There's only us, Utupiastar. Now, my revenge is coming HAHAHAHA *anglais très approximatif* (PV Seule ou Shoopa, si tu viens enfin °3°)

Ah, les braillements des chatons étaient l'une des choses les plus insupportables dans la vie de Clan. A peine l'aube arrivait que les petits se levaient déjà et courraient dans les pattes des autres, sans plus aucune notion de respect. Âgés de seulement quelques lunes, une ou deux pas plus, les petits de la récente portée de Souffle de Littorine commençaient à peine à trouver la parole et déjà leurs miaulements stridents avaient fait feuler les guerriers les plus impatients. Dont moi, lorsque Petit Perdrix se jeta en plein dans mes pattes soyeuses et magnifiques et que je manquai de tomber. Aussitôt, ma gorge gronda et mes yeux orangés fixèrent avec colère la petite et misérable boule de poil qui s’aplatit sur le sol et murmura une excuse tremblotante, pour cause de sa voix encore nouvelle et non régulée. Quand il partit, je pestai encore et dès que je recroisais son petit regard insupportable au loin, j'aplatissais mes oreilles, comme pour le gronder encore de loin, et lui prévenir que j'étais pas du genre à me laisser faire salir par une espèce de boule de poil mal léchée.
Par la suite, je partis chasser et j'avalai aussitôt ma première proie, sans prendre en compte ses pauvres règles établies par le Clan des Etoiles. S'ils veulent bouffer, les autres, ils n'avaient qu'à aller chercher la chair dans la forêt, au lieu du camp. Surtout qu'aujourd'hui, je n'avais pas le temps pour faire une grosse chasse et la ramener docilement au camp pour me faire passer pour un chat ronchon mais quand même un tout petit serviable. Aujourd'hui serait un jour inoubliable. Pour moi, en tout cas, mais aussi tout de même pour les autres. Ce sera le premier pas vers le changement ; le changement radical de la forêt. Ce sera le premier pas vers la grandeur du Clan de la Rivière. Et ma grandeur, aussi, un peu beaucoup, car c'est n'empêche le plus important, oh.

En réalité, il n'y avait pas de plan réel, pour le début. Donner rendez-vous m'avait semblé trop douteux et j'avais donc opté pour trouver ma cible par le pistage. En effet, aujourd'hui, Etoile d'Utopie était sortie de sa tanière, sûrement pour se dégourdir les pattes, un peu comme tout le monde, et je ne devais pas louper une telle occasion. Alors, suivant ses leçons de camouflage d'autrefois où j'étais son apprenti - d'ailleurs, au premier cours, il me semble m'être noyé ... Non, je dois rêver, et surtout, elle ne m'a PAS sauvé, voyons ! Que racontez vous, je suis trop fort pour que cette pauvre chef me sauve... - je la traçais, la suivais. Elle m'avait peut-être même déjà remarqué, vu que je ne savais jamais faire dans la finesse et la dentelle, mais alors, elle ne semblait pas prête à vouloir me le dire. Ce fut ainsi jusqu'au pont. Que voulait-elle faire aussi loin ? Aucune idée. Peut-être m'attendait-elle, avait lu dans mes plans ? Impossible, je suis bien plus intelligent qu'elle, bien trop pour qu'elle puisse me percer, voyons.

Donc, ce fut quand elle posa les pattes sur le petit pont de bois usé que je me mis à découvert, sortant de ma cachette faite de feuilles et de petites branches, prenant l'air gauchement sérieux et le regard luisant d'une énergie sombre.

_ Bien le bonjour, Etoile d'Utopie.

A Dream

Moiteur.
A chaque fois qu'elle faisait à peine quelques pas, la queue de l'intrus disparaissait dans les buissons. L'avait-il remarquée ? Apparemment pas... Ce matou du Clan du Tonnerre était-il conscient d'avoir franchi la frontière ? Pourtant, l'odeur lui disait quelque chose, de même que cette queue rousse, légèrement tigrée. Mais cela n'avait pas d'importance ; depuis plusieurs heures déjà, elle suivait l'effronté qui arpentait son territoire. Il semblait longer la berge, du côté du Clan de la Rivière, comme s'il attendait l'arrivée de quelque chose. Soudain, elle faillit sortir de son tunnel de roseaux secret juste au moment où elle se rendait compte que le chat s'était arrêté. Il semblait renifler quelque chose, chercher une trace invisible dans l'air. Étoile d'Utopie se détendit lorsque l'intrus reprit son chemin. La chef du Clan de la Rivière commença à s'impatienter quand le matou roux atteignit le pont et bondit sur le rebord en bois [je l'ai toujours imaginé en pierre]. La chatte grise choisit cet instant pour émerger de sa cachette. L'intrus était de dos, elle l'avait donc par surprise, du moins c'est ce qu'elle cru.

« C'en est trop ! Que fais-tu ic... »

Sa voix s'éteignit progressivement quand le félin fit volte-face et qu'elle pu enfin voir son visage. A part ses yeux baignés d'une étrange lueur fantomatique, rien n'avait changé chez elle ; elle avait conservé cette face calme et sage. Étoile du Crépuscule.

« Et bien, tu as pris ton temps. » la chatte rousse descendit de son promontoire. « Fais attention, Étoile d'Utopie. »

Sa queue rousse et touffue fouetta l'air une dernière fois avant que les contours de la défunte se troublent et qu'elle disparaisse complètement. Utop' ouvrit les yeux.
Dans son rêve, elle s'était retournée, s'accrochant de petits bouts de mousse sur son pelage. Elle se mit debout et fit le dos rond, faisant tomber quelques morceaux de sa litière. Puis elle se mit au travail et commença à faire sa toilette du matin, après quoi elle inspira un grand coup et sortit de son antre. Comme pour l'accueillir, la soleil la caressa de ses doux rayons matinaux. Un chaton -celui de Souffle de Littorine- jouait avec une boule de lichen devant la pouponnière, sous l'oeil attentif de sa mère. Elle décida de sortir prendre l'air.
Étoile d'Utopie était un peu troublée par son rêve. N'était-ce qu'un simple songe, ou s'agissait-il d'un véritable avertissement ? Dans ce cas-là, elle ne voyait pas ce qu'il pourrait arriver de terrible. Les clans étaient même plutôt tranquilles ces temps-ci.
Sans s'en rendre compte, ses pattes l'avaient guidée jusqu'au vieux pont, là où elle avait vu Étoile du Crépuscule dans sa vision. En humant l'air, il lui sembla déceler une infime trace du fumet de l'ancien chef du Clan du Tonnerre. Avec prudence, elle s'avança sur le pont, avant de frôler la crise cardiaque lorsque Décadence Monochrome la salua et qu'elle fit le plus rapide demi-tour jamais fait dans sa vie.

« Oh, c'est toi, » marmonna-t-elle. « Que fais-tu ici ? »

[Ça va ? Je pense pas que cela soit méchant d'intégrer Crépusc' dans l'histoire]

Je vais à la chasse aux escargots, mademoiselle. Non, plus sérieusement, qu'est-ce que c'était que ce ton ? Elle me détestait tant que ça pour me parler sur un ton aussi ennuyé ? Au moins, c'était réciproque. Se doutait-elle que je voulais lui lacérer la peau et les os ? Je me posais trop de question ; maintenant elle est là, et je suis de plus en plus impatient d'en finir et de passer à la prochaine étape, puis encore la prochaine et la prochaine. Je la toisais d'un grand air, comme si j'étais meilleur qu'elle ; et je l'étais, amplement, bien sûr, il n'y avait aucun doute à avoir sur ce sujet. Devais-je au moins répondre à sa question ? Je n'en avais pas la moindre envie, je ne voulais pas jouer, je voulais m'éclater. Alors au lieu de l'ouvrir, je serrais ma mâchoire et me jetais sur la chatte grise. Elle avait plusieurs vies, je le savais, j'avais des chances de tout rater, foirer à cause de ça, mais cette pensée me limitait, je devais ne pas y penser et ignorer le taux de défaite. Mon envie de la faire disparaître est sûrement plus forte que tout. Puis je suis plus fort, oh. Donc ça, hein, ça, ça va tout faire péter.

L'appeler par son nom de guerrière ? Une provoc ? C'est sorti tout seul, voyons ! Ca lui va mieux, un nom de guerrier. La voir avec son Etoile devant son nom ne lui va vraiment pas du tout ! Et puis, Utopie, ça vient d'où, sérieusement ? Quoique ça colle bien avec ses idéaux de niaise.
Et un exercice ? Elle ne devait pas vraiment y croire, j'étais beaucoup trop violent pour faire passer ça pour un simple entraînement, mais peu importe. J'avais eu pendant quelques secondes une avance, grâce à la surprise, qui m'avait permis, quand je lui avais bondi dessus, de planter mes griffes sur son échine, mais le combat avait vite prit une tournure de combat à égalité. Mais.... mais... mais genre je suis plus fort qu'elle, alors forcément, je vais gagner. Déjà, je suis plus grand, et plus robuste. Puis mine de rien, elle se fait vieille la grisette, j'ai la force de la jeunesse avec moi, moi ! Donc, toujours motivé, malgré la gorge griffée, je relançais tout mon poids sur la chatte, pour la faire tomber au sol, mais elle se glissa, et échappa, dans un nuage de poussière, de mes pattes. Elle m'énervait, on aurait dit une anguille ! Tout du moins, je suis sûr que je lui avait quand même fait mal, en la plaquant comme ça - on va pas me dire non plus que ses os sont plus solides qu'un tronc, quand même...

Je ne voulais lui laisser aucun répit, alors je me rejetais sur elle, toujours sans lui donner une seule explication ; de toute manière, maintenant elle a bien compris que je voulais écraser toutes ses vies. Je feulais à plusieurs reprises, avec un air cruel sur le visage. J'étais déchaîné, et l'idée de la voir morte me donnais des forces, c'était une image poilante ! Hum. Je dois être fou sur les bords, mais peu importe. (Nan, tu crois ? :naan: ) J'enfonçais mes crocs dans sa nuque, me faisant repousser à la seconde d'après. Pendant un instant, on ne bougea plus, la tension dans l'air qui planait. Oui, oui, je suis un poète.

No, elephants are not purple. This is wrong.

« Que dis tu d'un peu d'exercice, Eclipse de Lune ? »

Étoile d'Utopie fit les yeux ronds. Un instant, elle se dit que ce n'était pas vraiment possible. Mais oui, bien sûr, en fait elle était encore dans son rêve... Elle devait être en train de rêver qu'elle avait rêvé et qu'elle était allée au vieux pont. Quelle belle mise en abîme. Dans ce cas-là, elle pourrait sauter sur Décadence Monochrome et libérer toute sa rancoeur, le saigner jusqu'à la gorge, couvrir son pelage clair de rayures sombres et rouges... Et tout ça tranquillement, puisque ce n'était qu'un rêve, et que personne ne lui reprocherait quoi que ce soit.
Mais non, elle se sentait bien trop vivante, trop présente, pour que cela ne soit pas réel. Il venait bien de l'appeler par son nom de guerrière et d'enfreindre les lois du Code du Guerrier. Ce chat n'avait-il donc aucun sens des valeurs que leurs ancêtre leurs avaient transmis ? Cette fois-ci, il ne s'en tirerait pas comme ça, avec une pauvre petite corvée de minable. Non, il méritait plus. Étoile d'Utopie ne savait pas encore quoi, mais une chose était sur, là, c'en était de trop. Elle réfléchissait le plus vite possible à sa réponse et, la garde baissée, ne vit pas que le jeune chat se jetait sur elle, toutes griffes sorties, prêt à en découdre.

Ses yeux reflétaient une haine torride. Ils s'étaient toujours détestés, et c'était à présent la grande confrontation. Dans sa chute, elle tenta d'instinct de le repousser à l'aide de ses pattes arrières alors qu'il lui mordait sauvagement l'épaisse peau de sa nuque. A-t-il vraiment écouté les leçons de combat que je lui ai donné... songea-t-elle tout en s'écartant de lui pour laisser de l'espace entre eux deux. Pour une fois, elle s'en réjouit. Il se croit peut-être le plus fort, mais à passer son temps à me contredire et me remettre en question moi et mes méthodes, il a forcément perdu beaucoup de choses. Elle en vint à se dire pourquoi elle l'avait nommé guerrier -peut-être pour se débarrasser de lui et moins avoir à le supporter. Pendant quelques secondes, ils se firent face, la même lueur de rage dans les yeux. Puis elle poussa un terrible feulement qui lui fit même mal à la gorge.

« Tu vas le payer sale traître ! Je le jure sur tes ancêtres, je jetterai ton cadavre avec tous ceux qui ont osé bafouer nos nobles lois, et tu pourriras avec eux avant de rejoindre ton sale père pour l'éternité ! » [~VIOLENCE]

Cette fois-ci elle se jeta sur lui, le pelage hirsute. Aveuglé par la poussière de la terre, elle se dit qu'il avait du feinter, mais une de ses pattes avant agrippa l'arrière train de son adversaire et elle essaya de le faire basculer en bondissant sur son dos. Cependant, au lieu d'atterrir sur Décadence Monochrome, elle heurta violemment le sol et sentit un craquement dans une patte arrière qui la fit frissonner des oreilles jusqu'au bout de la queue tandis qu'elle s'affalait sur le sol. Elle tenta de se relever sur le champ, mais impossible de poser sa jambe sans ressentir une horrible douleur à chaque pas. Son épaule avait également mal encaissé le choc ; la voilà plus vulnérable. Où est-il ? Se demanda-t-elle en cherchant son agresseur du regard.

[Voilà ^^ désolée pour l'attente encore une fois, je sais que je mets beaucoup de temps à chaque fois avant de répondre, mais j'ai promis qu'à la rentrée je ferai des efforts malgré le bac de français. Je l'ai diminuée, comme ça, ça sera plus facile pour permettre à Mono de lui ôter une vie (bah vi, elle sera pas le chef indéfiniment). c'est un peut-être pas assez long si tu voulais plus de lecture, mais bon, comme c'est un RP de combat je voulais éviter le plus possible le power-gaming :) sur ce je te laisse amocher mon perso :3]

   Elle était déchaînée, la vieille. Et pensait-elle réellement que m'insulter de telle manière allait la rendre plus forte ? Ah, pitoyable, j'en aurais presque de la pitié, pour cette piètre chef ! Et le pire dans cette histoire ? C'est qu'elle s'était blessée sans même mon aide ! Pathétique, elle va finir par me faire chialer. Ah, ça y est, j'ai la larme à l'oeil. C'est tellement triste, si peu de puissance face à moi, qui est si fort et incroyable ! La pauvre, avoir une vie aussi pauvre doit vraiment lui saper le moral, parfois ! En réalité, j'en ai rien à foutre mais bon.
   La voyant ainsi, avachie comme une pauvre proie sur le sol, la patte tremblante, j'émis un rire que l'on dirait amusé, alors qu'en un éclair, j'arrivais à ses côtés, poussant violemment mon flanc contre le sien, pour encore un peu la faire flancher et rouler dans la poussière. La chatte grise devenait presque invisible dans ces petits nuages, jusqu'à ce qu'ils disparaissent rapidement autour d'elle. Le sang dans mon flanc semblait battre plus fort, j'y avais mis trop de force, tellement que je m'étais moi-même fait mal. Au moins, la violence avait du lui faire comprendre toute la conteneur de ma haine. J'avais hâte de la voir morte. Mais la voir souffrir avant s'avérait finalement marrant. Je m'avancer vers son corps grisâtre et poilu, notre passé commun défilant encore une fois dans ma tête. La vie est vraiment ironique ; voilà l'apprenti qui domine le mentor.

   J'arrivais au dessus d'elle, appuyant alors mes pattes avant sur sa gorge, la laissant se débattre un moment avant d'enfoncer mes griffes dans son ventre et sa gorge. lentement mais sûrement. En réalité, il fallait un moment, pour que quelqu'un meurt vraiment après une strangulation. Mais la faire sombrer dans l'évanouissement serait déjà pas mal. Je pourrais réellement faire ce que je veux d'elle, après. (Pas des trucs sales, hein  ). Elle perdit ses forces, petit à petit ; mais faut pas croire, je devais bien avouer que c'était une battante, on a toujours du mal à en finir avec les mauvaises herbes, et je devais bien lui accorder qu'elle avait réussi à me décocher de bonnes griffures, mais quand je suis sur le point de tuer, croire que je vais flancher est une misérable erreur. Jusqu'au bout elle se débattit, plus ou moins. Jusqu'à ce que ses muscles se détendent, tranquillement.

   Pour le coup, pendant ces quelques instants, je me sentis seul. C'est un peu comme si elle était morte, comme si c'était déjà fini. Même si je sais que ça ne l'est pas. J'ai plein de vie à lui retirer, sachant que je n'en ai pas encore fini avec la première. Voulant chasser cette drôle de solitude au plus vite, je m'acharnais sur le corps endormi, comme si je voulais qu'elle revienne le plus vite possible. Mais ce n'est aucunement ce que je veux, n'est-ce pas ! Et puis quoi, encore ? Ce n'est pas comme si elle allait me manquer, j'ai hâte d'en être débarrassé ! C'est ma seule barrière, aujourd'hui, et je devais l'anéantir, coûte que coûte.

   Les pattes toujours appuyées sur sa gorge, le sang dégoulinant de mes griffes, j'appuyais mes gestes en enfonçant ma gueule dans sa nuque, la sang excitant mes papilles - c'est une façon classe de dire qu'en gros maintenant j'ai envie de dégueuler, en fait. Une sorte de déclic, de pressentiment m'avertissait qu'elle était sans vie. Ca y est. Enfin presque. Je me reculais du corps au cœur dont je n'avais plus senti les battements, profitant de la pause pour réfléchir et me reposer. Elle allait revenir, et le pire, c'est qu'elle sera comme neuve. Ce foutu Clan des Etoiles allait l'aider, l'encourager et lui donner toute la force pour tenter de me battre. J'allais vite perdre la face... NON. Puis quoi, encore ? Elle peut avoir toute la force qu'elle veut, je la jetterais toujours aux oubliettes quoi qu'il en soit. Faut pas déconner, oh. L'idée serait aussi de bien l'accueillir aussitôt. Pas lui donner le temps de reprendre le dessus. Eyup.

   Aussitôt, je me remis au dessus d'elle. Mais trop tard. Les blessures étaient guéries et les yeux de la chatte s'ouvraient doucement. Mon cœur se figea un moment, puis dans un élan où toute réflexion fut temporairement impossible. Je lui donnait un grand coup de patte au visage, griffes acérées sorties, et lacéra encore son ventre.

Les yeux écarquillés par un sentiment indescriptible (ça s'appelle la folie, vieux.), je me ré-acharnais sur elle, épuisant mes forces... inutilement ? Non, je ne fais rien futilement, voyons, ce n'est de mon niveau si haut ! Malheureusement, je crois que si. Je m'étais déchaîné. Beaucoup trop. Le pire dans tout ça ? C'est que je n'avais pas plus fait de dégâts que ça. Beaucoup de mes coups avaient touchés la terres ou avaient simplement frôlé l'ancienne meneuse, trop aveuglé.
Le réalisant, je me reculais aussitôt d'elle, essoufflé. D'un air de défi, je fis gronder encore ma gorge.

Elle m'insupporte, bordel.