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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumwho do you call when it's late at night ? - lune de cristal
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Invité
Dim 2 Aoû 2020 - 20:01
who do you call when it's late at night ?
Elle ne compte plus les kilomètres.
Elle ne compte plus les chiffres qui s’additionnent, les territoires qui changent, les saisons qui défilent, elle ne compte plus le temps qui passe et l’âge qui augmente. Lune après lune. Non, Vrij’ ne compte tout simplement plus, parce que ça ne sert à rien. Elle compte en battements de cœur, en clignements de paupière, en soulèvement de poitrine sous la respiration tantôt calme tantôt haletante. Elle compte en instant de vie.
Aujourd’hui, il faut beau. (Il faut frais) Le vent souffle sur son pelage et elle ? Elle se promène. Parce que c’est un peu son quotidien, un peu tout ce qu’elle fait, un peu ce qu’elle a choisi, ce qui lui convient. Vrij’ n’est pas heureuse, Vrij n’est pas malheureuse : elle est vivante et les sentiments se mélangent constamment dans un cocktail molotov qui n’attend que le bon moment pour exploser.
Ce moment n’est pas aujourd’hui.
Pas après pas, elle respire tranquillement. Il fait beau, autour, tout est calme et la chasse a été incroyablement bonne ces derniers jours : les éléments s’additionnent pour que tout se déroule sans encombre.
Elle n’a pas reconnu les odeurs, elle n’y a même pas fait attention. Impossible pour Vrij’ de se souvenir si elle est déjà venue ici, si elle a déjà parcouru les terres de Cerfblanc. Elle ne fait pas attention à où elle reste, tant et aussi longtemps que rien ne vaut la peine de s’ancrer dans sa mémoire. (Tant qu’elle ne se retrouve pas à devoir aider)
Elle sait juste qu’elle est là, en cet instant, qu’elle respire profondément chaque bouffée d’air et cette brise qui ne part pas malgré la saison chaude.
Vrij’ est l i b r e et au final, n’est-ce donc pas tout ce qui compte ? C’est tout ce qui importe pour elle, dans tous les cas. Tout ce qui compte pour cette solitaire qui transgresse les règles établies depuis longtemps dans les Clans en frôlant la frontière sans même y penser, sans s’y arrêter, sans faire attention.
Vrij’ ne comprend pas qu’on décide d’un territoire, elle ne comprend pas qu’on s’embarrasse de règles, de lois, qu’on laisse l’existence être rythmée par autre chose qu’une anarchie aux couleurs de l’arc-en-ciel. Parce qu’une prison, même dorée, est une prison coupant les ailes, empêchant de s’envoler. Et ce n’est tout simplement pas possible dans son esprit ; elle ne peut comprendre que d’autres acceptent. Elle ne peut concevoir une telle éventualité.
Vrij’ s’est posée sur cette frontière parce qu’elle voulait prendre une pause, parce qu’elle voulait respirer, boire dans cette petite rivière, cette petite crevasse, parce qu’elle avait beaucoup marché. Elle s’était promenée longtemps, longuement. Alors une pause ne pouvait pas faire de mal.
Elle n’avait pas conçu qu’une autre vie pouvait se présenter à elle et que des idéaux contraires pouvaient entrer en collision aujourd’hui.
Elle ne compte plus les kilomètres.
Elle ne compte plus les chiffres qui s’additionnent, les territoires qui changent, les saisons qui défilent, elle ne compte plus le temps qui passe et l’âge qui augmente. Lune après lune. Non, Vrij’ ne compte tout simplement plus, parce que ça ne sert à rien. Elle compte en battements de cœur, en clignements de paupière, en soulèvement de poitrine sous la respiration tantôt calme tantôt haletante. Elle compte en instant de vie.
Aujourd’hui, il faut beau. (Il faut frais) Le vent souffle sur son pelage et elle ? Elle se promène. Parce que c’est un peu son quotidien, un peu tout ce qu’elle fait, un peu ce qu’elle a choisi, ce qui lui convient. Vrij’ n’est pas heureuse, Vrij n’est pas malheureuse : elle est vivante et les sentiments se mélangent constamment dans un cocktail molotov qui n’attend que le bon moment pour exploser.
Ce moment n’est pas aujourd’hui.
Pas après pas, elle respire tranquillement. Il fait beau, autour, tout est calme et la chasse a été incroyablement bonne ces derniers jours : les éléments s’additionnent pour que tout se déroule sans encombre.
Elle n’a pas reconnu les odeurs, elle n’y a même pas fait attention. Impossible pour Vrij’ de se souvenir si elle est déjà venue ici, si elle a déjà parcouru les terres de Cerfblanc. Elle ne fait pas attention à où elle reste, tant et aussi longtemps que rien ne vaut la peine de s’ancrer dans sa mémoire. (Tant qu’elle ne se retrouve pas à devoir aider)
Elle sait juste qu’elle est là, en cet instant, qu’elle respire profondément chaque bouffée d’air et cette brise qui ne part pas malgré la saison chaude.
Vrij’ est l i b r e et au final, n’est-ce donc pas tout ce qui compte ? C’est tout ce qui importe pour elle, dans tous les cas. Tout ce qui compte pour cette solitaire qui transgresse les règles établies depuis longtemps dans les Clans en frôlant la frontière sans même y penser, sans s’y arrêter, sans faire attention.
Vrij’ ne comprend pas qu’on décide d’un territoire, elle ne comprend pas qu’on s’embarrasse de règles, de lois, qu’on laisse l’existence être rythmée par autre chose qu’une anarchie aux couleurs de l’arc-en-ciel. Parce qu’une prison, même dorée, est une prison coupant les ailes, empêchant de s’envoler. Et ce n’est tout simplement pas possible dans son esprit ; elle ne peut comprendre que d’autres acceptent. Elle ne peut concevoir une telle éventualité.
Vrij’ s’est posée sur cette frontière parce qu’elle voulait prendre une pause, parce qu’elle voulait respirer, boire dans cette petite rivière, cette petite crevasse, parce qu’elle avait beaucoup marché. Elle s’était promenée longtemps, longuement. Alors une pause ne pouvait pas faire de mal.
Elle n’avait pas conçu qu’une autre vie pouvait se présenter à elle et que des idéaux contraires pouvaient entrer en collision aujourd’hui.
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Clém
Messages : 266Le personnage
Sexe du perso: Femelle
Âge du perso: 41 lunes
Mentor / apprenti :
Lune de Cristal
Lun 3 Aoû 2020 - 12:17
Un brise fraîche balayait la clairière du camp. Lune de Cristal était réveillée depuis peu et appréciait grandement le souffle sur son pelage épais. La chaleur de la saison des feuilles verte devenait souvent étouffante pour elle, malgré le territoire de son Clan pourtant balayé par les vents. Le soleil se dressait déjà dans le ciel, il était temps de sotir du camp et de se remuer un peu. Elle s'étira longuement, réveillant ses muscles, et prit tranquillement la direction de la sprtie du camp. Devant elle deux novices se chamaillaient, ils avaient l'air de réviser leurs positions de défense. La guerrière blanche fut amusée du spectacle qui ne manquait pas de lui rappeler son propre apprentissage, il y a des lunes de cela. Le bon vieux temps !
C'était une très belle journée, indéniablement. Et aussi une journée très calme, cela faisait déjà au moins une heure que la femelle avait quitté son camp et elle n'avait pas croisé un seul de ses compagnons. Au moins elle avait eu le temps de chasser un beau lapin dodu, qui ravirait les anciens à coup sûr.
Lune de Cristal observait son territoire. Elle se sentait bien, chez elle, en sécurité. Au loin, par delà la frontière s'étendait le territoire du Clan du Tonnerre, par delà les Quatre Chênes. Sur sa droite, en tendant l'oreille, elle discernait le tumulte de la rivière et des gorges, juste avant le territoire du Clan de la Rivière. Cela faisait longtemps qu'elle 'avait pas croisé une patrouille adverse, et elle n'avait pas été à la dernière Assemblée, certains chats lui manquaient un peu. Elle se décida à longer les frontières, elle en profiterait pour renouveler le marquage.
La guerrière avait déjà bien avancé le long de son territoire quand quelque chose retint son attention. Les odeurs étaient nombreuses, normal les Clans marquaient tous à leur frontière. Mais Lune de Cristal était une femelle aguerrie, en aucun cas elle ne saurait pas reconnaître l'odeur des autres Clans. Or celle-ci était différente. La trace était fine, un seul chat de toute évidence, et un chat qui avait chassé. Pour une raison inconnue cette odeur faisait penser aux Hautes Pierres à Lune de Cristal. Elle n'y était allé qu'une fois, pendant son apprentissage, mais elle se souvenait bien que les odeurs familières de son Clan avaient laissé place àà quelque chose de plus froid, profond. Une odeur d'ailleurs. Cet intrus sentait l'ailleurs. Et il n'avait rien à faire sur son territoire.
Lune de Cristal suivie la piste peu de temps. Au détour d'un buisson épineux elle s'arrêta brusquement, devant elle se devinait une queue tigrée. Elle approcha doucement, comme à la traque d'une proie. C'était une guerrière dévouée à son Clan, il était hors de question qu'un chat puisse chasser sur leurs terres. La guerrière banda ses muscles, elle se tenait toute proche, et bondit juste à côté de l'intrus. C'était une femelle. Le pelage gonflé et la queue hérissée, Lune de Cristal se fit entendre.
"Qui es-tu ? Et que fais-tu sur mon territoire ? Tu n'es pas autorisée à chasser ici. "
Invité
Invité
Mar 4 Aoû 2020 - 4:07
who do you call when it's late at night ?
Vrij' sourit quand elle te voit, elle sourit quand elle t'aperçoit. Ses prunelles glacées se posent sur ton être alors qu'elle fait un pas en arrière.
Vrij' est calme, elle est paisible malgré la situation, malgré la tension que tu apportes dans les environs, elle ne s'emporte pas. Ses yeux brillent presque d'un amusement, d'une curiosité, parce qu'elle ne comprend pas. Comment le pourrait-elle ? Vrij' est une solitaire qui embrasse la solitude, qui embrasse la liberté, liberté de mouvements et de pensées, sans loyauté à donner, sans règles pour l'enfermer, pour l'encadrer.
Non, Vrij' n'a pas la meilleure des opinions au sujet des lois, de ce qui peut brimer une volonté. Pour elle, c'est forcément mauvais, forcément désagréable.
Après tout, n'êtes-vous donc pas interdits à aimer, aimer qui vous voulez ? N'avez-vous pas des règles idiotes qui vous interdisent de sortir avec un chat d'un autre Clan ? Si elle se souvient bien, c'est le cas. Et elle ne comprendrait jamais comment on pouvait penser avoir droit de veto sur les décisions du coeur. C'était ridiculement utopique de penser pouvoir contrôler des choses aussi fortes que les sentiments. Autant se laisser porter au gré du vent sans jamais remettre en cause les décisions prises sous le fait de l'émotion, de l'adrénaline, de ce qui bat à vos tempes.
Elle te regarde.
Vrij' ne sait pas quoi te dire particulièrement.
Tu lui demandes qui elle est, mais comment répondre à une question aussi simple quand la seule réponse que tu sembles attendre c'est qu'elle admette être une étrangère, une intruse, quelqu'un qui, comme tu le dis si bien, ne devrait pas se trouver ici ? Mais elle, elle se promène. Elle, elle ne fait pas attention à où elle se trouve, parce qu'elle ne pense pas que ça puisse importer. Ses pattes la mènent, le vent la porte, et c'est toujours le plus important. Vrij' n'est pas complexe, et pourtant, quelque part, elle est davantage compliquée que ce qu'elle laisse paraître.
Parce que Vrij' ressent trop, tout en ne ressentant qu'un vide qui se creuse de temps en temps. Vrij' ressent dans les extrêmes. Et aujourd'hui : elle est calme alors tu ne pourras pas la faire partir avec de l'agressivité ni même lancer quelconques hostilités. Elle n'y réagirait pas.
« Vrij' est le nom sous lequel je m'identifie. » Parfois, Vrij' est étrange quand elle répond, mais elle dit ce qu'elle pense, comme elle le pense. Vrij' n'est pas son nom de naissance, mais son pseudonyme, ce nom qu'elle utilise, celui sous lequel elle s'identifie. Alors c'est ainsi qui lui semble logique de s'identifier. Elle te regarde toujours. Son regard ne te quitte pas. Mais son regard n'est pas appréhensif, il n'est pas agressif, il n'est même pas défensif. Il est juste calme. Comme une douce rivière qui continue de serpenter entre les roches malgré le vent violent s'abattant sur la forêt.
« Quant à ce que je fais, je dirais que je me promenais et que mes pattes m'ont menées sur cette portion du territoire. J'ai chassé plus haut, quand les pierres étaient encore visibles. Avant de dormir. Parce que manger avant de courir et de marcher, ce n'est jamais une bonne idée. Quand tu es vagabond, tu l'apprends. Ça fait mal au ventre. »
Vrij' peut parler beaucoup, parfois.
Vrij' peut s'emballer, parfois.
Vrij' n'est pas méchante, elle n'est pas imposante, mais Vrij' a tendance à s'inscrire dans les esprits malgré elle. Elle te regarde toujours, elle semble attendre ta réaction, scruter tes gestes. Pourtant, elle ne semble pas se préparer à une attaque quelconque. La peur n'apparaît pas dans ses pupilles.
Vrij' sourit quand elle te voit, elle sourit quand elle t'aperçoit. Ses prunelles glacées se posent sur ton être alors qu'elle fait un pas en arrière.
Vrij' est calme, elle est paisible malgré la situation, malgré la tension que tu apportes dans les environs, elle ne s'emporte pas. Ses yeux brillent presque d'un amusement, d'une curiosité, parce qu'elle ne comprend pas. Comment le pourrait-elle ? Vrij' est une solitaire qui embrasse la solitude, qui embrasse la liberté, liberté de mouvements et de pensées, sans loyauté à donner, sans règles pour l'enfermer, pour l'encadrer.
Non, Vrij' n'a pas la meilleure des opinions au sujet des lois, de ce qui peut brimer une volonté. Pour elle, c'est forcément mauvais, forcément désagréable.
Après tout, n'êtes-vous donc pas interdits à aimer, aimer qui vous voulez ? N'avez-vous pas des règles idiotes qui vous interdisent de sortir avec un chat d'un autre Clan ? Si elle se souvient bien, c'est le cas. Et elle ne comprendrait jamais comment on pouvait penser avoir droit de veto sur les décisions du coeur. C'était ridiculement utopique de penser pouvoir contrôler des choses aussi fortes que les sentiments. Autant se laisser porter au gré du vent sans jamais remettre en cause les décisions prises sous le fait de l'émotion, de l'adrénaline, de ce qui bat à vos tempes.
Elle te regarde.
Vrij' ne sait pas quoi te dire particulièrement.
Tu lui demandes qui elle est, mais comment répondre à une question aussi simple quand la seule réponse que tu sembles attendre c'est qu'elle admette être une étrangère, une intruse, quelqu'un qui, comme tu le dis si bien, ne devrait pas se trouver ici ? Mais elle, elle se promène. Elle, elle ne fait pas attention à où elle se trouve, parce qu'elle ne pense pas que ça puisse importer. Ses pattes la mènent, le vent la porte, et c'est toujours le plus important. Vrij' n'est pas complexe, et pourtant, quelque part, elle est davantage compliquée que ce qu'elle laisse paraître.
Parce que Vrij' ressent trop, tout en ne ressentant qu'un vide qui se creuse de temps en temps. Vrij' ressent dans les extrêmes. Et aujourd'hui : elle est calme alors tu ne pourras pas la faire partir avec de l'agressivité ni même lancer quelconques hostilités. Elle n'y réagirait pas.
« Vrij' est le nom sous lequel je m'identifie. » Parfois, Vrij' est étrange quand elle répond, mais elle dit ce qu'elle pense, comme elle le pense. Vrij' n'est pas son nom de naissance, mais son pseudonyme, ce nom qu'elle utilise, celui sous lequel elle s'identifie. Alors c'est ainsi qui lui semble logique de s'identifier. Elle te regarde toujours. Son regard ne te quitte pas. Mais son regard n'est pas appréhensif, il n'est pas agressif, il n'est même pas défensif. Il est juste calme. Comme une douce rivière qui continue de serpenter entre les roches malgré le vent violent s'abattant sur la forêt.
« Quant à ce que je fais, je dirais que je me promenais et que mes pattes m'ont menées sur cette portion du territoire. J'ai chassé plus haut, quand les pierres étaient encore visibles. Avant de dormir. Parce que manger avant de courir et de marcher, ce n'est jamais une bonne idée. Quand tu es vagabond, tu l'apprends. Ça fait mal au ventre. »
Vrij' peut parler beaucoup, parfois.
Vrij' peut s'emballer, parfois.
Vrij' n'est pas méchante, elle n'est pas imposante, mais Vrij' a tendance à s'inscrire dans les esprits malgré elle. Elle te regarde toujours, elle semble attendre ta réaction, scruter tes gestes. Pourtant, elle ne semble pas se préparer à une attaque quelconque. La peur n'apparaît pas dans ses pupilles.
Guerrier expérimenté
Puf/Surnom : Clém Messages : 266Le personnage
Sexe du perso: Femelle
Âge du perso: 41 lunes
Mentor / apprenti :
Lune de Cristal
Mer 5 Aoû 2020 - 23:09
La guerrière immaculée est tendue. C'est la première fois qu'elle fat face seule à un intrus sur son territoire. Habituellement elle est en atrouille, ou en chasse avec d'autres quand elle débusque une piste intriguante. Lune de Cristal n'est pas du genre à cherfher le danger, elle est même un peu peureuse. Pourtant, devant cette inconnue tigrée, qui semble si paisible, la femelle du Vent ne ressent aucune peur. Quelque chose dans le regard bleu de la chatte face à elle l'intrigue, comme un appel mystérieux.
Elle se ressaisit quand la solitaire lui répond. Vrij ? Je n'ai jamais entendu de tel nom ! La guerrière l'écoute attentivement, pourtant, elle ne décèle aucune a imosité dans sa voix. Vrij, puisque c'est son nom, ne semble pas se soucier le moins du monde du fait d'être sur le territoire d'un Clan. Ni même d'y chasser. Elle décrit simplement à Lune de Cristal sa journée, et comment maner avant de faire quoique ce soit est une mauvaise idée. La femelle blanche reste interdite, stupéfaite. Cette cahtte, devant elle, est à l'opposé de ceux qu'elle croise dans la forêt, ceux qu'elle regrette entre les Assemblées, ceux avec qui elle partage son repas. Vrij se promène simplement ? Sans se soucier de protéger sa famille, ses amis ? Sans savoir où elle dormira à la nuit tombée ? Rien ne fait sens pour Lune de Cristal, mais ce que vient de dire la femelle tigrée a piqué sa curiosité. Derrière ce regard bleuté il y a l'hstoire d'une vie bien plus riche qu'elle ne pourra jamais en vivre, c'est certain. Cependant la guerrière ne peut ainsi se laisser amadouer par une intruse. Même si l'envie de poser plus de questions la démenge, Lune de Cristal se contente de celle-ci.
"Et d'où viens-tu, Vrij ? Pour que tu ne puisses que te promener tu n'as sans doute pas de Clan qui t'attende le soir pour remplir la pile de gibier..."
C'est en finissant sa phrase, prononcée plus calmement, que Lune de Cristal réalise à quel point elle peut sembler maladroite et blessante. Bien joué ! Si ça se trouve elle souffre d'être seule, et tu viens de mettre la patte dans la plaie !
Compte du Staff
Puf/Surnom : Le Staff. Messages : 1139Le Staff
Sam 21 Nov 2020 - 22:43
Rp archivé. Demandé au Staff si vous voulez récupérer le rp !
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