Invité

Lun 10 Oct 2016 - 17:02

C'était un jour plutot chaud pour la saison des feuilles mortes , les feuilles se détachait tranquillement des arbres aux feuilles rouge et se déposait sur le sol ,
le ciel était pur et bleu , sans aucun nuage a l'horizon , un vent chaud du sud transportait des odeurs allechantes de proies en faisait remuer l'herbe encore constellé de rosée du matin , le soleil avait chauffé les pierres ...
C'était un moment idéal pour une sieste bien mérité après une longue partie de chasse avec Cicatrice de ronce , moulte vipère , crapauds et souris en tout genre avait été raporté après l'effort des deux guerrières , après tout il nous fallait bien des réserves pour endurer la mauvaise saison qui était toujours rude dans le clan de l'ombre .
Je me rendit au milieu de la clairière du camp et l'allongea sur un rocher bien chaud pour faire la sieste , le vent faisait bouger gracieusement ma superbe fourrure blanche lustré qui refletait la lumière .
Beaucoup de chat était revenue au camps il y a peu pour manger comme des apprentis et leurs mentors , des guerriers ... Les ancien étaient sortit de leurs trou et les reines sortaient également pour profiter de la belle journée , elles discutait essemble accompagné de leurs adorable boule de poils qui restait neanmoins bruyants ...
J'avais déjà mangé et ce que j'esperais le plus au monde était dormir au soleil sans me faire déranger par qui que se soit jusqu'à ce que .....

Invité

Jeu 13 Oct 2016 - 3:39

I want to play, please play with me and forget the sunshine !

Libre (Yuki)

Le monde est illuminé par un soleil qui ne cesse d'exister. Et oui ! Ce soleil, c'est lui ! Et personne d'autre que lui ne peut rayonner sans s'arrêter. Il n'y a que lui, mais n'est-ce pas là la définition même du meilleur ? Soleil était le meilleur et le serait toujours, même si son moral était entaché par la disparition - et la mort - de leur meneuse, Étoile de la Mélopée, son amant, sa meilleure amie, sa confidente qui refusait de comprendre qui elle était et qui refusait d'être avec lui, de l'afficher au monde entier alors que son amour pour lui crevait les yeux du félin. Il trouvait ça tellement dommage et il ne se voyait pas demeurer là, sans Étoile de la Mélopée. Il fallait bien une étoile à éclipser quand on était le soleil de la vie. Mais maintenant, il trouvait que les étoiles qu'il pouvait assombrir étaient bien trop fades et pâles de base, alors que la défunte meneuse, elle, elle était un défi et atténuer sa lueur était une tâche ardue, et c'était ça qui lui plaisait. Maintenant, sans elle, il ne voyait pas trop quoi faire. Il ne voyait pas trop qui tasser du chemin et il fallait le dire, il s'ennuyait un peu de la présence rassurante de la féline qui refusait, malgré tout, admettre les relations qui les unissaient tous les deux. Pourtant, lui le savait et ça lui suffisait.

Mais...
Il disparut.
Il n'avait pas sa place, aujourd'hui.

Mon corps est figé. Qui suis-je ? Maintenant, qui suis-je ?

Sa queue se mit à frétiller, son corps semblait plus petit, mais son regard sans vie s'embrasa d'une énergie à n'en plus finir. Il voulait jouer, poursuivre le monde entier. Le monde avait des merveilles qui s'éternisaient et lui, Petite Errance, désirait les découvrir toutes entières, mais pour le moment, il voulait surtout jouer. Son désir de jouer était tel qu'il se fichait du guerrier qu'il trouvait, l'important était de dénicher un coin où il pourrait agacer et tourner autour d'un chat. Chaton, novice ou apprenti, qu'importe ? En tout cas, lui, ça ne lui importait pas. Il s'étira et bâilla, malgré l'énergie qui brûlait presque tout son corps. Il gratta le sol, frustré de ne pas trouver ce qu'il cherchait, car tous les guerriers passaient devant lui et l'ignoraient quand il interpellait quelqu'un. Le chaton ne comprenait pas du tout, parce qu'il ne voyait pas la raison pour laquelle on l'évitait. Il était gentil, non ? Alors pourquoi on passait devant lui sans le regarder ! Ce n'était pas gentil et ça emplissait son regard d'une déception sans fin. Il baissa les yeux et se mit légèrement à pleurer, mais les guerriers se contentaient de le regarder avec des yeux exaspérés et surpris. Certains ne s'étaient toujours pas habitués à Esprit Fugitif... et ils ne comprenaient donc pas que ce ne soit pas le même chat froid qu'hier ou le chat instable et extrême d'avant-hier.

Alors, Petite Errance aperçut au loin un félin. Il ne savait pas qui c'était, mais il s'avança près de lui - elle, en fait parce que c'était une femelle et non pas un mâle - et il l'observa. Il n'était pas très loin, mais il n'était pas proche non plus. La guerrière, car le chaton était persuadé que c'était une guerrière, donnait le sentiment de tenir plus que tout à une bonne sieste, mais lui voulait jouer ! Et maintenant ! Il refusait d'attendre une seconde de plus maintenant que tout le monde ignorait le corps qu'il habitait ! Il s'approcha encore furtivement de la guerrière... et le nom lui échappait. Il ne connaissait presque personne dans le camp contrairement à... à ... Oh, au sanguinaire qui prenait parfois la place. Lui, il connaissait tout le monde dans le Clan, parce que c'était préférable, mais le chaton ne connaissait personne et il préférait jouer que passer son temps à apprendre. Alors quand il se jugea assez proche, il s'immobilisa totalement et pencha la tête, les oreilles rabattues. Il allait amadouer la guerrière pour qu'elle joue à la guerre avec lui. Petite Errance en était décidé ! Il se sentait maintenant de nouveau joyeux et sa queue frottait le sol avec animation.

« Diiiis, tu veux bien qu'on joue ensemble ? » supplia-t-il de sa voix aiguë, contrastant avec la taille d'Esprit Fugitif, plantant également son regard bleu d'une clarté qui donnait mal aux yeux.

|| HRP (Hors RP) : Esprit Fugitif est bien un guerrier, mais il a de multiples personnalités. Attention, personne ne connaît les personnalités, ils trouvent seulement le guerrier étrange et instable.
Son pelage est noir, mais il possède des tâches asymétriques blanches entourées d'argenté. Ses yeux sont bleus. ||

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Invité

Jeu 13 Oct 2016 - 18:40

Une petite voix aïgu me tiras de mon sommeil enfin présent
"Diiis tu veux bien qu'o joue ensemble " avait-il dit ,
je bondit de surprise et m'étala dans toute ma longueur au pieds du rocher me servant de lit il y a quelques secondes a peine . Je me relevas difficilement en m'appuyant sur la roche pour ne pas blesser plus mes pattes qui avait mal supporté la chute , ma tête tournait , tout semblait tourner de plus en plus vite , je m'écroula et me relevas en secouant la tête , celui qui m'avait joué ce mauvais tour le payerait cher , j'étais enragé et mes griffes étaient sortis . Je fit le contour du rocher en boitillant , plusieurs membres du clan avait rit après avoir vu ma chute mais mon regard rouge furieux fit peur a plus d'un , on me savait redoutable au combat et qu'il ne valait mieux pas me chercher des noises si on tenait à ses oreilles .

L'individu qui m'avait joué cette mauvaise blague , ce farceur , ne s'en tirerait pas comme ça ... je vit un chat derrière la scene du crime , je m'approcha de lui en silence et apparu derriere lui , c'était un mâle noir au tache blanche ce qui me rappelait fortement quelqu'un , lorsqu'il se retourna ses yeux bleu pur me fixait en silence , c'était Esprit Fugitif on avait du l'appeller comme ça car son esprit changais parfois comme s'il fugait et était remplacé par un autre .

Je fit rentrer mes griffes et redevint calme a nouveau , je lui posa ma queue entre les oreilles et lui dit ," Tu m'as fait peur tu sais ? Ne recommence plus ..." Je ne lui voulait pas de mal , certain chat le disait bizarre ou même qu'il était une anomalie , moi je ne voyait qu'un chat un peu différent et c'est notre différence qui fait notre force . J'avais marché sur une épine en tombant que je retiras aussitôt la crachant plus loin sur un chat qui ne voulait pas s'arreter de rire , je feula sur ceux qui regardais en biais le chat a mes coté et moi , je n'étais pas de bonne humeur et mieu valait ne pas essayer de m'enervée plus encore dans ses moments la .

Une feuille se décrocha d'un arbre et tomba sur ma tête juste entre les deux oreilles , je la retiras d'un petit coup de patte , je fit un regard chaleureux au grand chat noir et lui dit amicalement
"Oui , je veux bien qu'on joue ensemble , mais après tu me laisse dormir d'accord ?"
Je commença ma toilette comptant bien relisser et lustrer mon pelage qui devenait de plus en plus épais avait l'arrivé de l'hiver , mes belles prunelles rouges concentré sur chacunes mèches de ma fourrure .

Invité

Lun 7 Nov 2016 - 2:26

It'S just me, the best here.

Libre (Yuki)

Le chaton avait envie de bouger, son corps entier trépidant sur place. La guerrière devait jouer avec lui ! Elle ne pouvait pas refuser ! De toute façon, il ne l’accepterait pas. Il était beaucoup trop hyperactif pour accepter de devoir ne pas bouger, ne serait-ce qu’une seule seconde. Mais il regardait Fleur de Rubis avec ses yeux éternellement doux, attachants, presques suppliants, même. Elle avait accepté ! Elle avait accepté ! Il exprima, de sa voix suraiguë, des mots presques impossibles à comprendre. Il était joyeux, heureux, ressentait un bonheur qui semblait éternel, faisant preuve de ce que tous recherchait. Mais, bien malheureusement, rien ne peut durer à l’infini, et tout ce qui monte, un jour, finira par redescendre, d’une façon ou d’une autre.

[i]Et parce que rien n’est infini, tout est éphémère.[i]

Il ne voulait pas jouer, mais il ne voulait pas non plus la laisser se reposer. Comment osait-elle l'aborder ainsi ? Elle [i]devait[i] lui obéir, parce qu’il était lui. Le plus beau et le plus fort guerrier du Clan de l’Ombre, et également le plus intelligent. Pourquoi faisait-elle sa toilette ? Espérait-elle se rendre plus belle qui ne voulait l’être ? Il se mit à rigoler. Non seulement parce que c’était impossible, mais aussi parce qu’il trouvait bien drôle qu’une piètre petite guerrière au pelage blanc espère rivaliser avec un magnifique mâle, celui qu’il était. Il ne pouvait pas s’imaginer que la guerrière ait un estime d’elle-même, lorsqu’il se trouvait en face d’elle, tout comme il trouvait ridicule la seule pensée que les autres ne l’appartienne pas. Le monde appartenait aux plus forts. Il était le plus fort. Il tentait de ne pas exploser de colère, mais non pas pour épargner la femelle, seulement, il craignait hérisser ses si jolis poils, sa si jolie fourrure. Il pouvait enfin profiter. Il se devait se surpasser les autres. Ils étaient tous si faibles, après tout.

Mais, il venait à peine d’apparaître, de montrer sa face, son visage, qui se sentait déjà disparaître. Non ! Il se retenait de lui sauter dessus, d’exprimer son mécontentement. Il ne pouvait pas repartir ! Il ne voulait pas ! Comment pouvaient-ils espérer qu’il allait accepter de retourner dans cette cervelle de moineau ? Parfois, il aimerait être dans un corps beaucoup plus sensé que le guerrier à l’esprit retourné. Esprit Fugitif… Rien que son nom lui donnait la nausée. Quel horrible choix de la part de leurs parents, à lui et sa soeur. Heureusement qu’ils étaient morts. Le grand mâle grogna, afin d’exprimer son mécontentement. Il n’en avait que faire que Fleur de Rubis ne comprenne pas les réactions qu’il lui offrait, il n’avait pas besoin de se faire comprendre, seulement de se faire voir, qu’on le remarque.

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Un peu de tranquillité pour une sieste (libre)