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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumhow can I sleep when there is war inside my head ☘ Douceur de l'Hirondelle
Ce fou de Frou est plus rapide que la lumière !
Puf/Surnom : Foudry
Messages : 94Le personnage
Sexe du perso: Mâle
Âge du perso: 44 lunes
Mentor / apprenti :
Regret du Faucon
Dim 18 Avr 2021 - 19:45
how can I sleep when there is war inside my head
Les oiseaux chantaient doucement en cette chaude matinée de saison des feuilles nouvelles. Leur douce mélodie résonnait dans le camp du Clan du Vent, de telle sorte que, combiné aux rayons du soleil qui inondaient la clairière, le simple fait de s’allonger dans celle-ci était un plaisir sans nom. Adieu la pluie, bonjour le beau temps. Bon, à vrai dire, tu dormais encore. Le soleil était presque haut dans le ciel, et pourtant, tu n’étais toujours pas réveillé. Heureusement que tu n’étais pas de patrouille ce matin ! Ce n’était que quelques instants plus tard que tu ouvris les yeux, d’abord calmement, t’éveillant doucement, puis totalement, en panique la plus complète lorsque tu te rendis compte qu’il faisait anormalement beaucoup trop jour. Ohlala, ça ne te ressemblait vraiment pas à roupiller comme une marmotte comme ça là. Tu ne savais pas ce qui t’était arrivé, mais tu t’en voulais. Puis, tu essayas de raisonner un peu. C’était sûrement à mettre sur le compte de la fatigue accumulée ces derniers jours. Trop peu de sommeil par ci, une nuit agitée et de piètre qualité par là, et le tour était joué, la dette de sommeil avait explosé. Bon, au moins, t’avais récupéré, tu étais remis sur pattes pour les jours à venir.
Tu t’étiras avec délice au soleil et ni une, ni deux, tu sortis du camp. Le temps se réchauffait à vue d’œil, c’était un plaisir. Tu n’avais croisé personne en particulier dans le camp, tu n’étais assigné à aucune patrouille, alors tu sortais simplement chasser. La course au lapin n’était clairement pas ton point fort, mais tu n’étais pas mauvais non plus, tu apprenais à te débrouiller, toi et ta masse de muscles et de fourrure flamboyante à camoufler dans la lande. Difficile de passer inaperçu, comme ça. Tu le devais directement à ton père qui était un solitaire et non pas un guerrier du clan, mais personne n’était au courant, et visiblement ça ne semblait choquer personne, alors bon. Les gens trouvaient que Flamme de Glace comme père, ça collait bien avec ton poil roux, ce qui n’était pas faux. C’en était presque crédible.
Tu te dirigeas vers les plaines et rochers. Tu espérais pouvoir te cacher derrière des rocs pour prendre en embuscade un Lagomorphe. Mmh, tu pourrais peut-être essayer la technique de Truffe de Raton-Laveur, ton ancien apprenti ? Tu regardas le sol couvert de cailloux et graviers. Ce n’était pas le meilleur endroit pour creuser, tu l’essayerais une autre fois, et lorsque tu l’aurais fait, tu ne manquerais pas de le lui raconter. Tu entendis un bruit, non loin. Tu t’immobilisas, toutefois incapable d’en identifier l’origine. Tu allas donc te plaquer au sol derrière un rocher, ayant la plaine de rocs bien en vue devant toi. Si il y avait bien une bête, tu ne pourrais pas la louper. Est-ce qu’elle te verrait ? Ce serait une autre histoire.
Tu t’étiras avec délice au soleil et ni une, ni deux, tu sortis du camp. Le temps se réchauffait à vue d’œil, c’était un plaisir. Tu n’avais croisé personne en particulier dans le camp, tu n’étais assigné à aucune patrouille, alors tu sortais simplement chasser. La course au lapin n’était clairement pas ton point fort, mais tu n’étais pas mauvais non plus, tu apprenais à te débrouiller, toi et ta masse de muscles et de fourrure flamboyante à camoufler dans la lande. Difficile de passer inaperçu, comme ça. Tu le devais directement à ton père qui était un solitaire et non pas un guerrier du clan, mais personne n’était au courant, et visiblement ça ne semblait choquer personne, alors bon. Les gens trouvaient que Flamme de Glace comme père, ça collait bien avec ton poil roux, ce qui n’était pas faux. C’en était presque crédible.
Tu te dirigeas vers les plaines et rochers. Tu espérais pouvoir te cacher derrière des rocs pour prendre en embuscade un Lagomorphe. Mmh, tu pourrais peut-être essayer la technique de Truffe de Raton-Laveur, ton ancien apprenti ? Tu regardas le sol couvert de cailloux et graviers. Ce n’était pas le meilleur endroit pour creuser, tu l’essayerais une autre fois, et lorsque tu l’aurais fait, tu ne manquerais pas de le lui raconter. Tu entendis un bruit, non loin. Tu t’immobilisas, toutefois incapable d’en identifier l’origine. Tu allas donc te plaquer au sol derrière un rocher, ayant la plaine de rocs bien en vue devant toi. Si il y avait bien une bête, tu ne pourrais pas la louper. Est-ce qu’elle te verrait ? Ce serait une autre histoire.
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Moussy/Blacky Messages : 235Le personnage
Sexe du perso: ♀
Âge du perso: 60
Mentor / apprenti : //
Douceur de l'Hirondelle
Mer 5 Mai 2021 - 21:02
Could I help you to sleep?
I'm good at hunting nightmares!
Ft Regret du Faucon | Foudry
Rourou ? Focus. D'accord ?
Telle est la phrase que s'est dit la jeune chatte. Mais non seulement elle n'est plus si jeune que ça, mais elle est tout sauf focus, actuellement. Douceur de l'Hirondelle cherchait un lapin. Elle a vu un papillon. Et a instantanément oublié l'animal aux longues oreilles. Telle est sa vie, probablement dénuée de sens, mais pas dénuée d'occupations. Car à présent qu'il est dans son champs de vision, ce papillon ne s'en échappera pas si facilement.
Les rayons du soleil de cette tendre saison des feuilles de primevère font danser sur les ailes poudreuses de l'insecte flamboyant leurs.. Trucs de rayons de soleil (photons, Rourou, photons). Les ailes de Jean-Eude le papillon sont d'un bleu électrique hypnotisant. AIS Jean-Eude s'envole. Allant probablement retrouver son amie Cadillac. Mais Douceur de l'Hirondelle refuse de laisser le couple de pillons s'en aller ainsi, alors qu'elle ne les a pas encore montrés à Vent des Coquelicots. Et Vent des Coquelicots ADORE les pillons. La guerrière cotonneuse se DOIT absolument de montrer ces ravissants papillons à celle qui pourrait très bien être sa sœur !
Les deux yeux rivés sur les deux paires d'ailes toutes de bleu teintées, la petite chatte blanche tente de les suivre. Mais alors que sa petite tête ronde doit se redresser rapidement pour les garder en visuel, ses pattes, elles, caressent avec élégance le vide, et son corps se retrouve vite à savourer l'étreinte de l'air, puis du sol.
Rourou, qu'est-ce qu'il s'est passé encore ?
Sonnée, la jeune chatte relève la tête, les deux pillons oubliés et probablement déjà envolés. Elle se demande ce qu'elle fait au milieu des rochers, oubliant qu'elle avait suivi les papillons des buissons danse jusqu'ici.
Douceur de l'Hirondelle s'ébroue. Et remarque enfin un détail. Un léger détail. Pas de quoi fouetter un chat : juste une immense masse rouquine, flamboyante comme milles et uns soleil, avec deux saphirs aussi resplendissants que les ailes des deux papillons de tout à l'- « Des pillons ? J'ai vu des pillons ? Quels pillons ? »
Le roux de la robe de ce chat l'ébranle de nouveau et son cœur chavire, ma Rourou se lève, trop vite, chavire à son tour, et percute et dans sa tête et dans sa mâchoire la dureté de la réalité (et de la pierre) : ce chat ressemble cruellement à Souffle de Flammes et à Tempête Solaire. Son cœur se serre, pensant aux deux élus de son cœur disparus comme de la fumée après un incendie. Celui qui aurait ravagé son cœur. Laissant sur leur sillage des braises encore brûlantes d'émotions.
Mais pas de problème. Douceur de l'Hirondelle n'a ressenti aucune douleur physique (elle en est de toute façon incapable) et sa distraction est passé du roux de ce chat, au bleu de ses yeux. Et à l'immensité de sa carrure. Elle ressemble à une enfant, à côté. Ses yeux se mettent à briller d'émerveillement. La petite guerrière remarque qu'il ne ressemble pas tant que ça à Souffle de Flamme et Tempête Solaire, finalement.
Elle approche avec douceur et énergie. Prête à exposer son petit monde intérieur, encore fumant des ravages du départs des deux (six, en réalité, car sa portée a péri dans la métaphore incendique), au feu peut-être salvateur, mais sûrement magnifique de ce nouvel arrivant.
Sniff sniff.
Nouvel arrivant venteux ?
La jolie guerrière cligne des yeux. Incrédule. Elle connaît ce chat, son odeur est familière. Mais son souvenir est aussi oublié que celui des pillons d'il y a quelques instants.
Prête à découvrir cette presque nouvelle personne et son petit monde à lui, Douceur de l'Hirondelle sourit et salut le mâle roux.. ? La femelle rousse ?? LE CHAT ROUX.
(Rourou ? Incendique, ça n'existe pas. Comme mot...)
Et Rourou le sait.
Telle est la phrase que s'est dit la jeune chatte. Mais non seulement elle n'est plus si jeune que ça, mais elle est tout sauf focus, actuellement. Douceur de l'Hirondelle cherchait un lapin. Elle a vu un papillon. Et a instantanément oublié l'animal aux longues oreilles. Telle est sa vie, probablement dénuée de sens, mais pas dénuée d'occupations. Car à présent qu'il est dans son champs de vision, ce papillon ne s'en échappera pas si facilement.
Les rayons du soleil de cette tendre saison des feuilles de primevère font danser sur les ailes poudreuses de l'insecte flamboyant leurs.. Trucs de rayons de soleil (photons, Rourou, photons). Les ailes de Jean-Eude le papillon sont d'un bleu électrique hypnotisant. AIS Jean-Eude s'envole. Allant probablement retrouver son amie Cadillac. Mais Douceur de l'Hirondelle refuse de laisser le couple de pillons s'en aller ainsi, alors qu'elle ne les a pas encore montrés à Vent des Coquelicots. Et Vent des Coquelicots ADORE les pillons. La guerrière cotonneuse se DOIT absolument de montrer ces ravissants papillons à celle qui pourrait très bien être sa sœur !
Les deux yeux rivés sur les deux paires d'ailes toutes de bleu teintées, la petite chatte blanche tente de les suivre. Mais alors que sa petite tête ronde doit se redresser rapidement pour les garder en visuel, ses pattes, elles, caressent avec élégance le vide, et son corps se retrouve vite à savourer l'étreinte de l'air, puis du sol.
Rourou, qu'est-ce qu'il s'est passé encore ?
Sonnée, la jeune chatte relève la tête, les deux pillons oubliés et probablement déjà envolés. Elle se demande ce qu'elle fait au milieu des rochers, oubliant qu'elle avait suivi les papillons des buissons danse jusqu'ici.
Douceur de l'Hirondelle s'ébroue. Et remarque enfin un détail. Un léger détail. Pas de quoi fouetter un chat : juste une immense masse rouquine, flamboyante comme milles et uns soleil, avec deux saphirs aussi resplendissants que les ailes des deux papillons de tout à l'- « Des pillons ? J'ai vu des pillons ? Quels pillons ? »
Le roux de la robe de ce chat l'ébranle de nouveau et son cœur chavire, ma Rourou se lève, trop vite, chavire à son tour, et percute et dans sa tête et dans sa mâchoire la dureté de la réalité (et de la pierre) : ce chat ressemble cruellement à Souffle de Flammes et à Tempête Solaire. Son cœur se serre, pensant aux deux élus de son cœur disparus comme de la fumée après un incendie. Celui qui aurait ravagé son cœur. Laissant sur leur sillage des braises encore brûlantes d'émotions.
Mais pas de problème. Douceur de l'Hirondelle n'a ressenti aucune douleur physique (elle en est de toute façon incapable) et sa distraction est passé du roux de ce chat, au bleu de ses yeux. Et à l'immensité de sa carrure. Elle ressemble à une enfant, à côté. Ses yeux se mettent à briller d'émerveillement. La petite guerrière remarque qu'il ne ressemble pas tant que ça à Souffle de Flamme et Tempête Solaire, finalement.
Elle approche avec douceur et énergie. Prête à exposer son petit monde intérieur, encore fumant des ravages du départs des deux (six, en réalité, car sa portée a péri dans la métaphore incendique), au feu peut-être salvateur, mais sûrement magnifique de ce nouvel arrivant.
Sniff sniff.
Nouvel arrivant venteux ?
La jolie guerrière cligne des yeux. Incrédule. Elle connaît ce chat, son odeur est familière. Mais son souvenir est aussi oublié que celui des pillons d'il y a quelques instants.
Prête à découvrir cette presque nouvelle personne et son petit monde à lui, Douceur de l'Hirondelle sourit et salut le mâle roux.. ? La femelle rousse ?? LE CHAT ROUX.
(Rourou ? Incendique, ça n'existe pas. Comme mot...)
Et Rourou le sait.
MoussyCe fou de Frou est plus rapide que la lumière !
Puf/Surnom : Foudry Messages : 94Le personnage
Sexe du perso: Mâle
Âge du perso: 44 lunes
Mentor / apprenti :
Regret du Faucon
Mar 25 Mai 2021 - 19:19
we’ll make it through somehow
Franchement, ce bruit était étrange pour un lapin. Tu ne savais pas trop ce que c’était, mais tu t’aperçus que le bruit venait du sommet, autrement dit… il venait du large rocher qui te surplombait ! Tu te tins sur tes gardes, relevant le museau et observant les contours du roc. Étrange, étrange… Une souris ? Non, les pas étaient trop lourds pour que ce fût une bête aussi petite. Et puis, elle aurait fait des bruits différents, ou pire, tu ne l’aurais pas entendue, tout simplement. Bon, tu séchais complètement. Tu ne pouvais qu’attendre que la bête ne se décidât à se pointer.
Et…. Pouf. Par terre.
Une chatte tigrée et blanche tomba alors du rocher et tu te relevas aussitôt, nettement surpris. Comme si elle venait de nulle part, ou plutôt, mieux, comme si elle était tombée du ciel. Mais qu’est-ce que… ? Tu reconnus Douceur de l’Hirondelle, et sur le coup, tu t’inquiétas, mais avant que tu ne bondisses vers elle, la féline s’était déjà relevée comme si de rien n’était. La pierre n’était pas très haute mais tout de même. Elle s’ébroua et elle te vit. Ton regard bleu croisa le sien, vert pâle. Tu ondulas la queue pour la saluer, et elle te répondit en souriant pour te renvoyer la même. Par le Clan des Étoiles, elle t’avait fait peur ! Peur dans le sens où tu étais bien trop protecteur avec tous les membres du Clan et que tu ressemblais à un papa poule pour tout le monde. Ou plutôt un gardien, tu préférais largement cette dernière image. Tu étais bien maladroit, parfois, dans les relations avec les autres, surtout lorsque c’était combiné à ton physique peu attendrissant. C’était bien des clichés, mais des chats larges et baraqués comme tu l’étais n’étaient pas réputés pour leur tendresse ou simplement leur amabilité. Or, tu étais tout le contraire. Il suffisait de te côtoyer quelques instants pour t’en rendre compte ; tu ne ferais pas de mal à une mouche, littéralement. Tu avais grandi un peu trop vite, tu étais devenu mature bien précocement. Tu avais côtoyé le côté de la vie bien trop tôt dans la vie, et cela se voyait. Tu ne voulais que personne ne subît encore ce que tu avais dû endurer, chaton. Dernier survivant de ta famille, tu t’en étais fait un devoir, puisqu’à présent, chaque membre du clan était un membre à part entière de ta famille.
« Ça va, pas trop sonnée ? »
Tu t’approchas de la féline, l’inspectant rapidement. C’était plus fort que toi, il fallait que tu t’assurasses qu’elle allait bien. Tu ne vis pas de trace de blessure, ce qui était un soulagement.
« C’était incroyable, on aurait dû que tu volais, tu sais ! »
Tu la regardas, l’œil brillant. Tu ne savais pas trop ce qu’elle faisait ni quel avait été son but, mais elle t’était littéralement tombée du ciel.
Et…. Pouf. Par terre.
Une chatte tigrée et blanche tomba alors du rocher et tu te relevas aussitôt, nettement surpris. Comme si elle venait de nulle part, ou plutôt, mieux, comme si elle était tombée du ciel. Mais qu’est-ce que… ? Tu reconnus Douceur de l’Hirondelle, et sur le coup, tu t’inquiétas, mais avant que tu ne bondisses vers elle, la féline s’était déjà relevée comme si de rien n’était. La pierre n’était pas très haute mais tout de même. Elle s’ébroua et elle te vit. Ton regard bleu croisa le sien, vert pâle. Tu ondulas la queue pour la saluer, et elle te répondit en souriant pour te renvoyer la même. Par le Clan des Étoiles, elle t’avait fait peur ! Peur dans le sens où tu étais bien trop protecteur avec tous les membres du Clan et que tu ressemblais à un papa poule pour tout le monde. Ou plutôt un gardien, tu préférais largement cette dernière image. Tu étais bien maladroit, parfois, dans les relations avec les autres, surtout lorsque c’était combiné à ton physique peu attendrissant. C’était bien des clichés, mais des chats larges et baraqués comme tu l’étais n’étaient pas réputés pour leur tendresse ou simplement leur amabilité. Or, tu étais tout le contraire. Il suffisait de te côtoyer quelques instants pour t’en rendre compte ; tu ne ferais pas de mal à une mouche, littéralement. Tu avais grandi un peu trop vite, tu étais devenu mature bien précocement. Tu avais côtoyé le côté de la vie bien trop tôt dans la vie, et cela se voyait. Tu ne voulais que personne ne subît encore ce que tu avais dû endurer, chaton. Dernier survivant de ta famille, tu t’en étais fait un devoir, puisqu’à présent, chaque membre du clan était un membre à part entière de ta famille.
« Ça va, pas trop sonnée ? »
Tu t’approchas de la féline, l’inspectant rapidement. C’était plus fort que toi, il fallait que tu t’assurasses qu’elle allait bien. Tu ne vis pas de trace de blessure, ce qui était un soulagement.
« C’était incroyable, on aurait dû que tu volais, tu sais ! »
Tu la regardas, l’œil brillant. Tu ne savais pas trop ce qu’elle faisait ni quel avait été son but, mais elle t’était littéralement tombée du ciel.
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