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Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumJe descendis alors les marches agilement afin de me rendre à la porte qui menait vers l'arrière de la maison de mes maîtres adorés. La chatière, comme je m'y attendais était prête à être utilisée gaiement par une magnifique chatte comme moi. Je pousse alors la porte avec laquelle nous pouvons un peu voir à travers, mais pas très bien. Je sentis alors la brise fraîche de la nuit venir faire frémir mes moustaches. La nuit avait été froide, je n'imagine pas l'état dans lequel ces chats errants se trouvent. Enfin, je m'en moque!
Je me mis alors en route vers un endroit appelé « route » par les Bipèdes. Peu de ce qu'on appelait « voiture » ne passait sur la route à cette heure-ci. Ils devaient forcément déjà dormir, parfait! J'avais vraiment envie d'aller m'enfoncer dans la forêt pour y découvrir les moindres recoins mais... seulement l'idée de croiser un de ces chats sauvages me donnait froid dans le dos. Je les détestais, ils m'avaient attaqué et si j'en croise un autre un jour, je me vengerai moi-même et lui donnerai un bon coup de griffe parce que, et bien oui, j'ai toujours mes griffes, au contraire de certains matous de mon quartier.
Je me dirige alors vers les arbres, des arbres gigantesques qui, en grandissant encore et encore pourraient peut-être un jour aller toucher les nuages. Cette idée me fit lâcher un sourire idiot. J'avais vraiment l'air d'une débile à sourire toute seule, dans la nuit en plus. Mon sourire s'estompa alors assez rapidement pour laisser entrevoir une émotion neutre mais, un regard toujours joyeux qui regarda de ça et là avait que je ne pénètre dans la forêt.
Je marche longtemps, encore et encore sans m'arrêter. Je regardais le paysage, les fougères, bref, tout! Tout ce paysage était nouveau pour moi, je n'y étais jamais allé. J'étais toujours restée dans mon jardin ou bien dans ma maison bien à l'abri des intempéries. J'étais vraiment excitée de découvrir cet endroit.
C'est alors qu'en tournant légèrement ma tête. J'entrevis quatre grands chênes qui formait une sorte de cercle avec un rocher massif entre ceux-ci. Je ne tardais pas non plus à remarquer un corps, étendu dans un buisson. Qui était-il, que faisait-il là? À moins que ce sois... un... un chat sauvage?!
Un gémissement de terreur enfla alors ma gorge pour remonter vers ma gueule, le laissant ainsi échapper. Un bruit sourd retentis et je savais qu'il provenait de moi, c'était mon gémissement. Je me figeais alors sur place, n'osant pas jeter un coup d’œil au chat étendu, qui s'était déjà probablement réveillé en sursaut. Il allait m'attaquer, j'en étais sûre, il allait me faire du mal et moi je restais là, immobile, tremblant de tout mon corps. J'essayais tant bien que mal de convaincre mes pattes d'avancer mais en vain... Elle ne bougeaient pas d'un poil. C'était mon heure, j'allais mourir...
- Hrp:
- Wow, je croyais pas qu'il allait être aussi long. Je crois que j'ai plus d'inspirations que jamais! J'en aussi fait un long hier, je suis en feu! Acclamez-moi esclaves!
Ah oui et si ça t'embête que je commence comme ça et que tu n'as pas d'idée, tu peux me le dire, j'en ai plein en tête! Bonne chance pour en écrire autant que moi!