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«La rancœur liée à la pitié prend pas sur l'admiration.» ft. Lynx.

Déchéance de la Lune
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Déchéance de la Lune
 Sam 29 Nov 2014 - 23:02
Dans l’humidité du soir, je me trouvais à l’extérieur, à regarder les nuages de plus en plus sombres se rapprocher pour finalement être au-dessus de moi et me soustraire à la vue de la Lune si belle et si magnifique. Cette Lune, comme elle était envoûtante! Elle attirait mon regard tellement de fois et je ne pouvais le détacher, ainsi est-ce pour cela que je décidai que je ne croyais qu’en elle et elle seule. Le Clan des Étoiles? me diriez-vous. Foutaises! Un Clan ne peut veiller sur une forêt toute entière et même sur les solitaires comme ma mère. Ma mère qui était désormais partie rejoindre les étoiles et accompagner la Lune. Regardez le ciel lors d’une nuit claire et ciblez la plus lumineuse des astres de la nuit accompagnant Sa Majesté, l’astre d’une dignité sans fin, cette étoile-là, c’est ma mère qui a été assassiné. Je ne sais pas par qui, ni comment, mais je sais que Petit Matin et moi, on a juré de retrouver l’assassin et de lui faire payer cet acte d’une cruauté sans limites. Tandis que je réfléchissais à toute allure, le sommeil ne venant pas, des gouttelettes d’eau m’atterrirent directement sur le museau et me fit éternuer. Pour ne pas attraper un rhume, je rentrai directement à la pouponnière et m’ébrouai à l’intérieur avec de me figer sous le regard désapprobateur d’une reine qui avait reçu de l’eau.

Pour échapper à ce regard qui me picotait désagréablement l’échine, je me réfugiai dans mon coin –que personne ne prenait la chance d’utiliser- de l’endroit et me roulai en boule. Je résistai longuement au sommeil qui menaçait de m’engloutir en espérant que la pluie cesse de tomber, mais la température qui chutait rapidement et le bruissement des feuilles me bercèrent jusqu’à ce que je m’endorme et me réveille dans un rêve. Ce songe, je ne m’en souvenais plus lorsque le pépiement des oiseaux célébrant le retour du soleil me réveilla le lendemain matin. L’aube commençait tout juste et lorsque je me faufilai à l’extérieur, j’eus une magnifique vue sur le ciel. Les nuages prenaient une teinte rose et violette sublime qui me fascina un long moment. Ce moment fut brisé lorsque mon estomac se manifesta en me rappelant que je restai un être vivant. Et de quoi a besoin un être vivant? De se nourrir. Et c’est ce que mon ventre m’ordonnait. Alors, je me dirigeai vers la réserve que je n’avais plus oubliée depuis que je l’avais demandé à mon nouvel ami. Qui aurait cru que je serais devenu ami avec ce chaton lorsque j’avais passé outre la politesse et la gentillesse? C’est notre expédition, notre découverte et notre complicité lorsque nous nous sommes fait prendre qui nous ont lié et ont fait naître une amitié qui va peut-être durer, peut-être pas.

Lorsque j’eus un givre dans ma gueule, je me dirigeai vers un coin. Je m’installai toujours à l’écart des autres chatons qui s’étaient vu donner l’ordre de se méfier de moi parce que je pourrais leur faire du mal si je le voulais parce qu’ils ne m’intégraient que très rarement à leur jeu. C’était tellement injuste! J’essuyai rapidement une larme rageuse qui roulait sur le poil de ma joue et attaquai férocement ma nourriture que j’eus tôt fait de terminer. Après mon repas, j’entrepris de me faire une toilette rapide. Depuis quelques jours, maintenant que j’avais grandi et que j’étais rendu à deux lunes, mon corps était légèrement plus grand et me permettais d’atteindre, lorsque je me contorsionnais, d’atteindre tous les endroits de mon pelage. De cette façon, je n’avais plus besoin de demander l’aide d’une reine. Ça me répugnait de sentir la langue râpeuse d’une chatte que je ne connaissais pas et qui se méfiait de moi me nettoyer alors que je souhaitais de tout cœur le faire moi-même.  Lorsque ma toilette fut faîte, je me levai et m’étirai chacune de mes pattes avant de courir et m’éloigner de la pouponnière.

Je n’allai pas sortir du camp non, je désirais être encore mieux vu désormais, alors j’allais me tenir à carreau pour ne pas subir de réprimandes. Je ne souhaitai pas que les apprentis, les reines et tous les félins appartenant à mon Clan d’adoption aient une raison de se méfier de moi encore une fois. Durant ma course, je m’égarai dans mes pensées. Une tristesse profonde m’envahit soudainement et je cessai brusquement de courir. Je n’avais plus conscience du monde qui m’entourait, ne voyant simplement que la couleur bleu nuit du chagrin qui me consumait. Comment vivre dans un monde où je n’avais ni père ni mère et où cette dernière avait été sauvagement tuée ? Je me remémorai la scène où j’avais découvert le corps, mentalement. Elle était là, étendue sur le sol, le sang l’entourant et la terre semblait saigner elle-même. Comme si cette ressource naturelle avait été blessée en même temps que celle m’ayant donné la vie. Cette chatte que je n’ai jamais connu, mais que j’ai reconnu immédiatement avait un œil presque arraché. J’étais resté tétanisé sans pouvoir bouger. Mais qu’aurais-je pu faire d’ailleurs?

Cette scène horrible teinté ma souffrance d’une haine palpable. Je retrouverais le tueur et lui ferai payer. Je le torturerai, même si ce n’est pas un acte honorable. Je le ferai parce que je devais me venger et lui transmettre toute la douleur qu’il m’a fait subir à moi, et que je subirai encore jusqu’à ce que je sois guerrier et que je le retrouve. En tant que chaton, je ne songeai même pas au fait que je ne connaitrais sans doute jamais l’identité de ce cruel chat. Car c’était un chat. Et je le savais aux marques que le corps de ma défunte mère portait. D’instinct, je me remis à courir, mais j’étais toujours plongé dans les souvenirs de ce passé horrible lorsqu’une collision me ramena à l’instant présent. J’avais heurté un membre du Clan ou on m’avait heurté, peu importe. Mon pelage redoubla de volume sous l’effet de la surprise tandis que je me relevai doucement. Je levai doucement mon regard sur le félin frappé et je me foudroyai sur place. Le chef, Étoile de Lynx, se tenait haut sur ses pattes devant moi. Par la Lune, enterrez-moi! Il allait sûrement se mettre à me sortir une morale du type que je dois regarder devant moi et tout. Que du blabla en somme. Mais je devais plus de respect que cela au chef alors je soutins courageusement son regard de mes yeux bleus clairs. D’un bleu si clair et miaula d’une voix mal assurée.

-Pardon…
Étoile du Lynx
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Étoile du Lynx
 Mer 11 Fév 2015 - 20:29

La jalousie prend le pas sur l'admiration





Patte Lunaire ~ Étoile du Lynx

Douce nuit... Bien douce nuit...
La nuit est belle. C'était la première chose qu'on pouvait en dire. Elle est même magnifique. Quel délice d'observer celle qui succède le crépuscule! Car le coucher de soleil, on en parle beaucoup. Ce magnifique instant où l'Astre du Jour vient s'enfoncer dans un recoin de la vaste Terre que personne n'a jamais atteint, s'enfoncer dans un brasier orange et doré dans une trainée rouge, tellement rouge qu'on pourrait croire à du sang. Et tendit que le grand Soleil s'enfonce, s'élève la Lune, la plus douce, discrète et belle des deux. Car si le symbole du jour brille d'un éclat aveuglant de supériorité, la Lumière Nocturne ne s'impose pas. Elle est juste là, belle pour ceux qui la voient. Et tendit que l'Astre du Soir s'élève dans le ciel, la noirceur se glisse à pas de loup sur la Terre, se répandant dans chaque coin possible. Et, pour celui qui sera assez patient, tendit que la pénombre envahit les mortels, les Étoiles, compagnes de la Lune, apparaisse une à une dans le ciel corrompu par le sombre. Elle scintille, là et là, tel le bien parmi le mal. La nuit est belle. C'est irrévocable.
Elle est douce aussi, cette nuit. S'emparant doucement du ciel, elle a le traquas de plonger ceux qu'elle recouvrira dans quelques minutes dans le doux sommeil. Elle leur procure un repos, et jamais ne les réveille; ça, c’est le Soleil qui s'en charge, en tirant du délicieux Royaume des Rêves dés son réveil. Non, la nuit, elle veille sur les dormeurs en les drapant du voile du sommeil.
La mystère l'accompagne également. Car, dés que vient le soir et dés que la lumière baisse, les ombres se mettent à danser dans la pénombre. On ne voit pas grand chose pendant la nuit. La forêt est plongée dans un repos bien mériter, et tendit que les nobles guerriers profitent de cette pause bien méritée, ceux qui ne veulent pas qu'on les voient sortent de leur cachette. Ainsi, le veilleur nocturne est bien le seul à pouvoir apercevoir les chouettes hululant sur leurs arbres. Il peux aussi remarquer des yeux, des odeurs qu'il n'avait jamais vu ou sentit avant. Et, si la peur causé par ces bruits discrets et cette pénombre n'agit pas sur lui, il peut profiter de ce calme qui n'en est pas un. Les créatures nocturnes sont discrètes pas tempérament, mais ce sont une tornades de bruits et d'odeur à celui qui sait entendre et sentir.

Et, dans cette confortable nuit, on distinguait vaguement une forme dans la pénombre, assise près d'un torrent qui coulait avec fluidité et discrétion. Et, si on voyait mal le corps, ce qu'on observait très bien, c'était cette père de yeux jaunes tirant presque sur le vert qui scintillaient dans le noir. Des yeux pas comme les autres, car ils appartenaient à un des quatre chats les plus puissant de la forêt. Cette iris mystérieuse était tout bonnement celle d'Étoile du Lynx, le chef du Clan de la Rivière. Son rang lui conférait sa puissance, et son âge sagesse. Et tout aussi bien que Étoile Sanglante, Étoile de la Mélopée et Étoile de la Colombe, ses décisions pouvaient influencer l'avenir de tout les Clans de la forêt. Et aujourd'hui, le mâle était peu confiant. Son esprit était en plein songe, et il ne songeait pas qu'à de bonnes choses. Chaque muscle de son corps étaient tendu, et dans ces yeux si voyants dansait une lueur d'inquiétude. Tout en lui trahissait le doute.

A qui songeait il ? A Étoile d'Utopie. La femelle avait disparu sans laisser de traces, un beau jour. Au début, personne ne s'était vraiment inquiéter, pas même l'ancien lieutenant qui était persuadé que la vielle meneuse devait être en train de chercher du calme. Peut être même était elle à la Pierre de Lune. Cependant, les jours avaient passer. Le Soleil et la Lune suivait leur cycle naturelle et Étoile d'Utopie ne réapparaissait pas. Peu à peu, on sentait la tension monter au sein du Clan. Étoile du Lynx - Œil de Lynx à l'époque - avait prit les choses ne main, jusqu'à que vienne ce rêve - maudit soit il! - adressé au guérisseur. Et il avait entamé son périple, avait reçu son nom de chef et ses neufs vies. L'ancienne chef avait disparut. C'était il y a peu... une ou deux saisons tout au plus. Et là, il doutait. Et si le guérisseur c'était trompé? Et si Étoile d'Utopie était vivant? Était il digne d'être le chef du Clan de la Rivière? tout c'était bien passé pendant la cérémonie. Tout était normal. Le clan croyait en lui et son nouveau lieutenant -Équinoxe du Printemps. Choix judicieux, car en plus d'être populaire, le caractère du second convenait parfaitement au meneur. Les deux formaient un duo qui fonctionnait bien, et le Clan semblait l'approuver. Mais le chef ne pouvait s'empêcher d'être inquiet. Comment ne pas douter? Tout le monde aurait fait la même chose en cette situation.

Alors, il était sortit. Il n'avait pas peur de la nuit, il l'adorait même. Une des choses qu'il comprenait le mal, c'était que cette nuit - Ô belle et douce pénombre!- était associer au mal. Cette idée l’offusquait. Il avait longtemps réfléchit à la raison de ce stéréotype, et en était venue à la conclusion que le mystère et la noirceur qui habitait la nuit faisait peur à la majorité des félins. En effet, à cause du sommeil et du côté sombre de la nuit, on la connaissait mal. Et on a l'habitude de mal évaluer ce qu'on connait mal. Chose que le félin ne comprenait pas non plus. Ce qu'il connaissait mal, il l'explorait et en trouvait la réponse. C'est là d'où venait le savoir et l'expérience du meneur, chose qui avait largement contribuer à son avènement à ce poste de chef.

Oppressé par les doutes, Étoile du Lynx leva la tête vers la Toison Argentée, la demeure du Clan des Étoiles. Il scruta les Astres de cette trainée d'argent au milieu du ciel noir. L'étoile de l'ancienne meneuse se trouvait il parmi elles? Il chercha en vain du réconfort parmi ses aïeul, mais nul parole d'encouragement céleste ne vint. La Toison restait toujours aussi distante. Soudain, le meneur eut très froid. Était il digne du poste de chef? Le Clan des Étoiles pensait il qu'il avait fait une erreur en le désignant? Un frisson le parcourut de part en part. Et la légère brise n'y était pour rien. La peur lui serra le cœur. Il voulait arriver à être un bon chef, mais il craignait tellement d'échouer... Étoile du Dragon et Étoile d'Utopie avaient ils connu les mêmes angoisses? Le poids des questions sans réponses le faisait chavirer. Et, malgré lui, une légère larme monta dans ses yeux pour y chercher liberté. Et sans que le meneur ne pu l'en empêcher, elle sortit de son iris et se mit à rouler doucement sur sa truffe. Puis elle chuta, et tomba sur le sol.

A ce moment là, une brise plus chaude inhabituelle pour l'hiver vint ébouriffer le doux poil noir d'Étoile du Lynx. Ce dernier ne savait pourquoi, mais cela lui fit étrangement du bien. Il ferma les yeux, et savoura ce doux instant, instant de plaisir. Quand ils ré-ouvrit les paupière, il n'était plus le même. La sensation de doute s'était envolé, et il retrouvait sa confiance légendaire. Il était serein, car le Clan des Étoiles l'avait accepté, et le lui avait montré par ce signe - si futile soit il. Il avait sa place au rang de chef, et il ne contait pas décevoir son Clan. Une nouvelle fois il leva les yeux vers le ciel, et un doux chuchotements bondit hors de lui pour s'élancer vers la toison:
-Merci
Puis le félin se retourna et s'élança vers le camps, cette fois heureux et libre, car plus personne ne pouvait le contester. Il était élu, et n'en doutait plus.

Quand il fut rentrer au camps, la Lune, lasse de cette nouvelle nuit, trouvait refuge à l'intérieur de la Terre Mère. Et tendit que cette image de douceur et de sérénité s'enfuyait à pas de loup, le Soleil, dans toute sa splendeur et son côté ostentatoire, se levait et braquait le monde de ses rayons aveuglant. Le ciel se teintait d'un gris monotones et une nouvelle trainer de sang dévoila l'agonie du ciel lorsque le Seigneur du Jour reprend sa place. Ce moment de la journée, on l'a appelé "Aube". Et ainsi l'aube embrasait les Clans pour les préparer à la dureté et la clarté du jour. Ce lever de soleil, lui, était associé au retour du bien ou de la vie, selon les goûts et les histoires. Balivernes! Mais ça, seul ceux qui aimaient la nuit pouvait le comprendre. Ceux là laissaient les autres dans leur ignorante superstition et comprenait l'Aube comme il fallait la comprendre. C'était un pont entre de monde, un monde nocturne et un mon diurne. Libre à chacun de le prendre comme il veut.  

Autour du chef, la vie reprenait doucement son court. Les guerriers sortaient de leur tanière, les apprentis attendaient avec impatiente - ou fatigue, dépendant des cas - leur entrainement quotidien. Dans la pouponnière, le couple habituel des chatons remuants et des reines ordonnant à ces chatons de ne pas remuer commencer à résonner dans le camps. Du côté des anciens, on entendait déjà les ainés se plaindre de leurs coussinets. Une journée comme les autres. Étoile du Lynx s'assit et fit sa toilette, nettoyant son poil de sa langue rapeuse. Il venait de finir quand un gros choc lui assourdit un instant son flanc droit. Le chat au pelage noir fit volt-face, pour se retrouver nez-à-nez avec... Patte Lunaire. Le meneur soupira de lassitude.

Ce petit, il le connaissait bien, même très bien. Il n'était pas comme les autres. Alors qu'il venait de naitre, sa mère - une solitaire - avait été sauvagement assassiné. Étoile du Lynx avait accepté d'accueillir le petit dans le Clan -comment refuser?- mais plus il grandissait, plus l'admiration de Patte Lunaire fondait comme neige au soleil pour laisser place à une espèce de jalousie mélanger d'animosité. Sans doute détestait il qu'on ai pitié de lui, et tout les chatons avaient envie de devenir chef, n'est-ce pas? Mais Patte Lunaire n'était pas comme les autres chatons. Il n'aimait pas qu'on s'occupe de lui, était distant, et d'ailleurs les reines n'aimait pas que leur progéniture s'approche de ce mâle si mystérieux - chose que le noiraud déplorait. Cette méfiance, le paria la rendait bien, et ne s'entendait qu'avec Petit Matin.

En attendant, ce fameux petit semblait mort de honte.  Il marmonna une excuse, que son interlocuteur entendit à peine, car trop occupé à le regarder avec attention. Au bout d'un silence interminable, le chef grogna:

-Tient! Patte Lunaire. Aurait tu perdu tes yeux? A moins que tu n'es quelque chose de très important à faire?

Il se pencha, puis dit bien plus doucement:
-Alors?


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[cent lignes et plus power :a:]
Déchéance de la Lune
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 Ven 13 Fév 2015 - 22:22
[Vu que Lulu est apprenti, on fait quoi?]
Étoile du Lynx
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 Sam 14 Fév 2015 - 10:27
[On continue comme si c'était u chaton x) ]
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Déchéance de la Lune
 Sam 21 Fév 2015 - 23:12
[Ça te dérangerait qu'on le laisse tomber, parce que le caractère de Lulu' chaton n'est pas le même que celui novice et celui chaton ne m'inspire plus XD ]
Étoile du Lynx
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Étoile du Lynx
 Dim 22 Fév 2015 - 8:15
[Okay, j'archive]
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