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Te noscere gaudeo ! [EBY]

Chant des Rivières
Jeune recrue
Puf/Surnom Puf/Surnom : Moussy l'étoile de mer
Messages Messages : 54

Le personnage
Sexe du perso:
Âge du perso: 47 lunes
Mentor / apprenti : Torrent des Esprits
Chant des Rivières
 Ven 12 Fév 2021 - 21:54
Ft.Eby
Te noscere gaudeo !
J'en suis capable. Je sais que j'en suis (in)capable. (Tu en es incapable.) Je n'ai qu'à me déplacer (Tu n'y arriveras pas) un petit peu. Je n'ai qu'à marcher. Pas à pas. (Tu es perdue)Jusqu'au camps. (P) Je n'a(e)i pas pe(r)ur. Je n'ai pas pe(d)ur. Je n'ai pas peu(u)r. Je suis (e) forte. (Tu es fragile) Je suis courag(Misérable, tu es en train de te briser)euse.

J'AI ENTENDU UN BRUIT DANS LES FOURRÉES !

Qu'est-(fuis)ce qu'il se pa(fuis)sse ?!(Fuis). Je dois rester calme. J'inspire. J'expire paisiblement. Tout va bien. Je(quelqu'un est p(fuis)eut-être venu t'aider) respire de nouveau. Le bruit s'intensifie. Je panique(Hurl(ramène-le)ement des Fla(On a besoin de (fuir)lui)mmes ?). Mes pattes tremblent. Mes mo(tu devais réussir(tu es perdue) à le ram(tu n'y es pas arrivé)ener)ustaches so(tu devais le ramener)nt complètement (qu'est-c(fuis)e que c'est ?)perdues. Mes oreilles se débattent dans(tu vas mourir ici) le vide de la saison des neiges pour savo(fuis)ir où je suis, pour savoir ce qui est réel et ce qui ne l'est pas.

Ce(tu dois fuir) bruit est (enfuis-toi)réel. Il est(CHANT (fuis)DES RIVIE(fuis)RES E(fuis)NFUIS TOI (fuis)AU NOM(fuis) DU CLAN DES ETOILES) dang(fUIs)ere(FUIS)ux.

Je m'enfuis. Ventre à terre.

Mais je fuis dans la mauvaise direction. (Tu devais le ramener) Ou alors le bruit m'a rattrapée. (Tu es inutile). Je me stoppe. (incapable de courir) Me concentre. Me focus sur ce qui est en face de moi.

Je reconnais l'être qui a su apprendre à mon père à chérir et à vivre (vous deviez apprendre à vivre (tu n'as jamais su aider ton père) ensemble, Hurlou et toi). Lune Ébène, à cet instant précis, je n'attend qu'une chose : voir ta gueule s'ouvrir, (idiote) et des mots réels en sortir.

Mais tu ne parles pas, Lune Ébène.

Néanmoins. Je ne suis plus seule. J'avance vers toi, à pas de loups. Je n'en peux plus. Je suis épuisée. Je ne sais plus ce qu'il s'est passé. Je ne sais pas pourquoi je suis perdu. Je ne comprend plus ce que me disent les voix. Je ne comprend plus ce que hurle le vent dans mes oreilles.

Je t'approche et je te demande de m'accueillir en ta fourrure douce et chaude. Parce que j'ai froid. Je ne sais ni où je suis ni comment je suis arrivée ici. C'est à peine si je sais qui je suis. Alors j'approche doucement. Dans une cacophonie incompréhensible qui me vrille le cerveau. J'approche suffisamment pour sentir ta présence près de moi. De sentir que tu es réelle. Que je ne suis pas toute seule. Parce que je ne veux pas être toute seule, Lune Ébène.

Je m'approche encore un tout petit peu, je suis si petite, comparé à toi. J'ai froid. Je me sens seule. J'ai peur. J'ai mal à la tête. J'ai la nausée. J'ai la tête qui tourne. Mais je sens ta présence. Silencieuse mais réelle. Bienveillante. Es-tu venue me chercher ? Je ne sais pas. Je suis perdue.

J'ouvre la gueule, je voudrais parler. Mais aucun son ne sort. Tout ce que mon cerveau arrive à penser, c'est son nom. C'est Hurlement des Flammes. Mon escapade avait un rapport avec lui, tu penses, Lune Ébène ?

Je ferme les yeux. Rien qu'un instant. J'avance mon frêle petit coup jusqu'à pouvoir t'effleurer. Et soudain, tout s'arrête, tout se tait. (Tu sais ce que tu es venue chercher.)

J'en ai eu assez d'attendre que la douleur passe. J'ai décidé d'aller aux Hautes-Pierres pour tenter auprès du clan des étoiles de le ramener, peu importait ce que ça pourrait me coûter. Je voulais juste le revoir vivre. Que l'on tienne notre promesse. C'était il y a je pense un ou deux jours. Après, je ne me rappelle plus de rien. Je ne sais pas si j'ai atteins le lieu sacré. Je ne me rappelle pas si j'ai simplement erré n'importe où sans savoir où aller. Je sais simplement que cet endroit, sent le clan de l'ombre. Que j'ai froid. Que j'ai faim. Que j'ai mal. Que j'ai sommeil. Que j'ai peur.

Mais maintenant que j'y pense. Je ne te connais qu'à travers Papa, Lune Ébène.

J'ouvre doucement mes yeux fatigués. Et je te regarde. Tu es noire comme la nuit qui nous entoure. Tu as des yeux d'un bleu électrique, dégradé vers du bleu presque translucide. C'est époustouflant. Ta fourrure est épaisse, mais souple. Tu es grande et mince. Je ne te touche pas de suffisamment près pour sentir ta peau. Est-ce qu'elle est chaude et pulpeuse comme celle de Nuage d'Argent ? Ou est-t-elle fraiche et meurtrie comme celle de papa ? Je pense que tu es un peu des deux. Chaude et douce, mais avec un corps meurtri.

Ma petite gueule s'ouvre de nouveau. « Tu es vraiment très jolie. » Murmurent mes babines. Mais aucun son ne sort, je reste muette. Dans ma confusion, je lâche doucement un sourire, il s'étale comme un fou sur mon visage, s'expose à la réalité abrupte et à ton jugement. « Je suis désolée d'être partie et de vous avoir inquiétés. » Mais ma gorge ne produit que de petits sifflements mourants. « Je veux vraiment le ramener, mais je sais pas comment faire. » Maintenant, plus aucun son ne sort. Je ne sais pas si tu me comprends. Mais j'ai froid. Doux clan des étoiles. J'ai froid. Je suis transie de froid. Et j'ai faim. J'ai soif. J'ai sommeil. J'ai mal. Je suis éreintée. Je me sens meurtrie. Anéantie. Ensevelie sous une montagne de folie noire, acre, brumeuse et pestilentielle.

Plongée dans mon délire neigeux, c'est comme si je pouvais le voir de nouveau. Mais il n'apparaît pas. Où est-il ? Comment va-t-il ? Il s'occupe des petits, c'est ça ? Il m'attend. Peut-être ? C'est bientôt l'heure, non ? Je ne veux pas, que ça soit l'heure...

Tu me donnes cinq minutes de plus, Hurlement des Flammes ? Cinq minutes, juste cinq minutes de plus. Avec toi. Tu me diras. Tu me diras comment te ramener auprès de moi.

Mes yeux se réouvrent un instant. Dans les vapes d'une brume neigeuse qui vampirise ma chaleur corporelle. Tiens, papa, Hurlement des Flammes ? Vous avez besoin de quelque chose ?

Lu.. Lune Ébène, c'est toi ? Enchantée ! Moi, c'est Chant des Rivières ! On peut discuter, si tu veux ! Mais avant, tu veux bien me laisser cͯḭ̯ͫ̐nq̺̳̐̚ p҉ę͙̜̀̄t͉̣̃̃ïͨ͆t̐ͨ҉̝̗e̪͚ͅsͦ͑͆ ̟̕ͅmi̘n̺͖̞ut͐ͦ͡ȩ̊̚s̉̆̎ ? J'ai vraiment très froid, et sommeil. On parler, après, d'accord ? Rien que toutes les deux ! Comme je suis impatiente d'apprendre à te connaître ! Papa, viens manger avec nous !! Hurlement des Flammes ? Tu m'attend, d'accord ? Et pense à toiletter les petits !


[HRP : tu es libre du parcours qu'elle a oublié, si elle sent les odeurs des autres clans, elle a peut-être réussi. Ou alors elle sent juste le clan de l'ombre et n'a pas traversé de frontières.]
Lune Ébène
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom Puf/Surnom : Marshmallow, Marsh'
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Le personnage
Sexe du perso: F
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Mentor / apprenti :
Lune Ébène
 Jeu 1 Avr 2021 - 14:32

Found ya !

ft. Chant des Rivières

Ce jour-là était une situation exceptionnelle. Pour la simple et bonne raison que plusieurs matous étaient de sorties en pleine nuit, perturbant quelque peu les habitudes de la guerrière d'ébène. Mais ce détail passait bien après la cause de cette situation inhabituelle. Il y avait une disparue, et pas n'importe laquelle, la fille d'Embrasement des Flocons. Une équipe avait alors été formée pour la chercher aux quatre coins de la forêt. Un guerrier l'avait vu quitter le camp dans une sorte de panique alors qu'il neigeait, rendant la visibilité vraiment faible. Le petit groupe écoutait avec attention les instructions qui leurs étaient données tandis que l'ébène quittait les lieux sans faire de bruit. Toutes les instructions du monde ne lui serviraient à rien, elle qui connaissait cette forêt de nuit mieux que quiconque.

Lune Ébène s'enfonça alors dans la forêt, cherchant l'odeur de la petite femelle noire ou même la moindre trace physique de son passage. Pendant près d'une heure, la guerrière ne put que chercher le museau dans la poudreuse une infime petite odeur sans jamais la trouver, jusqu'à ce qu'enfin elle repère Chant des Rivières, ou tout du moins son odeur. Elle suivit la trace sans jamais s'arrêter, esquivant le moindre obstacle sur sa route tel un serpent se déplaçant au sol. Sa recherche dura un long moment, moment qui lui sembla sans fin tant une boule de stresse s'était formée au sein de son ventre. Il faisait terriblement froid, la neige ne cessait de tomber et malgré que Chant des Rivières était une guerrière, elle n'en était pas moins jeune et sans doute inhabituée à cette forêt dans ces conditions. C'était une situation particulièrement stressante et difficile, mais l'ébène restait calme, prenant de grande inspiration et gardant le rythme de son cœur le plus régulier possible pour ne prendre aucun risque, ce n'était pas le moment de perdre la trace qu'elle avait eut tant de mal à trouver.

Deux bonnes heures s'écoulèrent avant qu'enfin, Lune Ébène n'aperçoive la fourrure sombre de la femelle qu'elle cherchait. Chant des Rivières semblait éreintée, terrifiée et frigorifiée alors qu'elle s'approcha de l'ébène pour venir se coller à elle. La guerrière accueillit la petite femelle gelée au sein de sa fourrure, lui offrant toute la chaleur qu'elle pouvait pour la réchauffer. Les yeux bleus de la sombre trouvèrent ceux décolorés de l'ébène, celle-ci murmura quelque chose tandis que son regard laissait transparaitre à quel point elle était fatiguée. Lune Ébène se mit alors à agir sans trop y réfléchir et toiletta doucement le dessus de la tête de la femelle emmitouflée dans sa fourrure épaisse, comme pour lui dire qu'elle n'avait plus à avoir peur, qu'elle pouvait se reposer, que la grande femelle qui lui tenait chaud la protégerait coûte que coûte.

Une heure s'écoula. La sombre n'avait pas bougé d'un poil, laissant Chant des Rivières se réchauffer doucement et reprendre des forces. Elle semblait si petite. Étais-ce l'ébène qui était particulièrement grande ou bien la fille du blanc était-elle particulièrement petite ? Probablement un peu des deux. Dans tous les cas, elle avait l'impression de protéger un petit apeuré qui se serait perdu après être partie dans une folle expédition. Et cette pensée poussait l'ébène à s'enrouler autour de Chant des Rivières, comme pour qu'elle se sente en sécurité. Quand enfin les yeux de la jeune guerrière s'ouvrirent, Lune Ébène la resserra contre elle et lui donna un coup de museau affectueux au creux de la mâchoire, comme pour lui faire comprendre qu'elle ne devait pas paniquer, que tout allait bien et qu'elle était en sécurité. Après tout, elle ne savait pas comment elle réagirait.
 

Kayl pour Marshmallow only
Chant des Rivières
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Chant des Rivières
 Mar 4 Mai 2021 - 11:02
Ft.Eby
Te noscere gaudeo !
Chant des Rivières ? Chant des Rivières écoute moi (Ce n'est pas sa voix, ça ne peut pas être sa voix, ce n'est pas possible.) Non je sais que ce n'est pas sa voix. Mais je l'imagine. Sa voix. J'imagine ce qu'il aurait pu dire en me voyant ainsi. Gelée, perdue dans le noir et dans le froid, loin de la chaleur et de la sécurité du camps. Loin de sa chaleur et de sa sécurité.

Chant des Rivières. Respire. Dors. Reprends des forces. Et rentre à la maison. Tu veux bien faire ça pour moi ? Je t'avais promis, Hurlement des Flammes. Promis qu'on serait heureux, ensemble. (Et tu as lamentablement échoué.)

(Quelque chose vient de te frôler) (Quelque chose est contre toi.) Oui c'est Lune Éb-

QUELQUE CHOSE BOU- .. ? Ge.. ?

...

Je tend l'oreille.

Je sens mon souffle glacé contre ma peau. J'ai froid. Mais je ne suis plus anesthésiée de celui-ci. Je me réchauffe. Oui Lune Ébène est là. Contre moi. Elle me réchauffe. Elle me protège. Elle est là, lovée avec tendresse contre moi. (Elle va te-) Elle ne me fera jamais le moindre mal. Tout va bien. Tout va bien. Tout va bien.

La brume et le noir se dissipent. Je reviens lentement à moi. La forêt est là. La neige est là. Le froid, la faim et la soif sont là. La fatigue est très présente. Et une affolante migraine s'empare de mon crâne. Dis-moi, Lune Ébène, où sommes-nous ? Qu'ais-je fais ?

Je ne puis me rappeler de mon ascension de ces quelques jours. Je ne puis que constater à quel point la compagne de mon père est grande. Sa chaleur corporelle est assez peu surprenante : une chatte ne pouvant être en contact avec le soleil ne peut être bien chaude. Mais dans ce froid mordant, elle est parfaite. Elle est la chaleur douce qui s'immisce peu à peu dans mon corps. Me réchauffe. Me redonne vie. Me donne mal aux extrémités. Mon museau commence à être fort douloureux, avec mes pattes et mes oreilles. Je ferme les yeux. Un instant. Juste un instant. J'enfonce ma truffe dans son pelage soyeux. Je pense que vu ma petite taille et l'épaisseur de ma fourrure aussi noire que la sienne, je pourrais disparaître complètement en son sein. Revenir d'où je viens, bien que cette chatte ne soit pas ma mère.

A-t-elle déjà voulu être maman ? Le peut-elle encore ? Et moi, la fille de son compagnon. Qui suis-je à son égard ? Et qui est-t-elle pour m-

Je le vois.

Juste l'instant où j'ai fermé les yeux. Je l'ai vu. Mon compagnon. Mon défunt compagnon. Il me regarde. Il me sourit. Il est avec notre portée. Avec notre promesse de bonheur. Il peut encore être heureux. Avec eux. Avec la satisfaction de me voir sourire, de me voir être forte comme je l'ai toujours été. Il est mort. Mais il est toujours là.

Je le comprend. Je le vois. Et il sourit.

Dans mon illusion béate et ivre de bonheur, j'ouvre un peu plus les yeux. Redresse la tête vers Lune Ébène. Te demandant de mes yeux fatigués si l'on peut rentrer au camps, maintenant que je suis réellement là. Ou presque.
Lune Ébène
Guerrier expérimenté
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Messages Messages : 151

Le personnage
Sexe du perso: F
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Mentor / apprenti :
Lune Ébène
 Mer 25 Aoû 2021 - 13:10

Found ya !

ft. Chant des Rivières

L'ébène lu dans le regard de la jeune femelle sombre toutes les choses qu'elle ressentait, mais surtout son envie de rentrer à la maison. Elle la réchauffa encore un instant avant de se remettre sur patte et de l'aider à sa relever. Les deux félines prirent le chemin du retour, le trajet serait long et escarpé à cause du froid et de la neige. Lune Ébène était grande et habituée à cette forêt par tous les temps, mais Chant des Rivières venait de faire une crise provoquée par de fortes émotions et s'était perdue dans ce froid polaire.  Sans compter qu'elle était sans doute affamée et assoiffée.

La guerrière d'ébène ne pouvait s'empêcher de penser au soulagement qu'allait ressentir Embrasement des Flocons en voyant sa fille rentrer au camp saine et sauve, un sourire s'esquissa sur son visage. Elle était heureuse que ce soit elle qui ait retrouvé Chant des Rivières, elle qui semblait avoir le même genre de réaction que son père il valait mieux que ce soit un chat qui la connaissait qui tombe sur elle pour ne pas l'effrayer et la rassurer. Les deux femelles firent quelques pauses sur la route, laissant le temps à la jeune sombre de reprendre son souffle un instant tandis que l'ébène surveillait les environs. Si elle croisait un autre groupe de recherche, elle pourrait les prévenir que les recherches n'étaient plus à l'ordre du jour.

À s'occuper d'elle ainsi, l'ébène avait l'impression de s'occuper d'un chaton. Lune Ébène n'avait jamais envisagé d'avoir des petits, elle n'avait même jamais envisagé qu'un chat puisse avoir des sentiments pour elle alors l'idée d'avoir des chatons n'avais jamais été une option. Mais à présent, elle avait Embrasement des Flocons. Le mâle blanc y avait-il déjà pensé ? Ou bien rien que cette pensée le mettait-il dans un état pas possible ? Si elle avait des chatons un jour, auraient-ils peur de son apparence et de son silence ? Certes sa fourrure sombre et épaisse recouvrait bien toutes ses cicatrices, mais elle n'en restait pas moins assez effrayante. Elle était grande, sa fourrure entièrement charbonneuse, ses yeux si particuliers et sa voix qui ne quittait pas sa gueule. Sa tête se baissa, légèrement morose, comment pourrait-elle être une mère si elle était si effrayante ?

Les deux félines parvinrent enfin au territoire du Clan de l'Ombre et à toutes ses odeurs si familières et bientôt tous les groupes de recherches tombèrent sur les deux guerrières. Et ainsi, tous rentrèrent au camp de l'Ombre. Et heureusement car bientôt le soleil serait levé et l'ébène devrait se mettre à l'abri pour protéger ses yeux de cette éclatante lumière. Embrasement des Flocons fut le premier à "sauter de joie" à sa manière, sans doute fort rassuré de voir sa fille saine et sauve. Lune Ébène les observait, un peu à l'écart et un large sourire aux lèvres. Lui et Chant des Rivières n'avaient pas peur d'elle, ils ne la trouvaient pas si effrayante que ça après tout, alors peut être l'ébène devait-elle arrêter de s'inquiéter autant à propos de son apparence ? M'enfin. Le temps donnerait des réponses à ses questions.
 

Kayl pour Marshmallow only
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