L'Héritière de Barting -Tome 1

Thème => Monde parrallèle, suspens, machiavélisme
 Résumé => Alix et ses amis se retrouve propulsé dans un monde parrallèle par le machiavélique Mikel Fabian. Dans se monde ou tout est différent, elle apprendra le secret de sa naissance, deviendra une puissante guerrière et chevauchera... Mystère... Elle se battra pour se nouveau royaume, mais... Ses camarades resté sur notre univers on été kidnappé par Fabian... 
Auteur => Griffe d'Argent... Et en vrai..; ah ah! 
Genre=> fantasy
Inspiré de => Un mix entre Eragon et Beyonders... Mais c'est un univers bien à moi quand même. J'ai eu l'illumination dans un rêve.

Voilà donc, je vous glisse ici le Prologue, en espérant avoir vos avis, positifs ou négatifs, tant qu'il reste polis! Si vous voulez la suite, signalé le... 





Prologue: Le Train
-En voiture ! cria le contrôleur.
Nous nous pressâmes tous les uns contres les autres. Les parents faisaient de grands signes d’au revoir, et nous trop occupés à essayer de deviner notre destination mystère, nous ne leurs répondîmes pas. Nous aurions dû. Ont nous « aspira » vers l’avant: la foule avançait. Je sentis que je montais dans le train qu’en je manquais de tomber sur les rails. Le trou était béant. Je gravis ensuite quelques marches. Et je dégnis enfin faire un bref adieu à mon père et à ma mère. Puis, j’immergeais dans le train. Je manquais de tomber de nouveau, car les autres collégiens c’était installés dans différents compartiment. J’attrapais la main de Nina et d’Elsa, puis je criais à Jack et à Alexis de nous rejoindre. Nous passâmes devant de nombreux compartiments, avant d’en trouver un presque vide : Margaux nous souriais dedans. Alexis regardât à droite puis à gauche,  avant de pousser un profond soupir et de pénétrer dans le wagon.
-Salut Alix ! Me dit-Margaux.
-Salut Ma’. Je crois qu’Alexis n’avait pas envie de te voir. (Ce dernier grogna) Je crois que la directrice va faire une annonce, nan ?
A peine dis-je cela, qu’une voix s’éleva de haut-parleurs positionné au plafond.
-Elèves et professeurs du Collège St. Grégoire, je vais enfin tout vous expliquer. (Et dieu sait que j’attend ce moment depuis un sacré bout-de-temps.) M. Mikel Fabian, à fait un don important à l’école, et nous offre un magnifiques voyage mystère : je ne sais pas plus que vous où il nous emmène. Quel suspens ?!
Nous nous regardâmes un moment, un grésillement assourdis montait du haut-parleur. Mais nous distinguâmes les mots : « Bon voyages » et « paradisiaque » et « surement ». C’est tout. Nous reprîmes la conversation :
-Eh, Al’, tu crois qu’ont vas se retrouver dans le Sud ?
-Si seulement… Nice… ou Marseille. Me répondit-Alexis.
Nous nous tûmes.

J’ouvris les yeux pour découvrir un noir profond. Tous dormait encore Je regardais mon portable. C’était 14:00. Il aurait dû faire jour pourtant… Puis je tournais la tête vers les fenêtres : les stores étaient baissés. Un éclair traversa ma tête. Le grésillement n’était pas qu’un grésillement. C’était un anesthésiant. Il nous avait volontairement endormis ! Ce voyage mystère, me paraissait très très mal tourné ! 
*** Chapitre 1=> Le bureau de Mikel...


EDIT: 
Suite a la demande d'un posteur, voilà la première partie du chapitre 1: (vais faire durer le suspens.. héhé) 


CHAP. 1 : Le bureau de Mikel.
(14h15)

Nina s’étirait, Elsa me regardait comme si j’étais folle, Al’ et Jack était encore à moitié endormis, et Margaux avait déjà compris la situation. On cherchait à nous éloigner de chez nous. Mais pourquoi ? Ce n’était sûrement pas la directrice. Ah, ça non. Bourrée de principes et de tocs; elle en serait bien incapable. Paquito, le CPE, étriperait le premier qui nous ferait du mal. Cela ne laissait que deux personnes : M. Fabian, ou le Conducteur. Ou les deux bien sûr. Le trajet dura encore et encore... Jusqu’à l’arrivée de Mikel. Il s’assit en face de nous, mais il ne s’adressa qu’à moi. -Comment as-tu compris ? -C’était plutôt évident, non ? Un grésillement apparait et ont s’endort ; il fait noir et c’est 14 :00… Comment ne pas deviner ! -Hum… Viens. Suis-moi, c’est important. Je me levais, mais Al’ s’accrocha à moi. - Elle ne part pas sans nous m’sieur. -Viens, jeune homme, si ça te dit. Nous le suivîmes donc. D’abord, un long couloir ou l’on pouvait pénétrer dans les différents compartiments. Puis, il poussa une porte, et nous descendîmes un petit escalier qui menait à un grand bureau. Ce meuble était centralement positionné. Les murs tapissés en bordeau supportaient (pas d'également, cela voudrait dire que tu précise qu'autre chose à des cadres!) de nombreux cadres. Une grande armoire en verre teinté se tenait derrière le bureau. Elle paraissait très profonde. Et encore plus (pas d'encore, c'est comme si tu te demandais déjà ce qu'elle contenait) je me demandais (bon sang! on est au passé là! pas au présent!) ce qu’elle contenait. Mais cela devait être important, car un énorme cadenas, de la taille d’un point d’homme adulte, verrouillait sa porte (sinon y'avais aucune raison au "car".). Il était fermement serré, avec une serrure si compliqué et de si nombreux codes à taper qu’il semblait impossible de l’ouvrir. Le sol de moquette blanche était épais, et je m’y enfonçais jusqu’aux (t'as plusieurs chevilles, me semble-t-il...) chevilles. Mikel s’installa dans un fauteuil que je n’avais pas remarqué, derrière le bureau. Il désigna un banc, que je n’avais pas remarqué non plus. Et Al’ non (pas besoin de tiret là.) plus, apparemment : le sourcil arqué, les lèvres pincés, il savait que tout n’était (conjugaison!!!) pas comme d’habitude. Nous nous installâmes donc ! (peut-être pas nécessaire, le "!".) Il sourit brièvement, puis s’adressa à moi : -Quelle est ton nom ? -Alix Ferrin. En 4°B. -Ferrin ? Jamais entendu parler. Et toi jeune…garçon ? En fait, il avait dit cela car Al’ avait des cheveux mi- long, bruns, à la « Justin Bieber ». -Alexis Mecka. 4°B. Mikel prêta autant attention à son nom que moi au prof de (ça se dit comme ça.) SVT. Il s’intéressa de nouveau à moi. Il me dévisagea. -Es-tu déjà… non, c’est impossible. Veux-tu rejoindre mon organisation, Alix ?

Ouais! Ouais! La suite! La suite!
(par contre, je veux pas te vexer, mais fais attention aux fautes d'orthographe... Surtout avec les participes passé [ex.=>très très mal tourner et pas tourné]. Tu connais pas la règle avec les vendre et vendu?)

nan, je connais pas! Je suite nulle (archi nulle même) en orthographe...

C'est simple: normalement si c'est un participe passé (se termine en -é) tu peux dire vendu en gardant le sens de la phrase (même si elle en devient un peu bizarre xD) et tu peux dire vendre en gardant le sens de la phrase si c'est à l'infinitif (se termine en -er).
Moi, je suis une bête en orthographe *prend un air supérieur* xD!

Spoiler:

Merci, sa m'a aider je crois...

Nina s’étirait, Elsa me regardait comme si j’étais folle, Al’ et Jack était encore à moitié endormis, et Margaux avait déjà compris la situation.
On cherchait à nous éloigner de chez nous. Mais pourquoi ? Ce n’était sûrement pas la directrice. Ah, ça non. Bourrée de principes et de tocs; elle en serait bien incapable. Paquito, le CPE, étriperait le premier qui nous ferait du mal. Cela ne laissait que deux personnes : M. Fabian, ou le Conducteur. Ou les deux bien sûr.
Le trajet dura encore et encore... Jusqu’à l’arrivée de Mikel. Il s’assit en face de nous, mais il ne s’adressa qu’à moi.
-Comment as-tu compris ?
-C’était plutôt évident, non ? Un grésillement apparait et ont s’endort ; il fait noir et c’est 14 :00… Comment ne pas deviner !
-Hum… Viens. Suis-moi, c’est important.
Je me levais, mais Al’ s’accrocha à moi.
- Elle ne part pas sans nous m’sieur.
-Viens, jeune homme, si ça te dit.
Nous le suivîmes donc. D’abord, un long couloir ou l’on pouvait pénétrer dans les différents compartiments. Puis, il poussa une porte, et nous descendîmes un petit escalier qui menait à un grand bureau. Ce meuble était centralement positionné. Les murs tapissés en bordeau supportaient (pas d'également, cela voudrait dire que tu précise qu'autre chose à des cadres!) de nombreux cadres. Une grande armoire en verre teinté se tenait derrière le bureau. Elle paraissait très profonde. Et encore plus (pas d'encore, c'est comme si tu te demandais déjà ce qu'elle contenait) je me demandais (bon sang! on est au passé là! pas au présent!) ce qu’elle contenait. Mais cela devait être important, car un énorme cadenas, de la taille d’un point d’homme adulte, verrouillait sa porte (sinon y'avais aucune raison au "car".). Il était fermement serré, avec une serrure si compliqué et de si nombreux codes à taper qu’il semblait impossible de l’ouvrir. Le sol de moquette blanche était épais, et je m’y enfonçais jusqu’aux (t'as plusieurs chevilles, me semble-t-il...) chevilles. Mikel s’installa dans un fauteuil que je n’avais pas remarqué, derrière le bureau. Il désigna un banc, que je n’avais pas remarqué non plus. Et Al’ non (pas besoin de tiret là.) plus, apparemment : le sourcil arqué, les lèvres pincés, il savait que tout n’était (conjugaison!!!) pas comme d’habitude.
Nous nous installâmes donc ! (peut-être pas nécessaire, le "!".) Il sourit brièvement, puis s’adressa à moi :
-Quelle est ton nom ?
-Alix Ferrin. En 4°B.
-Ferrin ? Jamais entendu parler. Et toi jeune…garçon ?
En fait, il avait dit cela car Al’ avait des cheveux mi- long, bruns, à la « Justin Bieber ».
-Alexis Mecka. 4°B.
Mikel prêta autant attention à son nom que moi au prof de (ça se dit comme ça.) SVT. Il s’intéressa de nouveau à moi. Il me dévisagea.
-Es-tu déjà… non, c’est impossible. Veux-tu rejoindre mon organisation, Alix ?

Voilà! J'ai à peu près tout corrigé! Merci qui?

Merci Ambry! ;) (pardon pour le surnom débile :))