Titre: ? (je donnerai le titre une fois l'histoire mieux formée mais si vous connaissez le caméléon, ça parle un peu de ça quand même): chapitre Ier - l'intrusion

Introduction:
La pluie battait son visage mouillé, des gouttes dégoulinaient de ses cheveux et roulaient sur ses joues rosés par le froid. Elle courait tellement vite qu'elle ne sentait presque plus ses jambes. Des hommes appelés "nettoyeurs" la poursuivait l'ayant aperçu avec un recherché. Elle ralenti peu à peu tout en courant tout de même pour pas qu'ils ne se rendent compte qu'elle se jetait dans la gueule du loup.

Les hommes la rattrapa enfin, le premier arrivait pointa son arme sur elle et lui ordona de se placer entre les deux nouveau arrivant à bout de souffle. Elle le fit alors docilement et fit une mine triste afin de se montrer inoffensif. Ils l'emmenèrent vers une magnifique voiture noire, lustrée, aux fenêtre teintées. Elle aperçu tout de même qu'un homme était déjà placé au volant. L'un deux ouvrit la porte et la fit rentrer à l'intérireur. Le premier c'était placé devant et les deux autres l'encadraient à l'arrière.
Le trajet lui parut assez rapide, peut être parce qu'elle ne pensait pas au temps mais à ce qu'elle allait leur répliquer ou peut être avaient-t-ils choisit un raccourcit. Elle sortit de la voiture accompagnée des quatre hommes qui l'encadraient. Malgrès la pièce sombre, elle reconnu alors que c'était un très grand garage. Ils l'emmenèrent vers l'ascenseur qui menait aux bâtiments. Une fois arrivait là-haut, elle enleva son ciré détrempé et le posa sur une des chaises installées autour d'une grande table, et s'assit tranquillement. Ils la regardaient d'un regard noir mais ils se turent.
Un hommes entra alors par la porte principal, qui était d'ailleurs celui qu'elle attendait, et avança encadré par deux hommes armés eux aussi. Il était assez vieux, chauve, et respirait avec une bouteille d'oxygène qui celle-ci grincée lorsqu'il avançait.
-C'est elle Monsieurs, dit alors le premier des "nettoyeurs".
-Parfait, répondit l'interessé d'une voix chevrotante. Emenaient-là auprès de Sydney.
Sydney était un psycologue du Centre, le Centre est ce bâtiment dans lequel elle a réussit à s'y introduire inaperçu.
Elle voulait absolument aider ses enfants dont le Centre exploitait leurs diverses dons, en particuliers des caméléons.



Une fois seul dans le bureau de Sydney et avec lui, elle commença à lui parler à voix basse:
-Tu as vu, ils n'y voient que du feu ! J'ai réussi à m'introduire ici totalement inaperçu !
-Oui, mais tu devrais faire attention à ton comportement avec eux, Lily, répondit alors Sydney.
Lily décida de rester un petit moment avec lui. La porte s'ouvrit alors, et le vieux chauve et un autre homme dont un pouce lui manqué arrivèrent.
-Tiens, Mr Lyle est venu aussi ? chuchota la jeune fille à Sydney. Je suis tellement ravie de faire sa connaissance ! ironisa-t-elle.
-Sydney, amenez là avec nous, ordonna le chauve.
Sydney se leva et invita Lily à le suivre, ce qu'elle fit aussitôt.
-Où allons-nous ? demanda-t-elle.
-Ils vont sûrement te poser des tas de questions à propos des caméléons et de ce que tu connais, lui répondit Sydney.

Une fois arrivés dans une salle, Mr Lyle lui fit signe de s'assoir. Sydney et le vieux chauve s'assirent à leur tour.
-Bon, déjà, comment t'appelles-tu ? commença Mr Lyle.
La jeune fille resta silencieuse avant de répondre effrontement:
-Pourquoi vous me tutoyez ? On se connait peut être ?!
Il la regarda d'un air mauvais et elle ajouta:
-Dans ce cas, je te tutoi.
-D'accord, fit-il, essayant de garder son calme. Alors, comment t'appelles-tu ?
-Lily, répondit-elle simplement d'un ton sec.
-Hum... Tu n'as pas de nom ?
-Je m'appelle Lily, c'est tout.
-D'aaccord. Sais-tu où tu te trouves ?
-Qui ne le saurait pas ?!
-Alors, voilà Mr Raines, lui expliqua-t-il en désignant le vieux chauve. Et lui c'est Sydney et moi...
-Tu es Mr Lyle, je sais, le coupa-t-elle.
-Bon, je vois que tu en sais déjà pas mal sur le Centre.
-Pas que sur le Centre, mais sur vous aussi, répliqua-t-elle d'un ton mystérieux et à la fois intrigant.


Bon j'arrête, c'est vraiment trop nul, à tout les coups personne ne lit ce truc débile et si jamais y a quelqu'un qui le lit, à coups sûr, il ne comprend rien !