d'un noir illusionniste.
— Je vois à ta fourrure que tu as eu beaucoup de mal à me suivre. Et j'ai senti à mon odeur que tu m'avais perdu. Mais aussi que tu es restée déterminée. Tu as su te dire que tu devais adapter ta couse à moi, et à ton environnement. C'est un bon début. Sensible pause. Le tonnerre fend le ciel dans un éclat flamboyant qui attire vos deux paires d'yeux. durant l'espace d'un quart de seconde. À votre manière. Du coin de l’œil, sans bouger de là où vous étiez.
— Je te présente les marécages de notre territoire. Ici, l'important, c'est de garder les pattes sur le sol. Les arbres morts avant nous étaient utiles pour entendre tout ce qu'il se passe dans cette forêt. Mais ici, tu dois apprendre à analyser le sol. Pas les bruits qui ricochent contre les parois et vibrent dans la sève. Dans les marécages, un bruit peut mettre du temps à arriver jusqu'à nous, surtout quand il est grave, j'ai l'impression. Il n'a aucun obstacle, mais rien pour l'amplifier. Si un son vient de quelque part, c'est simple de le localiser, mais c'est dur de le percevoir parfois. Le maître des sens ici, c'est le sol. L'air est traître.
Tu lui fais signe de te suivre. Et tu t'avances vers la boue. Tu y es à peine visible vu l'état de ta fourrure, mais tu y rentre tes pattes jusqu'à ton corps et te retourne vers Nuage de Papillon doucement. Le sol englue tes pattes en son sein de chaleur et de viscosité. C'est humide, c'est désagréable, ça t'enfonce dans un tout autre monde.
— Tu vois ça ? Ne t'en approche pas. Quand tu sens en avançant, que tes coussinets te disent que le sol devient vraiment humide et visqueux ou même chaud, éloigne toi. C'est facile d'entrer, mais dur de sortir. Vas-y, remue, essaye de sortir de là. La boue parasite les sens. Et malgré ton menton relevé, aidé par la grande taille de la novice noire et blanche, devenue complètement noire, tes moustaches ont le bout enduit de cette foutue boue.
L'odeur s'engouffre dans vos truffes comme le sang d'une proie dans votre gorge, comme votre propre sang si vous n'en sortez pas très vite. Oui, tu choisis bien tes endroits de démonstrations. Pas vrai Flo ?
Tu peines à sortir de là, tout tes sens sont gelés dans cette boue de terre et de poussière. L'odeur volatile et nauséabonde semble vouloir vous étouffer. Mais tu n'as pas peur, tu n'es pas stressé. Tu préfères concentrer toute ta concentration sur ton effort. Même si, que tu le veuilles ou non, c'est très dur de bouger, et très perturbant de ne pouvoir utiliser qu'en partie tes sens. Tu as bien vite décidé de fermer les yeux quand tu as pénétré cet endroit maudit, car la boue dans les yeux est une calamité.
Tu arrives à localiser l'apprentie avec peine, tu localises au touché son buste et son dos. Tu la force à se mettre sur ses pattes arrières.
— Utilise tes muscles postérieurs, ils ont plus de force. Tu utiliseras tes épaules pour te tirer, un peu plus loin, quand on aura de quoi plantes nos griffes sans danger. Évite de les utiliser maintenant, la boue dans les griffes qui sèche ça fait mal parce que ça bloque et ça tire, et en plus c'est dur à enlever.
Tu imites donc la position que tu lui as donnée, et tu pousses sur tes cuisses arrières pour te lever, et sortir tes pattes avant de là.
— Comme ça, tu as moins de poids à pousser contre la boue. Utilises bien tes cuisses et ton dos. Pas tes mollets, ils n'ont pas assez de force et tu vas te faire mal. Penche toi en avant, utilises bien tes épaules pour que tes pattes avant ne plongent pas, et pousse. Ou essaye en premier lieu d'avancer une patte, ou de la reculer ça dépend du sens de la boue, fais comme c'est le plus simple, dans le sens du courant. Tu montres l'exemple, et sors laborieusement de là, parfois à coup de sauts, manquant de t'enfouir là dedans jusqu'à la truffe.
— Essaye de mettre beaucoup de force dans chaque pas ou saut, plus tu y restes, plus tu fais de petits pas pour te dégager ou remonter, plus tu t'enfonces, et plus tu restes coincé. Il ne faut pas que ta boue sèche sur ta fourrure tant que tu n'es pas sortie. Une fois à bonne hauteur, tu plantes tes crocs dans la peau de son cou, et l'aides à sortir à son tour de là, avançant à sa vitesse. Remerciant silencieusement sa force.
— Et ne fais jamais comme moi. Tu vas te détruire les cervicales, sur ta nuque et les vertèbres dorsales, en dessous.
Instabilité logiciel V
L'animal noir et blanc fixe sur toi ses iris d'un doré pareil au tien. La même lieur de folie déviante y scintille avec acharnement. Son corps est musculeux, tendu, sa respiration reprend peu à peu un rythme stable. Tu clignes des yeux pour réactualiser la lentille d'analyse. Le logiciel reprend son analyse. Un mince sourire étire ses babines. Une bombe volcanique semble avoir implosé dans sa poitrine et formé un dôme de basalte.
Le blanc de sa robe est donc la lave en fusion qui brûle dans son corps déjà si grand. Le noir serait le basalte. Quelle coquille solide. Petite déviante. Sa queue est enroulée autour de ses pattes avec soin et magnétisme. Son champs magnétique doit l'avoir attirée à elle comme une lune en pleine marée. Car de fines secousses tendres la font bouger sur son orbite désastreuse.
Alors que la tienne traîne dans la terre derrière toi, parfaitement immobile. Ta queue n'est pas une lune, ton pelage n'est pas un champs magnétique ni une gravitation. C'est un ensemble de matériel géologique d'analyses. La terre tremble sous tes organes du touché. Ça tremble sous tes coussinets. Ta queue les localise. Ou presque. Tes moustaches et tes oreilles amovibles le localisent, et la queue aide. Surtout à calculer l'humidité et la distance. Simple outil.
L'orage se rapproche. Et les vents se font en rafales. Si fort que le muscle de ta queue et son squelette se font souffler comme de la paille. Ils se rabattent sous tes pattes comme des lapins dans un terrier. Et le jeu reprend son activité. Alors que le tonnerre raisonne dans tes iris et dans le ciel devenu d'un noir illusionniste.
— Je vois à ta fourrure que tu as eu beaucoup de mal à me suivre. Et j'ai senti à mon odeur que tu m'avais perdu. Mais aussi que tu es restée déterminée. Tu as su te dire que tu devais adapter ta couse à moi, et à ton environnement. C'est un bon début. Sensible pause. Le tonnerre fend le ciel dans un éclat flamboyant qui attire vos deux paires d'yeux. durant l'espace d'un quart de seconde. À votre manière. Du coin de l’œil, sans bouger de là où vous étiez.
— Je te présente les marécages de notre territoire. Ici, l'important, c'est de garder les pattes sur le sol. Les arbres morts avant nous étaient utiles pour entendre tout ce qu'il se passe dans cette forêt. Mais ici, tu dois apprendre à analyser le sol. Pas les bruits qui ricochent contre les parois et vibrent dans la sève. Dans les marécages, un bruit peut mettre du temps à arriver jusqu'à nous, surtout quand il est grave, j'ai l'impression. Il n'a aucun obstacle, mais rien pour l'amplifier. Si un son vient de quelque part, c'est simple de le localiser, mais c'est dur de le percevoir parfois. Le maître des sens ici, c'est le sol. L'air est traître.
Tu lui fais signe de te suivre. Et tu t'avances vers la boue. Tu y es à peine visible vu l'état de ta fourrure, mais tu y rentre tes pattes jusqu'à ton corps et te retourne vers Nuage de Papillon doucement. Le sol englue tes pattes en son sein de chaleur et de viscosité. C'est humide, c'est désagréable, ça t'enfonce dans un tout autre monde.
— Tu vois ça ? Ne t'en approche pas. Quand tu sens en avançant, que tes coussinets te disent que le sol devient vraiment humide et visqueux ou même chaud, éloigne toi. C'est facile d'entrer, mais dur de sortir. Vas-y, remue, essaye de sortir de là. La boue parasite les sens. Et malgré ton menton relevé, aidé par la grande taille de la novice noire et blanche, devenue complètement noire, tes moustaches ont le bout enduit de cette foutue boue.
L'odeur s'engouffre dans vos truffes comme le sang d'une proie dans votre gorge, comme votre propre sang si vous n'en sortez pas très vite. Oui, tu choisis bien tes endroits de démonstrations. Pas vrai Flo ?
Tu peines à sortir de là, tout tes sens sont gelés dans cette boue de terre et de poussière. L'odeur volatile et nauséabonde semble vouloir vous étouffer. Mais tu n'as pas peur, tu n'es pas stressé. Tu préfères concentrer toute ta concentration sur ton effort. Même si, que tu le veuilles ou non, c'est très dur de bouger, et très perturbant de ne pouvoir utiliser qu'en partie tes sens. Tu as bien vite décidé de fermer les yeux quand tu as pénétré cet endroit maudit, car la boue dans les yeux est une calamité.
Tu arrives à localiser l'apprentie avec peine, tu localises au touché son buste et son dos. Tu la force à se mettre sur ses pattes arrières.
— Utilise tes muscles postérieurs, ils ont plus de force. Tu utiliseras tes épaules pour te tirer, un peu plus loin, quand on aura de quoi plantes nos griffes sans danger. Évite de les utiliser maintenant, la boue dans les griffes qui sèche ça fait mal parce que ça bloque et ça tire, et en plus c'est dur à enlever.
Tu imites donc la position que tu lui as donnée, et tu pousses sur tes cuisses arrières pour te lever, et sortir tes pattes avant de là.
— Comme ça, tu as moins de poids à pousser contre la boue. Utilises bien tes cuisses et ton dos. Pas tes mollets, ils n'ont pas assez de force et tu vas te faire mal. Penche toi en avant, utilises bien tes épaules pour que tes pattes avant ne plongent pas, et pousse. Ou essaye en premier lieu d'avancer une patte, ou de la reculer ça dépend du sens de la boue, fais comme c'est le plus simple, dans le sens du courant. Tu montres l'exemple, et sors laborieusement de là, parfois à coup de sauts, manquant de t'enfouir là dedans jusqu'à la truffe.
— Essaye de mettre beaucoup de force dans chaque pas ou saut, plus tu y restes, plus tu fais de petits pas pour te dégager ou remonter, plus tu t'enfonces, et plus tu restes coincé. Il ne faut pas que ta boue sèche sur ta fourrure tant que tu n'es pas sortie. Une fois à bonne hauteur, tu plantes tes crocs dans la peau de son cou, et l'aides à sortir à son tour de là, avançant à sa vitesse. Remerciant silencieusement sa force.
— Et ne fais jamais comme moi. Tu vas te détruire les cervicales, sur ta nuque et les vertèbres dorsales, en dessous.
(c) by Moussy
Vétéran
Puf/Surnom : Cousine de Timmy Messages : 876Faucheuse de Rp's
Dim 15 Sep 2019 - 14:05
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